On décide, sous la proposition de David et Caro, que nous prendrons leur chambre, plus spacieuse pour nous quatre. Donc les deux premiers jours de notre retour sont consacrés au déménagement des chambres de Théna, Malika et moi. Aléxia ayant amené sa garde-robe du bateau à l’hacienda (juste trois valises, mais quelles valises ?!).
Pour fêter notre retour, Maria décide d’organiser une petite sauterie le troisième jour, Caro et David devant rentrer en France pour raisons professionnelles.
Donc le soir du troisième jours, on a opté pour nous mettre sur notre 31. On revêt nos toges, nos colliers et évidemment nos plugs. Telles des déesses grecs, on parcourt la cinquantaine de mètres qui nous sépare de la tablée. Maria, Caro et Domi sont subjugués.
— On dirait des déesses… Lance Domi.
— Ce sont des déesses, nos déesses… Lui répond Caro.
Maria ne peut pas répondre. Elle pleure. On pose un genou à terre et comme une seule voix.
— ANIKO STOUS THEOUS TIS AGAPIS TOU SEX. (j’appartiens aux dieux de l’amour et du sexe. cf : ch17).
Maria demande de nous relever et s’agenouille, imitée par David, Domi et Caro.
— C’est à nous de nous incliner devant tant de beauté, dit Maria, mais il y a un petit problème. Il y en a une qui n’a pas reçu son signe distinctif.
On se regarde toutes les quatre. Maria lève ma toge et celle d’Alexia. On regarde tous son pubis lisse de tout marquage.
— Mais on peut réparer ça dés ce soir. Dit Domi.
Elle prend la main d’Alexia et l’emmène vers sa chambre, accompagnée de David. Maria nous dit, pour patienter, de nous verser un petit verre de champagne.
Une demi-heure passe. Alexia revient. Elle a sa toge largement tirée dans son dos pour éviter tout contact avec son marquage, si l’on peut appeler ça comme ça.
Elle est belle est sa démarche est féline. Elle arbore le même tatoo que nous trois, elle en est fière, elle le montre et ça se voit. On l’accueille par des embrassades en faisant attention de ne pas toucher son haut de pubis.
— Voilà qui est fait, dit Maria, Aléxia, tu viens avec moi, on va montrer à Émile.
Elles s’éloignent et vont dans la chambre de Maria. Nous, on se ressert. Quand Maria revient, c’est toute fière du travail accomplit. Émile était heureux de voir Aléxia arborer le signe distinctif de notre fratrie. Il a dit de fêter ça, ce que lui a confirmé sa sur.
— Et Aléxia ? ? Demande Malika.
— Elle est en grande discussion avec Émile… Celui-la, avec son boulot ?!?!?! Brrrr…
On mange, on boit. Aléxia est de retour et impossible de savoir de quoi elle s’entretenait avec le vieux grec.
Malika me dit qu’elle en faim, en me montrant sa chatte. J’y pose ma main, elle est trempée. Je l’entraîne sur le petit banc de la terrasse et la couche sur le dos. L’odeur qu’elle dégage me transforme en bête. Je hume ce parfum enivrant. J’approche ma bouche de ce délicieux coquillage. Elle me regarde avec l’attente de ma langue. Je la fais languir. Je lui lèche l’intérieur des cuisses et remonte sur son nombril en évitant son sexe. Elle soupire, souffle. Je souris.
— Salope… Murmure-t-elle.
— Ta salope, oui, je sais…
Je regarde l’assemblée. Ils sont tous trop occupés. Théna et Aléxia se gamellent. Domi s’occupe de David. Caro et Maria s’échangent leur fluide corporel en se léchant leur corps. Je poursuis mon travail de sape. Je lèche le tatouage de ma bien aimée. Elle tressaille. Je me saoule de cette odeur si particulière, propre aux femmes de couleur. Je me rapproche petit à petit de mon but, son clitoris. Je le frôle et descends vers ses lèvres béantes. Je me gave d’images pornographique en regardant cette cicatrice rose fluo qui s’agrandit. Je ne tiens plus, je plante ma langue au centre de la cible. Elle frissonne. Je lui lèche consciencieusement l’intérieur de son antre. C’est bon, c’est chaud et je ne dirais pas humide tellement elle mouille. C’est un torrent, une rivière qui coule sur ma langue, mon menton. Je me repais de son jus, son nectar. Elle jouit en me gratifiant d’une énorme éjaculation. Je suis aux anges mais je la bois. Elle se cambre et j’en profite pour lui titiller son anus. Elle se tend, s’arc-boute, tous ses muscles sont tendus. Je remonte lentement vers son nombril, ses seins, sa bouche. Je l’embrasse.
— Je t’aime, Vanessa. Me susurre-t-elle à l’oreille.
Je ne lui réponds pas. Ma bite et arrivée sur ses lèvres intimes. D’un coup sec, mais tendre, je la pourfends d’un coup et je m’immobilise. Je lui mords le cou, la lèche, l’embrasse.
— Je t’aime ma chérie… Lui dis-je en commençant à la ramoner lentement
— Je sais, je le sens… C’est magnifique. Remplis-moi… HUMMM…
On s’échange des baisers pleins de bave, de salive et de ses sécrétions. C’est magique, magnifique. Je suis en train de faire l’amour à ma sur de cur, ma femme. J’accélère, plus gaillardement. Elle a remonté ses jambes pour poser ses talons sur mes reins. Elle m’accompagne dans sa jouissance, ma jouissance, notre jouissance. Je me retiens pour que ce moment soit éternel. Je ressors mon rostre à chaque fois pour la pilonner comme elle le veut. Je ne tiens plus, elle le sent. C’est dans un râle, un cri, un hurlement que j’éjacule au fond de sa matrice, dans son utérus. Épuisée, elle laisse retomber lourdement ses jambes sur le sol. Je reste emboîtée dans mon amour tout en l’embrassant. L’envie ne m’a pas quitté. Je la lime doucement.
— Encore ? ? Me demande-t-elle.
— Avec toi, jusqu’à la mort.
— Chérie, il y en a deux qui attendent leur tour
Je tourne la tête et effectivement, Théna et Aléxia sont debout et me regardent avec envie. Je me retire de ma tendre et douce. Je m’allonge sur le dos et attends impatiemment mes deux autres femmes. C’est avec respect qu’elles me chevauchent tour à tour. Je les insémine en prenant mon pied, tous comme elles. Ma princesse black se gorgeant de mon jus sur des sexes trop remplis, elle se gave de nos sucs. Cela fini par une pipe à trois bouches, trois langues qui me nettoient ma verge. L’extase…
Je rejoins les vieux (Hihihihihi). Ils sont en train de boire un champagne millésimé de haute facture.
— Je crois que notre descendance na va pas tarder… Dit David en me tendant un verre.
— Je l’espère… Lui répondis-je.
On éclate de rire tous les quatre. Je regarde mes trois coquines qui se bouffent la chatte pour en récupérer le résultat de nos ébats. Je m’assois à côté de David.
— On est fier de toi, me dit-il en me caressant la queue du revers de la main, et je suis fier de mon travail. Ta queue devient de plus en plus magnifique.
— A ce propos, elle a augmenté de volume et en taille, est-ce normal ?
— Oui, il est vrai qu’il y ait des effets secondaire… Mais cela n’est pas pour te déplaire ??
— Non, c’est vrai… Mais j’aurai aimé être dans la confidence.
— Et ça t’aurait apporté quoi. Tu es une magnifique…
— Shemale…
— Non. Une femme magnifique. Regarde-toi. Tes seins, ta cambrure, tes jambes, tes épaules. Tu es tellement féminine, désirable… Me dit-il en me masturbant lentement.
Pour réponse, il n’a que mon sourire concupiscent. Je ferme les yeux et je me soumets à cette caresse. Domi, insatiable, vient se joindre à nous. Elle gobe mon gland en jouant avec sa langue… Je me laisse aller. Je jouis sans éjaculer, comme une femme.
Maria nous interrompt et nous propose de manger. Elle tape des mains et apparaissent les triplées et Axiana, portant des plateaux de victuailles. Il y en a plus que de raison. Les agapes peuvent commencer.
— Que font-elles là ?
David me répond qu’elles viennent parfois à la demande de Maria, lorsqu’elle n’a pas envie de se mettre aux fourneaux.
— Les fameuses femmes de ménages ?
— Non, les tâcheronnes viennent que lorsqu’il y a de gros événements.
— Et le bateau ?
— Il est au bon soin d’Axiana. Elle a été promue avant la venue d’Alexia. Aléxia restera désormais avec nous. Elle fait partie de la famille…
— J’espère que ce sera la dernière !
— Moi aussi, plaisante-t-il.
Mes trois promises me donnent la becquée, me gavent de saumon fumé et de caviar. Axiana s’occupe de resservir en champagne dé qu’une flûte est vide. Maria se lève et accompagnée d’Axiania, se dirige vers sa chambre. Je demande à David ce qu’elles vont y faire. Il me répond par un petit sourire et en levant les yeux. OK, j’ai compris…
La soirée continue plus paisiblement. Sous l’insistance de Malika on se retrouve tous dans la piscine. David est pris à parti par Domi et Caro, moi par mes trois petites femmes. On rigole, on boit, toujours servit par les triplées. Je souris en les voyants avec leur bouteille se démener à remplir les verres. Il y a même une qui s’est mise à l’eau et peine à avancer. Trop drôle.
— Tu as envie d’elle, me demande Malika, ne me ment pas, ça se voit dans tes yeux.
— Pas ce soir… J’ai d’autres projets.
— Comme quoi ?
— Vous baiser toutes les trois, encore et encore…
— Hummm, intéressant. Quand commence-t-on ?
— Petite impatiente. Lui répondis-je en la soulevant et en l’empalant sur ma bite. Contente ?
— Hummm, heureuse et comblée… HIHIHIHI.
David, Caro et Domi nous abandonnent, me laissant seule aux prises à mes trois furies.
On a fait l’amour toute la nuit. Je ne sais plus combien de fois j’ai échangé de partenaire et combien de fois elles ont reçu ma semence, mais c’est dans sommeil des justes que l’on s’est endormie, repue mais comblée.