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La mission de Kate – Chapitre 1




Elle était nue et à genoux, baignée par la seule source de lumière de la pièce qui n’éclairait que son corps et les alentours. Ses mains étaient attachées et liées à ses chevilles par un jeu de corde. Des cornières métalliques, posées entre ses cuisses, écartaient légèrement ces dernières. Elle se savait totalement à la merci de la personne qui l’avait mise dans cette position. Dans l’obscurité, elle l’entendit se mouvoir autour d’elle. Elle se savait scrutée dans les moindres détails et savait aussi que deux ou trois caméras la filmaient. Ça faisait partie du « jeu ». Avait-elle peur ? Non, les seuls sentiments qu’elle avait en ce moment étaient la répulsion que lui inspirait son « tortionnaire » et l’inconfort de sa position.

Elle sentit la corde entravant ses poignets la tirer lentement vers l’arrière. Sans forcément jouer le jeu, elle accompagna le geste pour mettre le haut de son torse vers l’arrière. Il ne servait à rien de résister et elle se disait que plus vite l’expérience se passait, plus vite elle pourra mettre tout ça derrière elle, oublier et aller de l’avant. Vers la prochaine étape.

— Oh c’est bien, tu te laisses faire. T’es une vraie petite salope toi. C’est dommage que tu sois aussi plate qu’une planche à pain. Oh putain, ouais des plus gros nibards, ça aurait été bien mieux. Et aussi un peu plus de formes, on dirait trop un fil de fer, putain. Quand j’ai demandé une salope, j’aurais dû plus détailler. Mais bon, un trou est un trou.

La voix grossière et vicieuse de l’homme résonna dans la pièce, entrecoupée de sa respiration rauque et sifflante. Elle sentit l’haleine chaude sur sa nuque et en même temps sentit le contact contre sa peau d’un gros ventre poilu.

Son tortionnaire était un grand homme obèse. Depuis le début, il déambulait dans la pièce, totalement nu et la vue de son corps était répugnante. Il était énormément poilu. Quand il avait posé les mains sur elle, elle n’avait pas pu détourner son regard de ses gros bras poilus et des phalanges tout aussi recouvertes de poils. Son ventre cachait presque ses parties intimes, flasques et tout aussi poilues. Enfin ses fesses molles et imposantes ballottaient à chaque pas.

Elle ferma les yeux lorsque deux mains vicieuses vinrent saisirent sans ménagement ses tétons. C’est vrai qu’elle n’avait pas de poitrine, plate comme disait l’autre gros porc, mais sa féminité se dévoilait par de gros tétons pointant facilement et devenant tels des framboises mures et dures. Sous les pincements des doigts sur ses pointes, elle ne pouvait bloquer quelques gémissements de douleur qui sortaient de sa bouche entrouverte. De même, elle ne pouvait empêcher ses tétons de devenir durs et de ressentir les décharges électriques qui lui parcourant le corps.

L’homme actionna une pédale avec le pied et elle sentit son corps descendre. Elle comprit qu’elle était sur une sorte de pont mobile. Elle sentit le ventre proéminent de plus en plus contre son dos, sa nuque, son crâne.

— Hum, petite salope, tu vas gouter ma queue. Tu verras c’est un bon morceau de choix et je te conseille de bien gouter et de bien savourer toute ma liqueur, sinon, tu passeras un sale quart d’heure.

Le message était clair, il voulait une pipe et il voulait qu’elle avale. Elle en avait vu d’autres, qu’à cela ne tienne, une pipe et on pouvait passer à autre chose. Si ça pouvait lui faire arrêter de la toucher. Il commençait à lui faire assez mal à ses seins pour qu’elle gémisse fort.

Une petite délivrance se fit sentir quand les grosses mains laissèrent ses tétons. Mais rapidement, l’une d’entre elles vint prendre son menton pour le lever et ainsi, bascula sa tête vers l’arrière. Elle sentit d’abord l’odeur âcre de l’intimité de l’obèse, puis vint le contact contre sa bouche d’une chose flasque et gluante… Elle ouvrit les yeux pour voir un sexe gros et mou et une paire de testicules. Elle ne sut si la position ou la proximité jouèrent sur la perception de cet engin, mais elle prit un peu peur de la grosseur de ce sexe.

Une main lui maintenait la tête renversée, une autre guida ce bout de chair vers sa bouche et lui força de l’ouvrir. Elle referma les yeux tout en ouvrant la bouche. Elle dut ouvrir très grand la bouche pour pouvoir accueillir ce sexe. Le goût se mélangea à l’odeur et un haut-le-cur la prit, la faisant saliver. Elle sentit les bourses se déplacer contre son visage et l’homme commença à donner des coups de reins. Le sexe grossissait dans sa bouche. Elle ne pouvait plus gémir et avait du mal à respirer par le nez. Elle commençait à paniquer, peur du manque d’air, mais cela ne semblait pas inquiéter l’immonde pervers. Puis petit à petit, elle prit le rythme de respirer en fonction des vas et vient et se laissa baiser la bouche par cette queue plus grosse que grande.

Elle essaya de se refermer sur elle-même pour laisser l’homme agir et terminer sa besogne rapidement quand elle fut ramenée violemment à la réalité glauque en sentant une main descendre sur son sexe. Elle sentit les doigts boudinés parcourir son intimité. Les doigts écartèrent les grandes lèvres et partirent à la recherche de son minuscule clitoris. Son bouton fut mis à rude épreuve, pincé entre un pouce et un index, écrasé, titillé. Un bruit de moteur électrique se fit entendre et elle sentit les cornières contre elle bouger, écartant ses cuisses de plus en plus. Une fois le moteur arrêté, elle avait les cuisses bien écartées.

— Hum, ça c’est un petit trou à explorer, je suis sûr que tu mouilles rapidement, abondamment comme une salope lubrique.

Un doigt s’introduisit sans ménagement dans son vagin. Elle voulut se débattre de cette soudaine pénétration mais son équilibre précaire et l’engin dans la bouche empêchèrent tout geste de rébellion. Elle sentit monter dans le creux des reins une honteuse chaleur qu’elle savait ne pas pouvoir bloquer. Elle commençait à avoir honte d’être excitée par un tel homme. Mais elle savait qu’elle se devait de ne pas montrer le moindre dégout et, comme disait Vincent, son instructeur, prendre du plaisir là où il n’y en avait pas. La leçon était dure à apprendre.

— Hahaha, ma petite cochonne mouille. Ça t’excite de te faire trifouiller la cramouille ?

Son rire gras et sa respiration lourde résonnèrent dans ses oreilles. Elle se savait rougissante de chaleur. Elle devait se forcer pour ne pas bouger son bassin sous les doigts de ce vicieux. Elle devait prendre sur elle pour garder le contrôle de son corps, pour garder le rythme de sa respiration, rendue difficile. L’homme était certes un dégueulasse de gros porc, il avait une expertise sur le corps féminin. Elle se laissa faire, concentrée sur ses réactions, ne voulant pas donner plaisir à ce monstre en lui montrant qu’elle prenait elle-même du plaisir. Les bruits humides de doigts allant et venant dans son sexe remplirent la salle.

Sans crier gare, l’obèse éjacula puissamment dans sa bouche. Elle ne prit pas garde, concentrée sur le bas de son corps. Elle faillit s’étouffer et fut obligée d’avaler la semence chaude, douceâtre. Avec la position dans laquelle elle se trouvait, la déglutition fut particulièrement difficile et elle put reprendre sa respiration qu’après un long moment d’apnée. Sur la reprise de respiration, une onde électrique parcourra tout son corps aussi soudainement que l’éjaculation. Elle jouissait sous les doigts explorant son sexe. Son bassin se souleva et accompagna le doigt pénétrant le vagin. Sa bouche fut libérée du sexe bavant de sperme et elle put prendre une respiration haletante, savourant de retrouver une façon de respirer plus normale et savourant d’avoir joui comme cela.

— T’es une sacrée truie, toi… J’en ai pas encore fini avec toi mais là je dois partir ailleurs.

L’obèse actionna quelques pédales et la détacha et la remit debout. Elle avait du mal à tenir debout, du fait du long moment passé dans une position des plus inconfortables.

Toujours nus tous les deux, le gros homme l’emmena à travers un court dédale de couloirs vers sa chambre. Elle y entra, tomba au sol et entendit la porte se refermer, le verrou tourner et les pas du monstre, indiquant son éloignement. Elle reprit lentement une respiration normale ainsi que ses esprits, la fraîcheur du carrelage l’aidant grandement.

Elle savait que dans cette chambre, il y avait une douche. Elle se releva difficilement, les muscles encore endoloris et endormis, et se mit sous le jet chaud de la douche. Exténuée, elle lava la sensation de saleté recouvrant son corps et se dirigea vers le lit. Elle se mit sous les draps, et avant de plonger dans un sommeil profond, remarqua que la parure de lit était en soie.

Elle se réveilla quelques heures plus tard. Elle ne se rappela pas immédiatement où elle se trouvait et pourquoi, et fut envahie par un sentiment de panique. Celui-ci partit rapidement, elle était en formation pour une mission d’infiltration. Elle devait s’entraîner à ne pas montrer son dégout des choses sexuelles et extrêmes afin d’entrer dans un réseau de trafiquants d’armes, de drogues et d’esclaves sexuelles. Elle devait entrer dans ce réseau pour pouvoir introduire dans le système informatique un malware et c’était plus facile de lui enseigner les « bonnes pratiques sexuelles » que d’enseigner le codage informatique à une experte du sexe. La voilà donc enfermée dans une chambre.

Pour cacher sa nudité, elle prit le drap de soie et l’enroula sur son corps. Elle retourna dans la salle de bain. Elle fit couler l’eau de la douche, laissa la vapeur d’eau envahir la petite pièce, et entra dans la douche en laissant tomber le drap par terre. Elle prit plaisir à laisser l’eau chaude caresser son corps. Elle fut tirée de ses rêveries par le son de la porte qui s’ouvrit. Elle resta pétrifiée, aux aguets. Elle entendit des bruits de pas. Ceux-ci entrèrent dans la chambre, puis repartirent. La porte se referma et elle entendit le verrou tourner. Elle souffla, remarquant au passage qu’elle avait arrêté de respirer pendant ce bref moment.

Toute ruisselante, elle sortit de la douche pour se diriger vers sa chambre. Elle remarqua tout de suite ce que l’on avait déposé pour elle. Une boîte contenant cinq objets et une lettre. Elle déplia la lettre. Celle-ci disait

— Tu disposes de deux genouillères, de deux coudières et d’un bandeau pour les yeux. Enfile le tout et crie pour dire quand tu es prête pour la suite. Ne me fais surtout pas attendre.

Elle se demanda un court instant si elle devait obéir, mais les recommandations de Vincent étaient claires. Elle mit ces équipements, dabord les étranges genouillères puis les coudières. Clairement, ces protections furent modifiées pour une autre utilisation que celle destinée. Elle se mit debout, droite, mit le bandeau sur ses yeux et, dans le noir, cria « je suis prête ». Elle attendit, scrutant le moindre bruit.

Après quelques instants interminables, les bruits de pas revinrent. Elle resta immobile, voulant montrer à son tortionnaire son calme et son sang-froid, mais elle sentait monter en elle une crispation, une inquiétude mêlée, à sa grande surprise, à une petite excitation de l’inconnu. Elle entendit la porte s’ouvrir.

— Bien, ma petite chienne, tu es bien obéissante

La voix, entrecoupée d’inspirations rauques, fit parcourir sur sa peau un frisson de dégoût, mais elle resta droite et imperturbable. Elle sentit la présence du gros porc près d’elle, elle pouvait sentir sur son corps le regard pervers. Elle ne sursauta pas quand une main lui prit le bras.

Il installa quelque chose sur ses coudières ; elle entendit des tintements métalliques et ses bras étaient manipulés. Il lui lia les bras et, comme une laisse la tira à le suivre alors qu’il quitta la pièce. Elle se laissa guider, quasiment aveugle avec le bandeau sur les yeux. Des portes furent ouvertes, des escaliers gravis, des couloirs traversés.

Il l’immobilisa enfin. Il lui ouvrit la bouche pour y mettre une sorte de tuyau.

— Vas-y, bois, ma petite salope.

Elle sentit un liquide froid dans sa bouche, elle prit un peu peur avant d’avaler et de s’apercevoir qu’il ne s’agissait, a priori, que de l’eau. Elle but longuement. Il la laissa prendre régulièrement sa respiration mais continuait à la faire boire. Puis, sentant qu’elle était repue, il retira le tuyau, et s’éloigna. Elle resta ainsi un long moment, debout, aveuglée par le bandeau. Elle ne put dire combien de temps elle attendit avant de ressentir près d’elle la présence de l’obèse.

Il s’affaira sur ses genouillères et ses coudières. Elle resta stoïque même si son esprit essayait d’évaluer ce qu’il faisait et ce qu’il projetait de faire. Puis, elle se sentit tirée en l’air par les genoux et les coudes : il l’a suspendait dans les airs. En quelques secondes, elle était passée de la position debout, toute droite, à suspendue par les membres, coudes et genoux à la même hauteur, les cuisses écartées. Malgré le poids de son corps, elle n’était pas si mal à l’aise que cela, en fin de compte, si elle mettait de côté sa nudité et l’exposition de son intimité à cet homme.

Elle vit le gros homme, habillé cette fois, s’effacer dans l’obscurité. Elle était éclairée par le même éclairage que précédemment, laissant l’ensemble de la pièce dans l’obscurité. Elle remarqua les points rouges, sans doute des caméras qui la filmaient. Elle regarda son environnement. Elle était suspendue par des chaînes accrochées à ses genouillères et coudières. Sa tête était légèrement plus haute que son bassin, soit une position intermédiaire entre être couché et assis. Elle attendit à nouveau, commençant à ressentir l’envie d’uriner, et prit conscience de ce qui pouvait l’attendre.

Elle vit le gros poilu revenir dans la lumière. Il tenait dans une main une poire à lavement. Il sourit lorsqu’elle ouvrit les yeux de stupeur face à cet instrument. Il se mit sur son côté. Elle sentit ses fesses être écartées et un doigt venir caresser son anus. Une colère sourde monta en elle, pourquoi tant de perversion ? Était-ce nécessaire tout cela ? Devait-elle être autant humiliée ? Elle sentit la pointe de la poire s’insérer en elle, un peu soulagée que cela se passe avec douceur.

Elle sentit un liquide chaud et abondant jaillir en elle. Puis la poire fut retirée. Elle vit l’homme recharger la poire alors qu’elle se forçait à garder en elle ce liquide. Il introduisit une seconde fois la poire et la vida en elle. Enfin, avant de se reculer, il mit un bassin sous elle. Il savait ce qu’il faisait et ce qu’il voulait obtenir.

— Vas-y sale truie, faut laver ton petit trou. Sache que tu ne bougeras pas d’ici tant que je ne t’aurais pas filmé en train de te vider le cul et la vessie.

Sous le regard lubrique de l’homme, elle se tortiller sur elle-même, ressentant des crampes dans son ventre. Elle avait de plus en plus mal mais ne voulait pas se dégrader autant devant lui. Elle tint encore quelques minutes avant de ne plus pouvoir contracter encore son sphincter. Dans un bruit peu ragoutant, elle se vida du liquide qui gonflait ses entrailles. De la matière fécale partait en même temps. Elle crispa la mâchoire et ferma les yeux, salie comme jamais.

Une fois le flou tari, le tortionnaire revint près d’elle.

— Ce n’était que la première partie du nettoyage.

Il réintroduisit la poire dans son anus pour remplir une seconde fois son fondement du liquide chaud en trois injections, cette fois-ci. Il resta près d’elle et posa une main sur son ventre et une autre sur son dos. Il appuya longuement sur son ventre. Elle avait mal, voulant contenir à la fois sa vessie et son sphincter, mais la pression, de plus en plus importante sur elle, fut plus forte.

Dans un cri, elle se lâcha. D’abord son anus lâcha l’eau, puis sa vessie se vida. Elle poussa pour expulser tout ce surplus, sous le rire gras de l’homme. Elle en ressentit un certain plaisir de s’être soulagée ainsi.

Elle regarda l’homme retirer la bassine, nettoyer sommairement le sol avec une serpillière tout en rigolant. Puis elle le vit s’approcher d’elle avec une serviette pour essuyer l’humidité de son intimité qu’il fit avec plus d’entrain. Le nettoyage terminé, il repartit dans l’obscurité de la pièce. Elle entendit des bruits de vêtements qu’on retire et revit l’obèse venir à elle, entièrement nu, le sexe raidi pointant le bout du gland sous la masse de graisse de son ventre. Il se plaça entre ses jambes écartées et elle sentit une main venir palper ses fesses et son sillon, des doigts caresser et appuyer sa petite rondelle. Elle ouvrit les yeux de peur, elle allait se faire sodomiser. Elle allait perdre sa virginité anale avec ce gros pervers.

Ses yeux s’agrandirent plus lorsqu’un doigt s’introduisit en elle, ouvrant avec force son anus. Elle respira un grand coup. Elle sentit ce doigt s’insinuer en elle, tourner dans ses entrailles. La douleur laissa place rapidement à une gêne. Elle ferma les yeux, plus vite ça se terminait, plus vite ça serait de l’histoire ancienne et elle pourrait se laver de cette humiliation.

Elle sentit le doigt aller et venir en elle. Elle comprit que ce doigt était lubrifié. Elle commençait à se faire à la gêne d’être ainsi doigtée quand il retira son doigt et plaça sa queue devant l’entrée de son cul.

— Essaie de pousser comme si tu posais une pêche, petite trainée, si tu ne veux pas que ma queue te défonce ton trou du cul.

Et, plaçant une main contre sa cuisse, et l’autre maintenant le sexe, il força. Elle sentit l’énorme gland taper contre son anus. Elle ressentait l’incapacité de cet engin de passer par cette entrée… Elle sentit la pression devenir de plus en plus forte, elle prit peur de se faire littéralement déchirée. Elle poussa, comme le porc lui demandait de faire. Elle se sentit s’ouvrir et s’écarteler sous ce sexe. Elle respira rapidement, ne ressentant plus l’air entrer dans ses poumons. Elle suffoquait sous cette pénétration. Tout son frêle corps s’ouvrait à cette queue perforante. Elle s’imaginait ses cuisses se désarticuler pour laisser passer l’obèse et son engin. Elle hurla.

Elle perdit pied. Elle se faisait secouer d’avant en arrière, accompagnant les va-et-vient du porc lui limant le cul. Elle cria de nouveau, lorsqu’un doigt lui pénétra, sans ménagement le vagin. Elle sentit le doigt appuyer contre sa paroi pour être au contact de la queue dans le fondement.

Petit à petit, elle put reprendre ses esprits, la douleur s’estompant, remplacée par une vague d’un semblant de plaisir. Oui, malgré la rudesse des pénétrations, elle prenait plaisir. Elle ne put contenir les gémissements et les halètements.

— T’es une vraie chienne à queues, toi, hein, t’aimes ça hein ? Réponds-moi salope !

Dit l’homme en lui claquant la fesse d’une main. Elle se laissa aller à un « Oh oui ». En même temps, elle reperdit pied, mais plus par la douleur, mais par un orgasme intense. Son corps était secoué par des spasmes de plaisir.

Elle rejouit lorsque le monstrueux bonhomme se vida en elle. Elle resta dans cette sensation de bien-être, accentuée lorsqu’il se retira d’elle. Lorsqu’il lui ordonna de pousser pour qu’il puisse voir sa semence couler des fesses, elle s’exécuta sans réfléchir. Elle poussa pour laisser couler de son anus en feu les quelques gouttes de sperme. Elle reprenait lentement son souffle.

L’homme revint vers elle, habillé d’un peignoir et lui dit

— La première étape est validée. Bien joué, Agent Kate.

(A suivre)

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