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Le récit de ma vie – Chapitre 7




Chapitre 6 La publication des résultats

Partie 1/2

Ça y est ! Les résultats sont enfin tombés (en juillet quand même…) et nous voici soulagés, car moi même, et une majorité de mes amis, avons réussi notre année. Pour fêter ça, Lindsay nous invite chez elle le lendemain, pour une soirée sur le thème de la décompression. On se réparti chacun une liste de courses à acheter et on se retrouve le lendemain.

Il est 20 heures tapantes quand je sonne chez Lindsay. Plusieurs personnes sont déjà arrivées, parmi elles Elvina, Mélissa, Thomas, et une fille que je ne connais pas qui se présente à moi sous le nom de Gaëlle. C’est une amie de Lindsay qui était dans l’autre groupe de notre promo. Après moi arrivent Noémie et Enzo. Nous voici au complet.

Le début de soirée commence fort, apéro soutenu, tequila-shot et bonne ambiance. On fête dignement cette dure année de travail. Quand on décide de manger, certains d’entre nous sont déjà bien échauffés, à l’image de Lindsay et Gaëlle simulant différentes positions sexuelles, avant de mimer à l’assemblée hilare leurs petits copains respectifs pendant une levrette, que j’ai immortalisé en vidéo. À table, nous mangeons peu, on mets la musique plus fort et on commence une série de gages. Mélissa refuse de participer, n’aimant pas trop l’alcool. Les perdants enfilent les verres, de bière initialement, puis on passe au vin, pour finir sur de la tequila et entamer les autres bouteilles d’alcool fort que l’on a acheté.

Fin du repas, on en profite pour installer des matelas dans la chambre de Lindsay pour les filles, et d’autres dans le salon pour les garçons. Puis nous commençons à danser, tout en continuant de boire. Personnellement, je n’aime pas être ivre mort, mais une fois par an, ça me paraissait raisonnable. Vers minuit, Mélissa nous annonce qu’elle rentre chez elle, ce qui me déçoit un peu, mais après tout elle n’avait pas l’air de beaucoup s’amuser, alors autant qu’elle parte si elle préférait.

Pendant que l’on danse, j’aperçois Lindsay et Gaëlle en plein baiser torride. Je les montre à Thomas, et nous apprécions le spectacle. Plus tard dans la soirée, je vois que Noémie et Enzo ne se cachent plus pour s’embrasser eux aussi. Je les vois s’éclipser un peu après en direction de la cuisine. Voyant que Lindsay et Gaëlle étaient chaudes et fin saoules, je décide d’aller voir Lindsay.

— Ton copain nordique est au courant que tu roules des pelles à tes amies, lui dis-je sur le ton de la plaisanterie.

— Toi, tais toi petit salaud, Camille m’a raconté ce que tu avais fais à Noémie avec Enzo, me répondit-elle au tac au tac.

— Et Camille m’a aussi parlé des soirées que tu as fait avec tes copains de cette année, Grégory et Damien, et de ce que tu avais fait avec elle. Je suis plus innocent que toi, répliquais-je avec un clin dil.

Je ne sais pas pourquoi je lui ai parlé de ça. Probablement l’alcool. Toujours est il qu’elle m’a attrapé par le bras et m’a entraîné dans sa chambre.

— Alors Max, ça te fais quoi de savoir tout ça ? Ça te rends pas jaloux ? T’as pas envie de m’essayer aussi ?

— Oh si j’en ai envie, je veux voir si tu es vraiment aussi salope que me l’a décrit Camille.

Elle a refermé la porte, et à partir de ce moment là, l’histoire se divise en trois parties.

Enzo, Thomas et moi-même nous sommes racontés cette partie a posteriori, voilà pourquoi je sais tout ce qu’il s’est passé cette nuit là, mais j’avoue que j’ai du inventer quelques détails dans ce qui va suivre.

Commençons par Enzo et Noémie. Après être entrés dans la cuisine, et avoir fermé la porte, Enzo a plaqué sa jolie blonde contre un meuble pour lui dévorer le cou de baisers. Elle avait levé sa jambe et frottait sa cuisse contre son homme, très excitée par la situation. Enzo n’a pas hésité une seconde avant de passer sa main sous sa robe, et caresser la chatte de Noémie a travers le tissu de son sous vêtement. Elle portait une robe bustier rouge qui s’arrêtait a mi-cuisse, ce qui facilitait beaucoup les mouvements d’Enzo. Avec son autre main, il entreprit de sortir les beaux seins de la robe, Noémie ne portant pas de soutien gorge. Il la sentais frissonner sous ses caresses. Il avait envie d’elle, il ne pouvait plus attendre. Peut importe les autres, de toute façon ils étaient tous en train de danser. Il se baissa pour retirer la culotte de sa copine, mais au moment de se relever, Noémie lentraîna vers une chaise et le força à sasseoir. Elle retira le pantalon d’Enzo et sorti cette verge qui depuis quelques semaines la faisait grimper aux rideaux. Le semestre était fini, elle allait pouvoir se lâcher tout l’été. Elle prit en bouche le vit de chair bandé comme un arc, et commença à le sucer tout en le masturbant, elle voulait faire plaisir à son étalon, elle voulait le combler.

Après quelques minutes de ce traitement, elle se releva et remonta sa robe, découvrant son intimité aux lèvres gonflés de désir, couronnées par une petite toison récemment entretenue. Elle se plaça au dessus d’Enzo et se laissa tomber lentement, savourant la sensation des parois de son vagin qui s’écartaient pour laisser cette bite palpitante la pénétrer. Elle commença à onduler son bassin, comme une nymphe, toute en sensualité. Son 95C pointait vers le visage d’Enzo, rehaussé par la robe qui les soutenait. Il n’y résista pas et lécha les globes de chairs qui lui étaient offert, suçotant les tétons, caressant ces masses tentatrices. Noémie accélérait lentement la cadence, faisant maintenant décoller son bassin avant de se laisser retomber lourdement, pour son plus grand plaisir et celui d’Enzo. Ses seins lourds rebondissaient à quelques centimètres du visage de mon ami, quelle vue il devait avoir. Les joues devenues rouges de Noémie contrastaient avec la blondeur de ses cheveux. Soudain elle senti la verge de son amant se gonfler un bref instant avant de se vider dans son ventre. Elle l’embrassa avec fougue.

Il répondit à son baiser tout en se levant, la prenant dans ses bras. Il la reposa et lui retira enfin sa robe, laissant la jeune fille totalement exposée à son regard. Elle était vraiment désirable, avec un peu de rondeurs. Le plaisir de la chair incarné. Il la força à se retourner et il la plaqua contre un meuble de cuisine. Elle poussa un petit cri de surprise quand ses mamelons chauds se sont écrasés contre la surface froide du bois. De nouveau, un cri lui échappa quand elle senti qu’on la pénétrait de nouveau. Enzo commença par de lents et longs mouvements, faisant cogner les cuisses de Noémie contre les tiroirs du meuble. Ils passèrent plus d’une demi heure dans cette position, Noémie plaquée se laissait baiser, son sexe dégoulinait de sa cyprine et du sperme d’Enzo. Elle sentait la verge à vif de son petit ami la pénétrer encore et encore. Elle cria aux premiers orgasmes, puis hurla aux derniers. Elle était devenue rouge écarlate, au visage comme aux fesses. Quand enfin elle senti le flot de sperme tant attendu se déverser en elle, elle laccueillit avec bonheur, car il refroidissait ses chairs brûlantes. Elle se sentait ouverte, comme si ses petites lèvres ne refermeraient plus jamais.

— Viens, lui dit Enzo en lui tendant sa robe, allons voir ce que font les autres.

Dans le salon, était resté Thomas, chaud comme la braise après avoir vu Gaëlle embrasser Lindsay. Mais seulement il y avait également Elvina. Et il ne pouvait pas chauffer Gaëlle avec elle dans la pièce. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Gaëlle aussi était terriblement excitée, et en manque également. Elle avait remarqué les regards de mon ami. Elle s’approcha d’Elvina en lui proposant un verre, puis elle l’embrassa par surprise. Elvina tenta de se dégager, mais Gaëlle résista. Après quelques secondes de lutte, les filles se séparèrent et échangèrent quelques mots. Thomas ne compris pas ce qu’elles se disaient. Il alla baisser la musique, et vit, en se retournant, que Gaëlle allongeait Elvina sur la table. Celle ci riait comme une enfant, à l’évidence elle avait beaucoup trop bu. Gaëlle caressa le visage de la jolie brune en jetant un regard de feu à Thomas.

Thomas avait devant ses yeux une tigresse en manque de sexe, d’environ 1m65, brune, portant une queue de cheval ce soir là, avec une bouche assez grande, parfaite pour faire des fellations, et des lunettes. Elle affiche des hanches larges, et un petit 90B en poitrine. Elle est penchée sur une autre brune, très BCBG, portant des lunettes ce soir (parfois elle porte des lentilles de contact), habillée d’un chemisier, d’une jupe et de bottes en cuir qui remontent presque jusqu’au genou. De tempérament timide, Elvina affichait pourtant un très joli visage, avec des yeux verts légèrement bridés (effet secondaire de sa myopie?).

Gaëlle se baissa et embrassa de nouveau Elvina. Mon ami s’approcha d’elles afin de mieux voir la scène. Gaëlle parcourait de baiser le cou de sa partenaire, et quand elle posa sa main sur la poitrine d’Elvina, celle ci eu un mouvement réflexe de défense.

— Thomas, aide moi à déboutonner son chemisier, demanda Gaëlle.

Le jeune homme ne se fit pas prier et commença par les boutons du haut. À chaque bouton qu’il retirai, Gaëlle descendait ses lèvres, couvrant de baiser la timide brune. Thomas avait compris qu’Elvina n’étais pas très à l’aise, une peur de débutante, une appréhension qui la partageait en deux avec l’excitation de cette situation insolite. Quand il retira le dernier bouton, il écarta les pans, et Gaëlle releva la tête, révélant la poitrine nue de la jeune étudiante.

Elle ne portait pas de soutien gorge, la petite coquine, mais malgré cela ses petits seins très fermes étaient pointés vers le ciel, surmontés par de petits tétons trahissant son état d’excitation.

— Un chacun ? demanda Gaëlle à Thomas, avant de prendre en bouche le petit sein d’Elvina.

Sans répondre, Thomas s’occupa de l’autre, le caressant de sa langue, tout en posant ses mains sur la jeune fille. Elle s’offrait à eux, malgré son stress évident. Il voulait être doux avec elle, pour qu’elle sache qu’il n’était pas une brute. Il approcha ses lèvres de celle de la jeune brune, et ils échangèrent un baiser langoureux. Pendant ce temps, Gaëlle retira ses vêtements, puis releva la jupe de son amie. Elle portait une petite culotte avec de jolis motifs, encore un détail objectivant son goût soigné dans le domaine de la mode. Gaëlle lui retira, avant d’écarter les cuisses de la jeune demoiselle, révélant des lèvres bien épilées, et une légère toison pubienne récemment entretenue.

Elle laissa Thomas et Elvina s’embrasser comme un jeune couple, et elle entrepris de caresser le moindre centimètre de peau des cuisses et de la vulve de la jeune étudiante. Elle portait toujours sa jupe, comme une salope qui ne la porte que pour se faire prendre plus vite. Gaëlle plongea sa langue entre les cuisses d’Elvina, débutant un sensuel cunnilingus. Elle ne toucha pas au petit bouton tout de suite, s’attardant sur les lèvres intimes et l’entrée du vagin. Elle sentait l’excitation monter chez son amie, elle voyait qu’elle se détendait, qu’elle s’offrait, qu’elle oubliait qu’elle était exposée sur la table de salon de Lindsay. Thomas pétrissait les mamelons de sa partenaire. Cette situation excitait Gaëlle, elle était vraiment en manque de sexe. Elle invita Thomas à prendre sa place, pendant qu’elle s’asseyait à côté, observant la scène. De là où elle était, elle voyait Elvina se cambrer sous les coups de langue du jeune étudiant. Il était plus direct, sa langue plus large. Quand notre petite timide commença à gémir le prénom de Thomas, Gaëlle senti un sentiment de bien être semparer d’elle. Instinctivement, elle avait commencé à se caresser, mais avait mit plusieurs secondes à s’en apercevoir. Elle accéléra vite la cadence, ne se contrôlant plus. Elle sentait qu’elle grimpait très vite vers la délivrance, quand une main saisit la sienne et la stoppa. Thomas écarta la main de Gaëlle, avant de caresser lui même l’intimité brûlante de celle ci. Il continua plusieurs minutes dans cette position, à la fois léchant Elvina, et caressant Gaëlle. Ce fut cette dernière qui arriva d’abord à la jouissance, poussant un seul cri bref, avant de serrer ses cuisses sur la main de son amant. Elle resta un peu dans cette position, profitant de cette décharge d’hormones de plaisir. Peu après, la timide Elvina gémissait son plaisir pendant que son corps était traversé d’un frisson. Quelle salope elle faisait, avec ses lunettes, sa robe relevée, et ses jambes écartées exposant son intimité ruisselante.

Gaëlle se leva et retira la chemise de Thomas, puis il retira lui même son pantalon et son caleçon, avant de se tourner vers Elvina.

— Non, pas ce soir, je ne veux pas, dit Elvina, d’une voix teintée dappréhension.

Gaëlle comprit tout de suite, notre petite timide était encore vierge.

— Tant pis pour toi alors, vient là Thomas, demanda Gaëlle en s’installant sur le canapé.

— Non attends, dit Elvina en se relevant difficilement de la table, ankylosée d’être restée trop longtemps sur ce plan dur.

Elle se mit à genou devant Thomas, et entreprit l’une de ses premières fellation. Elle était hésitante, mais elle essayait. Le jeune homme caressait les cheveux de la petite timide qui se dévergondait, en regardant Gaëlle qui se caressait de nouveau toute seule sur le canapé. L’inexpérience d’Elvina permit à Thomas de durer longtemps, jusqu’à ce que n’en pouvant plus, Gaëlle se mit également à genou devant lui pour accélérer la cadence. Elle pris la verge du jeune étudiant des mains de son amie, et se commença à le sucer rapidement, tout en caressant ses bourses. Elle continua une minute avant de rendre ce bâton de chair à Elvina, qui imita son amie. Gaëlle était comme une professeure, expliquant par le geste les techniques qu’elle même maîtrisait. Sous ce traitement, Thomas senti soudainement sa jouissance monter. Il cessa de respirer en même temps que des jets de sperme s’échappaient de sa verge. Elvina, surprise, s’écarta de la trajectoire de ceux ci, mais Gaëlle dirigea le sexe de mon ami vers sa bouche, et avala le reste.

— Et voilà, maintenant le sol est tâché ! Quand tu fais jouir un homme, reste dessous, ou avale ce qu’il te donne, si tu ne veux pas nettoyer après, conseilla Gaëlle.

Elvina s’éclipsa en direction de la salle de bain, pendant que Gaëlle attira Thomas vers le canapé.

— Tu as encore de l’énergie ?

— Oh oui, j’ai vraiment envie de baiser, alors stop les préliminaires, répondit-il.

La suite bientôt…

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