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J'ai accepté de me prostituer – Chapitre 2




Le soir même, comme il me l’avait demandé, j’accompagne Paul dans un restaurant très médiatique de Sydney implanté dans une tour dominant la ville. La vue est magnifique, je vis des moments que ne n’aurais jamais imaginé malgré le bon niveau de vie que j’avais avec mon mari.

Je ne maitrise pas très bien l’anglais mais je comprends néanmoins que Paul me présente comme une de ses collaboratrices de l’ombre chargée de donner un avis souvent avisé sur sa décision finale bref, je deviens quelqu’un de relativement important aux yeux de ses interlocuteurs. Ainsi durant notre séjour, j’assiste ainsi à plusieurs déjeuners dans des lieux qu’il ne m’aurait jamais été possible de voir sans ce deal surréaliste.

Paul m’apparaît comme quelqu’un de charmant et apprécié par ses clients ou futurs clients. A deux ou trois reprises, on me fait des avances discrètes que je rejette tout aussi discrètement. Le séjour se passe comme dans un rêve.

Paul me fait l’amour jusqu’à trois fois dans la journée ou me demande de le détendre avec une petite gâterie qu’il apprécie de plus en plus. Je dois avouer que non seulement je me suis habituée à le laisser me posséder à chaque fois qu’il en a envie, mais surtout il me fait énormément jouir. Il sait y faire avec les femmes. J’en suis même à m’étonner qu’il ait eu recours à ce chantage pour emmener une femme avec lui au bout du monde. Les trois derniers jours, il reste carrément dormir avec moi dans ma chambre comme si nous étions un couple légitime. Je sens que notre relation est en train de basculer et je ne sais pas trop comment réagir. Je suis en train de devenir clairement sa maîtresse. Cela se confirme lorsqu’en rentrant de son dernier rendez-vous on ne peut plus satisfait, il me propose de fêter çà, prétextant vouloir me faire plaisir car c’était aussi grâce à moi qu’il avait pu concrétiser sur le papier ce pour quoi il était venu.

J’apprends alors qu’il se propose de repousser notre retour de cinq jours pour me faire découvrir la Gold Coast, un coin paradisiaque pour la citadine que je suis. Je sais que je ne reviendrais jamais plus dans ce pays du bout du monde et toute manière, mon infidélité a été consommée depuis longtemps aussi, j’accepte sa proposition.

Le soir-même, je reçois un appel de mon mari qui a été prévenu par la secrétaire de son patron. Celle-ci lui a communiqué le nom de l’hôtel où nous nous trouvions. Il est furieux de ce prolongement de séjour et me demande des explications. Paul qui vient de rentrer dans mon appartement, comprends vite ce qui se passe. Il vient derrière moi et commence à me caresser tout en me déshabillant. J’essaie de le repousser mais rien n’y fait d’autant que j’essaie de rester discrète afin de ne pas heurter mon mari plus qu’il ne l’est déjà. Je me retrouve vite complètement nue tandis qu’il me soulève dans ses bras pour me poser sur le lit à sa merci. Je le supplie du regard de ne pas faire ce qu’il a en tête mais il n’en tient aucun compte. Déjà il écarte mes jambes et plonge sa tête vers mon entrejambe. Sa bouche, ses lèvres, sa langue ne tardent pas à me faire mouiller. Il me pénètre de la langue et des doigts. Mon clitoris est léché, sucé tant et si bien que le plaisir monte malgré moi dans mes reins. J’essaie de ne rien laisser paraître mais mon mari se rends compte malgré tout que je ne suis pas dans mon état normal. Il finit par me demander ce qui se passe, insiste si bien qu’à bout d’arguments je finis par lui dire que Paul était en train de me baiser lorsqu’il a appelé et qu’il n’a pas l’intention d’arrêter pour lui. Je lui dis que j’allais raccrocher pour le rappeler un peu plus tard mais à mon grand étonnement, il me demande de rester en ligne. Je lui rétorque qu’il était fou, que ça ne pouvait que lui faire du mal et là, il m’avoue que ça l’excite de savoir qu’un autre homme est sur le point de me baiser alors que je lui parle au téléphone. Je tombe des nues mais je réalise alors que moi aussi, cette situation hors du commun m’excite et sans plus me poser de question je lui demande d’une voix assez forte pour que Paul m’entende :

— C’est vrai, ça t’excite ? Tu veux que je te raconte ce qu’il me fait ? C’est çà ?

Mon mari me réponds que oui. Qu’il voulait que je lui dise ce qu’il était en train de me faire. J’entends distinctement au son de sa voix qu’il est effectivement excité, sa respiration s’accélère, si ça se trouve il est en train de se masturber.

— Tu te caresses ?

— Oui, ça me fait mal mais en même temps ça m’excite.

— Tu veux vraiment que je te dise qu’il est en train de me lécher la chatte. Il m’a fait écarter les jambes pour les replier sur ma poitrine pour mieux me sucer le bouton.

— Aaaaaaaahhh salope. Tu vas me le payer lorsque tu vas rentrer.

— Il me tète le bouton et….. m’a mis deux doigts dans la chatte. C’est bon tu sais. Il fait ça super bien.

— Il t’a fait jouir ?

— Oui, à chaque fois, je jouis.

— Tu l’as laissé te prendre par derrière ?

— Oui, il me sodomise presque tous les jours depuis notre arrivée.

— Et tu aimes çà ?

— Il me fait jouir. C’est vraiment bon.

— Et là, qu’est-ce qu’il te fait ?

— Il s’est redressé. Il est à genoux entre mes cuisses. Il me montre sa grosse queue. Elle est plus grosse que la tienne. Il la pose dans l’entrée de mon chaton. Il va me la mettre. Ça t’excite. C’est ça que tu veux. Tu veux qu’il me la mette bien profonds ?

— Oui. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Dis-moi quand il s’enfonce en toi.

— Ça y est. Son gland s’enfonce doucement. Il écarte mes chairs. Il est gros. Il me défonce le chaton tellement c’est gros.

J’aime sa grosse queue. Elle me fait du bien dans la chatoune.

— J’aurais jamais cru t’entendre me dire çà un jour.

— Et ça te plaît ?

— Non, ça ne plaît pas mais ça m’excite par contre. T’es vraiment une petite salope qui m’a bien caché son jeu jusqu’à présent.

— A qui la faute ? C’est pas à cause de toi que j’en suis arrivée là ?

— Si bien sûr.

— Assumes alors. Et écoutes ta femme en train de se faire baiser.

Mon mari gémit de plus en plus fort. Il ne va pas tenir jusqu’à ce que je jouisse moi-même. J’en rajoute. Je pousse à mon tour des gémissements de femelle en rut en encourageant mon amant à me tringler plus fort. Quand il ressort pour poser son gland sur ma rondelle. Je l’encourage encore :

— Oh ouiiiiiiiii. Mets-là moi par là aussi. Encules-moi.

J’utilise sciemment des mots crus, orduriers que mon mari n’a pas l’habitude de m’entendre prononcer. Il n’en peut plus, souffle comme un phoque, au bord de l’apoplexie. Finalement il se met à jouir en poussant un long cri rauque sorti du fin fonds de sa gorge. Il m’insulte une dernière fois, me dit qu’il m’aime, qu’il ne savait pas m’aimer autant puis raccroche.

Pendant ce temps, Paul m’ouvre les fesses à grands coups de reins. Il va jouir lui aussi, une de mes mains glisse vers mon entrejambe pour s’attaquer à mon clito. Deux à trois pressions suffisent à me faire partir tant l’excitation a été intense. Je crie ma jouissance en entrainant avec moi, mon amant qui se plante au plus profonds de mon arrière-train en me tenant solidement par les hanches. C’est trop bon de se faire enfiler comme çà, à la hussarde. Nous nous laissons retomber sur mon lit, à plat ventre, soudés l’un à l’autre, épuisés, repus de plaisir.

Un long moment se passe avant que Paul ne se redresse. Il sort de moi puis m’embrasse dans le cou avant de m’abandonner en me caressant l’arrière train avec un air particulièrement satisfait.

— Hummmmmm, je l’adore ce petit cul musclé. Merci ma chère pour cet agréable moment.

Je suis épuisée, il m’a vidée. Ce mec est vraiment ce qu’on appelle un excellent coup entre nanas. Je reste un long moment amorphe, les bras en croix sur le grand lit, offerte. Je me demande ce qui m’a pris d’entrer dans ce jeu cruel il est vrai mais tellement excitant.

Le reste du séjour se passe sans autre incident. Mon mari sans doute très affecté après coup par ce qu’il avait entendu, n’a plus tenté de me joindre. Le conte de fée se poursuit sans anicroche mais lorsque nous ré-embarquons dans l’avion pour le retour, je ne me peux alors m’empêcher de penser au moment où nous serons face à face, mon mari et moi.

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