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Christine VI : Midlife Crisis – Chapitre 2




Je regarde Alina dans les yeux. Il y brille une envie qui me surprend. Alina semble me désirer ardemment. Je baisse les yeux, prends le bas de sa robe entre les doigts et soulève. En même temps, Alina glisse légèrement dans le siège. En écartant un peu les jambes.

Alina ne porte pas de dessous sous le collant. Une fine toison noire orne une vulve rose aux lèvres épaisses. Mon souffle se raccourcit. Alina me prend par la nuque et m’embrasse. Un baiser passionné et intense qui me comble d’excitation. Enhardie, Alina me repousse dans mon siège et vient à califourchon sur moi en m’embrassant encore. La belle blonde frotte son bas-ventre contre le mien et je bande désormais durement. Les mains d’Alina déboutonnent mon pantalon et sortent mon sexe de son carcan. Elle cesse de m’embrasser pour baisser les yeux sur ma bite. Elle me masturbe :

— Oh, mon Dieu

Elle m’embrasse à nouveau, tout en remettant les jambes sur son siège. Quand elle arrête son baiser, c’est pour prendre ma bite dans sa bouche. Agenouillée à côté de moi, elle me pompe lentement, à un rythme régulier. Je soulève sa robe, caresse ses fesses et sa vulve à travers le collant. Alors, d’un geste rapide et précis, Alina déchire son collant avec un ongle, au niveau de l’entrejambe. Je la doigte. Elle est détrempée. J’excite son clitoris, revient à son petit trou. Elle relève la tête :

— Tu as une capote ?

— Non.

— Merde.

Elle me pompe de plus belle tout en me masturbant. Quelques instants plus tard, je jouis dans sa bouche et Alina n’en laisse pas tomber une goutte.

Elle se rassied sur son siège et nous nous regardons, interdits. Ses yeux expriment maintenant de l’inquiétude. Et une immense gêne. Comme pour moi. Elle dépose un baiser sur mes lèvres et sort de la voiture. Sans un mot. Je pars.

Je rentre au ralenti. Je viens de me faire sucer par une des meilleures amies de ma femme. Elles se connaissent depuis plus de dix ans. Je ressens une immense culpabilité mais je ne peux réfréner une certaine satisfaction, comme une vengeance pour toutes ces disputes, pour toute cette irritation qui me mine le moral quand je suis à la maison. J’ai passé un excellent moment dont je ne suis pas fier.

En entrant dans la chambre, je regarde Christine dormir dans un babydoll rouge qui remonte au dessus de ses fesses. Elle est tellement excitante. Pourquoi donc n’arrivons-nous plus à nous entendre ? Je passe à la douche avant de revenir me coucher. Sans bruit.

J’écris à Alina le lundi matin. Je lui demande comment elle va et si nous pouvons nous voir pour parler. Elle me dit qu’elle se sent honteuse et propose qu’on se voit le lendemain à midi, dans un restaurant. J’accepte. Mais le mardi en fin de matinée, Alina écrit qu’elle a oublié quelque chose chez elle et qu’elle doit absolument rentrer à midi. Elle me demande de déplacer notre rendez-vous. Ou de passer chez elle. Je ne résiste pas au second choix.

Nous arrivons en même temps devant sa maison. Mes pulsations accélèrent quand Alina sort de sa voiture : sous un long manteau, un chemisier blanc cintré, une minijupe plissée et des jambes gainées de nylon noir et montées sur des talons vertigineux.

— Tu es sublime.

— Je te retourne le compliment. Tu es craquant en costume.

Elle ouvre, nous entrons. Elle me rejoint au salon et m’embrasse fougueusement.

— J’ai tellement honte, Florent, mais j’ai envie de toi comme je n’ai jamais eu envie de personne.

En un instant, son manteau et son sac sont à terre. Et mes mains sur ses fesses. En un instant encore, Alina est à genoux et me suce frénétiquement.

Quand elle se relève, j’ai une capote sur la queue et Alina a déchiré son second collant en quatre jours. Au même endroit. Je la prends par derrière tandis qu’elle s’est appuyée sur le canapé. Physiquement proche de Christine, j’ai l’impression de pénétrer ma femme, même si les fesses d’Alina sont un peu moins larges. Alors que je la prends, elle raconte :

— Tu m’as plu dès notre première rencontre J’étais déjà avec Miki Je me masturbais en douce En pensant à toi Quand Christine me racontait quelques détails croustillants, il me fallait plusieurs jours pour cesser de me caresser L’an passé, elle m’a parlé de la taille de ton sexe Je n’attendais que ce moment

Alina me repousse, me fait asseoir dans le canapé. Elle s’assied sur moi, glissant à nouveau sur mon sexe. Elle saute sur ma bite et gémissant bruyamment. Elle jouit et reprend ses va-et-vients. Je commence à déboutonner son chemisier :

— Arrache-le !

Je tire violemment sur les deux pans de son haut dont les boutons se déchirent. Je descends les bretelles de son soutien-gorge. Ses seins sont petits et mous, contrairement à ses tétons, gros et durs, que je lèche avec avidité. Cela décuple son excitation.

Je la soulève alors et la couche dans le canapé. Un pied au sol, je la pilonne en tenant ses genoux bien écartés. Yeux dans les yeux. Je me surprends à résister à l’envie de jouir alors qu’Alina implore le ciel sans discontinuer. Je la tourne à quatre pattes, déchire ce qu’il reste de collants et la prend en levrette. Fermement cramponné à ses hanches, je la défonce comme un fou. Alina gémit sans vergogne son plaisir, crie lorsque j’attrape ses cheveux. Quatre derniers coups de rein, brusques et rudes. Je jouis et m’affale dans le canapé. Alina fait de même, la tête sur mon ventre.

Il m’est impossible de penser avec ma tête. J’ai perdu toute raison. Ce rapport, les mots d’Alina. Quel terrible secret ! Tout se mélange et je ne parviens pas à y voir clair. Des souvenirs avec Alina, des situations qui prennent un tout autre sens. Elle se tourne sur mon ventre, me regarde en souriant. Elle cesse de sourire quand elle voit mon air préoccupé.

— Je suis désolée, Florent.

— Nous sommes deux. Tu n’as pas à être désolée. J’en avais envie moi aussi.

— Depuis longtemps ?

— Depuis les soirées, il y a trois ans.

— Pourquoi ?

— Je t’ai toujours trouvée très belle. Mais le fait d’apprendre que tu étais une amatrice de lingerie avait été le déclic et cela avait déclenché du désir. Miki avait dit que tu n’en portais pas mais que tu avais tout gardé.

— J’adorais mettre des porte-jarretelles quand j’étais toute jeune. C’était tellement grisant. Quand j’ai recommencé avec Miki, je l’ai fait aussi pour lui, mais il a semblé s’en blaser. Donc j’en ai de moins en moins porté.

— Et depuis que vous êtes séparés ?

— Non. J’ai perdu l’habitude.

Je me redresse et embrasse Alina. Je lui dis :

— Je suis désolé pour ton chemisier et ton collant.

Elle rit.

— Ça fait plusieurs années qu’un rapport sexuel n’avait pas été aussi bon, aussi intense et aussi agréable.

Elle m’embrasse et ajoute :

— Aussi fougueux, aussi physique

Clin d’il.

— Et quel outil !

Nous rions. Nous nous levons. Alina me demande si je veux me doucher. J’accepte.

Quand je reviens au salon, elle a préparé deux gros sandwichs. Nous discutons de tout et de rien. Au moment de partir, elle me dit qu’elle a envie de me revoir. J’hésite même si j’en ai très envie également. Elle propose :

— Vendredi, je ne travaille pas. Tu viens à midi et je prépare un petit repas de Noël.

— Je te confirme demain.

Baiser un peu gêné. Je m’en vais.

Durant l’après-midi, en discutant banalement avec Valentine, une jolie et jeune collègue, je me rends compte que ce rendez-vous avec Alina, accepté et assumé dans ma tête, a modifié mon état d’esprit et libéré mes désirs. J’ai l’impression d’avoir ouvert la boite de Pandore. J’ai envie d’inviter Valentine à boire un verre. J’ai envie de coucher avec elle.

En rentrant, à un feu rouge, j’envoie un message à Alina et accepte son rendez-vous. En rentrant chez moi, je me sens délivré de toute contrainte vis-à-vis de mon épouse.

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