Je venais d’avoir 18 ans ; étant demeurée jusqu’à ce jour vierge et sage, je décidai de passer le cap et de me faire dépuceler, mais pas n’importe comment. J’avais trop entendu des récits de filles déçues par leur première fois. Je voulais une belle histoire et des bons souvenirs.
Ma foi, on ne perd qu’une fois sa virginité.
Je connaissais un peu mon corps, car je ne me privais pas de me faire jouir en branlant mon petit bouton qui, sous l’échauffement devenait rapidement un gros bouton d’amour.
Et je vibrais à l’unisson en me pénétrant tout doucement. Mais aujourd’hui, je voulais plus.
En faisant le tour des garçons de ma connaissance, je choisis comme cela deux de mes amis d’enfance, Jean et Claude. Deux compères sympa, toujours d’accord sur quelque soit le sujet. Ils avaient beaucoup de succès auprès des filles mais je crois savoir qu’ils n’allaient pas n’importe où ni n’importe comment.
Parce que, je le répète, ma première fois se devait d’être sublime.
Donc, je les invitai a prendre un verre dans ce joli studio que mes parents m’avaient offert quand je me suis inscrite à l’université. Je travaillais très bien et ils me donnaient tout ce que je voulais.
Ils sont arrivés vers 17 heures ensemble comme il fallait s’y attendre. Ils avaient l’air pour une fois assez intimidés ; il faut dire que j’avais la réputation d’être une fille sérieuse et ils se demandaient ce que je leur voulais. Loin de penser au sexe, ils furent sidérés quand je leur exposai la situation. Mais ils furent aussi tout excités d’être les premiers et d’avoir été choisis pour une telle mission. Du coup, je vis leur pantalon gonfler avec un bel ensemble et au fond de moi, je fus un peu amusée en pensant qu’ils devaient jouir ensemble. Mais n’anticipons pas.
On s’installa confortablement sur mon divan très large et après avoir bu quelques verres, histoire de s’exciter un peu, ils se mirent de part et d’autre de ma personne. Jean, le blond me touchait légèrement et passant un bras autour de mes épaules, il commença à me poser de petits bisous sur le cou et les oreilles. Je me sentais frémir et attendait la suite des évènements. Je me sentais en confiance et savait d’avance que tout se passerait bien.
De l’autre côté, Claude me palpait la poitrine et m’enlevant le pull, il faisait glisser sa main droite sur mes seins dont les bouts s’érigeaient. J’avais chaud et ma respiration s’emballait.
Brusquement, je me retrouvai toute nue entre leurs mains et ils me prodiguaient milles caresses sur tout le corps. Je tremblais d’excitation et je sentais une chaleur au niveau de ma chatte épilée pour la circonstance.
Les mains se baladaient sur ma peau chaude, se croisaient, s’arrêtaient pour palper, pincer, glisser sur mon pubis pour remonter sur les seins.
Le divan se prêtant mal à une partie à trois, ils m’ont portée sur mon grand lit et s’installant de nouveau de part et d’autre, ils ont pris chacun un téton entre les lèvres. J’avais fermé les yeux sous la douceur de l’instant. Je me sentais transportée. Ils y allaient lentement, me laissant le temps d’apprécier les caresses et je sentais monter les effluves de mon excitation.
Ils suçaient mes tétons ; des doigts m’écartaient les lèvres de ma chatte pendant que d’autrès titillaient mon bouton d’amour. Je ne pouvais m’empêcher de soupirer ; c’était très bon.
Claude continuait ses caresses pendant que Jean se leva pour se déshabiller complètement ; il avait un beau corps de sportif et quand je baissai les yeux, je fus surprise par la taille de son sexe pour un garçon de son âge, 20 ans. Son bâton qui se dressait au beau fixe était épais, long ; son gland comme une petite orange présentait la goutte. J’eus un peu d’appréhension à la vue d’une telle tige ; pourrais-je l’accepter dans ma chatte vierge ?
Je n’eus pas le temps de trop réfléchir car Claude, à son tour, se mit nu et je pus aussi admirer son pieu à l’image de celui de son ami : épais, long et un gros gland qui bavait.
J’avais deux belles pines avantageuses pour me mener au 7è ciel.
Les choses sérieuses commençaient ; ils vinrent tous les deux m’embrasser à tour de rôle ; ils étaient rouges d’excitation et leur sexe se frottait sur ma peau brûlante quand ils se penchaient vers moi.
Délicatement, mes seins furent caressés, sucés et bien palpés. Leurs lèvres parfois se rejoignaient et à ma grande surprise, ils se suçaient la langue.
Mon souffle en prit un coup quand les deux bouches se posèrent sur ma chatte épilée ; les langues glissaient sur cette peau si fragile et si disposée aux caresses, elles se mêlaient dans ma moule, quelles sensations, j’avais envie de crier ; puis, Claude se plaça derrière ma tête (j’étais allongée en travers du lit) et des deux mains, ouvrait au maximum ma moule ; mon clitoris bien dur et gonflé se dressait vers Jean qui passait une langue vicieuse sur ce petit bout de chair si sensible ; je fus comme électrifiée et pendant de longues minutes, il me fit un cunni des plus terribles. Je poussais des cris de plaisir sous ses coups de langue ; il me suçait divinement ; saisissait entre ses dents mon bouton gonflé et m’aspirait le jus qui coulait de ma chatte torturée. Mes jambes furent remontées afin d’avoir une exposition plus complète de mon entrejambe ; j’ouvris les yeux, il y allait à grands coups de langue de haut en bas jusqu’à mon petit trou qui fut visité. J’avais chaud, mon corps frémissait dans l’attente et quand il aspira mon bouton jusqu’à presque me l’arracher, je jouis dans un grand cri en remuant comme une folle entre ces deux experts. Il a bu toute ma mouille.
A peine remise de mes émotions et encore tremblante, ils ont changé de place ; ce fut le tour de Jean de m’ouvrir aux désirs de Claude, qui, installée entre mes cuisses bien relèvees et ouvertes, s’acharnait lui aussi sur mon minou qui ne demandait que cela. Je fus encore sucée, lèchee, ventousée et quand enfin, il m’aspira aussi mon clito, je sombrai dans un trou noir tant la jouissance était profonde.
Quand je revins à moi, je vis nos deux lascars en train de se faire un 69 ; ils se sont arrête pour vernir vers moi ; Claude me fit goutter le sexe bien dur de son ami Jean ; il m’apprit à faire une fellation en règle et quand j’entendis ce dernier gémir, cela me fit un immense plaisir et il jouit une grande quantité de sperme qui gicla sur mes seins. Ce fut le tour de Jean qui me fit sucer le sexe tout aussi dur de Claude ; je saisis cette belle pine et m’appliquai à lui faire une fellation qui le mena bien vite à l’éjaculation ; j’apprends vite, dirent-ils et après une petite pause pendant laquelle ils ne cessaient de me caresser, je fus à nouveau sucer par Claude pendant que Jean me palpait les seins puis il a introduit mon téton entre ses lèvres. Ces multiples mouvements de succions me menèrent à un degré d’excitation tel que, me voyant ainsi, l’un dit à l’autre : ? tiens, elle est prête, tu peux la prendre maintenant, vas-y doucement ? et Claude s’arrêta de me sucer la chatte et pointant son zob vers ma chatte baveuse, il se positionna au dessus de moi et commença à me pénètrer. J’étais si excitée que sa pine glissait doucement tout au fond de moi ; je sentais mes lèvres s’écarter pour recevoir cette belle chose et quand il me rompit l’hymen, la douceur de l’instant couvrit ma douleur et je pris plaisir à le sentir progresser en moi. C’était bon et je suivais son investissement en moi et quand il fut tout au fond, il s’arrêta et me fit une pelle du tonnerre ; pendant ce temps, Jean passa derrière lui, lui caressait ses grosses boules pleines de jus. Il soupirait à chaque poussée et moi, je me sentais vraiment au 7è ciel. Me sentant très réceptive, il accéléra le mouvement et je fus baisée pleinement pendant de longues minutes. Voilà, j’était devenue femme dans les bras de ces deux garçons et je criais mon plaisir sous les assauts de l’un d’entre eux. Et je jouis, je jouis longuement, je jouis pleinement sous leurs regards amoureux et satisfaits.
Claude se retira sans avoir joui et Jean me nettoya le sexe de sa bouche et quand il sentit remonter l’excitation du fond de ma moule, il me pointa à son tour son zob tout épais et bien bandé et il glissa sans difficulté ; le chemin était déjà fait et je fus à nouveau baisée. Ma jouissance fut plus longue à venir, j’avais appris à différer et quand il me ramonait, je sentais la grosse pine racler les parois de mon vagin. Oh ce fut bon. Il entrait et ressortait, replongeait, m’éclatait la chatte écartee au maximum, ses mains reposant sur mes cuisses ouvertes.
Claude à son tour lui suçait ses boules tout aussi pleines. Et je jouis à nouveau, je jouis pleinement, je jouis profondément. Il se retira sans avoir joui.
Ils sont ensuite venus me réconforter et me complimenter pour ma participation. Ils dirent que j’étais bien disposée pour l’amour et que j’avais l’air de bien aimer cela. Je ne leur dit pas tout le plaisir que j’y avait pris à me faire ramoner par eux ; je pensais un peu blesser leur amour-propre pour leur donner l’envie de venir une seconde fois, d’eux-mêmes.
Pendant que je reprenais mes sens, les deux garçons qui n’avaient pas joui bandaient toujours ; en bonne élève que je suis, je fis venir Claude vers moi et lui fit une belle fellation pour le remercier des bons moments passés avec lui ; couchée sur le dos, il vint sur moi et m’introduit son sexe entre les lèvres ; je pris un plaisir infini à le pomper ; il bandait dur et soufflait sous les sensations ressenties. Je le sentis brusquement doublé de volume dans ma bouche et j’ouvris les yeux pour découvrir Jean qui lui léchait son petit trou ; ma surprise fut encore plus grande quand je le vis s’introduire par ce chemin interdit au grand plaisir de Claude qui poussa un cri de joie.
Les coups de boutoirs étant très vives, je l’ai tenu entre mes mains pendant que son ami le prenait violemment. Je vis entrer et sortir le gros sexe de Jean pendant que celui de Claude grossissait encore et encore entre mes doigts. Je vis un membre d’une telle taille dont le gland démesurément gros palpitait en laissant s’ouvrir le méat. Oh ; cela devenait appétissant, si appétissant que le lâchant, je me laissai glisser jusqu’à mettre ma chatte quémandeuse au niveau de cette monstruosité.
Et me positionnant, j’ouvris largement les cuisses et laissant faire le destin, il n’a fallu qu’une seconde pour que je la sente tout au fond de ma chatte tuméfiée ; ce fut l’apothéose. Claude rugit et s’enfonça entraînant Jean bien fiché dans son anus. Les mouvements furent coordonnés et je fus à nouveau baisé. Je m’appliquais à m’ouvrir pour ne rien perdre de la longueur de sa queue. Il entrait tout au fond et je le sentais, oui, il me remplissait totalement. tout cela était si bon.
Ce fut une baise mémorable ; Jean baisant Claude, Claude me baisant.
Comme nous avions déjà joui une première fois, nous avons pris un pied monstre à faire durer le plaisir le plus possible. La chambre résonnait de soupirs, de feulements et de grognements d’amour.
Puis ils furent vaincus et s’abîmèrent dans un orgasme sans précédent. Cette première fois, je ne l’oublierai jamais. Après un repas partagé dans le rire après le plaisir, nous nous sommes donnés un nouveau rendez-vous. Cette fois, j’aimerais me faire baiser en sandwich.
Je frémis rien que d’y penser. A la prochaine fois.
Kaline20