LE CADEAU
Aujourd’hui c’est notre anniversaire, notre anniversaire à tous les trois, si vous voyez ce que je veut dire ! ( Pour ceux qui ne savent pas, lisez les premiers récits de mes aventures )
Dany a décidé de nous emmener à T …. ( grande ville près de chez nous ), pour nous offrir, a Lucie et à moi, égalité oblige ,un joli petit cadeau.
Nous sommes ravies; depuis le temps qu’il nous promettait de nous y emmener .
Bien sûr, quand il nous avait trouvées avec Bobby et Caramel, il nous avait menacées de nous trainer là bas , mais pour faire le tour de ses cabanes de chantiers et nous punir en nous offrant à qui voudrait de nous.
Mais aujourd’hui, c’est différent .
Il a simplement dit qu’il nous emmenait dans un coin ou tous les mecs se retournerons sur ses petites putes.
Ca vous excitera au point de mouiller vos petites culottes, ajouta t ’il en rigolant.
Bon, si on a bien compris, il faut qu’on mette des petites culottes, quoi !
Obéissante, j’ai choisi un duo culotte blanche et sous tif assorti, ma petite jupe noire et un top blanc.
Je me suis trouvée superbe .
Lucie sors de sa chambre, et …… on éclate de rire .
Elle a choisi la même tenue sans que nous nous concertions.
En soulevant sa jupe, je lui dit : Tu vois, on a mis des petites culottes, comme ça tu pourras voir si elles sont mouillées en rentrant.
Durant le voyage, nous sommes Lucie et moi, à l’arrière et nous essayons de le faire parler.
Alors, c’est quoi, ce cadeau ?
Des jolies fringues ? Un petit bijou ?? un bon resto ???
Tu ne vas tout de même pas nous trainer dans tes cabanes de chantier ?
Mais il reste énigmatique, se contentant de répondre : vous verrez bien !
Nous échangeons avec Lucie des regards interrogatifs.
Que peut il bien nous réserver ?
Et quand il se gare dans une petite rue, nous le suivons, plutôt inquiètes.
Le quartier n’est pas des plus chics.
Ou nous emmène t’ il ?
Enfin, il entre dans une boutique à la vitrine rouge qui annonce : sex shop .
Derrière le rideau, l’ambiance est lourde.
Nous sommes accueillies par une vendeuse au sourire ravageur, maquillée et vêtue de façon ……., disons qu’elle fait pute , quoi !
Nos petites tenues sexy nous font ressembler à deux bonnes soeurs comparées à elle .
Des lumières crues éclairent des étagères remplis de phallus en plastique à la ressemblance troublante, et de toutes sortes de jouets pour grandes personnes, de cassettes aux titres évocateurs, de revues aux photos de couverture plutôt suggestives ……..
Nous sommes au royaume du sexe .
Je regarde tous ces jouets avec envie : humm, quel effet doit faire ce joli sexe rose, ou bien ce gros plutôt court, ou encore ce long sexe noir parfaitement veiné ?
Mon ventre se contracte d’envie et je sens ma petite fente devenir toute humide .
Je peut vous aider, demande la vendeuse à Dany , nous ignorant superbement .
On aimerai regarder votre rayon lingerie, répond t’ il .
Bien sûr, suivez moi, répondit elle .
Nous longeons des cabines d’ ou s’échappent soupirs et gémissements évocateurs.
Que peut il bien se passer derrière ces rideaux ?
Au fond du magasin, des clients sont déjà là : un couple, le monsieur style bon chic bon genre en costume sombre, la femme chaussée de longues bottes d’ ou s’échappent des bas, surmontée d’une mini qui laisse apercevoir la blancheur de ses cuisses quand elle se penche, la poitrine comprimée par un fin tissu qui semble prêt à craquer.
Plus loin, un homme seul semble prendre plaisir à tripoter des petites culottes.
Un femme regarde avec envie des combinaisons très échancrées …..
Dany se dirige vers des mannequins revêtus de corsets.
La vendeuse lui fait aussitôt l’article : ces modèles sont plutôt de la lingerie, ceux là sont des vrais, avec balaines et laçage dans le dos…
J’aime bien les vrais, dit Dany.
Ils sont superbes, ajoute t ’elle .
C’est pour laquelle de ces demoiselles ?
Les deux, fait Dany.
Elle s’éloigne et revient, munie d’un mètre de couturière, puis, sans un mot, mesure ma taille, me fait lever les bras pour prendre mon tour de poitrine, et fait de même avec Lucie.
Puis elle se dirige vers une étagère, cherche dans le stock, et revient avec deux belles boites.
Venez, nous dit elle .
Nous la suivons jusqu’ a une cabine d’essayage ou elle nous pousse sans ménagement.
Elle pose les boites au sol, ouvre celle du dessus et en sors un superbe corset noir.
Lucie et moi échangeons un regard souriant.
Commencez à le mettre, je reviens, nous dit la vendeuse en s’éloignant.
J’ entreprend de défaire mon petit haut, fait glisser ma jupe, puis j’applique le corset sur mon ventre.
Laces le dis je à Lucie .
Elle passe dans mon dos et commence à faire coulisser le cordon dans les oeillets en serrant doucement.
Petit à petit, les baleines m’emprisonnent.
Soudain, le rideau s’ouvre brutalement, la vendeuse entre, nous toise de la tête aux pieds, sans un mot, puis ressort.
Elle revient presque aussitôt avec deux autres boites plus petites qu’elle pose à mes pieds.
Vous n’avez jamais porté de corset , demande t ’ elle ?
Sans attendre notre réponse, elle ajoute : ça se porte à même la peau, enlevez ce sous tif !
Je la regarde : c’est un ordre, plus qu ’ un avis !
Je tente de dégrafer l’objet, troublée par le ton de la voix .
Lucie vient à mon secours et en quelques instants, me voici les seins à l ’ air.
Puis la vendeuse s’agenouille devant moi en disant : pas terrible le blanc, ça doit être assorti .
Posant ses mains sur mes hanches, elle saisi ma culotte et la fait glisser le long de mes jambes.
Je suis tétanisée, n’osant plus bouger devant cette femme qui me déculotte comme on le fait à une gamine.
Une petite tape sur la jambe : je lève un pied, puis l’autre ..
Et en plus, elle est sale, dit elle d’un ton sec !
Elle essuie mon entrejambe et la jette, là bas, juste sous le rideau.
Tous les gens de la boutique vont savoir, pensais je .
Une autre petite tape : elle tient un petit morceau de tissu noir. Sans réfléchir, je lève un pied, puis l’autre.
Elle remonte le string, ses mains chaudes effleurent ma peau qui se hérisse de bonheur.
Elle place délicatement la petite ficelle autours de ma taille, tandis que le lien s’insère entre mes fesses jusqu’au contact de mon petit trou, accentuant mes sensations.
Puis elle se redresse en disant : ça doit être plus serré !
Elle défait le laçage de Lucie et entreprend de le refaire.
Elle serre brutalement, j’en ai le souffle coupé.
Petit à petit, les baleines me compriment, m’emprisonnent littéralement.
Il doit être trop petit, j’ai du mal à respirer, dis je doucement.
Non, c’est exactement ce qu’il vous faut, j’ai pris vos mesures tout à l’heure répond elle.
Puis elle ajoute à l’attention de Lucie : tenez ça !
Elle passe ses mains sous mes seins, les remontant, frôlant au passage mes tétons qui durcissent brusquement.
Il faut qu’ils reposent bien dans les bonnets, cela va vous faire une superbe poitrine, dit elle.
Puis elle reprend le laçage qu’elle termine par un noeud très serré .
Je cherche mon souffle.
On s’habitue très vite, vous verrez, et puis il faut souffrir pour être belle.
Regardez, ajoute t ’elle en me poussant vers le miroir : Vos hanches sont superbes, votre taille fine, votre ventre plat et vos seins, regardez, on dirait que vous faites du 100 C !
Comprimés comme ils sont, serrés l’un contre l ’autre, ils semblent avoir doublé de volume, emplissent mon décolleté comme jamais.
A vous, dit elle en se tournant vers Lucie !
Sans un mot, elle retire son petit top, dégrafe sons sous tif, puis retire sa jupe et même sa culotte.
Elle baisse les yeux, manifestement gênée .
La voilà nue devant cette femme qui lui présente le même string qu’ a moi.
Comme une automate, elle passe les jambes entre les ficelles offertes,tandis que les mains de la vendeuse remontent le long de ses hanches.
Elle pose le corset sur son ventre en disant : tenez le bien plaqué juste sous vos seins.!
Puis elle entreprend le laçage en gestes brusques, emprisonnant ma soeur à son tour.
Les yeux clos, Lucie halète doucement.
Le laçage terminé, elle nous lance : vous êtes superbes, ce monsieur à bien de la chance. Venez, dit elle en nous poussant hors de la cabine !
Dany est là, qui attend. En nous voyant, il écarquille les yeux, manifestement ravi du spectacle qu ’il découvre.
Regardez si elles sont belles, lui dit elle.
Des hanches pleines, une taille de guêpe, et des seins, …… a damner un saint ajoute t ’elle en riant.
Je leur ai passé un petit string assorti, c’est plus joli que leurs culottes blanches .
Il ne leur manque que des talons, cela les obligera a se cambrer davantage et mettra en valeur ces beaux petits derrières, ajoute
t ’elle en passant la main sur la croupe de Lucie qui frémit sous cette caresse.
Comment les trouvez vous ?
Dany acquiesce de la tête, visiblement satisfait.
Et vous, Monsieur, qu’en pensez vous dit elle ?
Le couple est toujours là, le mari nous regarde avec envie.
Je crois que je vais essayer la même chose, souffle la dame .
Plus loin, le monsieur des culottes s’approche à son tour : son regard en dit long .!!
Je prend conscience que je suis là, les fesses nues, devant des inconnus qui nous regardent, et que, loin d’être gênée, j’y prend plaisir.
C’est la première fois que je m ’exhibe ainsi , mais le regard de ces témoins en disent plus que tout .
Que c’est excitant de se sentir belle et désirée !
Je tourne sur moi même pour qu’ils m’admirent sous toutes les faces, délivrant à ces messieurs mon plus joli sourire.
Je sens mon ventre chaud et ma petite fente dégouline de bonheur.
Le petit triangle noir sera bientôt complètement trempé !
Si une main douce se posait sur mes fesses, je crois que je m’offrirais comme ça, comme une chienne en chaleur avide de sentir un sexe mâle coulisser dans son ventre .
Je n’ai qu’une envie : vite, partir d’ici et que Dany me fasse l’amour, qu’il nous traine sur ses chantiers et nous offre à des mâles avides , qu’il nous fasses prendre par nos amants canins, mais vite, j’ai envie, j’ai envieeee !!!
Je ressens cette frénésie qui nous à gagnée, Lucie et moi, le jour ou les chiens nous ont prises l’un après l’autre en nous faisant crier, oublier toute honte, avide de jouissance .
Enfin, Dany se décide :je crois qu’elles vont le garder sur elles.
Il suit la vendeuse jusqu’à la caisse, tandis que nous rejoignons la cabine pour remettre nos petites jupes.
Tu as l’air d’aimer ça, me dit Lucie à voix basse.
Ouiii, j’ai adoré le regard de ces messieurs . Je suis sûre qu’ils ont une grosse bosse dans leurs pantalons .
Pour un peut, je sortirais comme ça, juste pour faire bander les mecs dans la rue .
Et ça m’a donné envie, si tu savais !
Moi aussi, quand la vendeuse à passé la main sur mes fesses, j’ai cru que j’allais tomber et lui offrir mon ventre !
Et bien, Dany à intérêt a assurer, sinon, tant pis pour lui, les chiens vont se régaler, j’ai trop envie, je ne pourrais pas attendre !
Il va voir ce que c’est, deux petites putes !!!!
Nous sommes ressorties, nos culottes blanches à la main, le petit haut juste enfilé, sans boutons fermés.
Le couple regardait déjà les corsets, le monsieur aux petites culottes semblait nous attendre.
Tenez, dis je en lui tendant la mienne , désolée, elle est un peut humide !
Lucie à fait de même.
Sans un mot, il a tendu la main, s’emparant rapidement des ces deux trophées .
J’étais sûre qu’il allait garder un bon souvenir de sa visite, celui là .
La dame aux combinaisons nous regarde avec envie et nous souhaite un bon après midi.
Nous rejoignons Dany auprès de la vendeuse.
Elles sont vraiment superbes, fait elle en nous voyant arriver.
Puis elle nous raccompagne.
Revenez vite, j’ai plein de choses qui vous plairont surement, ajoute t ’elle en nous ouvrant la porte.
Ben dites donc, on dirait que ça vous à plu d’exhiber vos petites fesses en public, nous fait Dany.
Oui, tu vois, on devient les petites putes que tu voulais .
Merci mon chéri, ajoutais je en déposant un baiser sur ses lèvres.
Et toi , demande t ’il à Lucie ?
Humm, si tu savais, fait elle, énigmatique, en l’embrassant à pleine bouche .
Des passants nous regardent, l’air ébahi.
Ou va t ’on demande t ’il encore ?
Ou tu voudras, pourvu qu ’il y ai un grand lit, dis Lucie en souriant.
Et le plus vite possible, si tu savais comme j’ai envie, ajoutais je à son oreille.
Lucie se serre contre lui en lui prenant la main, je m’accroche à son bras, et nous regagnons la voiture, indifférents au regards des passants que nous croisons.
L’air tiède caresse délicieusement mes cuisses, c’est bon, si vous saviez !!!
Sur le chemin du retour, Dany accélère. Il semble pressé lui aussi.
Comment trouvez vous votre cadeau, demande t ’il ?
J’adoooore, dis je .
Moi, j’ai l’impression d’étouffer, fait Lucie, j’ai du mal a respirer.
Attends, fais je en me penchant vers elle.
Je pose mes lèvres sur les siennes, sa bouche s’entrouvre ……. nos langues se mêlent en un baiser torride.
Ma main s’égare sur ses cuisses, remonte lentement vers son ventre….
Ses jambes s’écartent lentement, me livrant le passage vers le fin triangle de soie….
Elle a le souffle court, et quand mes doigts en suivent le bord, elle pose sa main sur ma nuque, me plaquant à sa bouche, sa langue s’active nerveusement …
Ben dites donc, vous êtes vraiment de belles salopes, fait Dany.
Après ce long baiser, je reprend mon souffle.
Oui, des petites putes comme tu les aimes, dis je.
Et si tu ne te dépêches pas, on n’aura plus besoin de toi.
Oui, regardes, fait Lucie en glissant à son tour sa main sous ma jupe .
Je frémis de bonheur en fermant les yeux. Ma petite fente se liquéfie littéralement.
Et si ça continue, je vais tacher les sièges, le petit triangle de la vendeuse est déjà tout trempé.
Et comme on a plus de culotte ….
Vous les avez laissées là bas, demande t ’il ?
Oui, la vendeuse nous à fait remarquer que ce n’étais pas très joli avec le corset noir, alors on les a données au monsieur, ça lui a fait plaisir, ajoute Lucie .
Vous avez fait ça, demande t ’il interloqué ?
Ben oui, le pauvre regardait nos fesses avec tant d’envie, comme ça il pourra les renifler et se branler en pensant à nous .
Ca ne te fait pas plaisir de savoir que ce type va jouir en pensant à tes petites femmes, demandais je innocemment ?
C’est bien ce que je dis vous êtes vraiment salopes, répond il.
A qui la faute ? Et puis avoue que c’est comme ça que tu nous aimes. Je suis sûre que tu bandes déjà ! Pas vrai peut être ??
Il ne répond pas et continue la route qui me semble plus courte. Nous voilà arrivés.
A peine descendues de voiture, les chiens viennent nous faire la fête, et, tandis que Dany cherche ses clefs, ils nous entourent, nous reniflent en grognant doucement, comme à chaque fois qu’ils devinent nos humeurs de femelles en chaleurs.
Pour une fois, la présence de Dany ne les repousse pas, nous devons exhaler des odeurs plus fortes que d’ habitude !
A l’intérieur, je me colle contre lui : merci mon chéri, c’est un superbe cadeau !!
Lucie l’embrasse à pleine bouche se collant contre sa hanche.
Je défais ma petite jupe qui tombe à mes pieds, retire mon haut : Regarde ! Je te plais comme ça ??
Lucie fait de même : et moi ???
Dany nous regarde, ne sachant quoi répondre .
Ca nous fait des beaux petits culs, hein, dis je en flattant de la main les fesses de ma soeur.
Et d’après la vendeuse, avec des talons, ça sera encore mieux.
Oui, voyons, fait Lucie en s’éloignant.
Elle revient aussitôt avec deux paires de chaussures que nous enfilons immédiatement.
C’est vrai qu’ils nous obligent à nous cambrer.
Je regarde Lucie : Le corset noir qui épouse ses hanches à la perfection, descend jusqu’au bas de ses reins, souligne ses fesses rondes, fermes, en une inavouable invitation à les caresser, les cajoler, ….
Et puis ses seins, on dirait qu’ils vont jaillirs, gonflés de désir.
Pour un peut je serais sortie comme ça dans la rue, juste pour le plaisir de me faire admirer.
Les clients de la boutique on bien aimé, et moi j’ai adoré sentir le désir dans leurs yeux !
Et tous les beaux objets de la boutique m’ont donnés des envies !
Heureusement que tu ne t’es pas arrêté sur tes chantiers, sinon j’aurai bien fait le tour du propriétaire dans cette tenue. Je suis sûre que tes ouvriers auraient préférés voir ça qu’un match de foot ou un navet à la télé, n’est ce pas Lucie ?
Elle acquiesce en souriant.
Tant pis, ce sera pour une prochaine fois, en attendant, vient !
Je lui prend la main pour l’entraîner vers la chambre d’amour.
Lucie nous suit.
Et c’est tous trois que nous tombons sur le lit .