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Les bonheurs de Sophie – Chapitre 4




Sophie4

Le lendemain, javouais à maman que jaimais porter des vêtements féminins. Que javais pioché dans ses affaires pour assouvir un fantasme. Javouais avec plus de difficulté que Victor mavait surprise et mavait fait lamour.

Dabord stupéfaite, ma mère déclara :

«

— Victor ma dit quil tavait baisée deux fois et que tu avais aimé ça

— Tu ne toucheras plus à mes vêtements, dailleurs je te donne ceux que tu as utilisés.

— Ce soir Victor vient à la maison, tu seras en femme pour la soirée, cest ce quil désire.

— Je veux que tout cela reste entre nous et que tu nen parles à personne !

»

Je fus agréablement surprise de pouvoir disposer à ma guise de porte jarretelle, bas de soie à couture, souliers à talons

Plus tard dans la journée maman revint de courses et mappela :

« Sophie, viens ! »

Jétais aux anges, ma mère se rendait complice en mappelant Sophie ! Elle disait souvent quelle aurait préféré avoir une fille, maintenant, elle pouvait être satisfaite. Je ferai tout pour être une bonne fille.

Elle me tendit ses achats en disant : « Cest pour toi »

Elle garda un sac et dit : « Ca, cest pour moi ! »

Avec curiosité jouvris le premier paquet, il contenait une jupe plissée blanche apparemment très courte. Le deuxième paquet contenait des bas de soie noirs, un porte-jarretelles rouge en dentelle, un bustier et une culotte de dentelle rouges également. Le troisième paquet contenait un chemisier blanc en dentelle à manches longues. Le quatrième paquet contenait une perruque blonde Enfin, au fond du sac, il y avait une boite à chaussure. Elle contenait des escarpins à hauts talons.

Quel bonheur ! Je lui sautais au cou pour lembrasser. Nos lèvres se rencontrèrent. Elle se laissa faire et notre baiser fut langoureux.

Elle me dit, « Laisse moi te montrer mon paquet ».

Il contenait une boite en carton dans laquelle il y avait un gode ceinture, elle déclara : on pourra mieux samuser avec ça !

Jallais de surprise en surprise. Elle avait osé aller sacheter ça. Je ne laurais jamais cru auparavant.

« Et si tu allais te préparer, Victor ne va pas tarder à arriver ! »

Jallais me changer en éprouvant une étrange sensation de bonheur total.

Jenfilais les bas en ajustant bien la couture, je fixais le porte jarretelle, enfilais la culotte qui avait du mal à tenir ma queue bandée. Jenfilais ensuite le bustier, le chemisier et la jupe. Perchée sur les escarpins et munie de ma perruque javais lair dune femme très glamour. Je revins vers ma mère qui me vit bien assurée sur les talons hauts.

Elle déclara : «Tu es parfaite ! Allons te maquiller maintenant. »

Elle me maquilla comme une femme : fard à paupières, Rycil, rose aux lèvres. Elle me para dun collier de perles.

« Suis moi je vais te finir ta préparation »

Elle memmena dans sa chambre et me dit « baisse ta culotte et penche toi en avant ». Elle se mit à genoux et glissa sa langue entre mes fesses. Elle lécha avec ardeur mon illet. La sensation était fantastique. Ma mère me léchait le cul. Ensuite, elle mouilla un doigt et linsinua dans mon trou. Ca me fit un peu mal, aussi elle se leva et alla chercher le tube de lubrifiant.

Elle en récolta une noix et me pénétra à nouveau.

Elle demanda: « Cest mieux comme ça ? »

Ma mère était en train de me sodomiser avec un doigt, puis deux, quelle faisait tourner.

Jétais aux anges, comment pouvais-je me douter que ma mère soit si perverse.

Maman déclara « Ca suffira pour ta préparation, ça te fera moins mal tout à lheure quand Victor te prendra »

Elle acceptait que je sois soumise à son amant.

« Allons dans le canapé dit elle, nous serons mieux ».

Je masseyais près delle. Tout de suite elle glissa sa main sur ma cuisse et déclare « Tu es très belle Sophie, tu vas plaire à mon homme ».

Sa main sinsinua sous ma jupette, à la lisière des bas, puis convergea vers mon sexe.

Elle me malaxa les couilles en glissant le majeur sur ma rosette à travers ma culotte de dentelle. Je bandais comme un âne sous cette caresse.

Alors que nous étions au salon, la porte souvrit sur Victor, mais aussi sur François, mon oncle, le frère de ma mère !

Nous nous levâmes pour les accueillir dans lentrée.

Victor dit à François « Voici deux belles petites putes, comme je te lavais dit »

Jétais rouge de confusion, mais aussi de colère que Victor ait trahi notre secret avec maman.

Sans attendre, François me serra dans ses bras et membrassa goulûment. Il me plaqua contre lui en me pétrissant les fesses. Je sentis sa bite durcir sur mon pubis, il me glissa à loreille

«Alors Sophie il parait que tu suces bien, montre moi ça !». Il mappuya sur les épaules pour me forcer à me mettre à genoux.

Jouvris sa braguette, défis sa ceinture, baissai son pantalon puis son slip, impatiente que jétais de découvrir sa bite.

A moitié bandée, sa queue me paraissait déjà très longue ! Sans tarder, je lengobais.

Je faisais rouler ma langue sur son gland, il semblait apprécier car je sentais sa queue durcir dans ma bouche.

Je le masturbais doucement en faisant aller mes lèvres sur sa colonne de chair. Sa bite devenait très dure maintenant. Je me relevais tout en continuant à le caresser. Je tenais sa grande bite dans ma main et faisais des mouvements de bas en haut pour le masturber. Je tendais mes lèvres à Victor qui membrassa à son tour. Il me saisit les hanches et me plaqua contre lui.

Il me caressa les fesses et me dit « Ma petite Sophie, tu vas avoir de la bite ce soir ».

Ces paroles mélectrisèrent ! Jétais impatiente.

Ma mère qui était en train de branler son frère intervint et dit « Allons messieurs dame, passons au salon ».

Victor menlaça, puis me conduisit tout en me pelotant les fesses, il défit son pantalon et sassit dans un fauteuil.

Il déclara « Suces moi la bite, ma petite Sophie »

Je me mis à genoux entre ses jambes puis engobais sa grosse bite. Je mappliquais à le pomper et sentais sa queue battre sous ma langue. Ma mère était en train de sucer son frère avec délectation. Il gémissait de plaisir, sa queue immense permettait à maman de le branler à deux mains tout en le suçant.

Je dandinais du cul pour montrer à François ma culotte sous ma mini jupe. Il voyait, bien entendu, mes bas et mes jarretelles. Il se releva et dit « Jai envie de Sophie ! ». Il me fit mettre à quatre pattes, Baissa ma culotte, positionna son gland et senfonça progressivement .Une fois que le gland fut entré, il me fourra dun coup. Heureusement que ma mère mavait préparée. Sa longue bite senfonçait tout au fond de moi, jétais pénétrée plus profondément quavec Victor, cétait délicieux comme sensation.

Une fois en butée, il se mit à me pistonner avec vigueur.

Pendant ce temps, Victor se leva et alla vers maman qui avait enlevé sa culotte et lattendait jambes écartées. Sa chatte poilue ruisselait. Il senfonça en elle et la prit sur le canapé. Elle gémissait de plaisir, de plus en plus fort, puis eut un orgasme bruyant. Il la déplaça ensuite pour quelle soit face à moi, à quatre pattes également, puis à la grimace quelle fit je compris que maintenant, il lenculait.

Ma mère et moi, les deux femelles se faisaient enculer par ces deux beaux mâles bien montés.

Nous eûmes un orgasme simultané, je jouissais du cul, comme cétait délicieux ! François déchargea violemment. Je sentais des giclées de jus tout au fond de moi.

Elle hurlait son plaisir ! Puis elle sécroula essoufflée. Victor sortit de son cul et proposa à François de lui laisser la place.

François sortit de moi et fut remplacé par Victor et son gros nud. Il se positionna et senfonça. Il mécartelait avec son zob énorme. La pénétration était facilitée par le sperme de François, mais quand même, il était si gros ! Et jaimais tant ça !

Maman me regardait avec une complicité toute féminine. Elle semblait aimer me voir enculée devant elle.

Victor me brutalisa lanus pendant un long moment.

Maman avait disparu depuis quelques minutes. François me donna sa queue à nettoyer. Je le suçais en me faisant prendre en levrette par notre amant commun à maman et à moi.

Alors que Victor se crispait en éjaculant de longs jets en moi, ma mère réapparut ne portant que ses bas et jarretelles, talons hauts mais harnachée du gode ceinture sur lequel elle mit un préservatif.

Victor se retira et me donna une claque sur la fesse. Jémis un soupir de bonheur sous cette petite fessée.

Maman se positionna derrière moi et madministra une claque sur lautre fesse. Je tortillais du cul pour quelle recommence. Elle me dit : «Sophie na pas été sage, elle mérite une fessée ! »

Elle se mit à me claquer chaque fesse alternativement. Sa fausse bite battait la mesure entre ses jambes.

Victor déclara : « Vas-y, encule la, maintenant ! »

Sans se faire prier maman se colla à moi et menfonça son gode. Elle pénétrait lentement par petits coups puis poussa très fort en avant. Sa bite de caoutchouc senfonça sans problème. Du sperme coula le long de mes jambes. Sans attendre, elle se mit à me pistonner comme Victor le faisait. Elle me tenait les hanches et y allait de bon cur. Javais lanus explosé, mais jaimais ! Elle senfonçait très profondément en moi et me pilonnait. Elle sallongea sur moi et continua à menculer, je sentais ses seins sur mon dos. La situation était magique. Après deux mâles cétait ma mère qui me faisait lamour. Au bout de quelques minutes jeus un second orgasme du cul.

Elle se retira et ôta le gode ceinture, satisfaite de me voir allongée avec du sperme qui ruisselait de mon anus.

Elle déclara, « alors les gars ça vous a plut ? »

Victor dit : « Gouinez vous toutes les deux ».

Maman me fit mettre sur le dos, se positionna en soixante neuf, puis mit sa vulve sur ma bouche. Je lui léchais le clitoris, le suçotais. Il grandissait sous ma caresse.

Elle prit ma bite et se mit à me sucer. Cétait délicieux.

Jaccélérais le rythme de ma langue, je fouillais son intimité si poilue. Elle, me suçait avec ardeur devant nos amants qui se branlaient en nous regardant.

Je ne tardais pas à éjaculer dans sa bouche. Elle garda tout puis vint membrasser.

Nos langues tournaient dans le sperme chaud. Elle en déglutit une partie et moi lautre.

François qui avait retrouvé toute sa vigueur Se plaça derrière sa sur et lui prit la chatte.

Elle soupira et se cambra pour mieux sentir son frère en elle. Parfois les coups de butoir de François lui faisaient comprendre combien il était long. Elle jouit deux fois coup sur coup. Visiblement, ce nétait pas la première fois quils faisaient lamour ensemble. Encore une chose que jignorais.

Pendant ce temps, Victor mavait tendu sa bite, encore maculée, à sucer. Je me mis à louvrage suçant de mon mieux son gros gland violacé. Il était dans un état de bandaison qui me faisait plaisir.

Je lui caressais lanus en le pompant, je lui pétrissais ses grosses couilles. Je le masturbais à deux mains. Si bien quil ne tarda pas à jouir dans ma bouche. Quant à moi javalais toute sa semence avec délectation.

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