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Les carnets intimes d'Eloïse – Chapitre 1




Je me prénomme Eloïse et j’ai aujourd’hui 39 ans. Crise de la quarantaine ou pas; j’ai envie de faire un point sur ma vie, ce qui passe par un partage de ce que j’ai vécu avec toi, lecteur.

Remontons le temps jusqu’au début de l’année 2000. Ce changement de millénaire correspond à quelques jours près à mon 18e anniversaire. Anniversaire fêté sagement en famille. J’habite dans un village à cinq kilomètres d’une ville de province de 40000 habitants. Je mesure alors 1m68 pour 54 kilos. J’ai une silhouette sportive puisque je faisais de l’athlétisme il y a encore un an. J’ai une longue chevelure brune qui descend sur mes omoplates. Mes yeux sont gris clair. Côté look, je suis là aussi sportive. Je porte le plus souvent des jeans (parfois moulants) et une paire de Converses et je suis fâchée avec les robes ou les jupes que je ne mets jamais. Je me maquille très peu : parfois un peu de gloss et de mascara, c’est tout. Je ne suis pas un garçon manqué, mais je n’ai tout simplement pas envie de tous ces accessoires féminins.

Je suis alors une jeune fille très timide et j’ai un petit copain depuis la rentrée. C’est avec lui que j’ai perdu ma virginité il y a quelques semaines. Nous ferons l’amour 4 ou 5 fois avant de rompre au cours du mois de février. Je suis plutôt bonne élève; 2e de la classe, je vais obtenir la mention bien au bac, dans quelques mois.

J’ai décidé de partir dans de grandes études assez originales. Une formation qui ne se réalise qu’à Paris. Très vite, cela pose problème à mes parents qui n’ont pas le budget nécessaire pour m’offrir la formation et un appartement à la capitale. En avril, ils trouvent enfin la solution. Mon cousin de 22 ans étudie sur Paris en école d’ingénieur depuis 4 ans. Mon oncle et ma tante ont des moyens bien supérieurs à mes parents. En effet, mon oncle est patron d’une PME qui fonctionne bien. Ils ont acheté un grand appartement à Paris avec 2 chambres qu’occupe leur fils (appartement qui est aussi un investissement pour eux). Malheureusement, ils ne sont pas satisfaits du colocataire de mon cousin qu’ils pensent avoir une mauvaise influence sur lui : allant jusqu’à lui faire redoubler une année. Ils me proposent donc de vivre en colocation avec lui en me faisant même cadeau du loyer si je permets à leur fils de rester relativement sérieux.

La proposition est alléchante, et c’est ma seule façon de faire les études que je veux vraiment. En même temps, cela me fait une petite peur, car je ne connais pas si bien que cela Antoine (mon cousin). Ils habitent à 4 heures de chez nous; et l’on a dû se voir 3 ou 4 jours tous les deux ans au cours de notre enfance. Cela fait plus de deux ans que je ne l’ai pas vu et je doute que le fait de lui imposer une coloc aille réellement lui faire plaisir.

Au cours de l’été, on s’appelle une ou deux fois. Début septembre, mon père m’emmène à Paris pour emménager et emporter les quelques affaires que j’ai. En arrivant, je suis très agréablement surprise. L’appartement est en plein dans Paris. Il est grand : avec un beau salon cuisine et 2 chambres de 15 mètres carrés. Seule la salle de bains est relativement réduite pour deux colocataires. Je vis seule dans l’appartement une semaine et en profite pour visiter la capitale et vérifier mon trajet domicile-école qui ne dure que 30 minutes et ne nécessite qu’une seule ligne de métro.

Le samedi d’après, Antoine arrive chez lui, devenu chez nous. La première soirée est étrange, car nous ne nous sommes pas vus depuis longtemps. Puis nous passons la journée de dimanche à nous promener dans le quartier. Il me fait découvrir tous les coins sympas de ce quartier assez vivant, ce qui permet aussi de mieux nous connaître.

Un mois plus tard, nous avons commencé à prendre nos marques. On s’entend plutôt bien. Antoine m’avoue qu’il fait des efforts pour faire du ménage et du rangement dans ses affaires. Un vendredi soir, nous décidons de nous faire une soirée pizza tous les deux devant la télé. Nous prenons l’apéritif et buvons deux ou trois verres. N’étant pas très habituée, je commence à être légèrement enivrée et notre discussion dérive sur notre vie sentimentale. Nous nous avouons l’un à l’autre que nous sommes célibataires, ce qui n’est pas un grand secret.

Puis, rapidement, il m’indique qu’il est en manque de sexe et que je lui plais énormément. Je suis étonnée et gênée de la situation. Mais, alors que je bloque pour lui répondre, il se rapproche de moi et m’embrasse langoureusement. Alcoolisée; et moi aussi, excitée, j’accepte son baiser et le laisse m’allonger sur le canapé. Sa main gauche en profite pour se poser sur ma taille puis caresser mon épaule, ma hanche, mes fesses, mes cuisses. Notre baiser continue de plus en plus intensément et j’ose me laisser aller à ce bel homme défendu. J’ai en effet oublié de préciser qu’Antoine est plutôt un beau garçon avec son mètre quatre-vingt-cinq et un corps musculeux lié à 10 ans de pratique du handball à bon niveau. Sa mâchoire carrée, ses yeux noisette et ses cheveux châtains courts sont assez plaisants.

Antoine décide d’enlever mon pull gris, mon t-shirt noir puis mon soutien-gorge noir en même temps pour découvrir ma petite poitrine (85B) qu’il s’empresse de caresser puis de lécher. Je me laisse à nouveau porter et profite de ce moment. Comparé au seul garçon que j’ai connu auparavant, je me rends immédiatement compte qu’il est beaucoup plus expérimenté et doué. Après quelques minutes, je lui enlève son t-shirt pour découvrir son beau torse. Après quelques caresses de ma part, il me fait mettre debout. Il déboutonne naturellement mon jean avant de le faire glisser sur mes cuisses et mes chevilles. Sa tête est à hauteur de ma culotte de jeune fille qui ne doit pas vraiment l’exciter. Il me demande de finir d’enlever mon pantalon et mes chaussettes pendant qu’il fait de même.

Rapidement, il reprend les choses en main : puisque l’une d’entre elles me caresse les fesses par-dessus, puis sous ma culotte alors que nous nous embrassons, debout, au milieu du salon. Lorsque sa main vient s’aventurer devant, j’ose faire de même et je caresse la bosse qui se dessine sous son boxer. Ses doigts assez agiles me procurent quelques soupirs de plaisir et mon intimité commence à s’humidifier sous ses nouvelles caresses que je découvre.

Puis il s’écarte, descend délicatement ma culotte pour découvrir mon sexe et ma toison légèrement entretenue. Il m’allonge sur le canapé et dirige sa tête vers mon entrejambe. Je résiste quelques secondes à découvrir ce nouveau plaisir (mon précédent copain ne l’ayant jamais fait) avant d’écarter mes cuisses. Antoine me fait alors un cunnilingus avec gourmandise. Sa langue experte alterne avec ses doigts me procurant à nouveau un grand plaisir.

Je suis maintenant dans un fort état d’excitation. Antoine se remet ensuite debout et me positionne assise face à lui. Ma tête étant à hauteur de son boxer, je comprends facilement ce qu’il souhaite. Je commence donc à caresser son boxer puis à le baisser pour laisser apparaître son sexe. C’est bête à dire, mais je le trouve joli et il me fait envie (j’apprendrais plus tard qu’il mesure 17 centimètres et qu’il est plus épais que la moyenne). Je commence à caresser sa verge puis à le masturber plus franchement. J’ai un peu peur de le prendre en bouche, car je n’ai fait que deux fellations jusque-là, et à chaque fois avec un préservatif. Je n’ose pas lui demander d’en mettre un pour ne pas casser le truc.

Après encore quelques secondes d’hésitation, je me lance : d’abord quelques coups de langue; puis avec ma bouche tout entière. Je ne sais pas trop quels gestes réaliser; mais je m’applique du mieux possible. Le goût de son sexe n’est pas désagréable et ma première crainte s’estompe peu à peu. Cela ne doit pas être suffisant, car je ne ressens pas qu’Antoine y trouve un grand plaisir ou alors il ne me le fait pas ressentir.

Il m’arrête dans mon action, puis me relève, face à lui pour m’embrasser fougueusement avant de m’annoncer :

Eloïse, j’ai très très envie de te faire l’amour, là tout de suite. Par contre, je n’ai pas de préservatif. Est-ce que cela te dérange ?

Totalement prise au dépourvu par cette question, je n’ai qu’une poignée de secondes pour donner ma réponse. Dans l’état d’excitation qui est le mien à ce moment, je ne me vois pas tout arrêter d’un coup. Et le fait qu’il s’agisse de mon cousin me rassure, même si je ne connais rien de sa vie sexuelle (je tiens à préciser que je prends la pilule). Je lui susurre donc dans l’oreille un "Non, vas-y !" qui provoque un grand sourire sur son visage et un nouveau baiser fougueux.

Il m’allonge à nouveau sur le canapé puis se positionne sur moi tout en guidant d’une main son sexe vers mon vagin. Tout en douceur, je sens ce morceau de chair (et pas de latex pour une fois !) s’insérer en moi. De lents va-et-vient lui permettent de prendre pleinement possession en moi. Je sens son sexe qui me remplit comme jamais, mais sans aucune douleur. Je suis toute à lui et le laisse guider ses mouvements qui deviennent de plus en plus toniques. Il me demande à quelques reprises si j’aime. Mes soupirs et de petits « Oui » lui confirment ce ressenti.

Après un bon moment à ce rythme, il nous fait changer de position. Il s’assoit au fond du canapé et me demande de m’asseoir sur lui. Je suis assez maladroite pour me mettre en position et j’ai un peu honte de ne pas arriver à m’empaler sur son sexe. Il ne m’en veut pas, me rassure et m’aide afin que j’y arrive. Enfin en position, j’entame des va-et-vient tout en l’embrassant et en discutant. C’est à ce moment que je lui avoue qu’il n’est que mon deuxième homme. J’ajoute qu’avec le premier, nous ne l’avions fait que quatre fois et qu’il n’était pas aussi expérimenté ni aussi bien monté. Je lui liste rapidement les premières fois que je viens de faire avec lui : cette position, la fellation sans préservatif, le cunnilingus, et même son doigté sensuel. A ses yeux, je vois son étonnement, mais aussi sa fierté de m’avoir fait découvrir ces nouvelles choses. Cela lui donne un nouvel entrain et il me demande d’accélérer le rythme.

Rapidement, cela me procure un fort plaisir et j’atteins l’orgasme dans ses bras. Mais lui n’a pas encore joui.

Il me fait donc changer de position. Je me mets à genoux sur le canapé et il vient me pénétrer en levrette. Ses coups de bassins deviennent plus rapides et plus vifs que lors des autres positions. Ses mains s’agrippent à mes hanches pour qu’il ait plus de force. Son discours évolue également puisqu’il lâche quelques commentaires plus épicés : « J’adore ton petit cul » ; « Tu es magnifique comme cela » ; « J’aurais dû te baiser plus tôt, cousine ! » jusqu’à ses derniers coups de reins. Je sens alors pour la première fois cette sensation de jets chauds couler en moi, sensation que j’apprécie déjà et qui me provoque un deuxième orgasme.

Après que nous ayons échangé quelques baisers, je ramasse mes affaires et je file sous la douche. Je croise Antoine, je lui fais un bisou et je vais me coucher dans mon lit. J’ai du mal à trouver le sommeil en pensant à ce qu’il vient de se passer. J’ai terriblement honte d’avoir craqué et d’avoir fait l’amour avec mon cousin. D’un autre côté, j’ai découvert énormément de choses et surtout, j’ai adoré tout ce que nous avons pu faire. Je ne cesse pas de le comparer à mon ex. Je me rends compte que je n’ai pas vraiment découvert le plaisir que l’on peut ressentir dans le sexe. Je suis dans mes pensées nocturnes depuis plus d’une heure lorsque je sens ma couette se soulever. Surprise, je sursaute légèrement avant de me rendre compte qu’Antoine a pris l’initiative de venir me rejoindre. Il se justifie en me disant qu’il n’arrive pas à trouver le sommeil et qu’il veut juste dormir en me tenant dans ses bras. Après quelques bisous, c’est donc enlacée dans ses bras que je m’endors heureuse…

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