Je commence à trembler car je sens effectivement quelque chose d’énorme qui écarte ma muqueuse rectale. Mon dieu ! Dans quel état vais-je être ?

Paradoxalement, la douleur a complètement disparu et je me concentre sur les ondes de plaisir qui parcourent maintenant mon bassin. Je sens le sperme chaud du chien qui vient se projeter au fond de mon ventre et qui déclenche une extase que je ne voudrais quitter pour rien au monde. Je ferme les yeux pour mieux profiter de l’instant.

Un hurlement étouffé me ramène à la réalité. Je porte mon regard enfiévré sur la masse du chien qui couvre et recouvre Sabrina. Le chien est désormais ancré en elle et commence son travail d’insémination. Je peux voir les contractions du chien qui crache sa semence dans le ventre de Sabrina. L’anus du chien se resserre et la queue se lève à chaque éjaculat.

Celui qui est en moi continue à m’inonder les intestins de sa chaude liqueur séminale. Voici bien un lavement qui sort de l’ordinaire. J’ai l’impression, fausse bien sûr, qu’il vide des litres en moi.

Un sentiment de nausée commence à m’envahir. Ce doit être le traitement infligé à mes tripes qui me donne le sentiment analogue à celui que je ressens lors d’une gastro-entérite.

L’amant de Sabrina s’est maintenant retourné en cul à cul ! Il fait des efforts pour se dégager entraînant un gémissement de sa partenaire à chaque tentative.

Celui qui me couvre, ne semble pas être décidé quant à lui à se retourner. Il reste tranquillement sur mon dos à m’injecter ses ultimes doses de sperme.

Je crains le moment où il va vouloir se détacher de moi. Mon pauvre anus !

— Tout va bien ? Me demande Wilma.

— J’ai un peu la nausée. Je pense qu’il me remplit les intestins.

— Bien, c’est normal pour la première fois ! C’est sûr que les malheureuses giclettes de tes clients habituels ne peuvent te donner ce genre de sensation.

— J’ai un peu soif, également !

— Tu auras l’occasion de boire tout à l’heure ! N’oublie pas que tu dois encore honorer ces malheureux gardiens que tu as laissés tomber comme de vieilles chaussettes…

Le chien vient de se détacher de Sabrina et je vois un flot de liquide sortir de sa vulve et se poursuivre en long filets visqueux.

— Valéria, puisque Grande-Louve est encore occupée avec son amant, je te charge de nettoyer Petite-Louve.

Le visage de la jeune africaine, qui était jusqu’alors resté impassible, s’éclaire soudain d’un joli sourire. J’imagine qu’elle n’attendait que cela ! Elle s’accroupit près de l’arrière train de Sabrina et commence à lui lécher la vulve.

Mon amant commence à s’agiter ! Malheur ! Pourvu qu’il n’aille pas trop vite ! Le voici qui descend de mon dos et se retourne progressivement. Je ne ressens pas les adorables sensations que j’avais connu avec Éros ce matin. Il me semble que le retournement du chien est bien plus jouissif lors d’un coït vaginal que lors d’une sodomie.

Ouh ! Il commence à tirer et me voilà qui doit le suivre en reculant. Je me redresse un peu de façon à faciliter mon mouvement d’accompagnement du chien. Je tente toutefois de résister.

Il a progressé vers Valéria qui a déjà bien nettoyé le ventre de Sabrina. De ma position, je peux difficilement voir se qui se passe mais j’imagine qu’il commence à lécher le sol là où le ventre de Sabrina s’est déversé du trop-plein de semence.

— Ne te laisse pas faire, Valéria ! Conseille Wilma. C’est ta part !

J’imagine alors, plus que je ne peux les voir, les deux langues de Valéria et de mon amant qui happent à toute vitesse les résidus de cyprine et de sperme, espérant en laisser le moins possible à l’autre.

De mon côté, je constate avec bonheur que le nud du chien est maintenant en train de se dégonfler au sein de mon rectum. Je tente une traction mais j’arrête tout de suite à la sensation de douleur que mon cul me transmet. Il me faut encore prendre patience !

A priori, le nettoyage est terminé, car mon amant a décidé de se remettre en mouvement. Je tente de résister mais je suis obligé de l’accompagner sur un bon mètre.

— Retiens le, Valéria ! Il est en train de vouloir redescendre de l’estrade et je ne suis pas sûre que Grande-Louve soit en état de descendre l’escalier avec ce qu’elle a dans le cul !

Je remercie Wilma qui me renvoie un sourire carnassier.

— Je tiens à ta personne, Grande-Louve, j’ai des projets pour toi ! Ainsi que pour Petite-Louve !

— Lesquels ?

— Tut tut ! Vous verrez cela ! En attendant qu’il te libère l’anus, je vais en profiter pour reprendre mon histoire personnelle, qu’en dis-tu ? Mais auparavant, je dois tirer au sort un nouvel amant pour ta copine.

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