Je me sauve à mon tour du box, en prenant moins de précautions que Marion pour en sortir, puis je me dirige vers le salon. J’y trouve une vieille dame assise là où je l’étais auparavant, elle n’est pas étonnée de me voir ici, après tout, ce salon fait aussi les soins pour homme. je la salue poliment et me dirige vers le comptoir derrière lequel se trouve Denise, assise les jambes croisées sur un tabouret de bar. Elle m’accueille avec un grand sourire.
— Alors, tout s’est bien passé ? Me demande-t-elle le plus naïvement du monde ;
— Oh oui, parfaitement bien !! lui répondis-je avec un enthousiasme non dissimulé ;
— Je t’avais bien dit qu’elle avait des mains en or, non ?
— J’avoue, et on est même en-deçà de la vérité !!
Denise part d’un rire sonore puis s’adresse à la cliente assise derrière nous.
— Hein Madame Morel, n’est-ce pas que Marion a des mains en or ??
— Houuuuuuu oui, elle est formidable cette petite, un vrai petit ange !! répond la vieille dame avec un accent marseillais à couper au couteau.
Nous rigolons tous les trois quand Marion finit par apparaître en remettant de l’ordre dans ses cheveux. Elle ne porte plus son petit top et est vêtue à la place d’une blouse longue. Son visage est encore vaguement empourpré mais elle sourit franchement, saluant avec affabilité Madame Morel.
— Ça va ma chérie ? Demande Denise à Marion ;
— Oui super, merci !! répond-elle gaiement.
Elle finit par croiser mes yeux et je lui souris tout aussi franchement qu’elle. Elle soutient mon regard quelques secondes, étirant un peu plus ses lèvres, puis elle se dirige vers Denise.
— Tout s’est bien passé avec Madame Guillestre ? Lui demande-t-elle ;
— Oui, très bien, et comme je l’avais prévu, elle n’a pas arrêter de bavarder !!
— D’accord, répond Marion en lançant un petit rire ;
— Tu peux t’occuper de Madame Morel ?
— Oui, avec plaisir !! Vous venez Madame Morel ?
La vieille dame suit Marion et les deux femmes finissent par disparaître dans le couloir.
Je me retourne à nouveau vers Denise.
— Alors ? Me lance-t-elle ;
— Et bien. C’est une vraie bombinette cette nana !!!
— Ahahah, je savais qu’il se passerait autre chose que le massage, je la connais par cur cette minote !!
— Heuuu. C’est toi qui lui a demandé d’aller plus loin avec moi ?
— Mais pour qui me prends-tu, une maquerelle ?? dit-elle en prenant un air faussement offusqué ;
— Non, non, loin de moi cette idée !! C’est juste qu’avant de venir dans le box, elle était très gênée, puis quand elle est apparue devant moi, elle paraissait bien plus sereine, presque contente, c’est pour ça que je me pose la question sur ce qui a provoqué ce changement d’attitude ;
— Et tu penses que si je l’avais obligé à te donner son corps, elle aurait été plus à l’aise ?
— J’imagine que non.
— Et bien voilà, tu as ta réponse !! En fait, avant qu’elle n’aille te rejoindre, je lui ai dit qui tu étais, que c’était de toi dont on s’était occupé toutes les deux l’autre fois. À partir de ce moment, elle était déjà bien plus détendue ! Elle m’a demandé ce qu’elle devait faire, et je lui ai simplement répondu que je ne t’avais promis qu’un simple massage donc elle n’avait qu’à faire comme elle le sentait et que si d’autres envies lui venaient, elle pouvait être plus. entreprenante disons, que tu ne t’y opposerais pas, ai-je eu tort ?
— Oh non, du tout !!
— Et puis pour être honnête, depuis le glory-hole, elle n’a pas touché une autre queue que la tienne ;
— Ah ? Et pourquoi ça ? C’est étonnant, d’autant qu’elle a l’air d’aimer ça !
— Oh oui, elle aime, seulement, elle reste très réservée, surtout avec les hommes. Avec les femmes, elle est bien plus engageante, elle n’hésite pas à le faire comprendre et à faire le premier pas quand une nana lui plaît. Pour te dire, c’est elle qui m’a fait du rentre-dedans, elle n’arrêtait pas les sous-entendus et les petits gestes explicites ;
— Du style ? Demandai-je d’un air égrillard ;
— Du style me frôler en passant près de moi alors qu’il y a largement la place, laisser glisser innocemment sa main sur mes fesses ou mes cuisses, rentrer « par erreur » dans un box alors que je suis à moitié nue en train de me changer et me mater sans vergogne avant de ressortir, et j’en passe.
— La vache, on ne dirait pas en la voyant !!
— C’est ce que je te disais !! Du coup, au bout d’un moment, à force de me chauffer, ce qu’il devait arriver est arrivé, et suite à ça, elle m’a un peu racontée son histoire. Elle a expérimenté les femmes un peu par défaut, du moins au départ, car même si elle a été dépucelé par un mec, elle a eu beaucoup de mauvaises expériences avec les hommes, ou plutôt QUE des mauvaises expériences. Elle ne tombait que sur des mecs dérangés et pervers, mais pas pervers dans le bon sens du terme. Tu as vu son gabarit, là elle a 22 ans, bientôt 23, et malgré tout, elle fait très gamine, alors je te laisse imaginer quand elle avait 5 ou 6 ans de moins. Elle n’attirait que les obsédés à tendances pédérastes, ils lui disaient qu’elle leur rappelait leur fille, ils voulaient qu’elle les appelle « papa », que ça les excitait, bref, tu vois le genre
— Oui. Des tarés, il y en aura toujours malheureusement.
— Comme tu dis. Du coup, elle a commencé à lorgner du côté des nanas, et là ça s’est bien mieux passé, elle se sentait bien plus respectée et considérée par les femmes que par les hommes, du coup, elle y a pris goût, elle s’est mise à aimer ça ;
— Je comprends mieux ;
— Quand on a commencé à s’amuser toutes les deux, je lui ai demandé si elle n’aimerait pas tester à nouveau avec un homme, mais elle n’était pas chaude du tout, et au fur et à mesure que la confiance s’installait entre nous, à force que je lui raconte mes parties de baise avec mes amants, ça lui a fait envie et elle a finit par accepter. Elle m’a fait confiance pour choisir le mec qu’il fallait pour. se remettre en selle, pour ainsi dire ;
— Et pourquoi moi ? Après tout, tu ne me connaissais pas, tu ne m’avais même jamais vu ;
— Moi non, mais Jenny, oui, et comme je te l’ai dit, je lui fais une confiance aveugle. Elle m’a dit que tu étais un mec bien et clean, et monté sans excès, du coup, j’ai dit banco !!
— « Monté sans excès » ? relevai-je en fronçant les sourcils, insinuerais-tu que j’ai une petite bite ?
— Pitié Florian, ne joue au mec complexé par la taille de sa bite, je ne te croirais pas !!
Je lance un rire sonore avant que Denise n’en fasse de même.
— Ce que je voulais dire, c’est qu’avec le sexe étroit qu’elle a, je ne voulais pas lui présenter une queue de cheval, elle aurait été apeurée et aurait sans aucun doute eue mal !! Le but était de la réhabituer et de lui redonner goût au sexe masculin, pas de l’en dégoûter encore plus. Ta bite a une taille tout ce qu’il y a de plus normal, et ça a été parfait pour elle, et force est de constater que je ne me suis pas trompé car elle a adoré !! Tu te souviens que tu m’as dit que tu la trouvais fougueuse ?
J’acquiesce, les souvenirs de ce moment ne manquant pas de se rappeler à moi.
— Et bien ce n’était pas qu’une impression !! J’avais beau lui murmurer d’y aller tranquillement, de prendre son temps, elle gobait ta queue comme une goulue !!!
Je rigole puis je décide, tant qu’on y est, de lancer la discussion sur une autre partie de l’anatomie de Marion.
— Puisqu’on est en plein dans les détails salaces, je pensais à une chose.
— Oui ?
— Elle pratique la sodomie ?
— Pourquoi, tu as tenté de la prendre par derrière ? Me demande-t-elle avec un air suspicieux ;
— Non, non, mais j’avoue que quand je l’ai prise en levrette, son petit trou m’a fait très envie, mais je n’ai pas osé, il m’a paru tellement serré
Denise ricane.
— Oui, elle apprécie, même si c’est pas forcément ce qu’elle préfère, du moins pas encore, vu qu’elle n’a pas le vécu nécessaire en la matière pour s’en faire une idée précise. Elle n’a jamais laissé une bite y passer en tout cas, ce qui n’est pas une mince affaire quand tu vois les tordus qu’elle s’est coltinée !! Tu as eu raison de ne rien tenter, je pense qu’elle se serait braquée. Elle encaisse un doigt sans trop de problèmes, mais pour plus gros, il lui faut pas mal de temps et de préparation pour qu’elle se détende assez, et aussi pas mal de lubrifiant !! Il y a du boulot, je suis arrivé à mettre un petit gode de poche dans son anus blindé de salive et de gel, et tu sentais que c’était diablement serré, donc j’imagine même pas une bite !!
— D’accord dis-je d’un air pensif ;
— Tu aurais envie de t’en occuper ?
— De quoi ? L’habituer à la sodomie ?
— Oui, je n’ai pas encore vraiment trouvé le temps de m’en occuper, et puis je n’ai pas de queue ! Tu te sentirais capable de la familiariser en douceur ?
— Ben Oui, je pense, il n’y a pas de raisons, en prenant le temps et en y allant doucement, ça devrait le faire, même si je ne suis jamais tombé que sur des nanas qui étaient déjà habituées donc j’ai jamais vraiment eu à être aussi précautionneux ;
— Je suis certaine que tu sauras être très doux, et vu comme Marion est à l’aise avec toi, t’es le mec le mieux placé au monde pour ça !!
— Tu es sûre ?
— Sans l’ombre d’un doute !! Je lui en parlerais à l’occasion, promis. Me dit-elle en me lançant un clin d’il ;
— Je te fais confiance pour ça !!
— Et puis, il n’y a qu’à voir le nombre de fois où elle m’a tanné pour que je te rappelle !!
— Pourquoi tu ne l’as pas fait ?
— Bah, je ne voulais pas te rappeler juste pour ça, puis ensuite Jenny a eu ses soucis, et c’était pas vraiment le meilleur moment du coup ;
— Donc, tu t’es dit que ce matin, c’était le moment ou jamais !
— Franchement ? Je n’y pensais même pas jusqu’à ce que je te surprenne en train de la mater en te tortillant sur ta chaise pour essayer de dissimuler ton érection !
— Rholalala, la honte. Dis-je en cachant mon visage dans mes mains, moi qui croyais être discret.
Denise explose de rire.
— C’était marrant à observer, et d’un côté plutôt mignon aussi !!
— Mignon ? J’aurais pas utilisé ce mot.
— Ben quoi, ça n’a rien de dramatique !!
— Quand même, tu parlais tout à l’heure des mecs pervers qu’elle a connu, c’est un peu ça
— Ah non, il y a pervers et pervers hein !! C’est de la perversion gentille toi, si tu avais sorti ta queue devant elle pour te branler sans lui demander son avis, là d’accord, ça aurait été pervers dans le mauvais sens, mais dans ton cas, non !
— C’est une façon de voir les choses.
— Quand un mec est excité, il bande, c’est naturel, il n’y a rien de mal à ça !! Une femme, quand elle est excitée, c’est sûr que c’est plus discret, mouiller se dissimule bien plus facilement !! Tiens, je te donne l’exemple de tout à l’heure, de vous entendre baiser m’a excité comme une puce et je me suis mise à bien tremper mon dessous, bon, et bien ça ne m’a pas empêchée de continuer à m’occuper de Madame Guillestre, et pourtant, je te garantis que je me serais bien enfilée 2/3 trucs dans la chatte histoire de me calmer.
— Tu m’en diras tant. Dis-je en lui lançant un petit sourire.
Je ne peux m’empêcher de lorgner vers son entrejambe, elle porte, elle aussi, un legging blanc. Elle me fait une moue coquine avant de rajouter :
— Être excité en voyant une femme et en s’imaginant des tas de choses, il n’y a rien de mal à ça, c’est de ne pas contrôler ses pulsions qui est plus critiquable ;
— C’est pas faux.
— Et puis faut pas croire qu’il n’y a que les hommes qui font ça !! Je t’assure que de mon côté, quand je vois un homme à mon goût, je peux te garantir qu’il se passe beaucoup de choses dans ma tête et dans ma culotte, et je suis loin d’être une exception !! Seulement, c’est vrai que les femmes savent être plus discrètes, moins bourrins que les mecs ;
— Ouais, t’as pas tort…
— Et donc, pour reprendre, quand j’ai vu dans quel état tu étais, je me suis dit pourquoi pas, d’autant que pas plus tard que cette semaine, Marion m’avait relancé sur le sujet ! C’est pour ça que j’étais certaine que quand elle saurait qui tu es, sa timidité fondrait comme neige au soleil une fois que tu serais à moitié à poil sous ses doigts !!
Denise me sourit.
— Mais Marion est vraiment., dis-je en mimant une petite taille à l’aide de ma main ;
— Mini ? Oui hein, tu as vu, c’est un pin’s !! dit Denise avant d’éclater de rire. Des fois je le lui dis, histoire de la faire maronner !!
— Pourquoi ? Elle complexe par rapport à sa taille ?
— Elle aimerait paraître plus adulte surtout !! T’imagine même pas le nombre de fois où on lui demande sa pièce d’identité pour justifier son âge !!
— Oui, je me doute très bien !! Mais bon, ça ne l’empêche pas d’être très excitante malgré tout !!
— Ça c’est clair !! C’est ce que je lui dis sans cesse, et je suis content que tu relèves ça, je lui répéterais, en espérant que ça finisse par la convaincre que ce n’est pas la taille qui compte !!
Je rigole avant de rajouter :
— Et Madame Guillestre, elle n’a rien entendu ?
— Oh non, elle est un peu dure d’oreille, puis elle n’arrêtait pas de parler en plus !! Par moment, on entendait quelques gémissements et claquements de peau, mais ça restait mesuré ;
— Oh, ça va alors !!
— En tout cas, ça m’a bien excitée vos bêtises !!
— Ah, ben c’est toi qui a poussé au derrière pour ça hein !!
— Certes mais bon, la journée risque d’être longue maintenant
Je me penche au-dessus du comptoir, vers Denise, et lui dit :
— Tu sais Denise, si tu veux, je peux te soulager hein
Je pose ma main sur sa jambe et commence à la caresser, remontant lentement vers le haut de sa cuisse. Elle décroise ses jambes et je viens alors titiller sa chatte à travers son pantalon.
Elle me regarde droit dans les yeux en poussant un long soupir.
— Tu n’imagines même pas à quel point ta proposition est tentante, mais il y a du monde qui va arriver et je ne peux pas me le permettre ;
— T’es sûre ?
Je passe alors mes doigts sous son vêtement et descend jusqu’à arriver à sa chatte qui, effectivement, est bien humide. Je la caresse délicatement et constate que, contrairement à l’autre fois, je ne sens aucun poils.
— Tiens, tu as décidé de t’épiler !
— Tu n’aimes pas ?
— Si, mais la petite toison que tu avais l’autre fois ne me dérangeait pas du tout.
— C’est moi qui ai épilé Marion, pas plus tard qu’hier, tu as aimé son minou et son anus bien lisses ?
— Oh oui, elle était délicieuse, mais il y a une différence notable avec ta chatte ;
— Ah bon ? Et laquelle ?
— Avec la sienne, je ne peux pas aussi facilement faire ça.
Au même moment, je viens introduire quatre de mes doigts en elle, ce qui a le don de la faire se redresser et pousser un petit cri de surprise. La chatte de Denise est à l’opposé de celle de Marion, elle est bien plus généreuse et épaisse avec des lèvres bien charnues déjà entrouvertes avant même que je n’ai commencé à la doigter, signe de son excitation passable après nous avoir entendu baiser, Marion et moi. Mes doigts remuant subtilement en elle, Denise me regarde en soupirant et en se léchant les lèvres, une main agrippée au comptoir et l’autre enserrant mon avant-bras, mais sans vouloir retirer ma main cependant.
— Tu aimes.me torturer.hein.petit coquin !! me lance-t-elle en pantelant ;
— Moi ? Je veux simplement te rendre service, après le cadeau que tu viens de me faire, c’est la moindre des choses !!
— Marion ne t’a donc pas suffit.espèce de gourmand ?
— Marion, c’était en quelque sorte l’entrée, et je goûterais bien au plat de résistance maintenant. Et puis, même si son petit cul était adorable, je préfère les derrières plus majestueux comme le tien, et surtout accessible.
— Dis donc, je rêve où t’es en train de me dire que j’ai un gros cul ??
— Hum Gros est trop péjoratif à mon goût, je dirais plutôt un cul voluptueusement enrobée.
Denise me sourit en se mordillant la lèvre inférieur.
— Toujours pas ? Dis-je après quelques secondes de silence pendant lesquelles je continue à la doigter avec application.
Comme pour justifier son refus, une personne entre dans le salon au même moment. D’un geste rapide, je retire ma main pendant que Denise recroise ses jambes en se raclant la gorge, histoire de reprendre ses esprits. Elle réajuste son legging et finit par se lever pour aller accueillir la cliente puis l’inviter à s’asseoir.
— Bon, tant pis, lui lançai-je avec un air désolé ;
— T’inquiète pas, me dit-elle, je vais faire en sorte d’avoir de quoi m’occuper ce soir !!
— Je ne me fais pas de soucis pour toi !
Elle s’approche de moi et me murmure à l’oreille :
— Mais comme je te l’ai dit l’autre fois, tu ne perds rien pour attendre
— Tu aimes me torturer hein, petite coquine !! lui dis-je à voix basse tout en lui lançant un clin d’il.
Elle ricane en me rendant mon illade.
— Bon allez, je vais te laisser travailler, tu salueras Marion de ma part !
— Je n’y manquerais pas !!
Denise me fait une bise appuyée avant de me sourire et de se tourner vers sa cliente. Je rassemble mes dernières affaires et sors du salon. Avant de mettre mes gants, je ne peux m’empêcher de sentir les doigts ayant visités Denise avant de les lécher. L’odeur et le goût me donne furieusement envie d’aller lui bouffer la chatte, mais bon, comme l’a dit très justement Denise, il est important de savoir contrôler ses pulsions, j’enfile donc mes gants non sans avoir pousser un soupir de regret, puis je démarre ma moto et salue une dernière fois Denise d’un geste de la main avant de partir.
Voilà une partie de baise imprévue et fort agréable !! Ce qu’il y a de bien ici, c’est que Marion n’est ni ma patronne, ni une collègue de boulot, simplement une nana que j’ai baisé sans arrière pensée !! Aucun risque, si ce n’est d’avoir envie de recommencer, ce qui est le cas, car je l’ai sauté derrière une cloison et dans un contexte qui exigeait que l’on soit discret, et j’aimerais remettre le couvert avec elle, mais cette fois sans avoir besoin de se retenir de quoi que ce soit, pouvoir se lâcher et l’entendre couiner sans retenue et surtout, je meure d’envie de commencer à m’occuper de son petit trou
De sentir et de voir ma queue pénétrer un anus aussi étroit doit être une sensation fichtrement intense !! J’espère que Denise ne tardera pas à en toucher deux mots à Marion.
