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Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Anne-Marie, sa mère – Chapitre 2




LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK

Anne-Marie sa mère. 2

Cela fait maintenant deux mois que j’ai découvert la bite si épaisse de mon fils et que nous faisons l’amour pratiquement tous les jours.

  Le jour se lève, je sens ma chatte encore imbibée du sperme de Patrick qui est allongé à coté de moi, complètement nu.

 C’est un beau jeune homme de 20 ans. Il dort encore et je ne me lasse pas d’admirer son jeune corps d’athlète et surtout ce magnifique phallus. Sa bite repose sur son ventre.

 Cette virilité qui m’a baisée si bien et si fort hier pendant toute la nuit, je ne me rappelle plus le nombre de mes orgasmes.

 J’ai souvent rêvé d’avoir un homme nu à ma merci et je ne peux résister à mon fantasme en le voyant à ma merci. Doucement, je profite qu’il dort encore pour attacher ses poignets à la tête de lit avec des ceintures de peignoirs.

Même au repos Patrick a une grosse verge qui ferait envie à plus d’un homme, je la mesure avec un mètre de couturière tout doucement pour ne pas le réveiller, elle fait bien déjà 15 cm de long.

 Comme une friandise, j’aspire le gland que mes lèvres ont décalotté, au plus profond de mon palais et entame une lente succion, m’excitant à sentir la colonne de chair encore ramollie lentement se réveiller à l’intérieur de ma bouche. A mesure que mes lèvres coulissent le long de la verge amorphe, son pénis se transforme se gorgeant de sang, il s’allonge et durcit entre mes lèvres.

Je lui malaxe doucement ses couilles qui ont refait le plein pendant son sommeil.

 Suçant avec délice la longue bite tout en massant les testicules dans leurs gaines de chair, je me régale.., que c’est doux au toucher, mais dans ma main experte elle se raidit très rapidement et toute la superbe de sa queue resplendit sous mes yeux.

Je suis si fière des attributs de mon fils que je reprends les mesures. C’est un peu du vice mais même si les femmes ne voudront jamais se l’avouer, comme dans la nature, la sélection naturelle fait que comme pour les animaux, les femelles choisiront inconsciemment le mâle le plus viril et le mieux doté.

Certains vont trouver que c’est mettre en avant des choses qui enlèvent du lyrisme à cette histoire mais je ne peux m’en empêcher. Du scrotum au bout du gland elle dépasse 26 cm pour 22 jusqu’au pubis, j’en fais le tour avec mon mètre ruban, 18 cm à la base, ooouuuccchhh Et le gland est en proportion, 6 cm de long. OoouuuaaahhhQuel monstre !!!

Sous mes lentes caresses son gros nud pointe fièrement en l’air au maximum de son érection.

Maintenant, je vais branler cette énorme bite bien dure, ce gigantesque et magnifique phallus, il ne me faut qu’un instant pour que ma robe de chambre se retrouve au sol dénudant mon corps et révélant mes gros seins et ma chatte toute lisse.

Il n’est toujours pas réveillé. Son jeune corps est merveilleux, ses bras au dessus de sa tête et ses poignets solidement fixés au lit.

J’attrape ce gros morceau à pleine main, je serre fort et je branle cette merveille de la nature de bas en haut en la tirant avec difficulté entre ses cuisses pour mieux en apprécier la puissance qui s’en dégage.

  Je recommence à sucer la queue extrêmement dure, les yeux fermés, tout en m’émerveillant de la rigidité fabuleuse de cet engin.

Je le prends en bouche le plus loin possible pour sentir le gland, maintenant largement décalotté, venir prendre possession de tout l’espace disponible. S’avoir que ce pieu crachera pour mon seul plaisir me rends euphorique et rien ne pourra m’empêcher de mener à bien ma fellation.

J’entends Patrick gémir dans son sommeil. Frénétiquement ma tête oscille de haut en bas, je me baise la bouche avec la grande queue de mon garçon, mes doigts serrés comme ils le peuvent sur la base de son énorme engin.

Une agréable sensation au niveau de son sexe tire Patrick de son sommeil.

Emergeant doucement de sa somnolence, ce contact inattendu l’oblige à ouvrir les yeux. Encore à moitié endormi il essaie de ramener les mains sur ma tête, ne comprend pas très bien ce qu’il se passe.

 Il lève les yeux au-dessus de sa tête et voit ses poignets attachés puis me regarde en souriant, sa trique énorme profondément enfoncée dans ma bouche. Je sens déjà ma chatte trempée qui réclame son tribu tellement je suis excitée.

J’avance ma tête plus près de son pubis, écartant les mâchoires autant que je peux, mourant d’envie d’avaler entièrement toute sa colonne de chair.

Sa queue énorme répond à ma fellation car j’ai l’impression qu’elle augmente encore de taille et de raideur. Le gland monstrueux touche le fond de ma gorge, abouté contre ma luette.

Je me mets tête bêche avec lui et présente ma chatte à sa bouche, il en profite aussitôt et me dévore la moule avec sa langue, gobant mon clito tendu.

 J’enfonce toute la longueur de sa bite aussi loin que je peux, ma bave coule sur ses couilles. Je pompe, j’aspire, je crache, je fouette mes joues avec son bâton, le renfonce, je tousse, mais je recommence, mes lèvres rampent sur sa hampe, je suis comme une folle, complètement accro à sa queue.

Il ne reste pas inactif et lèche doucement mon pubis, appréciant la sensation de mes quelques poils pubiens contre sa langue.

Il bave de plaisir en découvrant les parfums de ma chatte et s’en enivre quand je plie les jambes pour emprisonner son visage entre mes cuisses pour lui en faciliter l’accès.

Sa langue sonde et s’insinue entre les lèvres lisses et chaudes de la chatte de sa maman, il me lape comme un chiot pour étancher sa soif.

Il plonge sa langue dans les profondeurs de mon vagin le plus loin qu’il le peut jusqu’à que ses lèvres s’écrasent sur la peau tendre, dégustant le miel qui suinte à l’odeur de musc exotique.

Je presse mon entrecuisse sur la figure de mon fils et des vagues de plaisir montent dans mes entrailles.

— Ouiiiii Prends mon clito, débusque le bout de chair, Oohh ouiiiii, làààà tu y essuce-le, mordille-leOOOoohhh, ouiiiii, dévore ma chatte comme une glace avec ta langue !

Il mâchouille cette excroissance qui c’est allongée sous les attaques répétées de sa langue. Il explore tous les recoins du cratère bouillonnant de sa mère.

Je ne peux plus me retenir, mon corps se tend et le volcan entre en éruption éjectant sa lave qui abreuve sa bouche et inonde son visage.

— Je viens.Oooh mon garçon faire jouir sa mamanAAAAHHHHhhhhh

Je retombe sur son corps, mes cuisses encore tremblantes libèrent sa tête, il en profite pour lécher très doucement ma chatte hypersensible en l’effleurant de ses lèvres.

Sa bite n’a jamais été aussi dure et ces couilles aussi gonflées. J’aurais voulu qu’il jouisse aussi à l’unisson

Je redescends sur terre et reprends ma sensuelle fellation qui se prolonge de longues minutes. Patrick sent son plaisir insensiblement augmenter au niveau de sa verge et de ses couilles. Mais il continue de plus belle à bouger sa langue à l’intérieur de ma chatte, recevant de nouveaux écoulements de cyprine qui emplissent sa bouche et qu’il avale goulûment.

Il lance son bas-ventre en avant, au-devant de cette affolante bouche qui lui apporte tant de plaisir. Chaque projection de sa bite en direction de mon visage s’accompagne d’un gémissement d’impatience. Quand je sens qu’il va exploser je m’arrête et attends que la pression retombe encore et encore.

Comprenant aux coups de rein et aux gémissements que pousse Patrick, que ce dernier approche enfin de l’orgasme libérateur, j’accélère alors ma voluptueuse fellation, voulant retrouver cette saveur particulière du sperme au fond de ma gorge.

Tout en suçant uniquement le gland incroyablement dilaté, je branle la partie de la queue qui se trouve hors de ma bouche. Ces deux caresses simultanées amènent Patrick à l’extase finale.

Dans un grognement inhumain de plaisir, Patrick en proie à une jouissance phénoménale décharge de longs jets dans ma cavité buccale, tandis que tout son corps se tétanise de la nuque aux pieds.

Mais je n’arrête pas ma fellation, j’aspire et je tourne avec rage ma langue autour de la tête de sa queue qui remplit ma bouche, avant de la prendre plus profondément jusqu’à ce que j’étouffe sous le volume impressionnant de sa semence qui noie ma bouche.

Des larmes commencent à couler de mes yeux lorsque la grosse tête chercheuse de Patrick enfoncée d’au moins 15 cm, frappe mes amygdales et glisse même dans ma gorge.

Je déguste ce gros morceau toujours raide de Patrick, le retire de ma bouche en déglutissant et lui annonce:

— Permets-moi de recommencer… pour ton plaisir. Je tiens moi aussi à te rendre très heureux!

Il approuve d’un léger mouvement de tête, un sourire béat sur les lèvres.

— Ohhh…Oui maman, putain que c’est bon ! T’es une vraie salope et j’adore !

J’ai besoin des deux mains pour jouer avec ta queue… elle est si longue…, ça c’est une vraie pine et c’est celle de mon fils!

 Je glisse à nouveau son gland congestionné entre mes lèvres et avec une légère hésitation englobe et pousse sa bite toujours en pleine érection dans ma bouche tout en frottant ma langue en dessous. Je le regarde les yeux brillants d’amour, puis lentement ma tête s’enfonce sur son pic jusqu’à ce que son gland vienne cogner au fond de ma gorge.

Patrick gémit encore plus fort dès que je recommence ma gorge profonde sur sa bite géante qui obture mes voix respiratoires, elle s’enfonce à chaque fois un peu plus loin.

Je retire ma main de la base de sa queue qui limitait la pénétration de ce chibre hors norme pour absorber les derniers centimètres les plus durs.

 De l’autre main je malaxe ses couilles que je sens lourdes et pleines.

Je suis en apnée totale mais réussis le challenge, mes lèvres s’écrasent sur son pubis

Je sens pulser son chibre et crois qu’il va jouir mais il résiste quinze minutes encore à ma fellation avant que je n’obtienne mon deuxième tribu de la journée de sa queue prête à exploser.

Je serre son gland entre mes dents attendant l’instant fatidique.

Je sens soudain ses bourses se contracter dans ma main, sa verge se raidir encore si c’est possible. Il n’est plus maître de son corps et ne peut retenir son foutre chaud qui jaillit dans ma bouche.

Je ne desserre pas les dents attendant le second jet de sa semence qui englue ma langue. J’avale comme je peux les bordées suivantes, une main sur sa verge qui l’astique furieusement sur toute sa longueur pour entretenir le débit. Jet après jet, Patrick comble mon fantasme avec son sperme si délicieux.

J’admire la quantité de foutre qu’il vient de me donner. Le volume est aussi conséquent que la première fois. Sa somptueuse bite vient de décharger des doses peu communes mais son endurance est telle que je sais que sa tige ne baissera pas pavillon avant un troisième rapport.

 Regardant sa teub à peine débandée je m’écrie.

-Ce n’est pas fini, bébé, tu es toujours à ma merci et je veux profiter de « mon gode XXL »! Maman va baiser avec toi, je vais utiliser cette matraque pour mon seul plaisir.

Les yeux fixés sur son bas-ventre ou repose cette verge orgueilleuse tant aimée, je positionne mon corps au-dessus de cet axe d’airain, le cur battant la chamade sous l’émotion qui me gagne. Je vais m’empaler sur mon fils chéri

Je ne peux attendre plus longtemps. A cheval sur lui, je baisse mes fesses et écrase sa verge contre les lèvres de ma chatte. Je prends son phallus en semi-érection dans ma main, me soulève un peu et je le guide vers ma fente.

Le gros gland bombé touche mon clitoris et je m’en caresse doucement en appuyant les lèvres de ma chatte sur son manche.

— Ooohhh !… maman est prête pour la grande queue de son bébé. Maman peut continuer ?

Aucun mot ne sort de sa bouche. Je me caresse un peu avec son gland redevenu énorme.

Je me place de façon à ce que les grandes lèvres de ma vulve abondamment lubrifiées viennent effleurer le gland et m’accroupis lentement sur son bas-ventre, m’empalant avec un plaisir infini sur le phénoménal pieu de chair.

Le plaisir est immédiat à la lente et voluptueuse pénétration de la tête chercheuse à l’intérieur de moi.

 Les terminaisons nerveuses de mon vagin me renvoient l’avancée de l’énorme bourgeon de chair à nouveau dilaté à l’intérieur de mes chairs intimes. Je gémis doucement, sentant les parois de ma chatte s’écarter au passage de ce manche de pioche qui continue sa progression avec lenteur comme la foule dans un col du tour de France.

 Je suis véritablement pleine de son sexe.

         

Je réalise alors que les grandes lèvres de ma vulve plaquent au pubis de Patrick, je viens d’engloutir la totalité de sa formidable verge !

Son gland a atteint le fond de mon vagin, heurtant le col de l’utérus.

                                                                                                                                                                Patrick n’a guère besoin de bouger tant la pression que mon corps exerce sur lui est grande. Je sens chacun des ses moindres tressaillements qui se répercutent dans sa colonne de chair. Je mouille tellement que mon jus coule et soudain j’explose, je hurle encore une folle un long cri inarticulé qui monte de tout mon corps.

 Mon vagin tellement étiré voudrait se contracter, des spasmes et encore des spasmes se succèdent dans mon bas-ventre, je jouis en une longue série de tremblements qui se suivent, prise d’une crise orgasmique qui n’en finit plus

J’ai finalement réussi à reprendre mes esprits. Mes muscles vaginaux compriment son pénis gonflé qui en repousse inexorablement les parois quand je m’écroule sur lui.

Je me dis que je suis une belle salope si fière de prendre tant de plaisir avec le gros engin de son fils.

Bizarrement me revient à l’esprit le moment où pour la première fois, j’ai emprisonné dans ma main la verge raidie de Patrick. Je ne savais pas que c’était lui mais je me souviens de l’insupportable envie de m’emparer de cette poutre hors norme, de l’incroyable plaisir d’une rare sensualité que j’ai éprouvé à branler ce jonc vigoureux.

Je sens son gros chibre me pénétrer si profondément et toucher des endroits qu’il est le seul à connaître.

Je m’abandonne à la luxure. Je le supplie :

— Oui !… Ouuui !… Encore !… Oh oui, j’aime ta bite, Ooouuuuiiii !… Oh, je te baise, mon chéri… Maman va te vider les couilles… Je vais te faire cracher, défonce-moi à fond !

Sa verge navigue dans une véritable fournaise gluante émettant un étrange bruit de succion. Mon plaisir devient de plus en plus éminent. Sentant la jouissance m’envahir, il se cambre pour m’embrocher, déclenchant mon orgasme, long bruyant profond

-Aaaaaagh ! Je jouis! Je jouuuuiiiiiiiis !"

Ma cyprine jaillit sur son manche, pendant que mon cul retombe sur ses cuisses musclées.

A cause des ses 2 jouissances rapprochées Patrick a les burnes fainéantes et il a fallu 30 minutes de chevauchée pour que je l’amène de nouveau à l’orgasme, les miens ne se comptant plus.

Je sens sa bite palpiter au plus profond de ma chatte affamée de sexe. Il est de nouveau prêt à me donner son foutre et je plaque mon cul le plus possible sur cet imposant bélier.

 Dans le même temps, je sens un autre orgasme énorme exploser à l’intérieur de moi et je l’implore.

— Jouis avec moi mon bébé, je veux ton sperme en moi, maman est en train de jouir… tire ta grosse charge, vas-y Patrick…en appuyant mes mains sur sa poitrine, plaquant brutalement mon sexe sur son manche.

Ma chatte explose dans l’orgasme, faisant jaillir ma mouille, mes parois internes se contractent autour de sa formidable queue.

Percevant l’accélération soudaine de ses ruades à l’intérieur de ma chatte et du souffle court de mon fils, je comprends que le moment est aussi venu pour lui. Il m’embroche d’un violent coup de reins, avant de s’immobiliser.

Je change d’avis et m’éjecte de sa queue que je prends solidement de ma main droite. Son troisième chargement de sperme jaillit hors de son merveilleux chibre comme un geyser puissant et incontrôlable en saccades répétitives, m’aspergeant copieusement avant que je dirige son chibre vers lui et crie de joie en voyant sa queue envoyer d’énormes quantités de sperme avec une pression ahurissante qui retombent sur son ventre, sa poitrine, son visage, maculant le mur de filets de foutre.

 Mon fils gémit de plus en plus fort continuant de se vider, son sperme macule tout son corps, quel spectacle!

Je monte sur lui et lèche longuement son corps pour recueillir sa semence jusqu’à la dernière goutte et finis en l’embrassant fougueusement.

Complètement hystérique, je vois sa bite mollir enfin mais je m’empale à nouveau pendant qu’elle est encore suffisamment gonflée et reprend ma course folle sur sa queue sans discontinuer et au bout de quelques minutes, oh miracle!

 Sa queue fatiguée relève de nouveau la tête

Mais j’ai pitié de lui et comme un bébé, je le nourris et l’abreuve toujours attaché, le laissant récupérer.

Je vais prendre une douche froide pour me donner un coup de fouet et retourne à la chambre.

Il somnole, on dirait que le temps fait une boucle. Que tout va recommencer depuis le début.

Je reprends les choses ou je les avais laissées jusqu’à ce que ma fellation lui redonne à nouveau une énième érection et c’est repartit.

Il m’a fallu toute la journée et tout mon art pour réussir à ce qu’il n’arrive plus à bander après sept, je dis bien SEPT jouissances consécutives de mon bébé.

J’avais enfin réussit à lui vider complètement les burnes !!!!

Mais comment peut-t-il faire ça ? Mon bébé est un véritable phénomène !

A suivre..

Je voudrais qu’il me sodomise mais j’ai de l’appréhension, je n’ai jamais connu de tels calibres dans mon petit trou !!! Que décider ?

Vous croyez que je peux le faire ?

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