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Histoire vrai d'une chienne – Chapitre 1




Je m’appelle Louisette, j’ai trente ans, et si j’ai pris la décision d’écrire, c’est à la demande de mon mari Daniel. Sans lui, je n’aurais jamais osé prendre l’initiative de mettre en ligne ma première expérience zoophile. A ce jour, j’ai à mon actif, pas mal d’aventures d’exhibitionnismes ou bien sexuelles avec un ou plusieurs partenaires des deux sexes. Une petite confidence, avant de vous conter mon récit, je suis érotomane.

Daniel connaît trop bien mes points faibles. D’abord, un petit verre d’alcool pour me faire perdre toute retenue puis, me dire que je suis épiée par un voyeur, cela suffisait à libérer mes sens les plus fous. C’est ce qu’il venait de mettre en marche, excitant ma libido déjà depuis de longues minutes sur les rapports zoophiles. J’avais certes compris où il voulait en venir, d’autant plus que Ralf, le chien du voisin nous rendait régulièrement visite quand nous déjeunions sur la terrasse à l’arrière de notre pavillon. De là à passer a l’acte, j’étais loin à cet instant de m’imaginer me pourvoyez avec un chien.

Mon regard s’était porté à plusieurs reprises sur le bas-ventre de l’animal, qui impassible attendait, de son côté sa gourmandise, à chaque fois qu’il nous honorait de sa visite. Je ne répondais plus à mon mari, tant mon esprit s’était mis au diapason de ses propos. Je sentais mon sexe n’humidifiait sous ma minijupe, unique pièce vestimentaire recouvrant mon corps. Quant à ma poitrine, je mourrais d’envie de me la caresser.

Mon excitation n’échappait pas à Daniel, et quand il me proposa juste pour voir quelle sensation ça faisait de toucher les parties génitales d’un chien, je m’accroupissais devant l’animal. Je savais que mon comportement était à bannir, mais je savais aussi que j’avais toute l’approbation de mon époux. Ma main glissa sous le ventre, s’empara délicatement du sexe canin, et comme aucune réaction de Ralph ne se produisait, je me mis à le masturber. Daniel avait saisit le bracque allemand par le collier et s’assurait de son consentement. Un peu surprise de voir apparaître entre mes doigts cette tige rouge et effilée, je marquais un temps d’arrêt, plus de satisfaction que d’étonnement.

« Salope, donne lui ta chatte à lécher », furent l’unique ordre qu’il me donna. Je venais de basculer vers le non retour. Je me redressais, retirais l’ultime vêtement qui me couvrait et tendis ma vulve au museau de Ralf. Il n’en fallut pas plus pour qu’il entame sur mon intimité un léchage en règle, qu’il prolongea sur ma raie culière après m’être penchée en avant, prenant appui sur la table. J’étais à la fois gênée et troublée de me retrouver dans une telle situation, mais comme attirait par un aimant, je ne parvenais pas à me dérober de ce magnétisme, d’autant plus que Ralf semblait visiblement apprécier mon anus. Son sexe, toujours bandé hors de sa gaine, me témoignait encore plus son désir de rut.

Je me sentais libérée de toute appréhension, l’esprit libre de toute contrainte, prête à me donner, comme si j’allais faire l’amour avec un être humain. Le vice l’emportait en moi sur toute autre réflexion, j’étais une chienne.

Dès que je fus à quatre pattes, Ralf bondit sur mon dos, il n’était plus question pour moi de me soustraire, et même si je l’avais voulu, je crois que cela n’aurait pas été envisageable. Tel un fauve, il s’était mit à me besogner sans ménagement, donnant des coups de reins désordonnés sur mon fessier. Si la main de mon mari n’était venue guider son membre dans mon vagin, je ne suis pas sûr qu’il serait parvenu à ses fins. Je mouillais tellement que, sa queue me pénétra entièrement au premier coup ajusté sur ma fente bâillante. Un coup, qui furent suivi de beaucoup d’autres, faisant à chacun d’eux enfler sa verge au fond de mon ventre. Plus question de m’interroger sur ma perversité, j’allais jouir sous les coups de boutoir du chien. J’avais compris, par sa fougue animale, qu’il était en période de chaleur et que, connaissant la bête, si je ne m’étais pas offerte à lui, jamais il n’aurait eu l’instinct suffisant pour me couvrir sans que au préalable il ne soit éduquer dans ce sens. Ses pattes antérieures n’enserraient la taille fermement, je sentais son souffle chaud sur mon cou, je me faisais saillir, j’étais sa femelle.

La suite, plus pénible, même si ma jouissance fut extrême, je me retrouvais coller au chien de longues minutes avant que nos deux corps se séparent. Daniel avait joui à plusieurs reprises devant cette scène immonde que je venais de lui offrir. Quant à moi, je dois l’avouer, j’avais malgré tout éprouvait du plaisir à ce monstrueux accouplement.

Tout cela s’est déroulée en mars 2009, depuis, je n’ai pu résister à la tentation de recommencer, chaque fois toujours un peu plus, pour le bonheur de nous deux, euh., je voulais dire de nous trois.

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