Chaque fois que je la voyais, j’avais envie de la prendre dans mes bras et de la sauter comme la salope qu’elle devait être, du moins je le souhaitais. Légèrement empâtée, elle avait des nichons incroyables : ronds bien gros, doux et qui tressautaient tout le temps quand elle bougeait. J’avais vraiment envie de la baiser, mais c’était ma tante.
J’avais quinze ans, elle en avais quarante six. Mais qu’elle était excitante ! ! ! J’avais envie d’elle, de lui faire les pires des saloperies. De la baiser, de l’ enculer, d’ en faire une vraie pute, un véritable vide-couille pour tous ceux qui souhaiteraient juter dans sa chatte, son cul, sa gueule ou sur son corps . Mais le voudrait-elle ? Etait-elle aussi salope que je l’espérais ? Il est vrai que son divorce fût prononcé à ses torts pour adultères, plusieurs fois elle avait été soupçonnée de tromper son mari, et par deux fois elle avait été attrapée. Dans sa voiture avec un homme la première fois, et dans un bois avec trois hommes et une de ses amies la deuxième. Son amie était aussi belle qu’elle et je fantasmais aussi sur elle. Si je pouvais me les faire toutes les deux ……
Et puis les choses passent et les années aussi. Les regrets restent de ce qui ne s’est pas fait. Mais parfois la chance arrive et les choses auxquelles on ne pensait plus reviennent se rappeler à nous et alors tout peut arriver.
Quand je l’ai vue au détour d’une rue, je me suis dit que les ans n’avaient pas de prise sur elle. Ma tante Nicole était là, à deux mètres de moi, toujours aussi belle quoiqu’ un peu plus ronde, mais que ces rondeurs lui allaient bien. Elle ne m’avait pas vu et, quand elle se tourna pour répondre à mon appel, je vis son visage s’ouvrir et refléter la joie de me revoir. Elle se jeta dans mes bras tendus et un profond baiser unit nos bouches. Sa langue chercha et trouva ma langue. Elle s’arracha brusquement à cette étreinte :
-Pardonne moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, dit elle en rougissant.
-Mais il n’ y a pas de quoi, c’est tellement agréable.
-Vraiment ?
-Mais oui j’ai tellement rêvé à ce baiser quand j’étais plus jeune. Et si ce n’était que ça.
-Ah bon et quoi d’autre, répondit-elle en un sourire plein de promesses ?
-Des baisers, des caresses, des léchouilles; sur tes joues, sur ton corps, sur tes lèvres, sur tes seins, sur ton ventre, tes cuisses et ton minou…
-Tu rêvais de tout cela ? Pourquoi n’as-tu rien dit alors ?
-Peur de prendre une veste sans doute, et tu es la soeur de maman.
-Tu sais c’est agréable de se sentir désirée. Et je ne t’aurais pas dit non ….souffla-t-elle. J’ai toujours aimé les jeunes queues et les petits puceaux.
-Dommage que je ne sois plus puceau, je t’aurais invitée.
-Mais tu as une jeune queue. Tu me la prêterais ?
-Mais elle est toute à toi, si tu la veux.
-C’ est vrai ? Tu as le temps, là, j’ai ma voiture à deux pas. Je t’emmène chez moi. Tu veux bien ?
-Si je veux ? Bien sûr. Allons-y.
Nos bras autour de nos tailles nous arrivâmes à sa voiture. Sa 206 est une petite auto, ce qui rapproche les corps. À peine avait elle démarré que je posai ma main sur sa cuisse nue elle sourit en disant:
-Ne soit pas si pressé mon chéri ….
-Il y a si longtemps que j’espère cela Tatie que je ne peux pas attendre.
-Alors vas y mon petit chéri caresse moi bien, reprit elle en ouvrant ses cuisses pleines.
Ma main, caressante remonta sous sa jupe et trouva sa culotte qui commençait à être légèrement humide.
-Tu mouilles Tatie ?
-Oui…
D’un doigt j’écartai sa culotte et ma main se plaqua sur sa chatte poilue. Je trouvais sa grotte mouillée dans laquelle deux doigts pénétrèrent ;
-Arrête mon chéri !!! C’est dangereux !!!
-D’ accord ma tante, répondis je en libérant sa bonne chatte.
-On arrive mon petit chéri.
Nous arrivâmes devant un joli pavillon où elle se gara :
-C’ est là que j’habite avec mon mari. Il est au travail et nous avons le temps de faire ce que nous voulons. Viens entre. Elle me conduisit à son salon, et en défaisant les boutons de sa jupe, elle me dit :
-Déshabilles toi mon chéri, montre moi vite ta bite.
En quelques secondes elle fût nue devant moi. Quelle femme !! Des nichons énormes et si doux, des hanches au galbe parfait, un cul de jument qui appelait à la sodomie. Et ce regard de vraie salope.
-Tu as l’air d’une pute, lui dis je.
-Et pas que l’air, tu vas voir, mon salop !!
Elle tomba à genoux devant moi et prit ma queue dans ses lèvres en l’aspirant fort.
-Oh oui, suce moi la bite. Fais moi juter dans ta bouche, salope, tu vas boire mon jus de couilles. Vas y, vas y fort.
-Hmmm!! huumm!!
-Allez avale mon foutre vieille pute.. Je vais juter … Aaarrgg !! Je viens. Tiens tiens salope bois, avale tout régale toi …..
-Hmmm !!! mmiaammmm !!! Oh que c’est bon …. J’ai tout avalé mon petit neveu chéri. Qu’il est bon ton foutre dans ma gueule de salope ……. .
-C’ était mieux que dans mes rêves tatie chérie. Je t’ai juté dans la bouche et tu as tout avalé. Tu es merveilleuse. Viens que je te bouffe la chatte.
-Oh oui mon chéri, suce moi le bouton.
Ma tante s’allongea sur le canapé, elle écarta les cuisses et à l’aide de ses mains elle ouvrit sa grosse chatte.
-Lèche moi mon petit cochon ; vite lèche moi la chatte.
Ma langue jouait dans son con. Je léchais chaque parcelle de son huître baveuse, elle respirait fort et gémissait de même. Soudain elle se tendit et se mis à râler et dans un cri, elle jouit …..
-Arrête !!! Arrête !!! Baise moi !!! Mets moi ta queue mon petit chéri, mets moi la. Allez, baise moi vite!!!! Ta queue !!!! Ta bitte !!! Ta bonne bitte dans ma cramouille mon petit amour.
Et je m’enfonçai en elle ma queue écarta sa chatte qui s’ouvrait, accueillante, se laissant emplir par mon membre qui avait repris facilement sa vigueur devant cette femme magnifique. Mes mouvements de vas et vient durèrent longtemps et je la sentis jouir plusieurs fois, jusqu’ à ce que, brusquement :
-Oh chéri, oh je me pisse dessus !!! Oh que c’est bon. Merci mon amour, cria-t-elle en se serrant très fort contre moi.
Je m’écartais d’elle désirant aller encore plus loin avec elle. Après de nombreux bisous, je lui dis en caressant sa belle large croupe :
-Tatie, j’ai très envie de t’enculer. Mets toi à quatre pattes, écarte toi le trou du cul.
-Oh mon petit amour tu es très vicieux. Moi aussi j’ai envie que tu me prennes le cul. Viens mon petit neveu, encules moi.
Elle se positionna à quatre pattes et de ses mains, elle écarta fortement ses larges fesses me montrant en plus de sa chatte écartée et baveuse, l’étoile brune délimitant son trou du cul palpitant.
J’approchais ma bitte de son derrière et appuyais le gland sur l’orifice de son ampoule anale.
-Vas-y mon petit chéri, encule moi, casse moi le cul. Enfonce ta grosse bite.
Guidé par ses paroles je forçait sur sa rondelle qui lentement s’ouvrait et mon chibre commença sa progression dans son anus. J’enculais ma tante à sec, mieux que dans mes rêves.
-Aïee aïe ça fait mal, tu vas me déchirer le cul salaud, ouuaahh ; mais que c’est bon mon chéri. Vas y encule bien ta salope de tante. Viens jouis dans mon trou du cul, graisse moi les boyaux. Oui oui oui c’est bon.
Et mon foutre jaillit avec force dans son anus. Je n’en pouvait plus, elle non plus. Mais le temps avait passé très vite, et je dus repartir.
-Reviens me voir vite mon petit chéri, j’ai beaucoup aimé nos retrouvailles.
-Lundi ? Je peux ?
-Oui, lundi bien sûr viens à quatorze heures d’ accord ?
-D’ accord, tatie chérie.
Ces trois jours passèrent sans que je puisse venir voir ma tante. Trois longs jours pendant lesquels j’ai pensé à elle et à ce que nous avions fait. Puis je lui téléphonais ce lundi en lui disant :
-Ma tante, cet après-midi j’ai envie de quelque chose de spécial.
-Quoi donc mon petit chéri ?
-Je ne sais pas vraiment. À toi de trouver. Et que ce soit spécial, sinon je serai déçu.
-D’ accord, je vais chercher.
-Et trouver ….. Sinon c’est moi qui propose.
-Oh oui répondît elle. Propose, toi.
-D’ accord, mais es-tu prête à tout ?
-Si ce n’est pas du S.M. D’ accord, je veux bien tout ce que tu veux.
-Bien. Prépare toi à bien jouir.
Je raccrochai le téléphone avec ma petite idée derrière la tête . Michel, mon meilleur ami, allait être de la fête.