Je tenais son visage une main sur chaque tempes et me vidais par puissantes saccades au fond de sa bouche. Au bout de trois jets, que je sentais puissants, je me retirais assez pour ne pas quelle sétouffe. Les dernières giclées, terminées à la main, allaient asperger son visage, une paupière et ses cheveux puis, barbouillant au passage une joue, allait ruisseler jusquau menton, doù pendait maintenant un filet laiteux et gluant.
Je lui dis alors:
– Tu mas bien reçu! Je tavais prévenu, mais tu mas gardé! Jai bien vidé mes couilles! Ouvre ta bouche! Fais-moi voir ma purée!
Elle se releva, le visage largement maculé de sperme, me fixa dans les yeux en ouvrant la bouche en grand. Sa langue était bien blanche de crème laiteuse un peu épaisse. Mes giclées avaient vraiment été puissantes. Elle en avait gardé beaucoup en bouche et ses lèvres étaient liées par des petits filets blancs collants. Mais contre toute attente, elle referma alors la bouche et commença à déglutir, toujours en me regardant et en souriant. Puis elle reprit ma bite en bouche pour achever son « travail »! Je me dégageais et mabaissais pour lembrasser et tenter de lui reprendre une partie de ma semence. Après tout cétait à moi! Elle en fut toute surprise mais ne partagea pas grand chose, bien que le baiser fût long, baveux et super collant.
Elle me dit après:
– Le sperme que javais goûté avant ne mavait pas plu mais le tien est vraiment agréable. Cest une découverte. Jen ai avalé quand même, pas mal. Les premiers jets je ne pouvais pas y échapper! Et jai vraiment bien aimé! Mais te sentir exploser, et ma bouche se remplir, ça cest super excitant! ça m’a fait mouiller terrible!
Puis, après une pause:
– Mais toi? Tu las déjà goûté, ton sperme?
– Oui! Et toi? As-tu goûté ta liqueur? Moi, jai même goûté celui dun ami. Alors, si tu aimes, la prochaine fois, tu avaleras tout, ma belle?
– Oui jai déjà goûté mon jus en léchant mes doigts. Cest pas terrible Mais visiblement tu aimes, toi. La prochaine fois, jaimerais bien que tu viennes en moi, jaimerais te sentir jouir en moi.
Puis marquant une pose:
— Tu as donc déjà sucé un garçon? Et tu as aimé?
Je linvitais à me suivre dans la salle deau, pour se passer un gant de toilette, elle sur le visage, moi sur ma verge.
Lidée de voir deux garçons se lécher, semblait lémoustiller.
– Oui, jai un copain de cur. Nous sommes très amis depuis longtemps, en absolue confiance et nous sommes allés ensemble aux sports dhiver en février. Et un jour, en rentrant du ski, va savoir ce quil y avait dans lair, il est sorti nu du bain, alors que jallais me plonger dans la baignoire. Nous avons senti comme quelque chose dindéfinissable. Lorsque je suis ressorti du bain, il ne sétait pas rhabillé, était étendu nu sur le lit, et sa belle verge avait un beau début dérection. Je me suis approché, lai prise dans ma main, ce qui ma fait bander et jai commencé à la sucer.
Après une toilette de chat pour enlever les dernières traces de ma jouissance, nous nous étions rallongés et avions rabattu la couette sur nous. Marie-Claire se serrait contre moi, et menserrait dun bras.
– Alors, raconte, continue. Lui ne te faisait rien?
– Si! En fait je me suis allongé contre lui mais nous étions tête bêche et il a également pris ma verge dans sa bouche. Cétait délicieux
– Comme moi?
– Te vexes pas. Oui, presque aussi bon. Mais nous ne nous disions rien. Linstant était magique. Chacun cherchait en fait, à faire plaisir à lautre. Nous nous caressions gauchement en même temps. Sa peau est très douce, il est mince, à la limite dêtre maigre. Peut être sétait il excité avant que je sorte du bain, sa queue était bien plus grosse et longue que la mienne. Il est venu assez vite dans ma bouche. Il a à peine tenté de se dégager, mais je le tenais fermement, et sa verge était assez imposante pour ne pas méchapper. Des giclées assez puissantes dun sperme très onctueux qui ma paru salé-sucré.
Je ne voulais pas le lâcher, je déglutissais aussi vite que je pouvais, à chaque giclée. Mon excitation était à son comble, mais je ne voulais pas jouir tout de suite. Sentant quil redevenait flaccide, je lai abandonné et je me suis assis en tailleur. Il ma repris dans sa bouche. Je contemplais son visage, sa joue bleue dune barbe du soir qui se creusait au rythme des succions. Je caressais sa nuque à travers ses cheveux longs. Je contemplais ma bite qui disparaissait alternativement dans sa bouche. Je le prévins que jallais jouir. Sil navait pas voulu me recevoir dans sa bouche, je ne me serais pas formalisé, mais il a continué avec plus de vigueur, ma fait jouir très fort, ma pompé complètement, ma bu, puis a abandonné mon sexe et nous nous sommes embrassés. Cétait étrange, javais encore son goût dans ma bouche et lui le mien dans la sienne. Alors, seulement alors, nous nous sommes parlés.
Marie-Claire était vraiment collée à moi, et de sa main droite commençait à jouer avec ma verge.
-Et que vous êtes-vous dit?
-Que cétait étrange, que tous les deux, sans rien dire, nous avions senti que cétait inévitable, que cétait dans lair. Pas plus lun que lautre nous ne nous définissons comme homo, ni hétéro, ni bi non plus dailleurs. Nous avons eu envie de lautre comme un coup de foudre, et nous avons aimé tous les deux. Nous nous sommes de nouveau caressé, embrassé, léché, sucé mais sans chercher à finaliser quoi que ce soit. Et nous nous sommes écroulés de fatigue.
Je rebandais à présent dans la main de Marie-Claire, elle me masturbait doucement.
Je me tournais légèrement vers elle et allais glisser ma main entre ses cuisses quelle écarta immédiatement. Mes doigts trouvaient aisément sa vulve de nouveau bien mouillée. Visiblement mon aventure, mon histoire lexcitait beaucoup.
-Tu le revois souvent?
-Oui, très souvent. Nous travaillons dans le même secteur. Je dois même le voir demain.
-Ah oui, où ça? Au boulot?
-Non, on avait prévu de manger ensemble dans un petit restau, pour discuter. Tu veux venir?
-Ben, javais un rancard avec Joël mais je vais écourter!
-Tes sûre? Notre discussion risque de te gonfler.
-Vous nallez pas parler que de boulot? Vous avez autre chose dans la vie. Le ciné, les vacances, la preuve!
-Et après? Toi, tu as une arrière-pensée.
Mes caresses comme les siennes, sétaient faites plus précises et plus insistantes.
-Ben non! À moins que tu linvites à prendre un dernier verre chez toi.
-Un dernier verre? Tu es sûre que cest à ça que tu penses?
Mappuyant sur un coude je me haussais sur elle, mimposant entre ses jambes. Elle guida ma verge quelle avait gardée en main dans sa vulve. Je la sentis sépanouir doucement sous ma poussée. Elle était chaude, étroite, très accueillante cependant. Elle eut un gros soupir nasal lorsque je menfonçais plus profond, et remonta ses genoux pour faciliter ma pénétration. Je commençais à aller et venir doucement en elle. Elle maccompagnait de petits « han, han » étouffés et cramponnait bien ses mains sur mes fesses. Ses seins durcis irradiaient ma poitrine. Je lembrassais, puis elle membrassait, nos langues passant dune bouche à lautre. Puis abandonnant sa bouche, tout en la fourrageant avec ma queue raide, je lui parlais doucement à loreille:
-Tu aimerais nous voir nous caresser, hein?
Pas de réponse, simplement le bruit de nos respirations.
-Tu aimerais nous voir nous sucer? Hein?
Un « hen hen » faible qui ressemblait à un oui me répondit.
-Tu voudrais me voir sucer un garçon devant toi! Le voir plonger sa bite dans ma bouche!
Ce nétait plus une question, mais une affirmation. Je ponctuais chaque phrase dun coup de reins au fond de son étui bouillant.
Elle me répondit:
-Oui jaimerais bien vous voir vous sucer et vous caresser!
-Ça texciterait de me voire pomper une queue bien raide et gonflée, mais tu serais jalouse. Je tai dis quil avait une très belle queue, tu aurais peut être envie de la sucer toi aussi? Ou de la sentir senfiler dans ta chatte?
-Oui jaurais certainement envie de la goûter!
Le « oui » était désormais franc et plus fort. Je sentais que son excitation montait. Ses muscles serraient fortement ma queue.
-Sil vient ici, il naura peut être pas envie de moi, mais de toi! Et moi je ne pourrais pas rester simple spectateur! Que vais-je faire? Si tu le suces devant moi, je vais bander. Jessaierai daller planter ma queue dans ta chatte, tu ne crois pas? Et sil te fourre sa grosse queue, car il a une grosse queue, pour écarteler ta petite chatte étroite, je le regarderais te pilonner et je mimposerais dans ta bouche, Et lui! Tu imagines son excitation, voir un frère et une sur baiser ensemble! Me regarder en gros plan tenfiler sur ma bite, ou en train de lécher ta chatte?
-Oui, oui, jaimerais
Ses reins sétaient mis à vibrer en cadence, elle cramponnait mon dos, en plantant ses ongles. Cétait légèrement douloureux, mais je ne tentais pas de relâcher létreinte.
Je métais redressé sur mes avant-bras pour contempler ses petits seins blancs qui tressautaient à chaque coup de queue. Jadmirais ma bite qui sengloutissait dans son triangle brun entre les petites lèvres roses.
-Tu seras prise de partout ma belle, deux garçons en toi! Quatre mains, deux bites et
-Oui, oui, je viens, je. jouis.Ouuuiiiiii!
Avant que je termine ma phrase, elle se cabra, me soulevant littéralement, puis retomba, les yeux évaporés. Elle eut encore quelques hoquets. Elle était superbe dans le plaisir. Jétais terriblement excité. Alors quelle sortait à peine de sa petite mort, je la prévins:
-Tu es belle quand tu jouis, mais je suis trop excité, je vais venir moi aussi. Tu mas trop excité! Cest trop fort!
-Oui, viens! Jouis!
-Je vais jouir en toi, petite sur, je vais vider mes couilles dans ta belle chatte gourmande, je viens, je vais gicl Ohhhhhhh!
-Oui! Viens! Laisses toi aller! Vides toi! Oh tu es beau! Tu es beau! Cest bon!
Jétais secoué de violents spasmes, tout mon corps se vidait dans son étroit aven bouillant, ma verge était baguée dun anneau tendre et musclé et ses caresses effaçaient les griffures. Je retombais bientôt, fourbu, vidé, anéanti sur elle. Je sentais ses mains qui parcourraient tout mon corps frissonnant et sa voix à loreille qui me disait:
-Tu es beau, tu es très beau quand tu jouis. Cest bon, cest très bon, tu sais! Cest un aveu terrible, mais mon frère est mon meilleur amant!
Nous restâmes ainsi assez longtemps, puis je me dégageais delle, la caressais doucement et lembrassais tendrement sur lépaule. Je réalisais au bout de quelques minutes quelle sétait endormie.