– Ô Amjad, qu’est-ce que tu me fais ! C’est trop bon.
– Tu aimes ?
– Ô oui mon amour, continue !
Et sa langue, merveilleusement agile, faisait de tels mouvements entre mes deux globes fessiers que je ne pouvais déjà plus qu’en gémir de plaisir. Sa barbe, rasée depuis presque 24 heures, était déjà rêche et ses picotements sur mes fesses augmentaient ma jouissance.
– Moins fort ! Me dit-il. Les cloisons ne sont peut-être pas épaisses, on pourrait nous entendre.
– J’vais essayer mais c’est tellement bon…. viens sur moi, que je t’en fasse autant !
Il se mit donc sur moi en 69. Je repliai mes jambes pour bien lui présenter mon cul alors que lui n’avait qu’à écarter les siennes de part et d’autre de ma tête pour me dévoiler en zoom ces splendeurs que j’avais aperçues dans le bureau des douanes, ces beaux roustons, son énorme sexe tendu, sa peau brune et lisse comme du satin, son cul idéalement musclé.
– Mon Dieu, ta queue est vraiment énorme !
– La tienne n’a pas l’air mal non plus ! Elle fait combien ?
– 16 cm. Et la tienne ?
– 21 !
– Ouah ! Et le diamètre ?
– A peu près 16.
– Ouf ! C’est colossal !
Et je me mis à lui lécher les boules puis je me dirigeai vers l’anus. Au moment où je commençai à le découvrir avec la langue, il m’interrompit, tout en serrant fort ma bite d’une main.
– Tu sais, tout à l’heure à la douane…
– Oui ?
– Quand ils ont commencé à me doigter, ils y sont allés violemment et je me suis sentis violé…
– Moi aussi.
– Pour le supporter, je me suis imaginé que c’était toi qui le faisait. J’ai fantasmé sur tes doigts, ta bouche…
– Et moi, j’étais si mal de les voir te le faire. Je me sentais si responsable de t’avoir emmené dans ce voyage. Je me sentais fautif.
– Mais maintenant on est là tous les deux et on s’aime et on les emmerde ces deux connards. Dans le fond, ils nous ont permis de nous désinhiber et on n’en serait peut-être pas là ce soir sans eux…
– Oui mon amour.
Et nous reprîmes nos caresses et nos baisers.
Au bout d’un moment, je lui dis de venir sur moi. J’écartais les jambes et il se déposa délicatement sur mon corps, effleurant mon sexe du sien tout d’abord, puis se couchant tout à fait dessus, bandaison contre bandaison, puis je reçus toute sa masse sur moi. Je refermai bras et jambes sur lui et nous nous embrassâmes dans la plus langoureuse et la plus belle des étreintes. Mes mains découvraient chaque parcelle de son corps, le moindre muscle, le moindre grain de beauté, la moindre veine saillant sous la peau… . Il bougeait lentement, cherchant mon cou, ma bouche, mon front, mon nez.. avec ses lèvres.
De temps en temps, il s’arrêtait et plongeait son regard dans le mien. Ses yeux noisettes étaient de la douceur de ceux d’un faon et nous nous murmurions à ce moment là de petits mots tendres d’une niaiserie profonde mais d’une absolue vérité cependant. Chaque mot, chaque parole était ressenti.
Puis j’écartai un peu plus les jambes tout en les remontant pour, autant que son poids le permît, lui offrir mon trou. Il le comprit et son gland vint délicatement frotter sur ma rondelle.
– Sodomise-moi mon amour.
– Tu veux vraiment ?
– Oui.
– Tu as du gel ?
– Non.
– J’en ai.
Il se retira le temps de fouiller dans ses affaires.
– Qu’est-ce que tu fais ?
– Je prends le préso.
– Ecoute… moi, j’suis clean…alors si tu l’es aussi…
– Oui… oui…je le suis aussi… mais, tu es sûr ?
– Si tu me dis que tu l’es, j’ai pleine confiance en toi…. je t’aime et si tu m’aimes comme tu le dis…
– ô oui je t’aime ! Moi aussi…
– Alors pourquoi attendre ? Nous y viendrons tôt ou tard.
— Tu as raison.
Ceci posé, il se mit au travail. Avec infiniment de tact et, bien sûr, de doigté, il me lubrifia le trou puis, quand j’eus trouvé la position idéale, il commença à me pénétrer mais, si précautionneusement qu’il s’y prît, l’énorme morceau me déchirait l’anus.
– J’te fais mal ?
– T’inquiète, ça va le faire.
– Tu me dis hein ?
– Oui, attends là, ouf, douloureux… t’es quand même sacré bien membré… Et puis j’ai pas bien l’habitude. Depuis mon divorce, j’ai dû le faire six ou sept fois seulement…attends, on va faire autrement. Mets toi sur le dos.
– Comme ça ?
– Oui… j’vais m’empaler sur toi… Comme ça je vais mieux contrôler.
A mon tour, je me relubrifiai et astiquai aussi à fond la gigantesque colonne. Je me mis à genoux, face à mon nouvel amant et je plaçai ma rondelle à l’extrémité de sa pine que je tins fermement jusqu’au moment où le gland disparut dans mes fesses. Après quoi, je n’eus plus qu’à me laisser glisser progressivement, en remontant dès que la douleur était trop forte puis en redescendant toujours plus bas. J’obtins rapidement des résultats et je me mis à aller et venir avec ardeur. Alors nous changeâmes un peu de posture. Je le laissai s’asseoir pour m’asseoir sur sa queue et passer mes jambes croisées derrière lui. Ainsi, nous pûmes nous galocher et nous caresser toutes les parties du corps. Je faisais tous les mouvements, dans tous les sens, à mon rythme. Je n’ai jamais rien connu de pareil. Nous étions en fusion l’un dans l’autre. Légèrement surélevé par rapport à lui, je pouvais enserrer sa tête, la maintenir contre mes épaules ou me relâcher et me pencher pour l’embrasser à bouche-que veux-tu. Combien de temps sommes nous restés dans cette position, je l’ignore, mais cela a été le plus beau moment de ma vie sexuelle.
J’étais au comble du bonheur. Mon orgasme se rapprochait à grand pas.
– J’vais jouir Amjad, j’vais jouir.
– Oh non, pas déjà…
– Oh si mon amour… si Laisse moi éjaculer ainsi, tout contre toi.
D’ailleurs il était trop tard. Ma queue plaquée contre ses abdos explosa dans une abondance de foutre pendant que je me cramponnait à lui en essayant de gémir le plus discrètement possible pour n’être pas entendu de l’extérieur.
Je restai quelques instants contre lui. Le sperme ruisselait sur son pubis et arrivait sur ses cuisses.
– C’était trop bon mon amour… trop bon… je n’ai jamais joui comme cela.
– Donne-moi ton sperme Emilien !
– Quoi ?
– Donne-moi ton sperme.
– Non c’est pas ça!
– Quoi ?
– Redis -le !
– Donne-moi ton sperme ?
– Non, mon prénom. C’est la première fois que tu m’appelles par mon prénom.
On me trouvera peut-être un peu fleur bleu mais être appelé par son prénom pour la première fois par l’homme qu’on aime, surtout dans ces circonstances là, c’est un moment unique, privilégié. C’est faire l’Amour oui, avec un grand A.
– Emilien, Emilien chéri, Emilien que j’aime, mon Emilien adoré, mets ta main dans ton sperme. Je veux le lécher. Je veux tout prendre de toi mon Emilien chéri.
Au comble du bonheur, sans être capable de la moindre volonté, prêt à tout pour lui obéir, je m’écartai un peu de lui, mais tout en restant bien planté sur sa queue.
Sur mes poils pubiens, sur les siens, partout où je le pus, je récoltai ma semence. Il me suça les doigts et ensuite il m’embrassa à pleine goulée. Je n’avais jamais rien fait de tel avant et cela me parut délicieux. Il s’allongea. J’en fis autant sur lui et il se mit alors à me biter aussi fort que le poids de mon corps le lui permettait.
D’habitude, après l’amour, je m’arrête. Mais là, j’en voulais tellement. Alors je me soulevai. Je regardai son pénis luisant et l’avalai relevant ce goût indéfinissable de la pine qui sort du trou que j’appris à connaître de ce jour, celui de mes sécrétions anales car je mouillais abondamment.
Puis je me mis à quatre pattes sur le lit mais suffisamment au bord pour qu’il pût m’enfiler debout en fléchissant un peu les jambes.
Il me bourra à fond en restant collé le plus possible contre moi, sa queue restant le plus possible dans ma chatte; ses mains tendues agrippaient le rebord de son lit en mezzanine ou il les posait sur mes reins, sur mes épaules, me tenait par les hanches, les mettait sur le lit pour se stabiliser dans ses mouvements contre mon cul. Comme il est remarquablement endurant cela se prolongea, se prolongea jusqu’à m’épuiser. Il parlait à voix basse:
– Ton cul est trop bon… comme j’aime te prendre mon amour. J’suis bien dans tes fesses… j’aime trop te bourrer… ton corps est chaud et doux.
et quand je pouvais reprendre mon souffle, je l’encourageais.
– Vas-y… prends-moi…. bourre-moi… lime-moi comme une chienne… j’suis à toi, complètement à toi. Fais ce que tu veux avec ta bite. Enfonce-la-moi toute… Vas-y mon Amjad chéri.
Cela l’encouragea à me parler un peu plus brusquement.
– Tu l’aimes ma queue, hein ? t’aime que j’te prenne. Tu t’retiens pour pas couiner hein, mais t’aime que j’te déboîte. Tu l’aimes la grosse queue de ton Amjad chéri qui te déchire bien le cul là ?
– Oui mon trésor, continue.
Et puis je le sentis se crisper, il m’attrapa par les épaules pour donner d’ultimes et violent coups de reins et me l’enfoncer plus encore en m’arrachant un cri de douleur.
Je sentis son sperme se répandre en moi. Quand les pulsations de la bite s’arrêtèrent, il se pencha sur moi m’emprisonnant dans ses bras puissants et posant sa tête contre mes omoplates et sa main droite sur mon épaule droite, en un geste plein d’affection et de tendresse, en déposant des petits bisous sur mon dos et en murmurant des mots d’amour. Sa puissance, sa chaleur, sa sueur, tout m’hypnotisait. Je lui étais totalement soumis. Je finis par m’affaler sous son poids. Il se retira, me lécha le fion et me retourna pour me rouler une pelle, puis il se mit, à côté de moi sur le dos.
Pendant, un long moment il ne se passa rien. Je sentais encore sa forte respiration, les restes de son effort athlétique pour me transporter dans des transes inconnues.
Un tas de choses se passaient dans ma tête. Je me disais que j’étais irresponsable, qu’il était trop jeune, que demain il m’aurait oublié et je résolus de lui faire part de mes doutes.
– A quoi penses-tu, lui dis-je ? En espérant ainsi entamer la conversation.
Il se retourna, regrimpa sur moi, son sexe mou contre le mien. A nouveau son parfum me saisit. C’est tellement indéfinissable un parfum d’homme, ce mélange de virilité, presque de bestialité parfois mais des effluves agréables pourtant qui ne heurtèrent pas mes narines, au contraire. Son parfum à lui, après l’amour, après le sueur, après le rut, son inoubliable parfum… J’inspirais à fond pour en garder la mémoire pour l’éternité.
Il déposa un tout petit baiser sur ma bouche et ses lèvres frôlant à peine les miennes, il susurra.
– Ne dis rien. Il ne faut rien dire. Je t’aime. C’est la seule chose qui compte et je sais que tu m’aimes aussi car tu n’aurais pas pris le risque que tu viens de prendre en faisant l’amour avec moi. Tu m’as donné une magnifique preuve d’amour. Je t’aime et c’est le plus beau jour de ma vie. Ne dis rien. L’instant est sacré. Nous parlerons demain. Pour le moment, je veux seulement dormir avec toi, dans tes bras et me réveiller avec toi demain. Tu es mon amour, chut !
– Tu as raison. Je t’aime.
Alors je l’embrassai encore délicatement, puis il glissa un peu pour me dégager de son emprise, se posant à côté de moi, sa main puissance et douce sur mon sein et il s’endormit paisiblement alors que moi, dans le silence de cette nuit magnifique, je pleurai de bonheur.
A suivre