Elodie est une amie de longue date. Nous nous connaissons depuis le lycée, ce qui fait donc presque quinze ans quon se connait.
A cette époque, jétais, comme tous les gars de la bande de potes que nous étions, tombé amoureux delle. Avec le temps, cet amour de jeunesse mest passé. Ce fut un de mes amis qui eut la chance de vivre une belle histoire damour avec elle.
Malgré tout, je reste un homme, et Elodie est restée une fille, puis une femme que jai toujours désirée physiquement. Mais le temps passant, jai fini par me dire que ça ne se fera jamais. Elle a fini par sinstaller avec Jonathan, ils ont eu un fils et se sont mariés.
Avec ma vie professionnelle, je suis souvent amené à partir à létranger pour de longues périodes. Revenant de mon dernier voyage, jappelle Jonathan pour avoir des nouvelles, savoir si on pourra profiter de mes vacances pour se voir tous. Il mapprend à ce moment là quElodie et lui vont se séparer. Jécoute son récit et appelle Elodie sitôt après avoir raccroché. Jai les deux sons de cloches, mais après, ça ne me regarde pas plus que ça, cest leur vie. Je ne prendrais pas parti.
Durant mes vacances, parachutiste sportif, je me rends à Vannes pour participer à un boogie. Le temps est mauvais mais au moins, jai pu minscrire. Le soir, je me rends près de Lorient pour passer la soirée et la nuit chez mes amis Elodie et Jonathan qui vivent encore ensemble. Notre ami Geoffrey est également invité. On dîne dans une ambiance décontractée. Avant daller se coucher, ils mindiquent où se trouve le café, les bols et tout ce quil faut pour le petit-déjeuner. Etant donné que je vais partir bien avant leur réveil pour aller sauter.
Le matin, je me lève et prends mon petit-déjeuner. Je prends mes sacs pour partir. Au moment où jouvre la porte, le chien de Jonathan sort en courant. Je lappelle pour lui intimer lordre de rentrer mais ce nigaud senfuit. Je me retrouve debout devant la maison de mes amis sans savoir quoi faire durant deux minutes. Je décide finalement daller réveiller Jonathan pour le prévenir.
En entrant dans la chambre que mes deux amis partagent encore, il fait si noir que je ne peux même pas deviner qui est qui. Jappelle doucement.
« Jo JoJo. »
Finalement, une voix me répond, mais ce nest pas Jonathan. Mes yeux sétant habitués à lobscurité, je devine Elodie allongée sur la droite du lit, et je remarque vite quelle a le dos nu. Je lui explique le problème.
« Jarrive, soupire-t-elle. »
Je lattends dans le couloir. Elle surgit de la chambre quelques secondes plus tard, couverte de sa robe de chambre de satin rouge à fleurs. Elle va à la salle de bain et comme elle me demande ce quil sest passé plus en détail, je reste dans le couloir. Elle shabille devant moi sans aucune gêne. Dabord, je ne vois que sa culotte beige. Elle a toujours sa robe de chambre et quoique ses mouvements laient entrouverte, je ne vois pas encore sa petite poitrine qui, je le sais, me suffirait amplement. Elle enfile son pantalon, et je sais que viendra forcément le moment où elle devra enlever sa robe de chambre de ses épaules pour enfiler son haut. Je me dis quelle va se retourner ou me demander de le faire. Mais non, sans plus de gêne, elle se met torse nu devant moi. Je nen perds pas une miette mais, par politesse, je me retourne en disant pardon.
« Ça ne me gêne pas, dit-elle. »
Prenant ça pour une invitation, je me retourne et me délecte sans me priver de la vue de ses beaux petits seins. Elle enfile un haut qui me cache finalement sa belle poitrine. Je la suis dehors et lui dis au revoir alors quelle part à la recherche de son chien.
La matinée au paraclub sannonce longue et morose. Le temps est couvert. Après un saut, les conditions météorologiques ne permettent plus de sauter. Je reçois alors un sms dElodie me disant que son chien est revenu. Je mapprête à lui répondre OK mais repensant au spectacle quelle ma offert au réveil, jécris :
« Je devrais le remercier, grâce à lui jai pu voir tes deux beaux fruits. »
La réponse ne se fait pas attendre :
« Tu en as bien profité, canaille !
-Oui, mais ce que jaurais bien aimé, cest y goûter. Peut-être un jour si ça te dit. Ce serait avec plaisir.
-Parce que je suis à ton gout ?
-Bien sûr. Mais ce serait uniquement pour le sexe, sans sentiment autre que lamitié.
-Si cest juste pour le sexe, je serais daccord. Même si je pense que ça ne devrait pas se faire. »
Excité par cet échange, je décide de lappeler pour quon soit vraiment clair la dessus. Elle me dit quon verra ce qui se passera. Mais si ça doit se faire, ce sera juste pour le plaisir.
La matinée se passe lentement, avec le maigre espoir que le temps séclaircisse. A midi, on mange entre nous au club. Après, je regarde de nouveau le ciel et je pense quil va rester couvert. On ne volera pas cet après-midi. Jenvois un nouveau sms à Elodie. Surtout que je sais que Jonathan travaille cet après-midi.
« Le temps est couvert, ça ne sautera pas cet après-midi je pense. Je mennuie. Je ne sais pas quoi faire. Une dégustation de fruit peut-être
-Si tu veux venir, viens, mais je ne te promets rien.
-Jarrive. »
Je prends ma voiture et parcours le chemin jusqu’à Lorient. Lorsque jarrive, Elodie est à table. Je massois en face delle et la laisse manger. On reprend notre discussion de la matinée. Elle me redit quelle pense que ça ne devrait pas se faire mais pour ma part, je suis déjà excité comme un ado. Je remarque que le haut quelle a mis ce matin est transparent et quen plus, elle na pas mis de soutien-gorge. Je lui fais remarquer, elle me sourit. Alors quelle met son assiette dans lévier, elle dit :
« Faudrait déjà quon sache ce quon aime faire mutuellement en matière de sexe.
-Cest vrai, acquiesce-je. Je suis plutôt doux et câlin. Jaime les préliminaires, faire monter la température doucement, faire jouir mes partenaires une première fois à ce moment là.
-Jaime les préliminaires aussi, je suis assez soumise. Jaime quon me domine physiquement sans être extrême.
-Donc tu es plutôt missionnaire ou levrette.
-Pas la levrette car ça me fait mal. Le missionnaire oui. Mais bizarrement, jaime aussi chevaucher lhomme pour quil ait les mains libres et me caresse partout. »
A ce moment là, je sens déjà que je suis tout émoustillé et je me dresse dans mon pantalon. Je lui pose la question de la fellation, car jadore recevoir cette gâterie. Surtout si la femme va jusqu’à avaler ma semence chaude.
« Jadore sucer, me dit-elle visiblement fière delle. Je suis une grosse suceuse. Mais je navale pas et je ne fais pas gicler le mec dans ma bouche. »
Je suis tout de même plus quexcité et je me lève. Je ne tiens plus. Je fais le tour de la table et jenlace Elodie dans son dos.
Mes mains remonte doucement vers ses beaux fruits que je meurs denvie de toucher depuis ce matin. Je les frôle à peine quelle gémit. Elle mavoue être très sensible de cet endroit. Je me montre donc plus câlin sur sa poitrine et je la masse doucement. Elle moffre son cou que jembrasse avec délectation. Collé comme je suis à elle, elle ne peut pas ne pas sentir ma virilité raide contre son cul. Elle se retourne pour venir membrasser à pleine bouche. Je continue à toucher sa poitrine si douce. Mes mains finissent par passer sous son haut pour les atteindre directement. Sa peau est douce. Elle menlève mon tee-shirt pour venir agacer mes tétons de sa petite langue. A mon tour je lui enlève son haut. Je descends goûter littéralement ses si beaux fruits. Je lentends gémir. Une de ses mains passe sur ma tête alors que lautre descend vers mon entrejambe pour venir tâter ma virilité.
Je remonte vers sa bouche. Je lembrasse alors que ses mains sattaquent à mon pantalon. Elle quitte mes lèvres pour le baisser ainsi que mon slip. Mon sexe raide se trouve devant son visage. Elle nattend pas et sa bouche chaude et humide vient entourer mon vît. Elle me suce divinement, sa petite langue agaçant mon gland par de petits coups. Je sens bien quelle prend plaisir à me faire du bien ainsi. Comme elle me la expliqué tout à lheure, je mets ma main sur sa tête comme pour lobliger à me sucer, lui intimant un rythme quelle avait déjà pris. Mes râles de plaisir en disent assez pour exprimer que jaime cette caresse.
Jai envie de lui rendre la pareil. Je lui retire son pantalon et sa culotte à mon tour. Je vois enfin son joli écrin et je ne peux résister, je lembrasse sur les lèvres du bas, ma langue venant goûter son intimité pour la première fois. On passe dans la chambre. Jattrape mes préservatifs au passage. Elle sallonge nue en écartant les jambes. Je reprends ma dégustation de sa petite chatte déjà si humide. Elle gémit et se cambre de plaisir. Mes mains viennent rapidement se mettre sur ses seins. Elle me guide pour que je me concentre sur ses tétons, les pinçant pour lui donner plus de plaisir.
Je pourrais rester à la lécher longtemps, mais je veux passer au plat principal. Je décide quand même de continuer encore un peu les préliminaires, car je sais quelle na pas joui. Je me place sur elle et lui présente mon dard toujours dressé. Elle na aucune hésitation et le gobe dun coup, me faisant partir la tête en arrière. Pendant ce temps, mes doigts ont pénétré son intimité et mon pouce titille son clitoris avec vigueur. Elle me pompe vraiment divinement. Je me retire de sa bouche et enfile un préservatif. Je la prends en missionnaire après avoir frotté mon gland contre sa fente quelques secondes.
Elle gémit et mentoure de ses bras pendant que je commence un va-et-vient lascif. Je lembrasse, nos langues sentremêlent fougueusement. Je menhardis et accélère le rythme. Elle semble apprécier. Elle me tire contre elle. Au bout de plusieurs minutes, je décide de changer de position. Elle vient sur moi. Ayant compris quelle aimait quon lui tire sur les seins, jalterne les caresses avec mes mains et ma bouche. Elle se penche parfois sur moi pour membrasser et se laisse même tomber totalement sur moi un moment.
Je sens quelle se lasse. Entre deux coups de reins, elle me dit :
« Je ne vais pas réussir à jouir. »
Je me sens déçu car jai toujours vu le sexe comme un échange et je naime pas lidée de ne pas faire jouir ma partenaire.
Elle se retire et menlève le préservatif. Elle me masturbe un peu et me reprend dans sa bouche. Elle me suce intensément. Je décide de prendre une position quelle apprécie, connaissant son gout pour la soumission. Je me place comme avant au dessus delle et lui met ma bite dans la bouche. Elle me pompe avec délectation. Je sens que je ne vais pas tarder à exploser. Je sais quelle ne veut pas que je vienne dans sa bouche et donc, je ne dis rien quand elle se retire, se contentant de me branler en me regardant de ses yeux si excitant. Je jouis, répandant mon sperme chaud sur sa gorge.
Après ça, je me couche à ses côtés. La câlinant et lembrassant encore.
« Tu vas tendormir ? me demande-t-elle amusée.
-Non, je vais juste souffler un peu et peut-être quon pourra partir pour un deuxième round, dis-je. »
On discute un long moment en restant collés lun à lautre. Petit à petit, ma main est venue se placer sur son sexe tout chaud. Jai approché discrètement son petit bouton et maintenant, je lagace avec un de mes doigts. Elle fait mine de navoir rien remarqué mais je sens ses cuisses sécarter. Mes doigts viennent de nouveau pénétrer son intimité. Elle soupire et membrasse. Sa main vient attraper mon sexe de nouveau raide et me masturbe doucement.
Rapidement, je souhaite de nouveau connaître la sensation de sa divine bouche sur mon sexe. Je viens de nouveau sur elle mais en 69 pour pouvoir me délecter de sa petite fente humide en même temps. Elle ne me prend pas en bouche mais tout en me branlant dune main, elle me lèche les bourses avec sa petite langue mutine. Et je remarque avec plaisir quelle est aussi bonne lécheuse que suceuse. Elle me cajole ainsi durant un moment avant de me reprendre entre ses lèvres si douces.
Je décide de changer de position pour me retrouver sous elle, continuant le 69. Ainsi, elle peut plus aisément me sucer pendant que je mévertue à faire parcourir ma langue sur son bouton damour. Mes mains viennent se saisir de ses seins. Je commence à mieux la connaître. Jalterne de nouveau caresses et pincés de ses extrémités mammaires en insistant sur les secondes. Je la sens vibrer au dessus de moi. Et tout dun coup, elle gémit plus fortement et saffaisse sur moi.
« Ça va ? demande-je.
-Oui, jai joui, me répond-elle. »
Je suis fier de lui avoir procuré cette sensation. Je la remets sur le dos et enfile un préservatif. Sans attendre, je la pénètre de nouveau en lenlaçant. Elle gémit et soupire à mon oreille. Je vais de plus en plus vite. Jespère lui faire connaître un second orgasme. Mais au bout de quelques minutes, elle me demande darrêter car ça lui brûle. Elle fait malheureusement parti de ces femmes qui ne peuvent jouir quune fois. Je suis désolé pour elle.
Je me retire et enlève le préservatif. Je mallonge et me demande comment on va finir. Elle me donne la solution en se penchant sur ma bite pour la gober une fois de plus. Elle me fait plusieurs fois une gorge profonde. Je sens que je ne vais pas tarder à venir et bien sûr, je pense quelle va se retirer. Mais non, alors que je jouis, elle me garde dans sa bouche, jouant avec sa langue sur mon gland. Je jouis plus que de raison.
Une fois sûr que jai fini, Elodie se redresse et crache ma semence dans ses mains. Elle quitte la chambre pour se rendre à la salle de bain et se rincer la bouche et les mains. Quand elle revient, je lui lance un regard interrogateur.
« Tu mas bien dit que tu aimais jouir dans la bouche des filles, je voulais te faire plaisir. »
Je lenlace pour lembrasser avant quon aille partager une bonne douche.
Depuis, je nai pas pu revoir Elodie. Mais jespère toujours que la prochaine fois quon se verra, nous vivrons des moments aussi intenses que cette fois-là.