EVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 47 : Un plus un égal trois.
Bien évidemment, ces révélations faites par Alice ne manquent pas de me bluffer, et heureusement que nous sommes arrivés devant la villa parce que je ne pense pas, vu l’état fébrile dans lequel je me trouve, que j’aurais pu continuer à conduire bien longtemps. Cet état second ne m’a pas empêché de me rendre compte qu’une voiture que je n’ai jamais vue avant est garée non loin de la maison, cependant, mon petit bout de femme ne semble pas avoir remarqué ce détail.
Le fait de savoir que les filles de ma compagne ont envie de moi, et que je pourrais faire l’amour avec elles sans qu’il soit question de jalousie de la part de leur maman m’ouvre de nouvelles perspectives. Car même si avant cela je n’ai jamais été attiré par des personnes aussi jeunes qu’elles, elles sont très belles et passer à l’acte ne me déplairait pas. Toutefois, cela n’ira pas sans inconvénient, et le plus important sera qu’il y aura trois femmes dont je devrai m’occuper, alors que je n’ai qu’un seul sexe. Qui plus est, ce dernier ne se recharge plus aussi rapidement qu’il y a une vingtaine d’années…
C’est pourquoi tandis que nous descendons de la Challenger qui est à présent dans le garage, dans lequel elle va passer la nuit, j’émets une objection :
C’est bien joli tout ça, et je serais ravi de pouvoir satisfaire ma nouvelle famille, mais réussir à combler trois partenaires, au sens propre comme au figuré du terme, cela dépasse largement mes capacités.
Mon amante sourit tout en rougissant, ce qui lui arrive assez souvent, et elle me répond :
Oui, c’est pour ça que le fait qu’elles soient non seulement lesbiennes, mais en plus incestueuses est une bonne nouvelle. Car pendant que tu combleras l’une d’entre nous, comme tu le dis si bien, les deux autres pourront toujours se brouter le minou si elles n’ont rien de mieux à faire.
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Visiblement, Alice a déjà réfléchi à la question, et semble avoir trouvé la solution au problème, avant même que je me le sois posé. Mais cela implique qu’elle doive être elle-même bisexuelle et incestueuse, ce qui n’a jamais été évoqué même dans ses fantasmes les plus osés. Et dans le but de me renseigner à ce sujet, je lui demande tandis que nous nous apprêtons à présent à entrer dans la villa, et que je porte son bagage :
Et toi, tu ne m’as jamais dit que tu aimais également les femmes ?
Cette fois, elle devient écarlate, et elle réplique :
C’est peut-être parce que je ne le savais pas encore, mais que c’est en voyant Léo et Léa faire des cochonneries ensemble que ça m’a donné des idées.
Alors que j’attendais une affirmation de sa part, j’ai juste droit à une supposition, et je me dis alors qu’il y a une inconnue à l’équation, qui ne doit pas vraiment en être une, puisqu’il s’agit très certainement de Dorine. Notre amie masseuse qui considère le sexe comme étant un art n’a en effet pas été insensible au charme indiscutable de mon amante. Si je pars du principe, qu’elles se sont revues en cachette, elle a dû logiquement commencer par lui faire un massage nuru. Et de là, à penser que ce dernier s’est terminé par une finition qui n’est autre que mener celui ou celle à qui le massage est administré jusqu’à l’orgasme, mon amante a franchi un nouveau cap à l’insu de mon plein gré.
Cependant, je ne fais pas de remarques à ce sujet, d’autant plus que je n’éprouve, moi non plus, aucune jalousie; et cette discussion est terminée, puisque ma compagne change de sujet en me disant :
Tu n’as pas mis l’alarme avant de partir; ce qui n’est pas très prudent, mon Amour.
Oui et non, puisque je savais que je ne resterais pas très longtemps loin d’ici, et que nous serions pressés de rentrer pour faire l’amour.
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Cette répartie fait sourire Alice qui n’insiste pas, et une fois dans le vestibule, nous nous mettons tout naturellement nus. En voyant mon pénis qui a déjà pris du volume, mais ne s’est pas encore dressé, mon petit bout de femme affiche un air grivois, et elle me dit :
Hum, j’ai hâte de me faire enculer.
Je lui réponds mi-figue mi-raisin :
Pour une qui a des fantasmes de soumission, je trouve que tu es plutôt directive.
Qu’entends-tu par là ?
Tout simplement que quand il est question de sexe, tu agis toujours selon tes envies sans trop te préoccuper des miennes…
Elle devient aussitôt écarlate, sans que j’arrive à déterminer si c’est à cause de la colère ou de l’embarras, parce qu’elle a baissé les yeux. Mais je comprends que c’est la deuxième option qui est la bonne, lorsqu’elle bafouille :
Je…je suis désolée…Qu’aurais-tu envie de me faire, mon Amour ?
Probablement s’attendait-elle à ce que je lui propose un truc hard, puisque tandis qu’elle me regarde à nouveau, son visage marque la surprise, lorsque je réplique :
Moi, j’ai tellement aimé la manière dont tu m’as chevauché quand on était chez toi, que j’ai très envie de recommencer.
Puis j’ajoute malicieusement :
Au fait, tu as reçu ton collier ?
Oui, il est dans mon sac.
Parfait. Dans ce cas, tu vas enfiler tes chaussures de baiseuse de haute-compétition, et tu viendras me retrouver dans notre chambre avec ton harnais à la main, parce que c’est moi qui vais te le mettre. Et pas la peine de prendre ta laisse, car ce soir, nous n’en aurons pas besoin.
Et sans attendre, je quitte le vestibule dans lequel nous étions toujours, en plantant là, ma compagne que mon attitude a rendue on ne peut plus perplexe.
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Lorsque je suis sur place, je m’allonge sur le lit, et je pose mon téléphone portable que j’ai pris avec moi sur la table de nuit qui est à droite. Ensuite, il ne me faut pas attendre bien longtemps avant qu’Alice vienne me retrouver.
Elle a fait un détour par la deuxième chambre qui jouxte notre salle de bain, parce que son sac contenant ses affaires s’y trouve, et c’est en sortant de cette dernière qu’elle fait son entrée. Bien entendu, elle est à présent chaussée des sandales que je lui ai offertes, qu’elle ne quitte pas lorsqu’elle pose un genou, puis deux sur notre couche, après être venue se placer en face de moi. Ensuite, elle se met à avancer dans ma direction en gardant cette posture, tout en tendant ses bras vers l’avant, le collier posé sur ses mains qui sont ouvertes, paumes vers le haut, comme s’il s’agissait d’une offrande.
La façon de se comporter de mon petit bout de femme me plaît énormément, et ce doit également être son cas puisqu’elle dissimule un sourire qui s’est esquissé un bref instant sur son magnifique visage.
Lorsqu’elle est assez proche, je lui prends l’objet des mains, puis je l’examine tandis qu’elle attend patiemment. Il est très beau, et sur la plaque, qui se trouvera sur le devant, une fois qu’il aura été attaché autour de son cou, est gravé comme prévu d’une écriture déliée : « Dolly ».
Cependant, ma compagne n’est pas au bout de ses surprises, puisque je range ensuite ce collier dans le tiroir de la même table de nuit, en lui disant :
Je l’aime beaucoup, mais il servira plus tard, car ce soir, on va jouer à un autre jeu.
Je sors alors un foulard rouge à la place, et mon amante me demande en rougissant légèrement :
Tu vas m’attacher ?
Non, ce n’est pas mon intention. Mais si ça fait partie des fantasmes dont tu ne m’as pas encore parlé, j’achèterai des menottes en cuir qui seront beaucoup plus efficaces.
En entendant cela, elle devient écarlate, mais elle ne proteste pas; ce qui me fait comprendre qu’elle n’a rien contre le fait que je commande ce genre d’articles ni que nous nous en servions par la suite dans le but de pimenter nos ébats.
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Mais étant donné qu’à présent Alice me domine de toute sa petite hauteur, je lui dis :
Mets-toi à quatre pattes.
Toujours aussi rouge, elle m’obéit pour que je puisse poser le bandeau sur ses yeux, que je noue ensuite derrière sa nuque, en le faisant passer sous sa queue-de-cheval haute. Lorsque c’est fait, je passe silencieusement ma main devant son visage, et étant donné qu’elle ne réagit pas, j’en conclus qu’elle ne voit plus rien.
Satisfait, je lui dis :
Maintenant, fais-moi l’amour, ma Chérie.
Bien que ses gestes soient maladroits lorsqu’elle se recule, je constate que la situation dans laquelle je l’ai placée amuse ma compagne, puisque cette fois, elle ne cache plus son sourire. Elle vient au jugé chercher avec sa langue mon sexe qui est toujours flasque, et lorsqu’elle l’a trouvé, elle commence à le lécher jusqu’à ce qu’il se dresse. Une fois que ce dernier est bien raide, elle le met dans sa bouche pour l’avaler lentement, millimètre après millimètre.
Lorsque mon gland arrive au niveau de sa luette, mon amante déglutit, ce qui me fait pousser un gémissement qui n’est pas très viril, tant le plaisir que je ressens à cet instant est intense. Je me dis alors, légèrement dépité, que cette coquine va me faire jouir de cette façon, pour se venger du fait que je l’ai remise à sa place en lui disant qu’elle se comportait de manière autoritaire. Pourtant, elle n’en fait rien, et elle recrache mon membre tendu au ralenti, avant de redresser la tête et de sourire dans ma direction.
Ensuite, elle se remet à quatre pattes pour remonter le long de mon corps, et lorsqu’elle estime que son bassin est au-dessus du mien, elle cherche mon sexe qui est encore mouillé de sa salive pour le guider jusqu’à l’entrée de son vagin. Elle ajuste sa position parce qu’elle n’est pas allée assez loin, pour ensuite abaisser son arrière-train, et me faire entrer en elle.
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Pendant tout ce temps, je suis resté sans bouger, mais lorsqu’ Alice commence à monter et descendre dans le but de faire coulisser ma queue dans son conduit, j’attrape sans faire de bruit mon téléphone qui est lui aussi en mode silencieux, et j’envoie un SMS.
Moins de cinq minutes plus tard; et tandis que mon petit bout de femme est en train de me chevaucher en aveugle, la porte de notre chambre s’ouvre et mon fils Henry apparaît. Il est tout comme nous nu, et son sexe dont les dimensions surclassent celles du mien est déjà en érection et est décalotté.
Il semble hésiter, non seulement parce que nous n’avons jamais partagé aucune femme jusqu’à aujourd’hui, en tout cas pas en même temps, mais en plus, je sais que ma compagne l’intimide parce qu’il me l’a avoué lorsque nous avons mis ce plan au point.
C’est pourquoi je pose mes mains sur le postérieur charnu de mon amante qui n’a pas entendu mon fils arriver, et j’écarte ses fesses de manière à exposer son anus. C’est pour lui un signal, et lorsqu’il se décide à grimper sur le lit dans le but de se joindre à nous, Alice, qui réalise que nous ne sommes plus seuls, s’exclame :
Oh mon Dieu !!!
Je prends alors sa tête entre mes mains, et je lui dis doucement :
Détends-toi ma Chérie, ça va très bien se passer.
Elle n’est pas très rassurée; cependant, elle reste immobile; et lorsque c’est au tour d’Henry de lui écarter les fesses et qu’il pose son gland contre sa rondelle, si je la vois froncer les sourcils, je sais que ce n’est pas parce qu’elle a peur d’avoir mal, mais parce qu’elle se concentre pour mieux analyser ses sensations.
Mon fils s’introduit en elle en douceur, et tandis que je sens son sexe progresser à travers la fine cloison rectovaginale, sa belle-maman se contente de répéter beaucoup moins fort :
Oh mon Dieu !
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Je peux constater qu’Henry est ravi d’avoir une telle opportunité, Alice, pour sa part, s’est détendue, et elle semble, à présent, grandement apprécier la situation; quant à moi, je suis tout simplement heureux de lui permettre de réaliser l’un de ses fantasmes.
Lorsque le deuxième sexe s’est introduit en elle en entier, mon petit bout de femme se met à bouger son bassin de manière à faire coulisser nos deux membres en même temps. Pendant ce temps, mon fils, selon les consignes que je lui ai données, reste immobile, après avoir posé ses mains sur la taille de sa belle-maman. Quant à moi, je me régale à peloter sa grosse poitrine qui pend sous elle.
De cette manière, notre partenaire peut aller à son rythme, et ainsi gérer la montée de son plaisir, puisque c’est pour elle avant tout, que j’ai organisé cette petite réunion familiale. Elle commence par pousser des soupirs de satisfaction qui se transforment peu à peu en halètements, pour finir par devenir des gémissements; et au bout d’une dizaine de minutes, elle en émet un plus long et plus puissant que les autres, annonciateur du double orgasme qu’elle est en train de ressentir.
Bien entendu, les contractions de son vagin me font éjaculer en elle, tandis que mon fils en fait autant, stimulé par celles de son anus, et nous nous vidons dans notre partenaire en grognant tandis que cette dernière s’écroule sur moi, ivre de plaisir.
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Henry, une fois son forfait accompli, se retire; il s’en va aussi discrètement qu’il est venu, et ce n’est qu’une fois qu’il est sorti de la chambre en refermant la porte derrière lui que je retire son bandeau à Alice. Lorsqu’elle s’est remise de ses émotions, elle redresse la tête pour me regarder, et me dédier un sourire assez chaleureux pour faire fondre un iceberg. Puis elle me dit :
Merci mon Amour.
Après s’être laissée cajoler pendant un petit moment pour son plaisir tout comme pour le mien, mon petit bout de femme se lève afin d’aller dans la salle de bain, et lorsqu’elle en revient cinq minutes plus tard, elle me demande après s’être allongée près de moi :
Tu me dis qui c’était.
Je lui fais un petit sourire énigmatique, avant de répondre :
Non. Celui de ton fantasme n’avait pas de visage, alors celui-là n’en aura pas non plus.
Elle me donne alors un petit coup de poing sur l’épaule, avant de me dire :
Tu me le paieras. J’éclate de rire, avant de répliquer :
Je suis impatient de savoir ce que tu vas bien pouvoir inventer pour te venger.
Puis, nous nous endormons l’un en face de l’autre, en nous regardant tendrement.
A suivre…