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Farid et les autres – Chapitre 1




Je m’appelle florence, 30ans 1m72 66k blonde yeux gris bleu beaux seins 95c et un cul trop gros a mon gout mais qui a l’air de plaire. Je suis mariée depuis 9ans avec franck, je l’aime j’aime faire l’amour avec lui, c’est toujours très tendre plein de préliminaires et de respect mais j’aime aussi être baisée. Pour moi l’amour et la baise sont deux choses bien différentes et je n’aime pas faire les deux avec le même homme. C’est pourquoi j’ai besoin d’un mari qui me fait l’amour et d’un amant qui me baise.

Je vais vous raconter mon incroyable aventure. Nous avions 23 ans avec franck lorsque nous avons emménagé dans ce vieil immeuble à paris. Nos voisins de pallier étaient un vieux veuf handicapé et son jeune fils de 19 ans , le père, marocain ne quittait plus son fauteuil mais son fils farid prenait soin de lui. Nos appartements avaient en commun une grande pièce qui servait de cellier, buanderie et qui communiquait avec nos cuisines.

J’y rencontrais donc souvent farid , il était très sexy, t shirt moulant, survet blanc ou gris il était sec musclé environ 70kg pour 1m80, les cheveux ras et les yeux très noir. Il était très renfermé, poli mais distant et c’était toujours moi qui engageais la conversation.

On s’était entendu lors d’un apéritif avec mon mari et le père de farid que je m’occuperais de leur linge et qu’en contrepartie farid réparerait nos voitures (il travaillait dans un garage auto) et ferait les menu réparations qui sont courantes dans un vieil appart comme le notre.

Donc les soirs lorsque franck était devant le journal tv dans le salon moi j’étais dans la buanderie et faisais tourner les machines, étendais et repassais le linge. Au même moment farid venait déposer son linge sale, ranger le propre et j’engageais la conversation. Farid me plaisait de plus en plus et j’avais vraiment envie de baiser avec lui, mais il était difficile à décoincer. Je me mettais en chemise de nuit essayais de l’exciter et même si il ne franchissait pas le pas je sentais son regard sur moi.

Franck ne venait jamais dans la buanderie car lorsque je repassais je baissais une planche fixée au mur derrière la porte et cela empêchait quiconque d’entrer et sortir. Un jour je me décidais à passer à l’action. ca faisait déjà presque 6 mois qu’on était la et farid restait froid et distant. J’étais en train de repasser lorsque farid entra dans la buanderie. J’étais Vêtue d’une robe de chambre et d’une petite nuisette transparente et volontairement l’échancrure laissait deviner ma nudité.

-salut farid t’as passe une bonne journée ?

-ouais tranquille

-tu peux m’aider à déplacer la machine à laver ma boucle d’oreille est passée dessous

Et l’un et l’autre de chaque cote on attrape la machine à laver pour la soulever. J’étais suffisamment penchée pour qu’il puisse voir mes seins nus, et il n’avait d’autre choix que de mater le spectacle.

-farid c’est mes seins que tu mattes ?

— heu, ben non mais bon comme t’es penchée je n’ai pas trop le choix.. (il était visiblement très gêné)

-et ils te plaisent ?

-je sais pas je les ai pas vu en entier

-alors regarde (et j’ouvre la robe de chambre pour qu’il puisse en voir un)

-ben la je vois pas trop avec la chemise de nuit.

J’entrepris de déboutonner le haut de la nuisette et laisse apparaître mes seins

-tu veux toucher ? Et comme il restait bouche bée, sans savoir ce qu’il devait faire je lui pris la main et la mis sur mon seins.

Et la le farid timide et réservé se lâcha enfin et me dit

-Putain t’es chaude toi, et de ses deux mains il commence à me triturer les nibards et s’avance contre moi. Il m’embrasse en frottant son sex contre mon ventre, une autre main prend mes fesses et remonte sous la nuisette. Pour lui faire comprendre qu’il pouvait aller plus loin j’entreprends de lui masser le sexe a travers le survet. Je plonge ma main dans son slip pour en extirper son membre, il est dur comme du bois, long et fin 20cm à peu près et une paire de couilles très fermes. Il me soulève m’assoit sur la machine à laver et sans plus attendre rentre son membre dans ma chatte mouillée.

Il m’aura fallu qu’une dizaine de coup de bite pour jouir comme jamais, je lui griffais les fesses les attirant contre moi pour qu’il rentre au plus profond, en lui mordant le coup, dans le même temps je le sens se raidir en moi et décharger sa semence au fond de mon intimité. Un saaaalllllooooppppeeee s’échappe de sa bouche entre deux grognements de jouissance.

L’excitation était trop forte pour nous deux, farid baisait sa voisine, une femme mariée, comme une salope sur la machine a laver, à quelque mètres de son père qui aurait surement succombé de voir cette exhibition bestiale et de l’autre cote le mari cocu devant le journal tv loin de s’imaginer le jeune voisin réservé et timide en train de défoncer a grand coup de boutoir sa douce épouse.

Et moi qui avais enfin un mari aimant pour me faire l’amour et un jeune beur fougueux me bourrant la chatte comme une bête, ne recherchant que son propre plaisir .ce premier adultère était extraordinaire, aussi bref qu’intense.

Farid se retira de moi laissant couler son sperme le long de mes cuisses. Il relève son survêt, me regarde dans les yeux et me dit sans tendresse

-c’est ce que tu voulais hein ? ca fait longtemps que tu me chauffes.

-oui j’en avais envie, c’était super farid

-écoute florence faut pas t’imaginer quoi que ce soit, t’as ton mari moi je veux pas de toi. Je peux rien t’offrir de plus que ca. Et je sais pas pourquoi tu le trompe, ca se passe pas bien entre vous ?

-si farid j’aime mon mari j’aime faire l’amour avec lui, mais j’ai besoin d’être baisée comme tu l’as fait, violement, sans tendresse, juste de la baise. Donc t’inquiète pas je te demanderais rien de plus que quelques étreintes rapides dans cette buanderie…

-ha je vois en fait t’es juste une chienne qui veut de la bite ! Tu me demande de te tirer contre la machine et après tu retourne avec ton mari devant la télé.

-heu pour résumer c’est a peu près ca oui (j’étais gêné qu’il me parle de cette manière mais au fond de moi ca me plaisait) et je voyais dans le regard méprisant de farid que du statut de voisine sympas et serviable je passais a celui méprisable de salope sans fierté qui lui viderais les couilles quand il en aurait envie.

-ben dans ces cas la ya pas de problèmes je vais te démonter ta race tout les jours, si tu veux de la queue je vais t’en donner suffisamment pour que ca te calme. A demain ma petite salope. Et revient sapé comme aujourd’hui sans culotte ca va plus vite pour te niquer.

Se soir la, toute a mon bonheur d’avoir réalisé mon fantasme je ne savais pas que j’avais mis le pied dans l’engrenage d’une histoire que j’aurais bien du mal à contrôler et qui allait me faire devenir esclave de mon vice.

Si mon histoire vous plait envoyez vos commentaires.

Vous pouvez me joindre sur [email protected]

Florence22

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