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Je suis une chienne en chaleur – Chapitre 1




Je me réveillai à midi ce samedi matin.

Je suis une jeune fille de 23 ans, petite, brune, avec de bons gros seins qui pendent un peu et un bon cul rebondi. De bonnes grosses fesses de salope.

Je suis une fille assez réservée dans la vie de tous les jours, mais j’aime la bite. J’en suis folle. J’adore voir et sentir une grosse queue bien dure devant moi, dans ma main, dans ma bouche, dans tous mes trous. Je pense qu’on peut dire que je suis une grosse pute à bites, une bonne boîte à foutre. Parce qu’évidemment, j’adore le sperme également. Mon rêve serait de remplir une baignoire de foutre et de m’y baigner, ou de me faire arroser de bon jus de couilles par une centaine de mecs.

Je me réveillai tard parce que je m’étais branlé la chatte toute la nuit, en regardant des mecs branler leur bonne grosse queue juteuse sur internet et gicler des litres de foutre.

Je me réveillai la chatte encore baveuse, mon clito bien dressé, en demande de caresses. J’étais excitée comme une chienne. J’écartai les cuisses et je bavai sur mes doigts, direction ma grosse chatte de putain et mon gros clito. Je faisais des va-et-vient dans ma chatte et sur mon clitoris pour m’exciter en disant des mots obscènes. Je me disais à moi même que j’étais une chienne, une grosse pute, une bonne salope, que j’aimais la bite et la queue, que j’étais une pompe à foutre, un bon garage à bite, une bonne soumise à la bite. J’adorais me masturber.

Excitée comme une petite chienne en chaleur, j’ai eu une idée.

J’ai toujours eu envie de me faire baiser par des inconnus dans le sous-sol de mon immeuble.

Je postai un message sur un forum internet de rencontres de cul. Avec l’adresse, le code de l’immeuble et toutes les indications. Je donnai aussi mon numéro de téléphone en disant de n’appeler que s’ils ne trouvaient pas l’adresse. Je dis que j’étais une grosse chienne soumise avec des gros seins de vache à lait et un gros cul de femelle en chaleur et que je voulais être prise en gang bang, sucer des queues et être recouverte de sperme comme une bonne grosse chiennasse.

J’étais tellement excitée, ma chatte coulait sur mes cuisses.

Je me déshabillai complètement, je pris mes clés et mon téléphone, et sortis dans le couloir. J’appuyai sur le bouton de l’ascenseur et en attendant qu’il arrive, je me caressai les seins, le ventre et la chatte pour me tenir bien excitée, bien en chaleur, mon jus de chatte qui coulait entre mes jambes. J’étais excitée aussi à l’idée qu’un de mes voisins puisse sortir à tout moment ou me regarder à travers l’il-de-buf de sa porte. Je me sentais comme un animal en rut. Une grosse pute bonne à être brisée par des hommes en rut eux aussi, que leur queue aura menée dans mon sous-sol.

L’ascenseur arrive, je monte, appuie sur le bouton du sous-sol. L’ascenseur descend, s’arrête au -1, je sors dans le couloir qui mène aux garages. C’est glauque, le sol est froid sous mes pieds nus. Je tremblotai mais j’avais la chatte en feu. Je suis dirigée par ma chatte, je ne pense à rien d’autre qu’à sucer des queues.

Je m’arrête au milieu de l’allée, je suis entourée de garages. Pas de mec arrivé encore. Je me mets à genoux et commence à me toucher les seins et la chatte, ma fente de chienne est trempée. J’ai envie d’être baisée, saillie comme une chienne, salie de salive, de mouille, de sperme, et même pourquoi pas de pisse. Je veux qu’on me crache dessus. Je ne suis rien d’autre qu’un vide-couilles, une pute dégénérée qui fera tout ce qu’on lui demande.

Je gémissai comme une vulgaire pute, une sale chienne perverse, agenouillée sur le sol sale, la chatte trempée de mouille gluante. J’étais pathétique.

A ce moment-là, j’entends la porte du couloir qui s’ouvre.

Je vois un homme arriver vers moi. C’est un habitant de l’immeuble, je le croise de temps en temps.

Il se dirige droit vers moi. Il a environ 55 ans, un peu bedonnant mais il ne manque pas de charme, et puis j’aime bien les vieux, je suis une salope qui se fait troncher comme une pompe à bite par des hommes qui ont l’âge d’être mon papa. J’adore quand ils font comme s’ils l’étaient vraiment. Je suis vraiment une petite salope.

Il me parle en s’approchant Eh salope ! C’est toi qui as posté ce message ? J’en reviens pas que ça soit vrai, je regarde régulièrement ce site quand j’ai envie de me vider les couilles et j’ai halluciné de voir l’adresse, je suis descendu pour voir, et t’es vraiment là ! Putain si j’avais su que t’étais une chienne à bites plus tôt… J’étais toujours agenouillé, il était debout face à moi, j’avais mon visage face à son gros paquet. Je voyais sa bite qui gonflait sous son jean. Ca me faisait mouiller encore plus. Il le sentit :

Alors ma petite chienne, tu regardes ma bite ? C’est ça que tu veux ?

Il approcha son entrejambe de mon visage, jusqu’à frotter sa bite encore dans son jean contre ma joue et se frottant les couilles sur mes cheveux. Il m’insultait en le faisant. Il me dit ensuite de le regarder, je levai la tête et il me cracha sur le visage, plusieurs fois, en me disant que c’était tout ce que je méritais. Il me dit d’ouvrir la bouche et me cracha dedans. J’avalai tout.

Il me donna aussi quelques claques sur le visage. J’étais dans un état second. J’avais tellement envie de bite. Je bavai sans m’en rendre compte. Et je n’avais même pas encore vu sa bite.

Il me prit le menton pour que je le regarde et me dit que j’étais une bonne petite chienne à queue et me demanda si je voulais sa bite.

Tu veux bouffer de la queue salope ? Tu veux de la bite hein, toi t’es faite pour avaler des kilomètres de queue et bouffer du sperme à tous les repas. Putain t’es une vraie chienne de guerre. Tu veux voir la bite de papa sale pute ? Oh oui elle veut la bite de son papa la chiennasse, putain t’es qu’une pute…

Il commença à ouvrir son jean, à descendre sa braguette et je vis le contour de sa bite dure et dressée dans son caleçon. Le bout du gland dépassait de l’élastique.

Je me mis à quatre pattes et m’approchai. Mon visage au niveau de sa queue. Il descendit son caleçon, libérant une bite de taille moyenne mais bien large, j’adore ça. Un bon gros gland bien gonflé terminait cette belle queue. Il avait aussi des bonnes grosses couilles un peu pendantes, que je m’empresserai de prendre en bouche, quand une énorme claque arriva sur ma joue. J’étais complètement sonnée mais je l’entendis crier quest-ce que tu fais sale pute ? Je t’ai donné l’autorisation de me lécher les boules ? T’attends que je te dise de le faire salope ! Tu obéis à papa, petite pute à queue, c’est compris ? Regarde-moi Il me prit le visage entre ses mains, me secoua un peu et me cracha dessus.

Maintenant tu peux y aller et il me tira le visage vers sa bite et ses couilles. Il frotta son paquet sur mon visage. J’étais dégoulinante de bave.

(A suivre)

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