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Une histoire de tissus. – Chapitre 1




Me voilà dans de beaux draps! Finir ainsi à cause d’une pulsion primaire… déprimant n’est-ce pas?

Oh mais c’est vrai, vous n’êtes pas au courant… Laissez moi vous raconter mon histoire, comment je me suis retrouvé nu en plein milieu de la chambre de ma sur, une main sur ma verge et l’autre tenant une culotte sale de ma sur alors que je distingue clairement le son caractéristique de quelqu’un qui monte l’escalier.

Moi, c’est Adrien, j’ai tout juste 18 ans et je dirais que je suis quelqu’un de physiquement "normal".

1 m 80 pour 75 kg, brun cheveux courts yeux marrons, le même ventre que kyan khojandi l’auteur de bref.

Après une année de terminale bien remplie je profitais enfin de vacances bien méritées dans ma maison de famille dans le sud de la France.

Comme tous les ans une grande partie de la famille s’est réuni et profite de cet intermède estivale pour se ressourcer et prendre des nouvelles des cousins/cousines.

La plus-part de mes cousins étant bien plus âgés que moi nous n’étions que 3 de la même génération à savoir ma cousine, ma sur et moi.

Comme vous vous en doutez dès que nos parents nous ont présenté, ma sur et moi, à ma cousine, nous somme vite devenu très proches et même inséparables.

Pour ma sur, Anaïs, imaginez une jolie jeune fille de 16 ans, 1 m 65 avec une taille de guêpe, des cheveux châtains qui coulent en cascade sur ses épaules, le tout mis en valeur par deux jolis yeux

noisette et un 90 C bien ferme du fait de son jeune âge. Enfin Elea, ma cousine âgée de 4 mois de plus que moi, est une jolie jeune femme de 1 m 60, très légèrement enrobée, les yeux vert et les cheveux

longs teints en roux, accompagné d’un 90 B tout aussi joli que le 90 C de sa cousine. Maintenant que les présentations sont faites voici comment tout a commencé:

Ces vacances étaient placées sous le signe de la détente et du repos. Nous passions nos journées à la plage à faire du surf et à construire des châteaux de sable.

C’était vraiment sympa mais l’absence d’internet dans la maison commençait à me peser. En effet, grand consommateur de films "un peu osés" j’avais déjà visionné cent fois les vidéos présentes sur mon pc et je commençais à m’en lasser, augmentant la difficulté à me masturber. Alors que la sensation de manque grandissait en moi, je sentis un changement s’opérer.

Peu à peu, mon regard sur ma sur et ma cousine se transformait. Jusque là mes yeux se limitaient à leur visage mais ils avaient maintenant tendance à dévier légèrement ver le bas et je ne ratais plus une occasion de contempler leur petit cul à chaque fois qu’elles me tournaient le dos.

J’ai compris que je devais faire quelque chose quand, alors que nous nous chamaillions sur la plage avec ma cousine, elle s’est arrêté en pleine étreinte et s’est mise à me regarder bizarrement.

J’ai pris quelques secondes à comprendre que ce regard était dû à mon pénis en érection qui frottait contre ses fesses à travers le tissus de nos maillots respectifs. Paniqué je me libérais prestement et courais dans l’eau pour me refroidir les idées (et pas que…). A mon retour je n’eu le droit à aucune remarque, pas même un regard dailleurs. Elea s’était allongé sur une serviette et lisait un bouquin gris où l’on pouvait voir une cravate elle aussi grise. Je décidais de moi aussi faire comme si de rien n’était, espérant que ma cousine préférée oublie au plus vite ce moment gênant .

Nous somme tous rentré et mon oncle a proposé que nous allions tous au cinéma voir le dernier film de Nolan. Etant un peu fatigué (et ayant surtout des besoins à assouvir) je déclinais poliment l’invitation que tous, à mon plus grand soulagement acceptèrent.

Je me retrouvais donc seul à la maison pour 3 bonnes heures, largement assez pour faire ce que j’avais à faire. Tout à l’heure en rentrant par le vestibule j’avais aperçu du coin de lil des sous-vêtements

de mes tantes qui séchaient et cela me donna une idée. Je montais dans la chambre de ma sur et commençais à fouiller les placards. J’y trouvais des strings, des tangas et autres culottes qui piquèrent mon attention

mais c’est en me retournant vers le lit que je compris que j’avais tiré le gros lot. Sur ce lit se trouvais la jolie culotte en coton que portait ma sur pour dormir, elle était encore imprégnée de son odeur

et à la renifler je sentais mon érection poindre. Je décidais donc de me mettre plus à l’aise et me retrouvais vite nu sur le lit de ma sur à m’astiquer avec ce tissus si doux qui, encore quelques heures plus tôt

était en contact avec la chatte de ma petite sur. J’étais sur le point d’arriver à l’orgasme quand j’entendis l’escalier grincer. Ni une ni deux je sautais sur mes jambes pour me cacher mais trop tard

la porte s’ouvre et moi je suis là, debout, ma verge dans la main droite et la culotte de ma petite sur dans l’autre.

Suite?

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