La confession que je m’apprête à vous livrer relève d’une situation qui est sans aucun doute la plus inattendue qu’il m’ait été donné de vivre. J’ai toujours été attirée par le sexe sous toutes ses formes et j’ai rarement raté l’occasion d’en profiter. Il faut dire que, sans fausse modestie, mon physique avantageux m’a permis d’attirer plusieurs hommes et femmes dans mes filets. Je suis brune aux yeux verts, les cheveux bouclés tombant jusqu’en bas du dos, ma peau est aussi blanche que la porcelaine et je suis particulièrement grande pour une fille avec mon mètre soixante quinze. Mes seins ont la taille et la forme de deux grosses poires, quant à mes fesses elles sont aussi rebondies qu’un ballon.
J’ai aujourd’hui vingt six ans mais mon histoire se déroule durant les vacances d’été de mes 17 ans, un âge où l’on ne demande qu’à faire des expériences. Je suis partie dans un petit village du Var, un peu plus haut que Sainte-Maxime, chez mes grands-parents qui y ont une maison isolée. A peine arrivée j’appelais le seul ami que je connaissais là-bas et fonçais le retrouver. Il me présenta à ses "collègues" comme ils disent dans la région et c’est ainsi que je fis la connaissance d’un groupe de jeunes constitué d’une fille et trois mecs en comptant mon ami. L’un des garçons était autiste, handicap qu’il rattrapait par une incroyable gentillesse, l’autre était beau comme un dieu et je réfléchissais déjà à la façon dont j’allais le mettre dans ma poche. Après une semaine à se chercher mutuellement, on organisa une soirée dans une grange voisine avec un stock de bières piqué aux parents et une chaîne stéréo.
Ben, mon ami, nous faisait des imitations de tous les vieux du village et l’alcool m’en ressortait par le nez tellement je riais. Ça a continué comme ça tard dans la nuit jusqu’au moment où des conversations plus intimes du genre "Avec qui t’es déjà sortis?" ou "Qu’est-ce que tu penses de machin?" nous ont rapprochés les uns les autres. C’est à ce moment que Marc, le beau gosse, se mit en tête de titiller Alexandre, l’autiste. Il se plaisait à lui rappeler qu’il était puceau et qu’il le serait encore longtemps, le tout en reproduisant ses tics de langage. Le pauvre souriait tout en baissant la tête, signe qu’il était blessé par les paroles de son soi-disant copain. Le mec sexy que je voulais mettre dans mon lit m’apparut alors comme un sale con et, étant de nature altruiste, je pris la défense de mon nouvel ami suivie par Stéphanie, l’autre fille du groupe. Marc fit la gueule en comprenant qu’il n’avait plus aucune chance de me sauter mais la soirée continua malgré tout dans une ambiance encore sympa.
Après deux ou trois heures, avant que le jour se lève, je me rapprochai d’Alexandre qui était avec moi le seul encore éveillé et je lui fis gentiment la morale sur son attitude de soumis en lui disant qu’il devait apprendre à se défendre. En faisant semblant d’être fâchée je lui sautais dessus en maintenant ses poignets contre le sol. C’est là que, à force de gigoter à cheval sur lui, je sentis quelque chose de dur se frotter entre mes cuisses. J’étais en jupe et lui en short de plage, son visage souriant fit place à une expression de gêne ce que je trouvais très attendrissant de sa part. On ne disait plus un mot, je le fixais et lui fuyait mon regard. Sans trop savoir pourquoi je commençai à faire des va et vient sur ce qui, de toute évidence, était une magnifique érection. Je lui dis "Regarde moi." en chuchotant pour ne pas réveiller les autres, il s’exécuta et j’en profitais pour fourrer ma langue dans sa bouche.
Tout en continuant je glissais ma main dans son short, très doucement pour le mettre en confiance. Mes doigts finirent par attraper sa queue, elle était dure comme la pierre. Je descendis jusqu’à la base de son membre et le décalotta. Il poussa un petit cri aigu. Un réflexe m’obligea à faire "Chhht !". J’étais en train de le branler et son air coupable trahissait son plaisir. Après quelques minutes j’entrepris de descendre son short tout en restant allongée au dessus de lui pour ne pas briser ce face à face. Avec une main je tirais sur chaque coté jusqu’à ce que son sexe, libéré de sa prison, rebondisse contre ma culotte. J’écartai le tissu, pris la main de mon amant, et toujours en le fixant des yeux la colla contre ma chatte. Il eu un air surpris et gêné à la fois. Il l’a laissa entre mes jambes mais ne fit rien avec. Cet air ingénu, plus le risque d’être découverts, m’excitait terriblement. Je retirais sa main, l’échangeais contre sa queue, et lentement glissais cette dernière à l’intérieur de mon ventre en expirant un souffle de plaisir. Lui même devenait haletant. Pendant que j’allais et venais sur lui je lui demandais de toucher mes seins, le contact dû lui plaire car il les malaxa aussitôt.
C’est assez rapidement qu’il s’arrêta, ouvrit grand les yeux comme si un drame était proche, et me dit simplement : "Non!".
Je compris qu’il était sur le point de venir et à l’inverse des préliminaires attentionnés je pris un malin plaisir à accélérer la cadence en observant son visage changer d’expression. Plus le moment fatidique approchait, plus il faisait de bruit. Je mis alors ma main sur sa bouche et je couvris le cri de son plaisir pendant que son sperme remplissait ma chatte et me donnait le mien. Ce fut comme un éclair, un éclair de jouissance. On resta collé pendant un long moment avant de s’endormir cote à cote.
Je suis revenue l’année d’après et c’est comme s’il ne s’était jamais rien passé. Mon amant très spécial n’en a jamais parlé. Il est resté silencieux et en retrait comme à son habitude. Ce n’est pas une expérience que je renouvellerai mais ça aura été très intense pour la seule fois où je l’aurais faite.