Le nouveau facteur (5)
Pendant que je préparais un buffet froid pour nos amis, jannonçais à Christian quune surprise lattendait pour fêter son retour. Alors quil venait maider, il chercha à obtenir des précisions, mais je refusais de lui répondre autrement que par des caresses bien ciblées sur les parties les plus sensibles de son anatomie.
A 16h15 on sonna à la porte. Cétait Hakim, vêtu dune simple djellaba de coton blanc passée à même la peau. Cela lui allait très bien et ses mouvements mettaient en valeur les contours de son corps. Surpris, mon jeune amant, la queue pointée, matait mon voisin avec les yeux brillants. Il semblait avoir conservé un bon souvenir de sa première rencontre avec ce bel arabe viril et finit par lui sourire et échanger un baiser appuyé avec lui. Mais déjà un nouveau coup de sonnette annonçait un autre visiteur. Cétait Désiré, mon Ivoirien. Je lui ouvris et il entra, un peu intimidé. Très grand, les épaules larges, un torse bien développé et de longues jambes, il était impressionnant, avec sa peau dun noir débène, ses lèvres épaisses et ses cheveux noirs coupés court. Son TShirt blanc mettait en valeur ses pectoraux et ses abdominaux, alors que son Jean serré ne cachait rien de ses fesses fermes et de son sexe formant une belle bosse dans sa braguette. Christian était fasciné et visiblement inquiet mais sa bite le trahissait avec sa raideur et son gland rougeoyant. De son côté Désiré navait dyeux que pour ce sexe blanc offert, raide et palpitant. Timidement, il serra la main tendue de mon jeune ami, effleurant sa hanche de sa main droite.
Jinvitais mes amis à se mettre à laise. Hakim retira sa djellaba en la faisant passer par dessus sa tête. Son sexe commençait à se déployer, large et épais, circoncis, le gland brun et de la taille dun gros marron. Il se dandinait devant Christian et moi en se caressant les cuisses. Désiré fut plus long à découvrir son corps musclé sec et ses organes mâles dune taille vraiment exceptionnelle. Verge noueuse de 29 cm par 8 au gland épais et suintant, bourses lourdes et pendantes, petite toison noire bouclée. Les fesses bombées, les cuisses puissantes et les mollets bien marqués, il sentait fort le mâle et la sueur et il se dégageait de sa personne une force et une animalité envoûtantes.
Mon petit facteur ne pensait plus à son métier ni à son courrier. Adossé au mur, la sueur au front, les mains se caressant la verge, il hésitait entre Hakim et Désiré, ne sachant lequel toucher en premier, irrésistiblement attiré par les deux bites maintenant en érection complète. Tous trois se faisaient face et se rapprochaient insensiblement. Jannonçais à mes deux invités : « Je vous livre Christian. Cest sa fête aujourdhui. Il a abandonné sa meuf pour se donner aux mecs et devenir mon esclave. Amusez-vous et faites le jouir. Pour le moment je me réserve son cul ».
Rubicond, la bouche ouverte, les yeux écarquillés, Christian nosait répondre et semblait hésiter entre une certaine panique et des fantasmes exacerbés. Soudain il tendit ses mains vers les couilles dHakim et se mit à les peloter avec une satisfaction visible, dandinant du cul. Le bel arabe, dun mouvement souple sassit au bord de la table, appuyé au plateau de ses deux mains posées en arrière, les jambes écartées, le sexe tendu vers Christian. Je poussais doucement ce dernier par les épaules pour quil sincline vers la table et y prenne également appuis et sans hésiter, il pris en bouche le pénis dHakim. Saisissant loccasion, Désiré saccroupît sous la table, entre les jambes de mon cher blondinet et se saisit de son sucre dorge bien dur pour une fellation endiablée. Entre deux succions, il sexclama : « Je rêvais de sucer un beau sexe de blanc. Je veux le pomper à mort ».
Je passais alors à laction, saisissais les deux fesses de Christian, les écartais et plongeais mon nez et ma bouche dans sa raie luisante et humide. Je lui ouvrais le cul avec la langue et enfonçais celle-ci dans son intimité, la tournant et la retournant. Mon petit facteur, une bite arabe dans la gueule, profondément enfoncée, des lèvres noires et épaisses nouées sur son zob, ma langue active dans ses entrailles, gémissait de plaisir, les yeux fermés, le cul tendu, le corps frémissant de désir. Me relevant, je posais alors mon gland sur son trou bien ouvert et introduisis ma verge dans ses profondeurs. Je sentis son sphincter se refermer sur ma verge et je commençais à le ramoner avec lenteur. Mes mains sur ses muscles abdominaux, jaccélérais enfin lallure, criant à mes amis den faire autant. Pris par trois cotés, Christian fini par jouir de la bouche, du sexe et du cul. Je déchargeais ma semence dans son rectum en trois puissants jets. Hakim jouit dans sa bouche, linondant de sperme tandis que Désiré avalait une bonne dose de foutre du petit blond.
Nous avons poursuivi la soirée en changeant les rôles et Christian tint courageusement le coup jusquà la fin, successivement enculé par Hakim dont il connaissait déjà intimement le membre, puis par Désiré. Le pieu de ce dernier eut bien du mal à le pénétrer, malgré un cul déjà bien ouvert par Hakim et moi et largement lubrifié par nos foutres mêlés. A grands coups de bélier il lui élargit le trou, sans égard pour ses cris de douleur et plongea zob énorme jusquau fond de ses entrailles. Le redressant, empalé sur son pieu, le tenant serré entre ses bras puissants, il le porta ainsi sur le canapé, le déposa à genoux sur le siège et le ramona avec une force déchaînée. Il le fit jouir ainsi, comme jamais il navait joui, dans un hurlement quil ne put retenir. Pendant ce temps Hakim, accroupit près de lui, se délectait de son membre toujours en érection et parvenait à en extraire un nouveau jet de foutre.
Après le départ de nos deux amis, tard dans la soirée, nous nous sommes couchés lun près de lautre sur mon lit et après lui avoir fait une fellation lente et sensuelle, je lui ai permis de me pénétrer à son tour, sachant quil aimait aussi être actif en amour. Cétait sa récompense pour sa docilité de laprès-midi. Il le fit avec une ardeur inattendue après une telle séance et mhonora encore en éjaculant à trois reprises dans mon fondement. Décidément la jeunesse ne connaît pas de limites et mon petit facteur était doté dune verge fine mais résistante et de testicules bien pleins. Nous nous sommes endormis dans les bras lun de lautre, pour ne nous réveiller que le lendemain matin vers 9h.
En ouvrant les yeux je contemplais ce beau corps masculin, à la fois viril et fragile et cette gueule dange blond apaisée et éclairée dun petit sourire, étendus à mon côté. Je me jurais de tout faire pour prolonger des instants pareils et garder désormais pour moi seul cette petite merveille de fraîcheur et de vitalité.
Patrocle
