Le reste de la journée se passa comme à travers un épais brouillard. Je passai complètement à côté de mes quelques heures de cours, le repas avec mes parents fut encore plus morne que d’habitude et aussitôt après je filai m’enfermer dans ma chambre. Je m’allongeai sur mon lit et c’est seulement là que je retrouvai un peu de clarté. Je réalisai ce qui s’était passé : j’avais surpris un de mes camarades en train de coucher avec une prof, et pas n’importe lequel de mes camarades. Le mystère incarné, le ténébreux fantasme. Et comme si ça ne suffisait pas, cet homme m’avait fait jouir et avaler son sperme. Je me souvenais de tous les détails, y compris mon état d’esprit du moment. Je me souvenais que j’étais complètement transformée, à la merci d’Alex et obéissant à ses ordres sans broncher. D’un coup, la colère monta en moi. Je ne pouvais pas accepter de me faire manipuler comme ça ! J’eus beaucoup de mal à m’endormir cette nuit tant je m’en voulais.

Le lendemain je me levai, m’habillai et avalai mon petit déjeuner en quatrième vitesse puis filai vers le lycée bien plus tôt qu’à mon habitude. Je savais qu’Alex venait souvent assez tôt pour faire je ne sais quoi et je comptais bien profiter de l’occasion pour lui demander des explications. Une dizaine de minutes plus tard, j’étais devant les grilles, guettant impatiemment l’arrivée d’Alex. Je regardai partout mais ne le vis nulle part alors j’attendis. Soudain, une main se posa sur mon épaule et une vois me dit "Tu me cherches, pas vrai ?" Je sursautai et par réflexe envoyai une gifle au propriétaire de la main, qui l’arrêta sans difficulté. Et c’est seulement là que je reconnus Alex, vêtu de noir comme à son habitude.

_Eh bien, tu es explosive dès le matin toi.

_ Ah tu tombes bien ! Je…

_On se calme, m’interrompit-il. Je sais ce que tu veux me dire alors on va faire court : tu as deux options, soit tu oublies tout et tu n’en parles plus jamais soit tu viens avec moi et tu ne te reconnaîtras plus mais en contrepartie tu vas découvrir ce que tu voulais.

_C’est à dire ?

_Mes secrets. Je sais très bien que depuis des mois tu essaies de me percer à jour. Non non ne cherche pas à nier, ajouta-t-il comme s’il lisait dans mes pensées. Alors, qu’est-ce que tu choisis ?

J’ouvris la bouche pour lui crier d’aller se faire voir mais une partie de mon esprit étouffa mes mots et en un éclair, le dilemme se fit en moi. J’étais venu avec la ferme intention que cela ne se reproduise plus jamais mais en toute honnêteté je dois avoué que cette expérience m’avait fait un bien fou et que je brûlais d’envie de recommencer… Déjà je sentais ma volonté fléchir. Je rassemblai mes esprits pour enfin réussir à dire non mais à ce moment je croisai son regard si intense, et là toute ma résistance fondit comme neige au soleil. Dans un souffle je lui dis oui. Un sourire s’étira sur son visage et il me prit par la main pour m’entraîner vers les bâtiments. Nous passâmes devant le bureau des surveillants qui ne firent rien pour nous empêcher d’avancer et après quelques couloirs, nous arrivâmes devant une des salles de réunion. Après avoir rapidement vérifié qu’il n’y avait personne aux alentours, nous entrâmes. Là se trouvaient Mme Lefranc et Mme Castris, la prof de maths. Toues les deux ne portaient qu’un porte-jaretelles, des bas et un soutien-gorge. Elles étaient allongées sur la grande table, une boule dans la bouche comme celles des films pornos, un bandeau sur les yeux et avaient visiblement les mains attachées dans le dos. Je me tournai vers Alex, estomaquée et intriguée.

_Elles ont besoin d’un petit quelque chose pour bien commencer leur journée. Comme tu as décidé de m’accompagner je vais te laisser faire. Choisis celle dont tu veux t’occuper.

Je ne savais pas quoi faire, je commençai à regretter mon choix mais à ce moment il m’attrapa les hanches par derrière, m’attira contre lui et me murmura "Je sais que tu en as envie au fond de toi. Choisis." Au son de sa voix, je glissai vers mon état de la veille, incapable de réfléchir rationnellement. Après quelques secondes d’hésitation je montrai timidement du doigt Mme Lefranc. Alex se tourna alors vers Mme Castris et la retourna sur le ventre sans ménagement. Sans attendre il s’accroupit et plongea sa langue entre ses fesses, ce qui la fit gémir aussitôt. Il remua la tête, de façon à ce que sa langue fasse de plus amples mouvements. Je me délectai de cette vision quelques secondes avant de me concentrer sur ce qu’on attendait de moi : je devais donner du plaisir à cette femme attachée qui me suppliait du regard. Je n’avais jamais vraiment prêté d’importance au sexe jusqu’à présent, alors j’étais quelque peu désemparée mais je pris mon courage à deux mains et plongeai moi aussi ma tête entre les cuisses de ma "victime". J’eus la très bonne surprise de découvrir que son vagin était déjà très humide et je me mis plus à lécher pour boire que pour donner du plaisir. Mais très vite, j’eus envie que Mme Lefranc gémisse aussi fort que le faisait sa collègue, je décidai donc de m’appliquer. Je me rendis compte assez rapidement qu’elle semblait beaucoup plus sensible du clitoris, c’est donc là que je concentrai mes efforts.

Mes mouvements de langue étaient assez approximatifs mais avec de subtils mouvements de hanches, ma victime m’aidait à lui faire du bien. Peu à peu je prenais confiance en moi. Je donnais de petits coups de langue sur son bouton de rose, puis je le titillais, je repassais rapidement sur ses lèvres pour varier les plaisirs. La hardiesse m’envahissait, je décidai d’aventurer mes mains sur ses seins. A peine avais-je commencé à jouer avec ses tétons que son corps fut pris de soubresauts, elle poussa un long cri étouffé et je reçu sur le visage et dans la bouche un jet de mouille complètement inattendu. Je me relevai et m’essuyai avec mes mains mais pas question de perdre ce précieux liquide. Je léchai méticuleusement mes doigts et ma paume afin de ne pas en rater une seule goutte. Je commençais vraiment à devenir une grande fan de la saveur de la chatte de ma prof. Je me tournais vers Alex, qui venait juste de se relever.

_Je suis impressionné, tu es vraiment très douée. Tu sais quoi, tu as mérité une récompense. Tu peux détacher Mylène et lui enlever son baillon, elle te fera tout ce que tu veux. Mylène ! cria-t-il en claquant des doigts. Tu vas faire ce que te demande cette jeune fille. Quoi que ce soit. Quant à toi Joëlle, je pense qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.

Aussitôt dit aussitôt fait, il fit tomber son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Sa queue était déjà bien raide, presque palpitante. Il mouilla légèrement son gland avec un peu de salive puis s’enfonça d’un coup dans l’anus de Mme Castris, qui gémit de plus belle. Il se mit à la sodomiser violemment, s’enfonçant à chaque fois aussi loin qu’il pouvait.

_Oui, je sais que tu aimes ça, salope… Tu vas voir ce que tu vas prendre !

Il semblait avoir complètement oublié mon existence, il montrait un visage très différent de d’habitude : là il était sauvage, presque dément. Sans que je sache pourquoi, le voir dans cet état-là m’excita encore plus. Je m’empressai de libérer Mme Lefranc de ses entraves et je lui demandai fébrilement de se mettre derrière moi et de me doigter. Elle s’exécuta, se positionna de façon à ce que je puisse regarder Alex et glissa ses doigts en moi avec une facilité déconcertante. Je mouillai tellement que je commençais à couler sur la table mais je n’en avais rien à faire. Tout ce qui m’importais c’était de sentir les doigts qui allaient et venaient en moi et de voir Alex enculer sauvagement notre prof de maths. Cette situation était purement délicieuse. Jamais encore je n’avais ressenti un tel plaisir. Je sentis très vite monter l’orgasme, et malgré tout ce que j’essayais j’étais incapable de le retenir. Malgré moi je gémis "Je vais jouir..!". Contre tout attente Alex gronda "Moi aussi..". En effet il intensifia ses coups de rein et tira en arrière les cheveux de Mme Castris. Il la traitait vraiment comme une chienne mais c’était tellement excitant à voir… Je suppliai presque mon esclave d’accélérer ses doigts. Quelques secondes plus tard, je renversai la tête et un orgasme fulgurant traversa tout mon corps. Au même moment, Alex saisit sa proie par les hanches et s’enfonça de toute sa longueur en elle où, devinai-je, il se vida à grands jets.

Le moment d’euphorie passé, il se retira et Mme Lefranc enleva délicatement ses doigts, pour éviter que mon vagin encore très sensible n’ait de mauvaise réaction. Alex, le souffe court, se rhabilla puis détacha sa proie. Il enleva leurs bandeaux aux deux femmes puis leur dit de se rhabiller elles aussi. Une fois leurs bandeaux enlevé elles me regardèrent d’un air béat et vide. Tranquillement elles remirent leurs affaires et sortirent de la pièce. Nous les suivîmes mais je remarquai qu’un filet de sperme coulait sur la jambe de Mme Castris, à peine caché par sa très courte jupe. Alex le remarqua en même temps que moi car il lui dit :

_Joëlle, essuie-toi.

Elle se tourna en baissant les yeux et apercevant le liquide sur sa cuisse, elle l’essuya avec ses doigts avant de tout avaler. Après quoi toutes les deux s’en allèrent comme si de rien était. Alex quant à lui me dit simplement "Demain même heure." et disparut dans les couloirs. Laissée seule je m’adossai au mur, puis m’écroulai par terre, les jambes encore flageolantes du pied immense que je venais de prendre.

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