Je fus réveillée par une conversation. Le soleil inondait la clairière dans laquelle se trouvait le village, ce qui était plutôt rare. Ici le climat est chaud mais humide. Le ciel est rarement bleu.

En me redressant sur mes coudes, je sentis un liquide glisser entre mes seins et ruisseler dans le creux de mon nombril. Comme il ne pleuvait pas, je mis les doigts sur cette rosée épaisse. L’odeur était sans équivoque. C’était du sperme.

J’en conclus que Teuboku avait dû se masturber au dessus de moi récemment. Ce dernier discutait avec un jeune indigène, dont la bite tendue affichait clairement les prétentions. Au contraire, celle de Teuboku était flaccide quoique déployée.

Je m’enquis de ce qu’il se passait. C’était très simple. Le jeune homme s’était présenté pour me sauter.

Je lui fit répondre que ce n’était pas le moment mais qu’il pourrait revenir plus tard.

Il tourna les talons et disparut. J’en profitai pour régler mes comptes avec mon colocataire.

–  Dis donc Teuboku. Tu pourrais me demander avant de te masturber sur moi.

–  C’est pas moi!

–  Ben voyons !

–  Je t’assure. Il y a un autre gars qui est venu. Il voulait te baiser et je lui ai dis de ne pas te réveiller. Alors il a fait ça au dessus de toi.

–  Tu crois que je vais avaler ça ?

–  Si tu veux avaler quelque chose, suce-moi. Tu vas voir que je suis encore plein.

Et tout en disant cela, je vis sa queue se dresser. Il n’en fallut pas plus pour me convaincre de sa sincérité.

–  Ok, excuse-moi. Ramasse ta bite. On passe à autre chose.

–  C’est malin. Maintenant, je bande… tu veux pas…

–  Pas le temps. On aura toute la nuit prochaine pour ça si tu veux.

–  Juste une branlette (en vocabulaire, il apprenait vite!)rapide entre tes seins là ?

–  Branle-toi si tu veux, mais sans moi. J’ai rendez-vous.

–  Oui, mais en même temps, tu as encore besoin de moi comme interprète.

–  C’est vrai… bon ben fais-la moi en mode éjaculateur précoce.

Teuboku se mit donc à se pignoler avec vigueur. Il implora mon aide pour hâter le dénouement. Quelque coups de langue bien sentis lui permirent d’achever sa branlette, droit sur mon visage.

Je fis une toilette sommaire puis, accompagné de mon traducteur, je m’en fus à la cabane du chef.

C’était l’heure du repas. Il fit demander les deux dernières filles qui étaient revenues de chez les "grands hommes noirs de la forêt".

Tout me fut expliqué : Afin de maintenir de bonnes relations de voisinage avec les géants, les Boukipus leur prêtaient en permanence quatre jeune femmes pour une durée de six mois renouvelable par moitié tous les trois mois.

En contrepartie les géants fournissaient à la tribu des plantes rares aux vertus médicinales avérées, des vivres et autres bien nécessaires à le vie en clan, notamment des os ou du bois très dur pour faire des armes de jet.

Les jeunes filles qui étaient revenues déclarèrent qu’elles étaient très bien traitées. En fait, elles servaient d’objet sexuels à tous les hommes du clan. Je demandai pourquoi pas les femmes des grands hommes. Parce que, me dirent-elles, elles étaient très laides. Leurs seins étaient tombants et beaucoup moins ronds que ceux des Boukipus. De plus, les mâles appréciaient l’étroitesse des ouvertures des femelles Boukipus par rapport aux leurs qui, finalement ne servaient qu’à la reproduction.

Je demandai pourquoi les Grands hommes ne se reproduisaient pas avec les Boukipus. Il me fut répondu que cela n’était jamais arrivé. J’en conclus donc que ces grands hommes n’étaient pas des humains. Je me fit préciser qu’il ne s’agissait pas de singes. Non, ils étaient doués de langage avec une langue différente de celle des Boukipus mais, les femmes y passant six mois apprenaient cette langue et servaient d’interprètes aux transactions. De plus, quoique beaucoup plus grands que nous, ils étaient exactement constitués comme des hommes.

J’espérais avoir fait la découverte du siècle, une autre race d’hommes ! J’avais une irrépressible envie d’aller les voir.

Mais, les contacts ayant lieu tous les trois mois au rythme du calendrier lunaire en vigueur ici, et la dernière rencontre datant de la dernière lune, il me faudrait encore attendre deux mois.

Qu’à cela ne tienne, j’en profiterais pour mieux découvrir mais hôtes et leurs coutumes. Je priai juste Teuboku de rester avec moi le temps nécessaire à ce que je n’ai plus besoin d’interprète. Il me répondit qu’il resterait tout le temps qu’il faudrait. Je n’avais qu’à disposer de lui tout entier. Il était finalement trop content de pouvoir me baiser quand il voulait et il était rare qu’il ne se joignît pas à un autochtone quand il prenait l’envie à l’un d’eux de me saillir.

J’observai donc les murs de la tribu, à commencer par leur sexualité, vu la promesse que j’avais faite. L’annonce de mon séjour pour encore deux mois réjouit tous les mâles de la cité qui comprirent qu’en ce laps de temps, j’aurais effectivement le loisir de me faire grimper par tout le monde, même si ça me promettait de me faire baiser plusieurs fois par jour, entre quatre et cinq fois en moyenne calculai-je. Il était donc préférable d’organiser des soirées de groupe si je voulais me reposer parfois.

Je craignis la jalousie des femmes du groupe mais il n’y en eut aucune car les pratiques sexuelles du village sont très libres.

Quand un homme à envie d’une femme, la sienne ou une autre, il le lui fait savoir de la façon la plus directe qui soit, en lui montrant son sexe en érection. Si elle veut l’affaire est faite. Si elle ne veut pas, il cherche quelqu’un d’autre. Tout au plus est-il demandé de ne pas engrosser la femme d’un ami, d’un frère ou du père quand celui-ci s’est remarié et on se retire avant éjaculation, sauf à ce qu’on jouisse dans la bouche ou dans le cul de sa partenaire

Il est d’usage pour les fêtes ou lorsqu’on invite un proche que le mari offre sa femme à ses invités et, quand on reçoit la délégation d’un autre village venu chercher de nouvelles femmes et en apporter d’autres, on dépucelle les jeunes mariées en public.

Cependant, les femmes doivent rester vierges jusqu’au mariage, à l’exception de celles qui sont choisies pour être les compagnes des "grands hommes". Celles-là sont même les seules qui ont le droit de rester célibataires… ce qui arrive rarement.

La demande en mariage se fait de la même manière que pour exprimer le désir. Le prétendant se présente la queue en l’air, mais, il a pris soin de revêtir son costume de chasseur de cérémonie avec plumes et bracelets. La fiancée peut ainsi juger sur pièce de la virilité du prétendant de même que tout le clan qui assiste à la scène. Si le chef du clan, c’est à dire de la case (à ne pas confondre avec le chef du village qui dirige toute la tribu et donc toutes les cases) est d’accord et si la fille l’est aussi, le mariage a lieu.

J’ai eu le privilège d’en voir plusieurs. La cérémonie est publique. On épouse toujours la fille d’une autre case. A la tombée du jour, les deux chefs de clan, celui du marié et celui de la mariée se rencontrent sur la place du village ou dans la case commune en présence du chef du village, du sorcier et de tous les mâles des deux clans, sauf quand la météo oblige d’être à l’intérieure. Là, seuls les hommes entrent, plus deux ou trois femmes de la case du marié qui constateront la virginité de la promise.

Le chef de tribu reçoit le consentement des deux chefs de clan, puis on échange les cadeaux et, enfin, on fait venir les fiancés, d’abord l’homme, nu, puis la femme, entièrement nue également, tous deux couverts de plumes et bijoux.

Les matrones font du doigt et de l’oeil leur certificat gynécologique qui a généralement comme résultat de mettre tous les mecs en rut. Quand c’est fait, le marié pénètre la mariée, rendant ainsi l’union officielle. Ensuite ont lieu des agapes pendant lesquelles tous les hommes mariés, même le père les frères et les cousins, ont le droit de tester la nouvelle épouse, sans la féconder bien sûr.

Si la fête a lieu sur la place du village, quand tout le monde peut y assister, cela se termine en principe en partouze générale qui dure jusqu’à l’aube. Le lendemain, l’activité du village est singulièrement réduite.

Bien sûr, à chaque fois que je demandai la permission d’observer ce rituel, je l’obtins et me fit sauter en conséquence.

D’ailleurs, les mecs n’oubliaient pas ma promesse et cela défilait sans arrêt. Dans les tous premiers jours, j’éprouvai une lassitude certaine mais au bout de deux ou trois semaines, je commençai à m’y habituer. Je crus pouvoir obtenir un répit, prétextant mes indispositions, mais il parait que les règles ne constituent en rien un obstacle au sexe et feignant qu’elles fussent douloureuse, on me donna certaine décoction qui devait en anihiler la pénibilité. Je me dis qu’avec ça je pourrai faire fortune en Europe mais pour le moment je dus bien prendre toute les queues qui se présentaient. D’ailleurs il restait toujours deux trous de libres et mes petits camarades avaient une prédilection marquée pour ma façon de tailler des pipes, comme je l’avais vu faire dans des films de cul. Les femelles du village vinrent prendre des leçons.

Et au bout de quelques temps, je dus bien admettre que c’est moi qui recherchais les mecs, sans avoir besoin de beaucoup me fatiguer d’ailleurs pour en trouver. Bref, j’étais en train de devenir accro à la bite.

Totalement adoptée par la tribu, je me fis à ses us, et me promenai désormais toujours nue, avec juste un petit cache-sexe de rien du tout. Le bruit de ma présence s’était répandu  dans les autres tribus et les visites se faisaient curieusement plus nombreuses. Je devins pour mes nouveaux compatriote un objet d’échanges. Les affaires prospéraient. J’étais devenue la pute de la forêt. On venait par pirogues entières, les bras chargés de cadeaux, s’accoupler avec la grande femme blanche; Les types restaient une nuit dans le village et après un banquet en leur honneur, on les amneait chez moi. Le sperme coulait à flot de ma chatte et de ma bouche. Curieusement moins portés sur la sodomie que sur le reste, les indigènes laissaient très souvent mon trou du cul en repos.

Teuboku s’en accommodait très bien qui m’enculait souvent, notamment en double quand j’étais perchée sur la bite d’un de ses congénères.

Il était évident que baiser était un acte aussi naturel qu’un autre pour tout le monde ici;  Il n’était pas rare, à n’importe quelle heure du jour de voir un couple s’enfiler. On ne se cachait pas. Et au bout de quelques jours je n’eus plus aucun complexe à, jouir en public, pour peu que le garçon me plût. Il en venait même pendant les repas.

Je ne vis pas le temps passer et l’attente de mon expédition chez les "grands hommes noirs de la forêt" me parut finalement bien courte.

A suivre

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