Chapitre 3
« Dis mon cur, tu te rappel de ce dont nous avions parlé ? Ce sujet si particulier »
« Bien sur, j’y ai même passé du temps pour ton petit paragraphe, du coup, oui, je me rappel. »
« Hum, oui ! Et ? Tu en dis quoi ? »
« J’en dis que nous n’avons pas encore essayé ça, alors, si tu as des envies, on est jeunes. Il faut en profiter ! »
« Oui, mais voilà. J’en ai envie. Pour voire, tu sais. Pour essayer, mais mes envies sont plutôt portées sur les extrêmes pour cela »
« Comment ça extrêmes ? Tu veux dire avoir mal ? Que moi je te fasse mal en le faisant ? »
« Laisse-moi t’expliquer alors mon cur… »
« Bien sur, je t’écoute. Tu y a visiblement déjà réfléchis… »
« Oui mon cur.
J’aimerais que tu me prennes, tu sais ? Être à toi. Que tu dirige la partie.
Ce qui me plairait, c’est de ne pas avoir de contrôle ni le choix, être à ta merci. J’aimerais être comme ton objet, que tu m’utilise.
On est toujours à se donner du plaisir en douceur, même quand c’est plus vif, ça reste tendre et gentil. Contrôlé.
J’adore ça, mais j’ai envie de changer une fois.
Nous avons évoqué des objets pour se faire mal, du moment que ça reste pour le plaisir, et j’ai envie d’en évoquer quelques uns avec toi, et qu’au moment d’agir, tu me surprennes avec d’autres, de ton choix. Sans mon accord.
J’ai envie de m’en servir vraiment, que tu les utilise sur moi.
J’ai même déjà pensé à une situation pour le faire en fait. J’aimerais tout de même ton avis, pour ne pas te l’imposer, même si tu sais que je le veux réellement maintenant.
Je te l’explique ? »
« Après tout, oui… Pourquoi pas ? Tu t’es donné la peine d’y réfléchir, alors je t’écoute ma chérie. »
« Je vois que je ne te laisse pas indifférent… Tu a l’aire enthousiaste mon cur. Ça me fait plaisir. Je continu.
J’ai pensé faire ça toute une journée et pourquoi une nuit. Le faire crescendo. Commencer soft pour monter en intensité, tu comprends mon cur.
J’ai aussi pensé le faire ailleurs que chez nos parents, pas pratique ni discret. Il faudrait allez à l’hôtel. C’est un bon choix, je crois. Qu’en dis-tu ? »
« Oui, l’hôtel me semble une bonne idée pour cela. Confortable, discret et anonyme. Je te laisse continuer.
Dis-moi ce que tu veux utiliser, la douleur que tu veux ressentir »
« D’accord. Donc, une chambre d’hôtel.
J’aimerais être bloquée, ne pas pouvoir bouger. J’y ai déjà réfléchi, des cordes attachées à mes chevilles et à mes poignets, ça me plairait bien. Je te laisse choisir comment le faire.
Comme je te l’ai déjà dit, j’aimerais être vraiment à ta merci, je te laisse chercher comment faire, en plus de m’attacher.
Alors, tu es partant ? »
« Si cela peut te faire plaisir, oui. C’est toi qui me le demande alors pourquoi pas.
Donne-moi quelques objets qui te font envie, et je verrais bien. Ça me donnera quelques idées peut-être. Et, je ne sais pas comment te le demander, alors voila : tu veux avoir mal à quel point ? Explique-toi ma puce. »
« Je suis prête à vraiment ressentir la douleur. Pas juste une fessée. Même si tu me fais perler rouge, cela ne me gène pas. Je ne te fixe pas de limite.
On peut décider d’une phrase particulière que je dirais pour tout arrêter, sans rapport avec ce que l’on ferra. N’ai pas peur de me blesser même, c’est moi qui le veux. »
« J’y avais également pensé. Te connaissant, je m’y été attendu. Je t’aime assez pour te le donner si tu le veux vraiment. »
« Toute à l’heure, tu me demandais quels objets me plairaient. Promet moi de ne pas avoir peur, d’accord mon cur ? J’y ai également pensé. »
« Je te le promet. Je t’écoute. »
« Dans le soft, pour commencer, j’ai pensé au froid de glaçons sur moi, voir en moi.
Un peu moins doux, j’ai pensé à une cuillère à café en moi, pour me récolter et me faire goûter, à de la cire chaude légère. Un peu plus corsé maintenant.
J’ai pensé à des objets du quotidien à détourner en jouets, comme une brosse, qu’elle soit à cheveux, ou à ce que tu veux, ou un fouet de cuisine.
Ce que j’appellerais « le pire », à présent.
J’ai pensais à des lames de rasoir, des couteaux sur, ou en moi mon cur. J’ai aussi pensé à des allumettes. Je sais que ça peut paraître dur comme ça, mais plus j’y pense, plus j’ai envie mon cur. »
« Tu t’es fait tout un programme ma puce. C’est déjà bien fournie la, non ?»
« Oui, je l’avoue, mais ça me rend toute chose
Si tu as des idées, tu peux m’en dire une ou deux ? Pas toutes, je veux que tu me surprennes en le faisant. »
« Et bien oui, j’en ai quelques unes maintenant. Je pense à des punaises, ou des vibromasseurs. Et je ne t’en dis pas plus ma puce. Je vais te faire des choses en m’inspirant de tout ça… Tu en dis quoi ? »
« Tu me donne envie mon cur. Tes idées me plaisent… et me rendent curieuse ! »
Nous avons alors fixé cela à dans deux semaines.
Chapitre 4
Je l’ai laissé choisir et réserver l’hôtel, et me suis procuré ce qu’il fallait, plus des petits accessoires pour lui prodiguer d’éventuels soins, ne voulant pas la mettre en danger. Nous avons continué nos échanges par téléphones sans évoquer notre sortie, évitant également le sujet lors de notre week-end avant.
Notre aventure commença ainsi le samedi matin. Elle portait une jupe à hauteur du genou, et un top décolleté juste ce qu’il faut ainsi qu’un ensemble rouge. Le tout habillée d’une veste en cuire.
Nous avions la chambre pour le week-end. C’était une chambre des plus classiques ; un lit de deux personnes aux draps blancs, une salle de bains avec nos propres toilettes.
Avant de commencer, nous avons regardé un film sur mon ordinateur, blotti l’un contre l’autre, et sommes sortis manger au restaurent.
Alors que nous faisions un petit tour après mangé, elle commençait à me caresser l’intimité.
L’excitation faisant son chemin, je commençais à l’embrasser, de plus en plus sauvagement.
La journée commençais à changer. Son ton devenait plus sexuel… Plus bestiale. Nous avons donc décidé de rentrer à l’hôtel, rapidement.
Pour me mettre dans mon rôle de dominant, je choisis alors de commencer à la malmener. Je la bousculais, la forçais à avancer plus vite, la fatigant alors.
« Arrête, je suis essoufflée ! Et tu me fais mal à me pousser ! »
« A oui ? Qui voulait être mon jouet ? Qui voulait le faire ? Qui voulait obéir ? »
Elle me répondit alors avec son plus malicieux des sourires.
« D’accord Allons-y ! »
Sur la route du retour, je lui demandais si elle voulait des explications, elle me dit que non. Elle souhaitait, pour le moment, que je lui dise quels objets j’utiliserais, et comment je m’en servirais, au moment où je le ferais, pour savoir.
Pour rentrer, au milieu de la rue, je lui fis enlever ses dessous, ce qu’elle fit, non sans résister. La voire se tortiller, pleine de regards inquiets, pour se débarrasser de ses apparats été très excitants, mais de nous deux, dire lequel l’été le plus serait compliqué.
Alors que nous étions à dix minutes de notre chambre, un banc nous accueillis quelques instants. J’en profitais pour lui faire ôter son top, la rendant torse-nue au milieu du parc de l’hôtel.
Je lui dis de me le donner et de ne remettre que sa veste en cuire. L’effet était des plus sexys.
Je lui intimai alors un nouveau défi.
Après lui avoir taquiné le sexe des doigts, je lui fis pénétrer son boxer en elle, de ses propres mains. La sensation du tissu sensé la protéger de l’extérieur en elle lui fit perdre la tête.
Elle m’embrassa alors avec fougue et passion.
« Si on ne rentre pas très vite, je te fais l’amour ici ! Dépêchons-nous ! »
« C’est ça ! Tu es sur de toujours vouloir le faire ? Tu va forcément avoir mal tu sais ! »
« Oui ! Mille fois oui mon cur ! Allez s’il te plait ! »
Je ne l’ai pas faite languir plus longtemps, et nous sommes rentrés. Elle me confiait alors que le vêtement en elle, bien que gênant, l’excitait par son usage détourné tout comme les frottements contre ses chaires.
« Je te le demande une nouvelle fois. Veux-tu réellement le faire malgré ce que cela implique ? »
« Sans hésiter, oui ! Je veux être à ta merci, surprend moi ! Je t’attends mon cur, lâche toi. Dis-moi juste ce dont tu te sers, et comment mon cur, et c’est tout. Je VEUX avoir mal. Je t’aime. »
« Moi aussi. Commençons.
Maintenant, tu m’appelleras maître, du moins, quand tu pourras parler.
Je ne serait plus gentil avec toi, et je te donnerais des ordres auxquels tu te plieras sans discuter sous peine de sanctions.»
« Oui, si tu veux. »
Je lui assénais alors une gifle d’un revers, pondérée, suffisante pour la marquer sans la blesser pour autant.
Son regard changea alors. Sa confiance disparue. Elle baissa les yeux, mon propre regard sur elle trop lourd à supporter. Elle comprit alors que son petit ami était partit, laissant place à son maître.
« Oui maître. Je vous demande pardon maître. »
« Déshabille-toi ! Allez ! »
En quelques secondes, elle fut nue. Seul son vêtement toujours en elle était visible, un morceau dépassait.
« Enlève ton boxer de la ! Et met le dans ta bouche ! Cela fera un bon bâillon. »
« Oui maître, mais je ne pourrais plus vous donner le code au besoin d’arrêter maître. »
Une nouvelle gifle s’abattit sur sa poitrine. Une trace rouge vive apparue alors. Des larmes faisaient leur apparition.
A ce constat, je lui demandais si elle voulait arrêter. Un non de plus fut sa réponse.
« Alors tu te tais et tu obéis ! Vite ! »
« Oui maître. »
Je vis alors son linge disparaître entre ses lèvres, buccales cette fois. La peur sur son visage été visible mais, après une dernière demande essuyée par un refus, je lui dis que je ne lui demanderais plus.
« Tu ne pourras plus me le dire, mais tu pourras toujours claquer des doigts ; trois fois de la main droite pour que j’arrête. C’est notre code quand tu ne peux pas parler.
Approche-toi de moi »
J’avais amené avec moi un sac à dos contenant mes trouvailles. J’en sortais alors un rouleau de scotche noir dont je fixais un bout sur sa bouche pour fixer le bâillon.
Etant au dernier des 5 étages par une météo qui tournait au désastre, on ne pouvait pas nous voire par la fenêtre. Je me permis alors de lui dire
« Ouvre la fenêtre et reste devant trois minutes ! Cela te rafraîchira les idées ! »
Elle se dirigea alors vers cette fenêtre, et se posta devant une fois ouverte, ses bras ouverts en la tenant des mains. Les trois minutes écoulées, je le lui dis et elle referma la fenêtre.
Je l’emmenais sous la douche de la salle de bain, et l’ouvris en position froid, la plus froide disponible. Je la vis écarquiller les yeux et se recroqueviller sur elle-même en gémissent.
« Debout ! Et en silence ! »
Elle s’exécuta à grands renforts de respirations profondes par le nez, manquant alors de s’étouffer, et réussis.
« Maintenant que tu es bien trempée à l’eau froide, retourne devant la fenêtre ouverte 3 minutes. »
Elle s’y rendit, résolue. Elle grelottait plus que de raison sous l’orage et son vent. Elle reçue sur la poitrine quelques feuilles et autres débris du parc pris dans le vent. M’approchant par derrière, je lui caressais la vulve avec une feuille, lui grattant la peau.
« C’est bon, tu peut refermer. Va prendre une douche sans toucher à la température et rejoint moi. Lave bien ton sexe et ton anus. Et fais en sorte que ton bâillon ne parte pas. Ne te mouille pas les cheveux. Tu as dix minutes. Fais vite ou tu seras punie ! »
Je m’assis sur le lit, et l’attendis. Je ne pouvais la voir, mais j’entendais clairement ses gémissements sous l’eau que je devinais froide.
Elle revint vers moi, complètement nue, cheveux et bâillon intactes, dans les temps et sèche.
« C’est bien, soumise. Tu as respecté tes consignes. Ton maître sait être bon. Va sous la couette quelques minutes te réchauffer, je te dirais quand sortir »
Elle s’allongea alors, rassurée de se remettre de ces premières épreuves.