La femme commence à déboutonner son corsage, mais le garçon nous fait un signe négatif et sort de la pièce. L’homme et la femme vont vers le fond de la pièce pour poser leurs affaires sur la chaise déjà occupée par les nôtres. Une fois nus, je peux les détailler. Lui est grand, athlétique, bien musclé avec une superbe bite pas très longue, mais très épaisse et terminée par un gland gigantesque. Elle, grande aussi, très beaux seins, fesses d’enfer, ventre à peine arrondi sur un pubis glabre d’où émerge un clitoris écarlate. Les deux hommes se regardent, ils comprennent qu’ils ne sont que deux pour assouvir cinq nanas en comptant Sylvie.
— Vous vous appelez comment ?
— Ma femme Chantal et moi Henri.
— Nous, c’est Sylvie la camerawoman, Julie sur le divan, Marie debout à côté, lui André et moi, c’est Lili. Maintenant que les présentations sont faites, tu veux bien t’occuper de mon arrière-train ?
— Tu permets Chantal ?
— Bien sûr mon amour, moi, je vais m’occuper de Marie si elle veut bien.
— Bien sûr, je suis toute à toi.
Julie prend son sac et en sort plusieurs godes. Chantal va vers elle en prenant Marie par la taille. Elle choisit deux doubles godes, un assez gros, l’autre plus fin, mais tous deux assez longs.
— Tu préfères lequel ?
— Ça dépend de l’orifice qui va les accueillir.
— Pour moi, c’est égal, ils vont tous les deux dans mes deux orifices.
— Alors, le gros.
— Parfait.
Julie a sorti le gel et badigeonne consciencieusement les fesses et l’anus des deux filles.
— Je vais te montrer une position que tu ne dois pas connaître.
— OK.
Chantal s’allonge sur le divan, elle monte ses jambes à la verticale en les ouvrant un peu.
— Enfonce-moi le gode et mets-toi comme moi en face. Henri t’aidera à te le mettre.
Marie pointe le gode sur les fesses de Chantal et pousse. Il s’enfonce lentement dans ses entrailles. Quand il est à peu près au milieu de sa longueur, Marie arrête et se met dans la même position en vis-à-vis de Chantal en venant effleurer la pointe du gode avec ses fesses. Henri dirige le gode entre ses fesses, elle se soulève un peu et s’empale doucement jusqu’à ce que ses fesses touchent celle de Chantal. Leurs jambes sont collées les unes contre les autres à la verticale.
— Putain que c’est bon.
— Mets tes bras le long du corps, maintenant, fais comme moi, tu pousses sur les bras pour soulever ton bassin.
Chantal monte à peine son bassin, et le fait redescendre. Elle recommence plus haut accompagnée de Marie qui a bien compris ce qu’il faut faire en augmentant l’amplitude du geste. Je m’approche un peu et vois le gode qui sort un peu à chaque montée pour s’enfoncer à nouveau à chaque descente. Mais cet exercice doit être très fatigant car elles s’arrêtent au bout de quelques minutes. Je ne peux résister à la tentation et viens poser mes lèvres sur le clitoris des deux filles. Je les lèche alternativement. Leur bassin ondule. Je suis à fond dans ce que je fais quand deux mains se posent sur mes hanches, une autre vient m’enduire le fion de gel. Je comprends et ne bouge pas, attendant la suite que je sais très intéressante. Un objet dur, guidé par une main féminine, vient se glisser entre mes fesses. Il se fraie un passage en les écartant, frappe à la porte qui le laisse passer sans difficulté. Mon sphincter se referme sur la tige qui le suit. Henri me laboure le fondement lentement en donnant à ses gestes une grande amplitude, à tel point qu’au bout d’une minute, son gland sort de mon antre pour venir aussitôt défoncer ma rondelle et s’engouffrer dans mon rectum. Je continue néanmoins mon léchage de minous ce qui a pour effet de faire jouir Chantal, immédiatement suivie par Marie qui jouit enfin.
— AAAAAAAAHHHHHHHH
— MMMMMMMMMMMMMM
Je me redresse au moment où je sens la bite dHenri palpiter dans mon cul. Je n’en peux plus, je me laisse aller à mon plaisir, que je crie.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH
Henri me pitonne encore un peu, mais sa bite se ramollit et me libère. Je me retourne vers lui, lui prends la tête entre mes mains et me retourne vers Chantal.
— Je peux ?
— Bien sûr.
Je plaque mes lèvres contre les siennes, nous échangeons un long baiser. Quand je me dégage, Chantal est à côté de moi, elle m’enlace, se plaque contre moi en me caressant les fesses.
— A moi maintenant.
Elle pose ses lèvres sur les miennes pour échanger un long baiser. Quand elle me libère, je vois Julie contre la glace du fond qui se fait défoncer la chatte par André. Elle a une jambe levée qui ceinture ses fesses. Ils se donnent à fond, les coups de butoir d’André sont tellement puissants qu’elle se soulève de quelques centimètres à chaque fois. Elle me regarde, ses yeux se révulsent, elle jouit.
— Oui, oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiii
André est lui aussi secoué de spasmes, il l’accompagne.
Tout le monde fini assis sur le divan, sauf Sylvie qui change le minidisque de la caméra.
— J’ai déjà un disque complet, et c’est du lourd.
Je me lève, vais vers elle et lui prends la caméra. Je la tends à Julie.
— Tu nous filmes ?
— OK, c’est moi Cécil B. DeMille, ou plutôt Cecil B. De X.
— Tu es la seule à n’avoir pas joui, je vais m’occuper de toi.
— Avec grand plaisir.
Je fais lever tout le monde et allonge Sylvie sur le divan, je glisse ma tête entre ses jambes pendant que Marie s’occupe de ses seins. Elle commence à onduler du bassin. Je lui embrasse les jambes en remontant vers son sexe. Mes lèvres y arrivent lentement, son bassin ondule de plus en plus. Je vois Chantal se faire sodomiser par André pendant qu’elle fait une fellation à Henri assis au bout du divan, tout le monde s’active. Quand mes lèvres arrivent sur sa vulve, elle s’immobilise, se cambre pour m’offrir son sexe. Je plonge sur sa vulve ruisselante, je lui aspire les lèvres, redescends vers le périnée et remonte pour plonger ma langue dans son vagin. Mais elle est au bord de l’orgasme, je remonte un peu pour lui aspirer violemment le clitoris. Elle explose dans un superbe orgasme.
— AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH
Son corps est raide, elle ne respire plus, elle est en apnée, elle se concentre sur son plaisir. Elle finit par se détendre doucement, j’accompagne son corps qui redescend sur le divan. Je lui lèche la vulve pour récupérer un maximum de cyprine et me régaler encore un peu de ces lèvres chaudes et douces. Je me redresse, elle est allongée, apaisée, respirant calmement, les yeux clos, le visage détendu, elle est magnifique. Julie filme maintenant Henri, Chantal et André qui ne tardent pas à jouir eux aussi. Le téléphone de Marie sonne, elle se précipite pour décrocher.
— Oui ? ………… Je suis avec des amis, ça ne peut pas attendre ? ………. Bon, d’accord, j’arrive.
Elle coupe rageusement son téléphone.
— Je dois vous quitter, une affaire de famille.
Personne ne lui demande quoi que ce soit, elle s’habille rapidement et embrasse tout le monde. En partant elle se retourne.
— On se revoit vendredi, promis.
— A vendredi.
Cet évènement casse l’ambiance, sans rien se dire, tout le monde se rhabille. Je vais voir Henri Chantal et André pour leur demander s’ils sont d’accord pour que je puisse garder les films sachant qu’ils sont dessus. Tout le monde est d’accord, je leur promets de laisser une copie pour eux à la caisse d’ici une semaine. Henri et Chantal nous quittent les premiers, André les suit, nous restons un peu dans la boutique. Il y a deux hommes d’une vingtaine d’années qui regardent les films pornos à la vente au fond de la boutique. Ils sont en short de sport et tee-shirt. Je vais voir Jean.
— On peut s’amuser un peu avec eux s’ils sont d’accord ?
— Bien sûr ma petite Lili, s’ils sont d’accord, d’autant que je pourrais en profiter.
— Autant que tu veux.
Je fais signe à Sylvie de me suivre et de filmer et vais vers eux avec Julie. Je repère des plugs en bas d’une armoire juste à côté d’eux. Je défais discrètement deux boutons du bas de ma robe. Je m’accroupis pour les regarder en écartant les jambes leur offrant une vue imprenable sur mon sexe grand ouvert. Julie fait la même chose devant une autre vitrine de l’autre côté, mais elle, elle a déboutonné entièrement sa robe, offrant son corps entier au regard des hommes. Ils ne savent plus où donner de la tête. Je remarque sur celui qui est à côté de moi que son sexe commence à se développer sous son short qui ne peut pas dissimuler grand-chose. Je m’approche encore un peu en le regardant dans les yeux et finissant de déboutonner ma robe. Il soutient mon regard en se tournant vers moi. Quand je suis juste devant lui à le toucher, je pose mes mains sur la ceinture de son short en le regardant toujours. Il soutient mon regard avec même un air de défi. Je tire sur le short qui glisse le long de ses cuisses libérant une superbe bite déjà dressée vers le ciel. Il ne porte pas de slip. Je caresse ses fesses fermes, me soulève un peu pour gober sa bite en l’attirant vers moi. Je vois Julie qui fait la même chose à son copain, qui a lui aussi de très belles fesses. Je commence une fellation, j’ai envie de boire du sperme, je n’en ai pas bu cet après-midi, je suis en manque. Julie fait en sorte de faire tourner son partenaire de manière à les mettre côte à côte. L’homme pose ses mains sur ma tête, je me régale de cette magnifique bite qui me remplit bien la bouche tout en nétant pas excessivement volumineuse. Un doigt vient se poser sur mon clitoris, c’est Julie. Ma main droite va vers elle pour poser mon majeur sur son clitoris. Nous nous masturbons mutuellement pendant que nous suçons deux belles bites. Soudain je sens la bite commencer à palpiter.
— Attention, je viens.
Je continue à le sucer jusqu’à ce que je reçoive un énorme jet de sperme dans la bouche. J’ai tout juste le temps de l’avaler qu’un second aussi puissant arrive. Le doigt de Julie s’active toujours sur mon clitoris, je ne peux résister, je suis terrassée par un puissant orgasme, mes jambes flanchent et je me retrouve assise sur le sol. L’homme avait encore de la réserve et m’envoie un dernier jet de sperme sur le visage. Julie s’agrippe à son homme en lui prenant les fesses et boit le sperme qu’il lui donne avec abondance. Je réussis à me relever avec l’aide de l’homme. Il se rajuste, Julie se lève aussi et vient vers moi pour lécher le sperme que j’ai sur le visage et m’embrasser. Ses mains se glissent sous ma robe encore ouverte et se posent sur mes fesses pour les caresser pendant que j’en fais autant sur les siennes. Les hommes comprennent et s’éloignent en nous faisant un petit signe de la main. Nous retournons voir Jean.
— Tu as aimé.
— J’ai adoré, tu nous refais ça quand tu veux.
— J’en prends note.
Je vais voir Sylvie qui sort le minidisque de la caméra.
— Tu travailles vendredi après-midi.
— Ça dépend des semaines pourquoi ?
— J’aimerais beaucoup que tu viennes à une fête que je fais entre filles vendredi après-midi pour mon anniversaire.
— Ah, j’aimerais bien venir, une seconde.
Elle va voir Jean, discute deux minutes avec lui et revient avec un beau sourire.
— Pas de problème, je serais là.
— Super.
Nous nous réajustons, je récupère les minidisques pour les visionner et en faire des copies. Nous embrassons Jean et Sylvie et retournons chez elle. L’après-midi n’est pas fini, mais il a été un peu fatigant, un peu de repos nous fera du bien.
Nous arrivons chez Julie vers dix-huit heures, l’après-midi a été chaud, mais Julie n’est pas rassasiée, elle me jette sur le divan, m’écarte les jambes et plonge sa tête entre mes cuisses accueillantes. Sa langue se déchaîne sur ma vulve et mon clitoris, des ondes montent dans mon ventre, mon cerveau commence à disjoncter. Je tourne la tête vers les fenêtres, je vois une ombre dans une des chambres de l’hôtel, ça déclenche mon orgasme. Mes jambes emprisonnent la tête de Julie, mon bassin se soulève, je ne pensais pas être capable d’avoir encore un tel orgasme vu mon état de fatigue. Quand je retombe sur le divan, je jette de nouveau un il sur la fenêtre d’en face, un homme est collé au fond de la pièce, nu, se masturbant violemment en nous regardant. Je me lève et viens vers la fenêtre pour le fixer, Julie vient à côté de moi en se caressant le sexe en le regardant. Il nous fixe toujours. Quelques secondes plus tard, je vois un énorme jet de sperme sortir de sa bite, suivi par deux autres moins importants. Une main de Julie se crispe sur ma fesse gauche, elle jouit debout, devant la fenêtre à côté de moi. L’homme ne nous a pas quittés des yeux, il nous fait signe en levant le pouce avec un grand sourire et disparaît sur le côté. Nous retournons sur le divan. Julie m’allonge et se couche sur moi en m’embrassant. Nos corps se fondent l’un dans l’autre, je suis bien.
— Tu ne peux pas savoir à quel point j’aime ce contact peau à peau.
— Moi aussi j’aime, mais je ne veux pas m’emballer.
— Tu n’aimes pas être avec moi ?
— Si bien sûr, j’adore même, mais je trouve que tu vas trop vite.
— OK, je me calme.
Nous restons deux heures sans faire l’amour, juste assises nues sur le divan à discuter de nos vies et de ce qu’on veut en faire. De temps en temps une ombre se détache dans une fenêtre d’en face, mais nous n’y prêtons que peu d’attention, nos corps nus leur suffisent. Vers vingt et une heures, je me décide à partir, mais elle me propose de passer la nuit chez elle. Nous passerons chez moi demain pour me changer et aller chez la vieille dame, j’accepte. Après un petit dîner, nous décidons d’aller nous coucher, la journée a été tout de même un peu fatigante. Quelques baisers et caresses nous suffisent et nous nous endormons enlacées.
…/…