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Blandine et les loups – Chapitre 16




Le géant sourit, béat. Cette fille était vraiment géniale, elle allait au-devant de ses désirs ; il se rembrunit en se disant quil ne voulait pas la blesser. Il tenait trop à elle. Or il savait bien que sa bite était bien trop longue pour son vagin ; certes elle était assez fine sur dix centimètres, mais après pardon ! Pourtant il avait envie de la défoncer à sa guise, de sentir autour de sa matraque la chaleur et létroitesse de son fourreau.

À cette idée, il grogna doucement et sa bite durcit et gonfla encore plus, ce que ne manqua pas de sentir la jeune fille. Elle posa ses mains sur son ventre gonflé, sentant sous la peau les palpitations du barreau dacier qui lemplissait. Elle soupira et gémit de plaisir.

Mon dieu, cest pas vrai… Que tu es dur, jamais je naurais cru possible daimer être autant remplie. Je crois que mon petit cul ne sen remettra jamais.

Aussi, tu nas pas idée de mexciter en me demandant de te prendre comme une bête, de te défoncer la chatte.

Tu en as envie, cest vrai ? Alors quest-ce que tu attends ?

Pour toute réponse, le géant se souleva à la force des bras, arrachant un cri ravi à son amante.la maintenant contre lui dune main, il sortit de la grande baignoire. Il simmobilisa un instant en face dun miroir mural, surpris, tellement limage reflétée trahissait la disproportion entre Blandine et lui. Elle était empalée sur sa bite, minuscule poupée rose collée contre son torse de barrique et juste tenue par sa gigantesque main velue posée sous sa poitrine. Il la trouva fatiguée, les traits tirés ; mais elle lui sourit et ses yeux bleus pétillèrent, elle lui adressa un baiser de ses lèvres gonflées et son cur chavira de bonheur.

Elle laimait. Cétait une bénédiction et une malédiction. Il allait devoir honorer son pacte, malgré son amour pour cette jeune humaine. Ou plutôt à cause de lui.

Il la souleva lentement pour extraire sa bite en douceur et la posa devant lui. Elle senroula dans une serviette de bain et se frictionna les cheveux ; libérés, ils tombaient plus bas que ses épaules, mais elle les noua sommairement sur sa nuque. Liou se rendit dans un angle de la pièce où était installé un mécanisme mystérieux ; en fait, une soufflerie puissante étudiée pour sécher rapidement un géant à la fourrure de grizzly.

Tu veux essayer ? proposa-t-il. Il y a de la place pour deux.

Merci, mais tu prends déjà la place de deux personnes. Et puis je suis vite sèche, tu sais. Je nai pas tous ces poils partout.

Fascinée, elle regardait à la dérobée la verge de son amant disparaître dans son fourreau, alors que cinq minutes plus tôt… Après un long moment Liou avança dun pas et la soufflerie sarrêta automatiquement. Blandine le trouva encore plus imposant car sa fourrure avait pris de lampleur en séchant ; elle se jeta dans ses bras après avoir lâché sa serviette et se blottit en couinant de plaisir, fourrageant à deux mains dans la toison soyeuse et souple.

Alors, tu es en forme ? demanda le géant en caressant ses épaules.

En fait, je suis morte de fatigue. Le bain, sans doute.

Il la souleva et lembrassa sur le bout du nez, puis sortit de la salle de bain dun pas tranquille. Quand il la posa délicatement sur le lit, elle dormait déjà. Il se glissa à son tour sous la couette ; dans son sommeil elle se tourna vers lui et vint se nicher dans le creux de son bras. Il soupira et sendormit à son tour, comblé.

Il se réveilla au milieu dun rêve érotique ; puis il comprit ce qui se passait et rejeta la couette sur le côté. Agenouillée entre ses jambes, Blandine léchait ses couilles avec entrain. Ses yeux bleus brillaient dun éclat malicieux alors que sa langue sactivait.

Bonjour toi !

Bonjour, tu es enfin réveillé ? Je voulais faire comme Dédé ma appris, mais tes couilles sont bien trop grosses pour ma bouche. Tout chez toi est surdimensionné, dailleurs. Non que ça me déplaise…

En riant, elle remonta vite vers la tête de lit et embrassa Liou ; sa petite langue plongea entre les lèvres du géant qui répondit en projetant la sienne dans la bouche de la jeune fille. En même temps ses mains empoignèrent les petites fesses bien rondes et écrasèrent le corps menu contre le sien, emprisonnant sa virilité dressée entre eux.

Petite diablesse, tu as envie de quoi, ce matin ?

Je veux que tu pénètres mon petit cul, que tu le défonces de toutes tes forces jusquà entrer complètement en moi.

Tu es folle, je vais te déchirer, ma petite.

Pfff… Je suis jeune, je suis souple, et jai envie de faire ce sacrifice pour toi.

Prends garde, si je commence comme ça je vais te démolir le cul ; tu vas souffrir.

Arrête, tu en as encore plus envie que moi, je sens bien que ta bite est de plus en plus grosse.

Cest vrai, mais je ne veux pas te faire mal ; pas trop mal en tout cas.

Blandine séchappa des bras du géant et se mit à quatre pattes, bien cambrée, offrant sans pudeur ses orifices au regard fiévreux de son amant. Il eut alors la surprise de voir la base dun plug qui dépassait de son anus luisant de lubrifiant. Elle lui sourit par-dessus son épaule, mais son regard était suppliant.

Tu vois, je me suis préparée. Le plug nest pas bien gros par rapport à ta verge, mais jai bien lubrifié en profondeur avec toute ma main.

Tu nas pas une grosse main, petite maligne.

Cest vrai, mais cest tout ce que javais. Tu nas quà commencer doucement.

Une seconde plus tard Liou était agenouillé derrière elle, il extirpa facilement le plug en plastique et le remplaça par sa bite congestionnée. Blandine poussa un cri de gorge, ravie de voir quil passait à laction. Il prit sa taille à deux mains, en faisant aisément le tour. Ladolescente avait la taille fine et lui de grosses mains.

Tu es prête ?

Oui, vas-y… Oh mon dieu… Putain que cest gros. Tu mouvres en deux, fais attention…

Tu veux que jarrête ?

Noooon ! Continue, je ten supplie… Oooh…

Fermement crochée par les hanches, Blandine était tirée en arrière en même temps que son suborneur se projetait en avant, tamponnant en puissance lanus distendu. La jeune fille hoquetait, bégayait et bavait sans sen rendre compte, yeux révulsés et bouche bée. Puis quelque chose lâcha dans son ventre et elle hurla comme une énormité lenvahissait. Le lien était passé. Elle pensa sévanouir tellement elle avait mal, mais non, elle tenait bon. Emplie comme elle ne lavait jamais été, elle essuya les larmes qui ruisselaient sur ses joues et tourna la tête vers Liou.

Cest passé, tu es complètement entré. Et je ne suis pas morte.

Je… Je vais jouir, cest fabuleux… Tu sens, je te remplis de semence…

Il tira Blandine contre lui et se redressa ; debout, il fit quelques pas dans la chambre et sarrêta devant un miroir. Comme la veille devant celui de la salle de bain, la petite blonde était empalée ; mais là, toute la bite était en elle, base comprise. Son ventre était déformé, gonflé comme si elle était enceinte. Elle comprit que Liou se vidait en elle de manière continue, la remplissant de semence.

Trois fois que je me vide, Blandine. Et je narrive pas à arrêter.

Tu vas me faire éclater si tu ne peux pas sortir, mon gros.

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