René, quarante huit ans, va, comme tous les samedi, courir en forêt. La météo est incertaine, mais il décide quand même de s’aventurer.

A-t-il parcouru cinq kilomètres, qu’il est pris d’un besoin pressant. Il se met contre un arbre, et entend des bruits provenant de la rivière en contre bas.

La curiosité est plus forte. Il écarte les branches. La scène qui se déroule devant lui est vraiment érotique.

Une jeune fille est allongée sur le terrain en pente qui borde la rivière. Sa jupette de tennis est relevée sur la taille, le string git à ses côtés. Ses jambes sont ouvertes à l’équerre. Du polo roulé autour de son cou, se dresse une

poitrine magnifique. René ne reconnait pas ces jeunes gens.

Il remarque juste un tatouage sur la fesse droite de la fille.

Le jeune est allongé,les pieds dans l’eau, son visage entre les cuisses de la jeune fille. Il est en train de la sucer. Il est entièrement nu.

-Ah..ah..oui, que c’est bon ce que tu me fais, vas-y salaud, bouffe moi la chatte, oui..ouiiii.

Le jeune se relève et avance sa queue en érection devant la chatte toute mouillée de la gamine.

-Prends moi, supplie-t-elle, j’ai envie de me le faire mettre.

Doucement, le jeune homme pénètre les lèvres gonflées, en poussant un "han" de bucheron. Au bout de dix minutes, les jeunes amants jouissent en même temps.

René, excité, préfère reprendre son footing.

Demi heure plus tard, un violent orage éclate.

René est à cinq cent mètres de la maison de son frère. Il prend le sentier de droite pou s’y rendre.

Il sonne à la porte.

C’est Audrey, sa nièce, jolie brune de dix huit ans qui lui ouvre. Elle est vêtue d’une jupette de tennis et d’un polo.

-Mon dieu, tonton, dit-elle, mais tu es trempé comme une soupe. Vite, rentre te sécher.

-Je me suis fais surprendre comme un imbécile, répond René. Tes parents sont pas là.

-Non, ils sont partis pour la journée. Je devais aller au tennis, mais quand j’ai vu le temps, j’y ai renoncé. Allez, va à la douche, va à la douche, je vais voir si je trouve des habits de papa.

Quand René revient, Audrey est assise sur le canapé, jambes croisées, remontant de ce fait sa jupette vers le haut des cuisses.

-Tu as un jolie tatouage, remarque René, çà fait longtemps que tu l’as?

-Non, çà fait trois semaines, répond Audrey.

-J’ai vu une jeune fille au bord de la rivière tout à l’heure. Elle avait le même, et était habillée comme toi.

La terre s’écroule sous les pieds d’Audrey.

-C’était toi, hein? Dit René. Tu avais l’air de te régaler.

-Qu’est-ce-qu’il te faisait de bon.

-Je t’en prie, tonton, ne dis rien, s’il te plait.

-Bien sur que non, si tu es gentille avec moi, dit-il.

-C’est à dire, demande Audrey.

René s’approche de sa nièce, et tente de lui décroiser les jambes. Mais Audrey résiste, les larmes au bord des yeux.

-Bon, j’y vais, dit René, je passerai voir ton père dans la semaine. Au revoir, et merci pour les habits.

Audrey se précipite, et se met entre René, et la porte.

-Attends, supplie-t-elle, déconne pas, viens, assieds toi sur le canapé.

René s’assied. Audrey se met sur ses genoux, faisant monter volontairement sa jupette à la ceinture, découvrant son entre cuisse.

-Tu te rappelle quand tu me faisais sauter sur tes genoux, dit Audrey.

-Tu n’étais qu’une petite fille, répond René.

René remarque la position écartée d’Audrey. Il remonte sa main sur la cuisse, jusqu’à ce qu’il soit en contact avec les lèvres encore humides. Il taquine le clitoris, faisant tourner un doigt dessus.

Audrey commence à glousser de plaisir.

René glisse deux doigts dans la chatte.

-Il te faisait du bien comme ça, ton copain? Demande René

-Oh non, tonton, il n’a pas l’expérience que tu as toi, gémit-elle.

Audrey est totalement écartée, un bras passé derrière le cou de son oncle. De sa main libre, René fait rouler le bout ses seins entre ses doigts.

-Ah..ah, soupire Audrey, tu me doigte salaud, oui, prend moi maintenant, s’il te plait.

Audrey change de position. Au passage, les deux amants se déshabillent. Elle se met à genoux sur le canapé, et glisse doucement sur la queue de René.

L’expression de son visage change. Elle pensait pas que son oncle était aussi bien monté que ça.

René s’agrippe à la superbe poitrine de sa nièce.

Audrey accélère ses déhanchements, ça y est, ils viennent tous les deux.

-Sale pute, crie René, tu me vides les couilles, vas-y, bouge ton cul salope. ha…ha…oui.

-Toi aussi tu me fais cracher tonton, oh putain, j’aurai jamais pensé çà. Regarde comme tu fais jouir la petite chatte de ta nièce. Vas-y salaud, tire moi; ouii, ouii.

Les deux amants s’écroulent sur le canapé.

-Il va falloir que j’y aille, dit René. je passerai dans la semaine voir ton père.

-Pourquoi, s’inquiète-t-elle.

-Pour lui rendre ses habits, répond René.

-Passe jeudi, il n’est pas là, tu pourras me mettre des coups de queues tout l’après midi si tu veux.

-Tu taille les pipes aussi, demande René.

-Bien sur, répond-elle, et j’avale.

-Et la sodomie, poursuit René.

-Ah, je l’ai jamais fait, ce sera l’occasion d’essayer.

-Bon, jeudi, je t’encule. je sens qu’on va bien s’amuser tout les deux.

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