Solange, ma petite sur, était maintenant à moi, complètement ouverte, demandant mon sexe dans son ventre ; elle voulait sentir ma purée couler au fond de son vagin, pouvoir jouir encore et encore, son corps ruisselant de sueur, son con coulant comme le Vésuve, et ma langue léchant tout ce jus de femelle Mais, toute ouverte qu’elle soit, elle n’était pas soumise (j’ai horreur des femmes soumises). Le corps à corps était torride Rapport de forces ? Pas vraiment : plutôt une lutte de plaisirs et de désirs.

Telle une tigresse qui attrape sa proie, ses ongles se plantaient dans mon dos jusqu’au sang ; une douleur insupportable qui décuplait mon excitation. Je ne suis pourtant pas maso, mais là… Vint enfin le sexe à proprement parler.

Après un prélude et des préliminaires interminables mais tellement bons j’avais eu le temps nécessaire pour la préparer ; mon sexe était tendu comme un arc, dur comme du béton, imposant comme toujours : ma sur allait prendre un pieu tout aussi gros que le gode que je lui avais enfilé ; mais cette fois, le phallus était réel.

Approchant ma bite de sa fente, je lui caressai les lèvres externes avec mon gland, ce qui recouvrit mon sexe de cyprine. Je poussai alors ma colonne de chair entre les frondaisons de son intimité, sans à-coups ; inexorablement, ma pine s’enfonçait, lui arrachant des cris de jouissance extrême. Son bassin ondulait, poussait à la rencontre de ma bite, les jambes relevées sur mes épaules, son con métait offert. J’étais en elle jusqu’à la garde. Mes va-et-vient se firent amples et rapides ; mes couilles tapaient contre son fion. Sa respiration était saccadée, son souffle court ; son corps inondé de transpiration, sa tête rejetée en arrière, ses yeux mi-clos et ses gémissements ininterrompus témoignaient de son état et de son degré de plaisir intense et puissant

Mon dos en sang, des lacérations profondes et longues, témoins de sa furieuse capacité à jouir, prouvaient qu’elle ne simulait pas. J’ai connu bien des femmes très bonnes baiseuses ; mais des comme elle jamais un tel degré de plaisir. Je l’ai limée pendant un long moment jusqu’à ce que je n’en puisse plus. J’ai donné tout mon foutre, en longs jets puissants qui remplissaient son vagin. Mon sperme chaud, épais et brûlant, qui honorait sa fente tant convoitée, que javais été le premier à visiter, le premier à l’avoir remplie

Nous nous somme écroulés, repus de sexe et de sang ; mais il restait encore bien des choses à lui enseigner : je voulais lui fister le con et le cul après l’avoir sodomisée, lui enfiler mon bras jusqu’au coude, poing fermé, toucher son utérus et d’un doigt expert et vindicatif lui administrer un deep spot profond et réel, pratique que peu dinitiés connaissent et qui, pourtant, agrémente et finalise le plaisir du nirvana, la divine jouissance extrême…

Après on moment de repos, ma queue était de nouveau en érection. Je lui ai demandé de me sucer, ce quelle fit avec empressement, nettoyant ma queue de tout ce qui restait de l’acte précédant, goûtant un mélange de sperme et de cyprine. De longs filets de cette sécrétion avaient coulé le long de ses cuisses, et ce liquide jouissif apportait à nos deux corps maculés une note de plaisir décuplé ; les odeurs de sexe sont un atout olfactif très excitant.

Elle voulait connaître non pas la sodomie, mais l’enculage, puissant et bestial. Elle voulait avoir mal et souffrir pendant cette pénétration ; mais, vu comment j’avais dilaté son anus, il n’en fut rien. Elle me demanda alors de la frapper sauvagement, mais je ne pus my résoudre. Jeus alors l’idée lumineuse de lui administrer une fessée magistrale tout en lui ramonant le conduit anal. Elle criait de douleur et de plaisir ; elle jouit à répétition un nombre incalculable de fois Je dus pourtant me lâcher à un moment, lui remplissant le cul de jus de corps d’homme. Une pénétration en levrette profonde ; nouveau repos. Ce n’était plus une sur que j’avais avec moi, mais une véritable chienne aux cheveux et au visage défaits, au regard de salope, aux lèvres de suceuse invétérée, mais tellement bonne !!!

Elle me jura de ne plus vouloir un autre sexe que le mien : elle voulait devenir ma salope personnelle. En fait, elle devint ma femme, et la mère de nos deux enfants parfaitement normaux. Un enfantement de frère et sur, ce n’est pas courant, mais réalisable et parfaitement normal, vu l’amour qui nous unit.

Nous sommes tombés amoureux entre frère et sur, et nous vivons toujours un amour intense et des parties de baises torrides Mon souhait ? Dépuceler mes deux filles quand elles auront 16 ans, devant leur mère bien entendu, uniquement si elles le désirent et les initier aux plaisirs lesbiens entre surs et mère. Solange est d’accord avec moi sur ce sujet.

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