Chapitre I. Un jour à la Fac.
Aussi longtemps que je me souvienne, j’étais timide. A l’école déjà, j’étais incapable de lever le doigt, lorsque je connaissais la réponse qu’attendait le Maître et dans la cour, sous le préau, à la récrée, je me contentais de rougir et de bafouiller quand par hasard une gamine semblait s’intéresser à moi.
Au lycée, je me réfugiais dans de longues rêveries solitaires. Seul le soir, dans la pénombre rassurante de ma chambre la main dans mon slip je me tripotais pendant que des filles plus belles que belles défilaient sur l’écran de mes phantasmes.
A 18 ans, première année de fac, un petit studio à la ville voisine, des bonnes notes, je suis toujours puceau et ne connais des femmes que les lectures pornos et les vidéos cochonnes.
Mais j’aime mon corps, mon cul et mes couilles, je me branle au moins 10 fois par jour.
Jamais je n’ai fantasmé sur ma mère, une jolie femme de 40 ans, ni sur ma sur, aujourd’hui mariée à un sale type dont le seul défaut est de la faire cocu .
Deux jolies femmes, les yeux hagards, la chatte baveuse se frottent consciencieusement sur mon écran quand on frappe à la porte, je n’ai que le temps de rajuster ma braguette et d’éteindre l’ordinateur c’est maman qui entre.
-« Salut, mon lapin, mon boss m’envoie deux jours en stage, j’ai décidé de coucher chez toi ton père n’aime pas que je sois seule dans un hôtel et comme c’est le patron qui paye on en profitera pour se faire un ciné-restaurant »
Maman est comme cela, en trois mots elle a tout dit, tout résolu, tout décidé.
-« Ben coucher, oui mais où? Et j’ai des partiels à réviser »
-« Le lit sera assez grand pour nous deux et si tu n’as pas encore révisé, ce n’est pas ce soir que tu apprendras. »
Déjà, Maman investit la minuscule salle de bain, bouscule ma brosse à dent et ma crème à raser, ramasse mes chaussettes et mes slips sales, fourre le tout dans un sac poubelle et installe confortablement, son maquillage, ses rouges à lèvre, ses parfums, ses bijoux , ses peignes et son sèche cheveux.
-« Ben mon lapin, ta salle de bain est une véritable porcherie, tu n’as toujours pas de copine? », dit maman en prenant possession de l’unique fauteuil.
-« Maman, je t’en prie ne m’appelle plus mon lapin »
-« Oui, mon lapin, mais tu n’as toujours pas de copine et ce n’est pas une raison pour vivre dans une porcherie, je vais faire un peu de nettoyage, porte à la laverie ton linge sale, s’il te plaît ».
Ça y est, elle est dans la place, à quoi bon répliquer. Je quitte une vague version latine, enfile mes chaussures et prends le sac poubelle avec le linge sale….
-« Pouf, pouf, avant de sortir, tu ferais bien de cirer tes chaussures, tu pourrais même prendre une douche et te changer, mon lapin. »
Docile, je prends une douche et me change, il n’y a plus rien de moi dans la salle de bain, tout est ma mère.
Lorsque je sors, maman a déjà le balai et la serpillière à la main, elle aussi s’est changée, elle est nue sous sa blouse d’infirmière, (maman est infirmière).Sous la fine étoffe, pas de soutien gorge, juste une petite marque plus sombre, marque du slip. Maman, belle et indécente, ils doivent se marrer les hommes à la clinique.
-« Ben mon lapin, te voilà propre comme un sous neuf, n’en profite pas pour courir les filles,rentre vite! ce soir je te paye le restaurant »
Je sors en haussant les épaules, ce n’est pas une mère que j’ai, c’est une tornade.
Seul dans la laverie automatique, l’envie de me branler en pensant à maman nue sous sa blouse me prend pour la première fois. J’imagine le regard des mecs, des femmes, des toubibs… Je passe ma main dans mon pantalon, mon gland frémit et coule à chaque passage de mes doigts. Les yeux clos, je me concentre sur le corps de maman nue offerte sous sa blouse, ma caresse agace ma tige, le plaisir intense envahit d’un seul coup toute ma bite, je résiste une ou deux secondes, une bombe couve dans mon ventre, je la laisse exploser, les jets de sperme inondent ma culotte en vagues de plaisir. Enfin ma main trempée s’immobilise et je peux reprendre mes esprits. J’aime cette sensation étrange de mes couilles qui baignent dans leur jus..
La lessive est terminée, je peux rentrer, maman juchée sur la chaise essaye d’atteindre le haut de l’armoire avec son torchon.
-« Au lieu de t’affaler sur le fauteuil, tu ferais bien de m’aider à décrasser le haut de l’armoire, je suis trop petite et ça colle comme une chatte pas lavée »
Les deux, juchés sur la petite chaise, je commence à passer le torchon sur l’armoire, maman collée contre moi me passe l’eau de javel, d’où je suis, j’ai une vue plongeante sur son décolleté. Maman à les seins blancs, onctueux et laiteux, on dirait deux belles pommes, le corps de maman est chaud, je bande. Je ne voudrais pas que cela s’arrête, il n’est pas possible que maman ignore la bosse qui déforme mon pantalon, je rougis, maman ne dit rien.
Ouf! C’est fini, je regagne le fauteuil, maman à quatre pattes, passe la serpillière sur le sol, elle est belle maman, elle a de longues jambes fines et fuselée, aussi blanches que ses tétons, surtout là, juste au dessus de la cuisse, là ou la peau doit être si douce. Parfois, la blouse mal fermée, laisse apparaître la petite culotte sous laquelle on devine par transparence les poils roux, maman est rousse…
Discrètement je me masse les couilles, maman continue son ouvrage sans rien dire. Ignore t’elle que je la mate?
-« Bon, ben voilà c’est propre, une bonne douche et je t’emmène au restaurant »
Une bonne douche, pour maman c’est une bonne demie heure de maquillage. Pendant que maman se prépare, j’ai le temps de me branler , sur l’écran des filles rousses, des infirmières rousses, des infirmières rousse de 40 ans, se touchent, sucent et se font enfiler, par des black, des blancs ou des chinois, aucune n’est aussi belle que maman. Mon slip est trempé.
Il fait chaud, sur la petite place, les clients mangent en terrasse, un musicien des rues improvise un bal.
-« Si tu me faisais danser, mon lapin? »
-« Tu sais bien que je ne sais pas danser »
-« Ben justement c’est le moment d’apprendre » et maman me traîne sur la piste..
C’est un slow, rien à faire, juste se laisser bercer, maman abandonnée dans mes bras, ondule et se colle, toujours bandé, je sens son corps qui se frotte, j’ai envie de la peloter, timidement je caresse ses fesses, trop tard, le bal est terminé, le musicien remballe.
-« Rentrons » dit maman en frissonnant.
Assis sur l’unique chaise, je regarde maman lovée dans le fauteuil, le silence est pesant, maman la jupe remontée sur ses cuisses légèrement écartées semble songeuse et troublée ,on la dirait absente, Face à elle, j’ai une vue directe sur sa culotte, je matte sans vergogne la tache luisante. Maman mouille, ma bitte me fait mal.
-« Je crois, mon fils que tu as un problème avec les filles, il n’est pas normal que ta mère puisse te mettre dans cet état, tu es toujours en érection, tu passes ta vie sur des pornos. Ne nie pas, je sais me servir d’un ordinateur et je crois que tu es toujours à 18 ans puceau. »
Enfin, elle parle! enfin elle trouve!.
-« Oui, maman, je n’ai jamais touché une fille, ni même vu pour de vrai un corps de femme nu, les filles me bloquent, j’ignore comment les aborder et quand je discute pas hasard avec l’une ou l’autre ce n’est que pour parler boulot, alors que je n’ai qu’une envie les prendre dans mes bras et les caresser»
Maman ne répond pas, elle soupire, ses jolis seins se gonflent, jusqu’à tendre la fine étoffe du chemisier.
Son silence, m’encourage, je poursuis.
-« Ce soir, j’aime ton odeur, j’aime ta chaleur, s’il te plaît, maman, montre moi »
-« Non, ce n’est pas à moi ta mère, c’est interdit, c’est malsain. »
-« J’ai mal maman, regarde. » Doucement j’ouvre ma braguette, aussitôt mon sexe s’échappe, beau, violet, dur, dressé, arrogant.
-« Non, il ne faut pas, ce n’est pas bien, range cela tout de suite petit cochon », pourtant maman dégrafe sont corsage, se lève, laisse tomber sa jupe à terre et baisse doucement sa culotte, qu’elle retient pudiquement de la main.
Que maman est belle! vêtue uniquement de sa chevelure rousse, son corps blanc et laiteux, juste un peu large des hanches, ses seins sont petits et dressés, on dirait un ange.
« Tu regardes, mais tu ne touches pas », chuchote t-elle.
Moi je sais déjà que jamais je ne verrai, une si belle femme, alors, je baisse mon pantalon et les yeux rivés sur cette touffe de poils qui suinte le bonheur, doucement je commence à me caresser.
Même dans mes pensées les plus osées, je n’aurais su imaginer cela. Doucement les main aux ongles manucurés glissent sur la chatte, maman se branle calmement d’abord, puis franchement. Elle m’accompagne en feulant, couchée sur le fauteuil elle renifle et lèche sa culotte souillée, sa main enfoncée dans sa grotte secrète s’active de plus en plus vite, les immenses yeux émeraudes perdus dans je ne sais quel délire, son corps se tends…Sa main enfoncée dans son intimité obscène de salope lui arrache un cris de plaisir lorsque ma bitte que j’agite frénétiquement libère tout son jus.
Nous jouissons ensemble, longuement.
C’est maman qui reprend la première ses esprits, elle s’approche, je sens l’odeur de son miel intime sur ses doigts.
-« Tu es beau, mon fil, c’est beau une queue de puceau et autant que je m’en souvienne, c’est doux , c’est raide, c’est chaud ».
Délicatement elle saisit ma bitte encore un peu molle, toute maculée de sperme, le rapide va et vient ranime mon ardeur, maman me sourit et me gobe.
C’est ma propre mère qui me tète le gland, frictionne mes couilles et chatouille mes fesses. Je défaille de plaisir, c’est ma première pipe, ce ne sera pas la dernière.
Ivre de bonheur, incapable de contrôle, je décharge dans sa bouche. En bonne femelle, maman n’a même pas un mouvement de recul, elle avale tout, je crois m’évanouir.
Ma jouissance est violente totale, mais maman ne s’arrête pas la, consciencieusement sa langue de salope me lave les couilles, me lèche la raie, puis la bouche pleine de mes moiteurs, elle me roule une longue pelle, alors que ma main s’aventure dans sa grotte baveuse.
– »Branle moi mon chéri, conduis moi dans ton lit »
Étendue , lascive sur le lit, maman m’ouvre ses bras, en riant je la touche, lui fouille la chatte, lui met un doigt, deux, quatre, dans le cul, je lui branle le bourgeon et surtout ma langue la lèche, explore tout ses recoins. En bonne chienne soumise, ma mère se laisse tripoter et renifler, amusée par mes maladresses.
Maman s’abandonne dans des pose de plus en plus obscène.
-«Ce n’est pas bien de baiser sa mère, mais c’est si bon. »
Maman prend goût à ce jeu qu’elle qualifiait tout à l’heure de malsain, alors j’approche ma queue de son visage, caresse sa figure, son nez, sa bouche, ses joues avec mon gland, laissant une trace humide et poisseuse sur sa peau.
La femelle s’allonge sur le ventre
-« Encule moi, mon fils »
Je m’enfonce dans ce trou ouvert et commence à limer vigoureusement. Maman a la pratique de la sodomie, sentant venir ma jouissance, elle m’expulse de son cul et branle ma bitte sur son ventre.
Au moment de l’explosion, elle retire sa main, m’obligeant à finir l’ouvrage et à l’arroser de mon foutre.
« Maintenant, je suis ta maman femelle » dit -elle en partant sous la douche.
Épuisé, je sombre dans un sommeil peuplé de rêves de cul, au matin, juste un mot sur la table.
-« À ce soir, tu me raconteras ».
Une bonne douche, un sandwich il est 14heures lorsque je sonne chez Mélissa avec qui je dois réviser mes partiels. Mélissa est une bonne copine, studieuse, jolie, moins que maman peut-être pas, différente sûrement.
Profitant d’une pose, Mélissa propose un café, je l’observe.
17 ans, une veste en jean qui laisse deviner les petits seins dressés sous le tee-shirt blanc, les cheveux court, soyeux, blonds, une grande bouche, des lèvres pulpeuse bien dessinées. Une bouche à pipes! Cette pensée érotique, réveille mes pensées lubriques, je ressens cette décharge électrique, agréable et douloureuse dans mon bas ventre qui jusque là était resté très sage.
Lorsque Melissa revient, une tasse de café à la main en dandinant du cul, cédant au désir qui m’étreint, je plonge ma main sous le tee-shirt à la rencontre de ses magnifiques seins aussi fermes que juteux.
-« Enfin, tu te décides. » Sans prévenir, Mélissa me roule une galoche d’enfer.
Elle n’arrête de m’embrasser que pour soupirer au plaisir de ma caresse. Elle aime la manière dont je malaxe ses nichons en insistant sur les tétons .En ronronnant, la belle prends ma main et comme pour la récompenser, la pose sur son sexe moule, lui faisant faire un mouvement d’aller-retour, un peu comme une vierge lorsqu’on la touche pour la première fois.
Je laisse ma main suivre les ordre de ma belle, elle laisse pénétrer légèrement le bout de mon doigt sous son slip à la recherche de son intimité. Son petit bourgeon d’amour est ferme et doux. Chatte heureuse, Mélisa ferme les yeux se laissant aller à cette masturbation enfantine, ses hanches ondulent au rythme de mon doigt. La cyprine coule le long de ses cuisses, lorsqu’enfin son corps se tends dans un râle de joie. Ses yeux brillent de bonheur.
– » Je suis vierge, du sexe, du cul, de la bouche, porte moi au lit et fait moi l’amour »
Quel honneur, quel bonheur, de faire une femme, ce soir j’aurai ma copine à raconter à maman.