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Des potes pas si hétéros que ça – Chapitre 10




J’étais revenu de Corse avec des souvenirs pleins la tête, notamment concernant ma partie de jambes en l’air avec Thomas. Je partageais mon temps entre fantasmer sur les photos des mecs que je connaissais qui s’affichaient torses nus sur Facebook et aller voir mes amis. Néanmoins, depuis le gang bang que nous avions fait avec le frère de Louis, rien d’autre ne c’était produit.

Les choses devinrent intéressantes quand Timothée, un de mes meilleurs potes que j’avais déjà sucé quelques fois déjà, me proposa de l’accompagner pour aller à son entraînement de football. J’acceptai avec plaisir car l’idée de voir des jeunes hommes sportifs entrain de courir après un ballon ne me dérangeait pas. Arrivé là-bas, je m’assis dans les gradins prêt à encourager mon pote, et je détaillai du regard les membres de l’équipe de Tim qui sortaient du lot. Je distinguai un portugais macho qui crachait partout, portait un jogging ample et s’était rasé les cheveux sur le côté dans un style "racaille". Il était plutôt pas mal, tout comme son pote qui courait à côté de lui, un grand brun à la peau bronzé, au sourire charmeur, l’oreille droite percée d’une boucle d’oreille. Venait ensuite un blond de taille moyenne qui insultait tout le monde sur le terrain mais mon attention se fixa sur un grand black très séduisant. Il devait faire dans les un mètre quatre-vingts dix, avait une peau noire comme l’ébène, des grosses lèvres pleines et un corps des plus alléchant. J’appris plus tard qu’il s’appelait Daniel. Je frémis quand je sentis son regard posé sur moi car il me fusillait de ses prunelles sombres.

L’entraînement s’exécuta rapidement. Pendant ce temps, je tentai d’apprendre les noms des bons petits hétéros que j’avais repéré. Le portugais s’appelait Nicolas, le grand brun Adrien et le blond Valentin. Vint la fin du match, et je décidai alors de venir féliciter Timothée pour ses performances sur le terrain.

"Merci mec, me répondit-il avec un sourire. Et mais on va prendre du douche, tu peux venir avec nous dans les vestiaires y’a pas de souci comme ça on discutera!

-T’es sur, ça dérange pas? demandai-je bien que mon cur est effectué un soubresaut.

-Non, allez viens!"

Sur ce je suivis Tim dans les vestiaires. Quand j’entrai, je me crus au paradis. Il y avait des jeunes hommes torses nus de tout côté, entrain de parler ou de se taquiner. Je tentai de cacher ma gêne et m’assit sur un banc à côté du dénommé Valentin, qui me dévisagea avec un sourire goguenard.

"Bah alors Tim, tu nous ramènes ton copain?

-Fermes ta gueule Val’, je voulais pas qu’il attende tout seul, répliqua mon ami du tac au tac.

-Et tu joues au foot, toi? demanda le blond en tentant de s’intéresser à moi.

-Non pas vraiment, désolé, répliquai-je en le regardant dans les yeux."

La conversation s’arrêta là et sans plus attendre Valentin se leva. Il enleva son short sans aucun gêne, et partit se laver. Heureusement pour moi, j’étais placé juste devant les douches je pouvais donc mater les mecs qui se dirigeaient désormais tous vers l’eau pour se débarbouiller. Une fois qu’ils repartirent dans leurs conversations en se savonnant le corps, le savon dégoulinant sur leurs épaules musclées, leurs corps sveltes et leurs fesses galbées, je m’autorisai à contempler les membres de ceux qui m’intéressaient. Le blond, Valentin, avait une bite assez grosse pour sa taille, et ne se rasait absolument pas. Une touffe de poile châtain se faisait voir au-dessus de son sexe. Adrien, le brun, n’était pas non plus adepte de l’épilation car ses grosses boules étaient recouvertes de poils bruns. Il possédait un membre de taille satisfaite, tout comme Nicolas, la "racaille" du groupe qui s’amusait à faire l’hélico avec sa grosse bite pour faire rire les autres. En revanche, le jeune homme était tout épilé. Enfin, mes yeux se posèrent sur le réel objet de mes fantasmes: Daniel. Là, je ne pus retenir un hochet de surprise. Il possédait une énorme bite qui se balançait entre ses jambes. Elle était circoncise et on voyait parfaitement le gros gland sur lequel dégoulinait l’eau. Je n’avais jamais vu un calibre d’une taille pareille, et je supposais qu’en érection cela été encore pire. Ses boules étaient toute aussi démesurées que sa queue, et mes yeux n’en finissaient plus de le mater.

"Et putain, on dirait qu’il est choqué par ta teub le pote de Tim, s’exclama Adrien en riant.

-Il est pas encore habitué c’est pour ça, expliqua Daniel d’une voix calme. Mais là encore c’est riant. Vous devriez me voir en pleine action les mecs, je suis sur que ma bite fait deux fois la taille de chacune des vôtres!

-T’en sais rien, t’as jamais vu ma grosse pine quand je bande mon pote hein, rétorqua Valentin fièrement en se touchant la dite pine d’un petit mouvement de main.

-Tu fais le mec Dany, mais je suis sur qu’en vrai c’est rien ta bite de black, enchaîna Nicolas avec un haussement d’épaule en se lavant les abdos.

-Mais fermez tous vos gueules bandes de tafioles, cria l’intéressé. Je vois que vous me croyez pas. Bah on va faire un petit jeu alors. Vous connaissez la biscotte?!"

Tout les mecs répondirent que oui. Quand j’avais entendu parler de cette pratique de rugbymen pour la première fois, je n’en avais pas cru mes oreilles et je m’étais dis que ce n’était que des mythes mais apparemment non. Il s’agissait en fait d’un concours de branlette, chacun éjaculait sur une biscotte et le dernier restant devait la manger. Quelques mecs sortirent de la douche quand on proposa le jeu, mais ceux qui m’intéressaient depuis le départ restèrent, ainsi que Tim. C’est d’ailleurs ce dernier qui alla chercher une brioche dans son sac qu’il garda dans un coin tandis que les mecs se regardaient de côté, ne sachant que faire pour commencer.

Je n’en croyais pas mes yeux, Nicolas, Valentin, Adrien, Daniel et Tim allait vraiment se branler devant mes yeux. Les mecs sortirent de la douche et se posèrent sur un banc. Le portugais sortit son portable et mit une vidéo de cul en allant sur internet. Les mecs ne tardèrent pas à commencer à bander. J’étais à côté de Tim, et je voyais clairement son excitation car sa bite que j’avais sucé avec plaisir ne cessait d’augmenter. Nicolas commençait à exécuter des mouvements de vas et viens rageurs sur sa queue bien dure tandis que Valentin se malaxait les couilles, un sourire aux lèvres. Au bout d’un moment, Daniel se dressa fièrement, dévoilant ainsi à la vue de tous le mastodonte qu’il avait entre les jambes. Je n’en revenais pas. Elle devait atteindre les vingt cinq centimètres et était d’une épaisseur incroyable.

"Alors, on compare les mecs, demanda-t-il fièrement en agitant son intimité de droite à gauche pendant que ses coéquipiers calmaient leurs ardeurs.

-Pas de souci, rétorqua Valentin dont la fierté était piquée. Mais il se rendit bien vite compte qu’il ne ferait pas le poids. Malgré le fait qu’il est un sexe d’une taille imposante, cela ne suffisait pas pour battre Daniel et la bite de Valentin parut bien ridicule face à celle de son camarade. Tim, Adrien et Nicolas s’essayèrent à se mesurer à la queue du bel étalon mais ce dernier les battit tous à plat de couture.

-Putain mais c’est pas normal d’avoir une teub comme ça mec, s’exclama Adrien d’une moue dégoutée.

-Bah si, ça s’appelle être un homme mon grand, répliqua Daniel en venant se masturber juste sous le nez du brun pour rigoler. Ce dernier se recula mais Daniel lui enleva sa main et lui fit sentir son gland tout en disant: ça c’est l’odeur d’un homme salope.

-Dégages Dany!"

Pendant ce temps, les mecs continuaient de se branler devant la vidéo de cul. Je n’avais qu’une envie en voyant tous ces chibres, c’était de les prendre en bouche. Sans attendre la sollicitation de quelqu’un, je finis par sortir ma queue pour jouer au jeux de la biscotte en même temps qu’eux. Personne ne dit rien mais au bout d’un moment, Tim me regarda et me dit d’un ton autoritaire:

"Suces. Comme la dernière fois où t’as pris, j’avais kiffé.

-Bah tu vois que vous aviez fait des trucs, s’exclama Valentin surexcité tandis qu’il se touchait le gland.

-Ca a l’air d’être une salope ton pote, renchérit Nicolas avec un sourire vicieux."

Je ne me fis pas attendre. Je me penchai et pris la bite de Tim dans ma bouche. Je retrouvais son goût avec bonheur pendant que mon ami reprenait ses pulsions sauvages et me baisait violemment les lèvres. Il sortit ensuite son chibre pour me le coller sous le nez. Là, Valentin le rejoignit, n’y tenant plus. Ils me firent sentir leurs queues, me collant leurs bâtons de plaisir contre ma tête. Leurs couilles bougeaient à quelques centimètres de mes yeux tandis que ma bouche opéraient des taillages de pipe de toute beauté. Je ne me retenais plus, me laissant aller à mes pulsions. J’avais vraiment pris de l’expérience et je sentais que je m’y prenais de mieux en mieux. Désormais ma langue savait que faire de ses glands gonflés, de ses couilles toutes dures et de ce long membre. Je léchai, j’embrassai, je suçotai, toujours et encore pour entendre les gémissements des footballeurs. Adrien, Nicolas et Daniel regardait toujours la scène, se branlant avec de grands gestes. Le brun fut soudain secoué d’un râle de plaisir. Il prit la brioche de Tim et sans rien demander d’autre, sans que je ne l’eus même sucé, il éjacula sur la nourriture avec un gémissement de bonheur.

Nos yeux étaient fixés sur lui. Les railleries de ces camarades ne tardèrent pas à venir sur son impuissance à tenir plus de quelques minutes mais déjà Adrien remettait ses vêtements pour s’en aller du vestiaire après un clin d’il à notre encontre. Mais la partie de baise continuait. Désormais, la bite de Nicolas avait rejoins le lot de sexes que je prenais dans ma bouche. Les trois mecs étaient debout devant moi tandis qu’il donnait des coups de bassins pour que je branle ou que je suce plus vite. Daniel contemplait toujours avec ravissement, me voyant prendre toutes ces bites dans ma bouche comme une salope. Je ne tardai pas à faire une gorge profonde sur celle de Nicolas, qui se mit à crier de plaisir, puis se fut le tour de Valentin. Lui se mit à soupirer d’aise avant de sortir son pénis gonflé pour venir me frapper au visage avec tout en s’exclamant:

"Je te bifle et t’aimes ça toi cochonne hein, t’aimes ma queue petite pute!

-J’ai l’impression qu’il a fait ça toute sa vie, continua Nicolas en me faisant un clin d’il tandis que je relevai le regard vers lui, sa bite en bouche.

-Il a l’habitude les mecs, on le défonce souvent comme un chienne donc allez-y, répondit Tim sans me demander mon avis."

Enfin, Daniel vint se dresser devant moi, tenant son membres imposant dans sa main. Il m’intima d’un geste de le sucer, ce que je fis avec bonheur. Pour commencer, je ne pus que prendre le gland vu la grosseur du chibre. Le jeune homme tentait de forcer le passage dans ma bouche à coup de rein mais je ne pouvais plus la prendre. Je voulus me reposer mais Daniel me boucha le nez et me força à continuer. Les choses devenaient tendues tandis que les autres mecs se remettaient en face de moi pour se branler encore et toujours plus. Je sentais ma bite qui durcissait dans mon jean. Je m’en débarrassai sans peine avant de me branler contre le carrelage; ma bouche continuant les durs vas et viens contre la pine de Daniel. Lui poussait des râlements rauques de plaisir. Je finis par glisser ma main sur ses fesses musclées, il me repoussa et me gifla.

"T’es baisé toi, faits gaffe où tu mets tes mains, nous on est des hommes des vrais."

Et sur ces dires, il me retourna pour venir regarder mon cul. Là, les mecs eurent un mouvement de recul. Cela arrivait souvent aux vrais hétéros, mais très vite ils choisirent de continuer ce plan cul. Aussitôt, je fus entouré par une bande de mâles en rut qui n’avait pas baisé depuis des semaines. Je serais leurs vides couilles aujourd’hui. Un premier doigt franchit l’entrée de mon anus. Je frémis et regardai derrière moi: c’était Nicolas, la racaille, qui commençait à me doigter violemment. Pendant ce temps là, Tim et Valentin se postèrent à l’entrée de ma bouche pour que je continues mes fellations et ma main vint d’elle-même branler l’énorme chibre de Daniel. Nous prenions chacun du plaisir tandis que les minutes passaient mais au bout d’un moment, Nicolas n’y tint plus et rentra sa bite à l’intérieure de moi. Je me mis à crier et l’on me mit un caleçon sale d’un des joueurs en guise de bâillon. Nicolas me défonçait rapidement le cul en donnant de grands coups de bassins.

"Elle est bonne ma queue? Tu la kiffes? Mais prends là espèce de poubelle à sperme!"

Je voulu dire quelque chose devant l’insulte mais l’on me força à prendre un sexe dans ma bouche, je ne savais même plus à qui il appartenait. Surement à Tim au vu des boules que j’avais sous le nez. Très vite, Valentin vint se positionner à côté de Nicolas et quand le portugais voulut prendre une pause, il prit le relais en continuant de m’insulter. A un moment, il s’arrêta pour m’enfoncer un doigt dans le cul et le mettre sous mon nez.

"T’aimes ça sentir ton cul? Tiens prends toi ma grosse queue! "

Et il enfonça son chibre à nouveau dans les profondeurs de mon anus. Valentin et Nicolas eurent alors une mauvaise idée: ils décidèrent tout deux d’enfoncer leurs bites dans mon cul. Commença alors une violente double pénétration. J’avais désormais la bite de Daniel en bouche, mes mains branlaient Tim et je poussais des cris de plus en plus fort malgré le bâillon posé sur mes lèvres. Les deux mâles s’acharnaient sur mes fesses comme si j’avais été une poupée gonflable et rien d’autre, que je ne pus pas avoir mal. Au contraire, ma douleur semblait leur plaire. Ils allèrent de plus en plus vite avant de se retirer rapidement pour venir se masturber au-dessus de la brioche. Une main de Valentin traînait sur les fesses musclées de Nicolas et inversement. Très vite, ils lâchèrent des doses impressionnantes de sperme sur le sperme d’Adrien. Les deux mecs restèrent néanmoins pour regarder le spectacle au contraire de ce dernier.

Enfin, Tim passa dans mon cul pour l’élargir encore un peu plus avant d’éjaculer à son tours sur ce qui nous servait de biscotte. Daniel était le dernier en course. Il vint se placer devant mon cul et poussa son gland contre mon anus. Une vague de douleur m’atteignit malgré le fait que je me sois déjà pris trois bites auparavant. Je n’imaginai même pas à sec ce que cela aurait fait. Daniel commença par me baiser doucement puis il accéléra avec des grognements bestiales, me caressant le dos au fur et à mesure que son chibre faisait des allers retours à l’intérieur de mon être.

"Tu vas bouffer la brioche tout à l’heure espèce de pute, quand on aura tous bien éjaculé dessus. Et puis c’est pas fini, tu vas en voir des bites ma grande parce que tu vas venir faire un tour dans les caves dans ma cité je crois."

Cette dernière menace m’inquiéta car je sentais qu’il était sérieux. Je voulus alors en finir mais il n’en avait pas décidé ainsi. Pendant dix minutes et sous le regard de Tim, Valentin et Nicolas, je me fis pilonner en poussant des grimaces de douleur. Enfin, Daniel se mit au-dessus de la brioche et je dus lui sucer les couilles pendant qu’il se vidait en criant. Quand il eut finit, il me regarda et claqua des doigts en désignant la nourriture pleine de sperme. J’étais encore excité, alors je saisis la brioche dans ma main et la mangea en souriant. Ma bouche était pleine de leur semence, je sentais le goût de leur sperme contre mon palais mais le pire, c’était que j’appréciais ça. Les commentaires salaces allaient bon train tandis que je dégustais avec délice la brioche recouverte du liquide. Quand j’eus finis, je me branlai rapidement devant les autres mecs qui se rhabillaient puis j’accompagnai Timothée jusqu’à la sortie: je n’en revenais pas de ce que je venais de faire.

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