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Famille recomposée – Chapitre 2




Pendant un long moment, les uns et les autres parlent, essaient de se justifier quand Stéphanie s’écrit :

— STOP ! Je sais bien que vous n’êtes pas frères et surs et que rien ne vous empêche de vous aimer ! Mais il y a des règles à respecter et des précautions à prendre ! Mais contrairement à ce que vous redoutez, je préfère avec Léo compléter votre éducation sexuelle. Il est temps que vous sachiez que notre métier de producteur n’est pas très rentable et nous a amenés à tourner des films pornos. Peut-être que celui que je vois en ce moment sur l’ordi est une de nos réalisations. Je vous avoue tout cela pour vous faire comprendre tous les risques qu’il peut y avoir dans les rapports sexuels. Léo va donc s’occuper d’éduquer mes filles pendant que je ferai de même avec Anthony et Noé.

Ils ont l’air choqué par ces révélations et la proposition de Stéphanie, mais sont trop heureux de s’en tirer à si bon compte.

Le soir venu, ils se retrouvent tous dans la chambre des filles où trônent deux grands lits.

Stéphanie prend aussitôt la parole :

— Les filles, sur le lit de droite avec Léo, et moi et les garçons sur l’autre. Je ne vais pas vous faire un cours d’anatomie, il arriverait un peu tard. Déshabillez-vous et ne faites pas les timides devant nous ! Je sais que vous avez l’habitude de vous balader à poil. Et Léo et moi en avons vu d’autres. Bien les garçons ! Il n’y a pas à dire, votre père a bien travaillé.

Elle s’approche d’eux et dépose un baiser sur leurs lèvres.

— L’amour n’est pas que du sexe. Il faut mettre votre partenaire en confiance, l’encourager pour qu’il réponde à vos désirs.

Elle recommence à les embrasser avec beaucoup de tendresse, d’amour et de passion. Ils trouvent le baiser si délicieux qu’ils le lui rendent avec fougue.

— Un simple baiser est déjà terriblement érotique. Et vous pouvez contrôler s’il fait de l’effet !

Pendant ce temps, elle caresse le bas-ventre des garçons ou s’épanouissent deux belles tiges.

Elle pose les mains des garçons sur sa poitrine pour qu’ils la caressent, ils lui pelotent les seins avec prudence mais s’enhardissent bien vite, faisant voler les tabous pour se trouver enfin au contact de sa chair.

Les mains parcourent tout son torse, ses seins lourds, ses hanches généreuses. Anthony et Noé posent chacun une main à la naissance de ses seins, agacent ses mamelons durcis. Puis leurs mains descendent sur son ventre, glissent sous la robe et s’insinuent dans sa culotte. Elle les repousse le temps de se dévêtir entièrement elle aussi.

Elle s’accroupit et saisit les jeunes queues, elles sont d’une taille un peu au-dessus de la moyenne, bien dures, mais très fines. Elle les prend en bouche à tour de rôle, appréciant leur goût.

Elle les avale en entier sans souci, pompe doucement de haut en bas, arrivant même à sucer ces deux glands en même temps, mais elle n’a pas la bouche assez grande pour absorber en entier les deux verges.

Elle soupèse et caresse les couilles gonflées. Les garçons, émerveillés par sa science, manquent de défaillir quand Stéphanie se met à lécher leur queue en insistant sur le gland.

— Ah oui ! Que c’est bon ! Je vais jouir ! S’écrit Noé.

Elle triture les bourses de plus belle en pompant ardemment Noé qui arrive à la jouissance. L’éjaculation est massive mais rapide, il lui emplit la bouche. Elle en avale le maximum, se délectant de ce goût si spécifique à chaque mâle. La production a été assez abondante pour qu’il s’en échappe quelques gouttes qui débordent de sa bouche et s’écoulent le long de son menton.

Elle empoigne la tige d’Anthony et le masturbe ainsi un moment pendant qu’il lorgne sur ses seins gonflés.

Il éjacule à son tour sur le corps de sa belle-mère, maculant sa poitrine, son cou et son visage de sa semence.

— Aaaaaaahhh ! Que c’est booonnn !

— Oui petit salopard ! Couvre ta belle-mère de ton sperme ! Ne cachant pas le plaisir, la perversité qu’elle retire de cet acte.

Pendant ce temps, Léo n’est pas resté inactif. Les filles ont voulu toucher ce qu’elles ont entraperçu un soir. Il se laisse faire et elles libèrent une queue déjà raide, moins longue que celles de ses fils mais plus épaisse.

Léo est excité de voir sa femme sucer ses enfants, il caresse doucement sa queue et approche son gland de bonne taille de la bouche la plus avide, Béa ne laisse pas passer cette occasion et engloutit l’engin.

— Avale-tout salope !

Il plaque la tête contre son ventre

Pendant un long moment, elles se relaient sur son chibre. Le père voit les jumeaux arriver à la jouissance mais malgré le double gamahuchage, il tient bon.

Elles ne lui laissent pas une seconde de répit et bientôt, il ne tient plus:

— Petites salopes ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Vous êtes trop bonnes !

Elles continuent à le pomper attendant leur tribut. D’un coup la grosse queue se contracte, grossit encore et expulse sur elles une bonne quantité de sperme épais, crémeux à souhait.

Il est comme fou et elles reçoivent le fruit de leurs efforts au fond de la gorge. Une giclée pour chacune. C’est bon, c’est chaud.

Elles ont obtenu ce qu’elles désiraient tant.

Elles relèvent la tête de l’entrecuisse de leur père adoptif, se léchant les lèvres encore pleines de son sperme avant de s’embrasser. Il continue durant quelques minutes à masser ce jonc vigoureux qui ramollit doucement.

— Bien les enfants ! Fin de la première leçon. Les complimente Stéphanie. Demain, nous passerons à l’étape suivante.

Les deux couples de jumeaux ont passé une nuit agitée, trouvant difficilement le sommeil, ressassant ce qu’ils et elles ont vécu, attendant avec impatience les réjouissances prévues pour le lendemain.

Stéphanie a regroupé toute la famille au salon et telle une institutrice, reprend la leçon là où elle s’était arrêtée.

— Hier, les filles ont perfectionné leur technique pour donner du plaisir au mâle. Les garçons, ça va être à votre tour d’amener à l’orgasme vos partenaires, d’abord avec votre bouche et vos mains, puis après avec votre organe reproducteur. Mais il faut toujours penser à se protéger. Là, pas de soucis car je fais prendre la pilule aux filles et j’ai demandé au laboratoire où je vous ai fait faire une prise de sang de pratiquer des tests idoines, tout est OK. Mais n’hésitez pas à refuser des rapports non protégés quand vous n’êtes pas sûrs de votre partenaire. La santé avant tout ! Allez ! A poil et on commence !

— Anthony et Noé ! Etendez-vous contre Béa et Célia. Posez vos mains sur leurs cuisses puis montez et descendez-les le long de la jambe, caressez l’intérieur des cuisses !

Au début ils ne vont pas très loin, mais s’enhardissent et remontent vers les entre-jambes.

Approchez vos mains de leur intimité pour les exciter et repartez et la fois d’après remontez plus loin !

Stéphanie guide la main d’Anthony vers l’exploration des trésors de Léa entre ses jambes entrouvertes et lui glisse à l’oreille que maintenant il se débrouille tout seul.

Les doigts effleurent la fente trempée pendant que son autre main remonte sur le ventre, sur ses seins et fait des cercles sur sa poitrine, monte jusqu’au cou avant de redescendre entre ses seins. Elle se pâme sous cette double caresse. Il se concentre maintenant sur son bas-ventre et le haut de ses cuisses, dessine des figures sans jamais franchir la frontière interdite.

Satisfaite, Stéphanie passe à Béa. Noé caresse ses jambes et remonte bien haut jusqu’à la vulve. Il n’ose pas glisser ses doigts dans la fente

— N’aie pas de crainte, elle n’est pas en sucre, je vais te guider !

Stéphanie tente de diriger les mouvements désordonnés de Noé et d’aider cette main à pourfendre le vagin de sa fille et fouiller le hall de ce puits d’amour.

Béa se met à agiter langoureusement son bassin d’avant en arrière, dans une lascive danse du ventre.

— Oh oui ! Gémit-elle. Branle-moi bien ! J’en ai tellement envie !

Sous ce traitement, elle ne tarde pas à sentir monter sa jouissance qui prend possession de ses organes sexuels exacerbés. Elle se tortille comme une folle sur les doigts qui s’excitent dans sa vulve détrempée, atteignant enfin l’orgasme.

Mais Noé ne veut pas en rester là et prend le clitoris entre ses lèvres qu’il tète doucement mais avec force pendant qu’il coulisse ses doigts rapidement dans la chatte.

Un second orgasme la transperce du plus profond de son être, faisant se durcir ses mamelons et se mettant à jouir de façon incontrôlable.

— Bouffe-moi la chatte ! Ooouuuiii ! Je jouis, je jouuuiiiiis ! Oh putain !

Elle coule comme une fontaine, il lui faut presque une minute pour que les spasmes ne s’apaisent. Mais son ventre a un besoin, une envie, qu’elle n’a jamais éprouvée aussi fortement et qu’elle va réaliser aujourd’hui.

— Viens me baiser !

(À suivre)

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