Jour J-30 = « l’invitation… ou remémoration des plaisirs coquins »
L’un des avantages d’être écrivain, c’est de n’avoir aucun impératif… si ce n’est de rendre son manuscrit à temps à son éditeur. Avec les progrès de la technologie, on est également passé à l’utilisation de l’ordinateur portable, que l’on peut emmener n’importe où ! C’est ainsi que je me trouve en vacances en Guyane, préparant un roman d’espionnage, d’où sont lancées les fusées Ariane.
Mais, ce n’est pas parce que je suis en vacances que je suis coupé du reste du monde : je me rends régulièrement dans un cybercafé afin d’interroger mes mails.
Connexion au net… Site de mail… pseudo… mot de passe… (roulement de tambour)
Vous avez un message !
A la vue de l’expéditeur… ou plutôt de l’expéditrice, mon regard s’illumine… enfin, je ne le vois pas, mais mon état -heureux- me le laisse penser !
Mathilde ! En un instant, c’est tout un morceau de ma vie que je revis dans ma tête… Notre rencontre… notre relation très « sexe »… notre séparation… Pour ça, ce n’est pas qu’on ne s’aimait pas : au contraire, on ne pouvait plus se détacher l’un de l’autre, si bien que nous avions peur pour notre avenir… si bien qu’on a pris la dure décision de se séparer…
Mais il faut quand même reconnaître que notre histoire avait démarré sur les chapeaux de roues ! Attendez, je vous raconte !
En fait, nous nous sommes rencontrés à la gare de Perpignan. Je remontais vers la capitale, et elle attendait une correspondance pour aller en Espagne.
Notre premier contact s’est passé comme dans une pub pour une carte bancaire. Je recherchais une place à la cafétéria de la gare, tout comme elle… et nous nous sommes retrouvés tous les 2 à la dernière table libre, au même moment ! Comme c’était une table pour deux, et que nous étions deux, d’un commun accord, nous nous sommes assis ensemble… Bien évidemment, pendant qu’on mangeait, on a fait connaissance, parlant de nos vies, de nos études… sans aborder les petits secrets personnels… Et on a discuté comme cela, jusqu’à ce que les haut-parleurs annoncent le départ imminent de nos trains… Amicalement, on s’est séparé en se faisant la bise, et on s’est quitté…
En m’installant à ma place, j’ai regretté de ne pas avoir pensé à lui demander son numéro de téléphone… Mais bon, je me suis dit que c’était quand même une belle rencontre…
Quelques instants après le départ, je suis allé aux toilettes… Je m’apprêtais à sortir et à rejoindre ma place pour me plonger dans un bouquin, lorsqu’en ouvrant la porte des w.c., je me suis retrouvé nez à nez avec la fille de la cafet !
On n’a rien dit : on s’est juste regardé. On était silencieux, mais nos yeux se disaient beaucoup de choses. Rapidement, elle a jeté un coup d’il à droite et à gauche, dans le couloir, et elle m’a poussé dans les toilettes, avant de fermer la porte derrière elle.
Nos mains sont parties à la découverte de l’autre. J’ai posé les miennes sur ses épaules, glissant sur son chemisier jusqu’à sa poitrine que j’ai un peu massée à travers le tissu, avant de continuer mon exploration. Ma main glissa sur sa jupe, et se fraya un chemin entre ses cuisses, qu’elle écarta. Doucement, j’ai commencé un léger massage qui amena quelques gémissements…
Pendant ce temps, ses mains ne chômaient pas : elles parcouraient aussi mon corps, jusqu’à s’attaquer à mon pantalon. La boucle de ceinture et les boutons de la braguette défaits, une main se faufila sous l’élastique de mon slip, à la rencontre de mon sexe que je sentais durcir.
Je l’ai poussée contre la cloison. Mes mains se sont attaquées à ses boutons de chemisier, dévoilant une belle poitrine soutenue par un soutien-gorge en dentelle noire. Délicatement, elle a passé ses mains dans son dos, et détacha l’agrafe. Avec douceur, j’ai libéré ses seins avant de les caresser. Approchant ma bouche, j’ai saisi un téton entre mes lèvres, et je l’ai sucé tendrement. Pendant ce temps, une main caressait l’autre sein, pinçant la pointe de temps en temps, arrachant à nouveau quelques gémissements de plaisir.
Tout en m’agenouillant, mes mains ont ensuite glissé sous sa jupe, et en ont retiré un adorable petit slip brésilien. En levant ses pieds, elle m’a aidé à l’en débarrasser. Puis, remontant délicatement sa jupe, j’ai dévoilé son intimité. Approchant ma bouche, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, et laissé ma langue s’insinuer en elle. Le nez dans sa toison, je me délectais de son agréable parfum.
Ses jambes qu’elle écartaient, et ses mains pressant ma tête entre ses cuisses : cela en disait long sur le plaisir que je lui procurais ! Serrant les dents pour éviter de crier, elle ne pouvait cependant retenir ses gémissements… jusqu’à ce qu’elle s’arc-boute quelques secondes, terrassée par la vague de plaisir que j’avais déclenchée en elle.
Doucement, je me suis relevé tout en parcourant son corps de tendres baisers.
A son tour, elle m’a poussé… mais sur la cuvette des w.c., et après avoir tiré slip et pantalon sur mes chevilles. Elle s’est agenouillée à son tour devant moi, et sans attendre, a commencé à me sucer tendrement, massant légèrement mes couilles dans une main. Jamais je n’avais connu un tel plaisir.
Comme par magie, elle s’est retrouvée avec un préservatif à la main… qu’elle a entrepris de m’enfiler, tout en continuant à me caresser le sexe.
Elle s’est ensuite relevée pour s’installer au-dessus de mes cuisses. Empoignant mon sexe, elle le fit passer sous sa jupe, à la rencontre de ses lèvres. Puis, délicatement, elle s’est laissée empaler, lâchant un long soupir de plaisir…
Elle a alors commencé un lent va-et-vient, tantôt prenant appui sur ses jambes pour remonter, tantôt se laissant glisser le long de ma verge… Sa poitrine à hauteur de ma bouche, j’ai sucé à nouveau ses seins…
Au bout d’un moment, après un échange de regards comme pour un accord, elle s’immobilise, croisant ses bras dans mon cou, tandis que je passais mes mains sous ses fesses.
Délicatement, je me suis relevé, avant de la « poser » sur le rebord du lavabo. A mon tour, je me suis occupé à lui donner du plaisir, tout en en prenant… jusqu’à ce qu’on explose, quasiment en même temps, tout en étouffant nos hurlements de plaisirs, dans un échange de baisers passionné…
Après avoir remis de l’ordre dans nos tenues (mais sans qu’elle remette son petit brésilien), nous avions rejoint le compartiment, comme si de rien n’était, et nous sommes repartis dans notre discussion, comme si on ne l’avait pas interrompue sur le quai…
Au bout d’un moment, on a arrêté un contrôleur pour connaître le temps de voyage qu’il restait à faire… « Une demi-heure ! » nous a-t-il répondu.
Après l’avoir remercié, on s’est échangé un regard… un de ceux qui en disent beaucoup… et nous nous sommes levés pour retourner vers les w.c….
Je suis rentré le premier, mais elle a juste eu le temps de mettre le verrou que je la plaquais contre le lavabo. Mon sexe contre ses fesses, tout en nous regardant dans le miroir, j’ai déboutonné son chemisier avant de commencer à lui peloter les seins un peu violemment… puis glissant une main sous sa jupe, entre ses cuisses, j’ai enfoncé un, puis deux et trois doigts entre ses lèvres. Elle tenait sa bouche fermée pour ne pas hurler, mais elle ne pouvait retenir ses gémissements qui en disaient long sur son plaisir !
A mon tour, j’ai sorti un préservatif que je me suis enfilé rapidement, avant de présenter mon sexe à ses lèvres. La tenant par les hanches, je la sentais sous mes doigts à la recherche du contact de mon sexe avec le sien… Je ne l’ai laissé attendre plus longtemps : rapidement, j’ai présenté mon gland sur ses lèvres, et je me suis enfoncé au plus profond. Je suis parti dans un va-et-vient rapide : dans le miroir, je voyais ses seins ballotter sous mes coups de reins !
Au bout d’un moment, je me suis retiré de sa chatte dégoulinante pour remplacer mon sexe par deux doigts. Je les en ai retirés, trempés de sa jouissance : j’en ai alors mis sur son petit trou…
Dans un souffle, je l’ai entendu me dire : « Doucement, je n’ai pas trop l’habitude par là… »
Reprenant mon sexe en main, je l’ai posé sur sa rondelle, et doucement, je me suis à nouveau enfoncé en elle… Son souffle s’est fait plus rauque… Arrivé au plus profond de son petit cul, je me suis délicatement retiré pour la pénétrer à nouveau, avant de me lancer dans un va-et-vient crescendo… nous arrachant de nouveaux gémissements de plaisirs…
C’est ainsi qu’après ce voyage en train, nous avons passé près de 2 ans ensemble… jusqu’à ce que l’on se rende compte qu’on s’aimait trop pour vivre ensemble… Je sais, cela peut paraître bizarre, mais c’est comme ça : Il n’y avait rien de plus fort que notre amour, mais elle préfère la mer et moi la montagne, elle est du matin et moi du soir … plein de petits points de détails qui nous rendaient la vie dure…
Mais on n’a pas perdu contact pour autant : on s’écrit et on se téléphone régulièrement… Il arrive même qu’on se retrouve quelque part, le temps d’un week-end…
Mais, jusqu’à aujourd’hui, elle ne mavait jamais parlé d’un quelconque fiancé si bien que je tombe des nues en lisant son mail : une invitation à être témoin à son mariage !