Avertissement : Si vous cherchez à lire un récit romantique, sensuel ou sentimental, passez votre chemin. Vous ne trouverez pas ça ici. Par contre, si vous aimez le sexe sauvage, bien pervers et sans aucun tabou, alors jespère que cette histoire vous plaira autant quil ma plu de lécrire.
Tous les personnages de cette histoire sont adultes et consentants.
Cela faisait deux ans que ma mère et moi entretenions une relation incestueuse. Comme dans beaucoup dautres relations comme la nôtre, labsence de père avait rendu notre relation fusionnelle. Jai toujours été gâté par maman, jétais tout pour elle et elle était tout pour moi. Alors au fil que je grandissais (que ma libido grandissait surtout) et que le désir de ma mère de refaire lamour avec un homme augmentait, linceste nous est venu naturellement. Je ne vais pas vous décrire la naissance de linceste entre une mère et son fils, non. Dautres le feront bien mieux. Moi, je veux raconter la passion des ébats sexuels que jai eus avec ma maman. Au début, il y a eu cette période dembarras où lon nosait plus se regarder dans les yeux et pourtant nous continuions à faire lamour, cétait plus fort que nous. Mais peu à peu, nos ébats se faisaient plus sauvage, plus osé, plus pervers. Jusquà dépasser les limites pour certains dentre vous, jen suis sûr. Cest pourquoi je sais que mon récit ne plaira quà peu dentre vous.
Cela faisait une semaine que nous ne nous étions pas lavés et pour en rajouter une couche, nous étions même aller faire du sport. Le temps non plus navait rien fait pour atténuer la chose : il avait fait 30 degré toute la journée. Il y a un an, lodeur de mon corps et celui de ma mère maurait répugné, mais maintenant, cela me faisait bander comme jamais. Ma mère et moi navions aucun tabou, nous avions essayé pratiquement toutes les pratiques sexuelles imaginables et nous nous sommes vites rendus compte que le plus pervers la pratique était, plus elle nous plaisait
Nous étions donc tous les deux-là dans le salon, nus et en sueur, nous nous masturbions chacun de notre côté en regardant lautre.
— Je devrais avoir honte, dit maman, je suis nue, sale et crasseuse devant mon propre fils et tout ce que je trouve à faire cest de me caresser la moule. Quest-ce qui ne va pas chez moi ?
— Rien, maman. Tout va bien chez toi. Tu nas jamais été aussi belle. Aussi belle et aussi puante. Jadore ça !
En entendant mes mots, elle poussa un râle et se frotta encore plus fort son clitoris.
— Viens désaltérer maman, mon chéri. Hydrate-moi avec ta pisse.
Je me suis alors levé, je me suis approché delle je pouvais encore mieux sentir son vagin poisseux dont je navais quune hâte cétait de le bouffer et jai alors vidé ma vessie sur elle. Jai dabord visé sa poitrine et son corps, elle massait ses seins (105C) avec ma pisse comme si cétait une huile. Elle a alors ouvert la bouche, jai tout de suite compris le message. Jaspergeais son visage, elle en avait partout. Je sais quelle adorait ça, elle se délectait de mon urine. Malheureusement, ma vessie était déjà vide, jaurais aimé continuer et lui remplir le vagin. Tant pis : je lui remplirai le vagin avec dautres liquides.
Maman sest alors jetée à genoux devant moi pour me sucer la bite, elle voulait me boire jusquà la dernière goutte. Mais avant dy mettre tout de suite sa bouche, elle me décalotta et sentit mon gland. Elle le respirait comme on respire une rose. Autour de mon gland, il y avait du smegma, cette substance blanchâtre et odorante qui saccumule sous le prépuce, surtout si on ne se lave pas. Ma mère y passa un doigt pour en récupérer au bout de son index et le suça aussitôt, puis me regarda dun air de dire « tu es délicieux ». Elle me poussa sur le fauteuil den face afin dêtre plus à laise pour inspecter mon organe malpropre. Elle passa une main sur mon torse transpirant. De son autre main, elle mavait serré les couilles à la base pour quelles se gonflent. Elle y passa sa langue puis en goba une. Etant assez sensible à ce niveau-là, cela ne fut pas tout de suite très agréable. Mais quand elle commença à me faire un suçon à un de mes testicules, là cétait lextase ! Sentir sa bouche aspirer ma peau, sentir sa langue venir frotter à chaque aspiration : quel bonheur ! Je me suis passé une main entre les cuisses et le sexe, je voulais sentir ce que ma mère sentait à ce moment-là. Ce fut une odeur très forte mais maman me prit la main et suça mes doigts comme pour me dire quelle adorait mes effluves. Ensuite, elle passa justement sa langue partout sur mes parties génitales : sous mes couilles, entre mes cuisses, mon pubis. A ce moment précis, nous nétions plus deux personnes civilisées, non. Nous étions deux animaux. Une maman lionne qui lave son petit. Elle macheva en faisait glisser sa langue sous mon prépuce qui entourait de nouveau mon gland ; puis elle tourna tout autour de ce dernier.
Elle commença finalement à me sucer la tige, quel plaisir ! Elle me décalottait le plus possible et me suçait passionnément. Il y avait du smegma blanc sur ses lèvres, quand elle le remarqua, elle passa sur langue sur celles-ci pour le manger.
— Oh, maman ! Lâchai-je totalement excité de voir ça.
— Tu veux que maman te fasse jouir mon chéri ?
Je fis oui de la tête, ma mère se suça alors le doigt et me bascula un peu en arrière de sorte à avoir mes fesses vers le haut. Je savais ce quelle prévoyait de faire et cela me fit bander encore plus.
Elle introduisit alors son doigt dans mon anus, qui, je le rappelle, na pas été nettoyé depuis une semaine. Elle me massa la prostate comme il se doit. Etant infirmière, elle savait comme sy prendre. Et puis, elle a eu loccasion de sentrainer sur moi ; elle sait parfaitement où est mon point G. Je me laisse alors prendre par cette vague de plaisir qui parcourt mon corps. Je me suis alors mis à quatre pattes, les fesses bien tendues vers maman.
— Tu veux bien me manger le cul, sil te plait, maman ?
— Bien sûr, mon petit prince.
Elle sest alors penchée et ma fait un délicieux anulingus. Je pouvais sentir sa main me masturber pendant que sa langue glissait contre les parois de mon anus. Elle plaqua sa bouche contre mon orifice et essaya de faire entrer sa langue en dedans. Parfois, je sentais quelque chose de différent qui me frottait lanneau. Au début, jai cru à un doigt mais quand je me suis retourné, jai vu maman qui passait son nez entre mes fesses. Vous a-t-on déjà branlé le cul avec le nez, vous ? Cétait la première fois et cétait super excitant. Puis ma petite chienne de maman entra deux de ses doigts dans mon cul et me pénétra assez rapidement et assez profondément, toujours en me branlant. Il ne me fallut pas longtemps avant de sentir la sauce monter.
— Ma Maman, je vais éjaculer
Elle prit alors le gobelet en verre sur la table à côté, le mit juste en dessous de mon pénis et continua de me branler.
— Vas-y, mon amour, jouis fort, fort, fort pour ta maman.
Et puis, jai atteint le point de non-retour. Jai lancé un râle de plaisir et jai senti ma prostate gonfler et pomper, aidé par les doigts de ma mère, pour envoyer le plus de semence possible. On pouvait entendre le bruit de mes jets de sperme tomber dans le fond du gobelet. Jessayais déjaculer le plus fort possible, je faisais aller tous les muscles de mon corps. Maman, quant à elle, avait réussi à synchroniser ses mouvements avec les spasmes de ma prostate. Mon cur battait fort mais javais le cerveau en compote tellement cétait bon. Je me suis avachi dans le fauteuil mais ma mère narrêta de me branler le cul que lorsquelle fut sûre de mavoir vidé les couilles.
Elle retira ses doigts pour les renifler. A ma grande surprise, ceux-ci nétaient pas totalement brun, il y avait juste des traces jaunes, légèrement brun, par-ci par-là. Elle me jeta un regard coquin en me montrant ses doigts puis elle les mit dans sa bouche et lâcha un gémissement. Elle ma ensuite tendu ses doigts que je gobais sans hésiter afin de goûter mon propre cul. Maman sest penché sur moi et nous nous sommes embrassés langoureusement, avec le goût de mon colon dans nos deux bouches. Cétait si bon, si sale mais si bon. Nos corps crasseux qui senlaçaient. Lors de notre baiser, javais tenté dagripper maman dans le dos, mais sa transpiration men avait empêché. Je suis sûr que si quelquun était entré dans la pièce, il aurait été dégouté, voire aurait vomi, à cause de lodeur mais pour maman et moi, ces odeurs corporelles nous rendaient fous. Cétait notre aphrodisiaque.
Après être resté un moment à se câliner dans notre sueur, maman sest relevé et a regardé la quantité de sperme que javais éjaculé. Cétait crémeux avec quelques taches jaunes. Maman mélangea avec un doigt et le goûta.
Me voyant dans un état assez exténué, maman a décidé de se mettre sur le divan pour quon se blottisse lun contre lautre pour un nouveau petit câlin. Jétais là entre ses bras, sa grosse poitrine serrée contre mon torse. Elle passa une main dans mes cheveux gras mais elle me regardait amoureusement, je navais pas à avoir honte dêtre sale. Jétais assez proche pour sentir sa transpiration. Jai déposé un bisou sur ses lèvres, puis dans son cou. Jai fait glisser ma bouche jusquà ses seins. Je goûtais les perles de sa sueur salée. Jagrippais ses seins, je lui suçai les tétons comme si jétais encore un bébé. Jai pris linitiative de lui soulever le bras où jai découvert alors son aisselle toute mouillée. Malheureusement, ma mère sétait rasée il y a quelques semaines et seuls quelques poils avaient eu le temps de repousser. Je lembrassais sous le bras, je la léchais : cétait à mon tour de la nettoyer. Javais remarqué que sa main avait glissé jusquà son sexe poisseux. Je lui donnais une tape sur la main et je déposais la mienne sur son abricot. Je crois que cet élan de domination lui a plu. Jétais son homme maintenant. Pendant que je lui bouffais laisselle, ma main jouait avec sa moule. Jaimais sentir mes doigts après lui avoir pincé son petit clitoris. Quelle odeur ! Elle me tapait le cerveau, je bandais comme un fou.
Je me suis alors glissé en dehors du canapé, jai écarté les jambes de maman, larôme qui émanait de sa chatte était forte. Je pouvais même voir son trou du cul tout sale que javais tant envie de lécher.
Mais pour linstant, je me contentais de son minou malodorant. Je me suis rué sur son clitoris ; maman fut surprise, il faut dire quelle est très sensible. Je lai sucé et léché comme un affamé. Puis jai introduit mon index dans son antre et mon majeur dans son anus, les deux en même temps. Je nai eu aucunement besoin de lubrifiant. Il y en avait du naturel dans ses deux trous. Je lui bourrais le chicon avec mes doigts, ses gémissements ne tardèrent pas à se transformer en cris. Après un moment de ce fort bon massage, maman a joui. Jadore le son rauque quelle lâche quand lorgasme lui frappe le corps. Je peux alors sentir son anus et les muscles de son vagin se serrer contre mes doigts. Jai alors sorti mes doigts et ma mère a pris ma main avec force et me la nettoyé. Elle ma ensuite dit, toute tremblante :
— Encore Sil te plait, mon chéri, fais encore du bien à maman !
Jadorais voir ma mère dans cet état : une salope désespérée dêtre baisée et jétais le seul qui puisse la satisfaire. Moi, je ne tenais plus de mon côté. Je lai alors mise dans une position correcte pour la pénétrer et je lai baisé. Ah, la première pénétration ! Je crois que cest mon moment préféré. On se languit de ce moment et quand il est là, cest lextase !
Jai fait lamour en missionnaire à ma maman pendant un moment. Je navais pas envie de changer de position tout de suite tellement cétait bon. Nos sécrétions qui se mélangeaient, notre crasse qui semmêlait. Tout en la défonçant, je jouais avec ses tétons, jaimais les tordre doucement ou les tirer, jaurais aimé y voir du lait en sortir. Jadorais aussi sortir de sa vulve et lui baiser directement le cul et revenir enfin dans son vagin. Je sentais que jallais à nouveau éjaculer, jai opté alors pour une bonne levrette. Elle sest alors retournée et ma offert son cul. Quil était beau ! Avant de lui baiser son petit trou, je me suis penché et je lai mangé. Peu importe le gout, peu importe lodeur, le plaisir y était. Ma mère reprit ses gémissements, je la voyais qui voulait jouer avec son clitoris en même temps mais je le lui refusais.
— Seulement par le cul, ma petite maman, jouis seulement par le cul.
Elle sest alors laissée aller, sous leffet de lexcitation, son anus sest encore plus dilaté. A un tel point que jai eu envie dy mettre ma main. Jai dabord mis deux doigts, puis trois. Jai mis mon poing en forme de tête de canard et je lai doucement pénétré. Quand elle a compris ce qui se passait, elle a posé sa main sur la mienne, jai cru quelle voulait marrêter mais ce ne fut pas le cas. Elle voulait me guider pour que jaille au rythme de son colon. Le frottement se faisait assez sec. Jai alors ressortit ma main, son anus était maintenant bien ouvert, lodeur navait jamais été aussi forte. Je nai pas pu mempêcher dy introduire ma langue. Puis je lui ai craché dans le fion, les plus gros mollards que je pouvais faire. Et nous sommes retournés au travail. Quand son anneau serrait enfin mon poignet, jai commencé à bouger ma main dans ses entrailles. Quand son gouffre a merde fut habitué à ma main, je commençai quelques vas-et-viens. Ma poing nétait pas fermé, ma main était grande ouverte, je navais jamais été aussi loin dans le cul de ma mère. Jaurais aimé y allé chercher un étron mais malheureusement il ny avait rien. Mais mes recherches spéléologiques portèrent leurs fruits puisque maman ne tarda pas à jouir de nouveau.
— Je vais jouir, Guillaume, prends le gobelet !
Je navais quà tendre le bras pour prendre le gobelet qui contenait ma précédente éjaculation. Ma mère tenait le gobelet sous sa vulve, de son autre main elle essaya de se masturber le clitoris, mais encore une fois jétais là pour len empêcher.
— Je ten prie, mon amour, laisse-moi me branler, je ten supplie.
— Non dis-je avec un sourire en coin. Tu sens ma main qui te pénètre le cul ? Tu sens la jouissance monter alors que ton propre fils te fouille les entrailles ? Tes vraiment une salope, maman
Elle serra les jambes et je pouvais sentir son fion se contractait sur ma main. Elle jouissait ! Je fus surpris par la force avec laquelle ma main fut retenue dans ce trou du cul. A chaque vague de jouissance, ma mère criait, serrant fort ma main dans son fion et un jet de cyprine venait remplir le gobelet. A chaque jet, elle poussait fort, elle voulait jouir un peu plus fort à chaque fois, elle en pleurait presque. Elle fit ça quatre ou cinq fois avant de se relâcher et ma main fut naturellement expulsée de son cul. Elle se laissa alors tomber sur le canapé, exténuée.
Je lai alors levé et je lui ai mis ma queue dans son minou, toujours en levrette. Elle fut assez surprise que je ne lui laisse pas un peu de repos. A cause du fist-fucking que je lui avais fait et la place quavait pris ma main dans son trou, son vagin était très serré. Ca me rendait fou, je le bourrais du mieux que je le pouvais. Ma mère était là, pas inconsciente mais dans les nuages, je lai défoncé comme ça jusquà ses jambes tremblent : je compris quelle jouissait de nouveau. Après ce deuxième orgasme à la suite, je décidais de laisser sa petite moule tranquille. Je suis sorti de ma mère, jai reculé de quelques pas et je lui ai tendu ma queue. Elle sest levé et est venue vers moi, non sans mal, elle titubait, ses jambes étaient en compote à cause de sa précédente jouissance. Cela me fit rire, elle avait lair dans le gaz. Puis elle ma sucé la bite comme si sa bouche était un aspirateur. Elle était là à genoux devant moi et me dégustait avec un air qui disait « merci maître ». Jadorais ça.
Je voyais bien quelle essayait de mettre ma bite au fond de sa gorge, mais elle avait un peu de mal, jai alors décidé de lui donner un petit coup de main. Jai tenu sa tête et ensemble, on a avancé centimètre par centimètre dans sa cavité buccale.
Vers la fin, elle a commencé à avoir des haut-le-cur et de forts bruits provenaient de sa glotte, mais elle ne sarrêta pas pour autant. Je tenais sa tête, jappuyais un peu mais je ne sentais aucune résistance de sa part.
— Je sais que tu peux le faire, ma petite maman, vas-y, gobe la queue de ton fils.
Elle sortit sa langue de sa bouche et me lécha les couilles.
— Ouais, cest ça. Dis-je sous leffet du plaisir, continue, ça fait du bien.
Jétais sur le point de lâcher sa tête, quand elle a mis ses mains sur les miennes et ma montré quelle voulait que je bouge sa tête sur mon sexe.
— Oh, tu veux que je te baise la bouche, hein. Eh bien, on va faire ça.
Jai commencé alors des mouvements de hanches, elle ne me suçait plus : cétait moi qui la baisait. Lexcitation monta très vite, mes mouvements se firent plus rapides et les bruits provenant de la bouche de ma mère se faisait plus nombreux. Je remarquais que maman était en train de se chatouillait le clito, mais cette fois je la laissais faire. Et je ne tardai pas à voir une flaque de liquide sous elle. Au début, jai cru à une autre éjaculation féminine mais il y en avait bien trop. Non, ma mère avait joui et sétait pissé dessus.
— Mais quelle salope, tes vraiment une chienne, maman, tu devrais être punie pour ça !
A bout de souffle, elle retira sa bouche de mon engin. Elle avait de la bave tout autour des lèvres. Un filet de salive coulait même sur son menton. Pendant quelle reprenait sa respiration, elle me dit en me regardant bien droit dans les yeux :
— Je Je veux que Que tu me baises la bouche mieux que ça Fais-moi vomir sur ta bite Tu dois punir la mauvaise mère que je suis
Je lai alors prise par les cheveux, sans lui faire mal bien entendu, cétait surtout pour me montrer dominant et je lai tiré vers ma queue. Elle a ouvert la bouche et mon sexe sest enfoncé dans ce trou chaud et mouillé. Cette fois, jai mis ma main à sa gorge et derrière sa tête, la forçant à me sucer tout du long. Les bruits quelle faisait mexciter à fond, quant à elle, elle ne tarda pas à avoir des remonter de glaires et autres hauts-le-coeur, jusquà ce quelle ne tienne plus et vomisse sur ma queue. Jallais lui demander si ça allait mais elle ma regardé et a ouvert sa bouche. Je pouvais voir quelques petits bouts de vomis sur sa langue et je vous laisse deviner quel était son haleine, mais je lai quand même embrassé à pleine bouche, mélangeant nos salives, ainsi que les restes du repas de maman. Cela faisait longtemps quon ne sétait plus fait un french kiss pareil. Après nous avons continué ce, dégueulasse pour certain, délicieux pour dautres, petit manège. Maman a encore vomit mais cette fois je navais pas sorti mon sexe de sa bouche, jai vu donc toute la nourriture non digérée ainsi que les sucs gastrics de ma maman couler sur ma bite. Ses bruits détouffement, détranglements, les relents et autres mont vraiment excités et jai jouis sur la gueule de ma mère. Elle était si belle, là, à reprendre son souffle, transpirante de partout, ses cheveux bruns mi-long ébouriffés, le visage plein de salive, de vomis et de sperme incestueux.
— Tiens, maman, je vais te rincer le visage, bouge pas.
Je lui ai alors uriné dessus pour lui nettoyer la gueule. Ma pisse coulait sur sa tête, sur son corps et venait trouver son embouchure là où ma mère avait gerbé.
— Tu es la plus belle femme que jai jamais vue, maman.
— Merci, mon amour. Dit-elle en souriant tout en remettant ses cheveux en place.
Elle sest mouché le nez avec ses mains, probablement pour enlever soit la pisse, le sperme ou le vomi et sest levée, croyant sûrement quon en avait fini. Mais javais encore envie delle. Cest fou leffet que me faisait ma mère, javais envie de la baiser encore et encore pour léternité. Je lai alors prise par la main et je lai tiré vers moi. Je me suis allongé par terre, dans la flaque de nos fluides corporels et jai tiré maman pour quelle sasseye sur moi.
Comme si ça ne suffisait pas, lodeur de vomi venait sajouter maintenant aux autres de la pièce, à nos odeurs. Nos corps nétaient plus seulement trempés de sueur. Quand je baisais maman comme ça, nous nous tenions les mains pour léquilibre, nous avions lair de deux amoureux, de deux amants, dun vrai couple, dun homme et dune femme. Tout ce quil y a de plus normal. Deux amants qui baignent dans du vomi et de la pisse certes mais deux amants quand même. Nous étions heureux. Des gouttes de sa transpiration me tombaient sur le corps. Maman était sur le point de jouir quand elle sest approchée de moi et ma dit au creux de loreille :
— Je taime, Guillaume. Fais-moi un enfant Mets-moi en cloque, je ten supplie. Nourris mes ovaires de ta semence, je veux un bébé de toi.
Je nai pas tenu une minute de plus quand jai entendu ça, jai accéléré mes mouvements, je me suis planté le plus profondément en elle et jai joui. Jai joui dans un râle de plaisir immense. Je sentais ma prostate envoyait le plus de sperme possible. Cétait tout mon corps qui voulait mettre ma mère enceinte. Cétait fantastique. Nous sommes restés plantés là un moment, ma mère couchée sur moi. Mes couilles me lançaient, ma bite était rouge et lodeur était insupportable mais on était si bien là.
Maman sest levée la première et est partie à la cuisine, moi je me suis posé dans le fauteuil le moins sale. Jai jeté un coup dil à notre salon :
— Quel bordel ! fit ma mère. On va avoir du boulot pour nettoyer ça
— Mais ça valait la peine. Dis-je à mon tour.
— Absolument mon chéri.
Elle prit alors le gobelet rempli maintenant de sperme, de cyprine et autre liquide vaginal et dun peu de vomi. Elle y bu une gorgée comme les sportifs boivent une boisson énergétique pour se ressourcer après un match.
— Ben dis donc, tu mas bien défoncée ce soir, fiston. Je suis fière de toi !
— Tu mas fait un effet du tonnerre aussi. (Elle me tend la gobelet que jaccepte) Ahhh, avec lodeur poisseuse de ta chatte et les effluves de ton cul, humm. Jai quune hâte cest de recommencer
Je me suis alors retourné vers elle et elle me regardait avec envie, en se mordant la lèvre.
— Tes vraiment quune salope, maman ! Dis-je en me levant pour lui courir après
FIN
Envie dautres histoires perverses ? [email protected]
1 Commentaire
C’est très fort ! J’ai adoré !!!!!!!!!!!!!!!!!!