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Sophie et le jeune interne. – Chapitre 4




Sophie et le jeune interne. Suite.

3 ème nuit de garde.

SOPHIE

Je ne pense plus qu’à ça, à cette troisième nuit de garde que je vais passer avec Julien, le jeune interne, à me faire troncher. Je ne l’aime pas mais il fait divinement l’amour contrairement à mon mari.

J’ai besoin de le sentir me remplir, qu’il me fasse jouir encore et encore, que j’oublie tout entre ses bras, surtout la petite bite de mon conjoint dont je dois me contenter.

 Je veux me retrouver avec lui pour assouvir mes plus bas instincts sexuels, comme deux bêtes dégagées de tous tabous, des animaux qui ne pensent qu’à se reproduire pour perpétuer la race !

Julien et son merveilleux sexe me font oublier pour quelques moments ma vie de femme mariée et transforme mon corps en un réceptacle à plaisir.

Nous venons de prendre notre service, notre 3ème nuit de garde (et de débauche) dans le service des grands brulés de L’hôpital de Bordeaux.

Nous expédions vite fait notre travail somme tout assez restreint la nuit pour nous donner encore l’un à l’autre.

Il vient de retirer sa blouse et son teeshirt, son torse luit sous les néons. Il sait qu’il est bien fichu, une vraie bête de compétition et il sait en jouer. Il a un corps bien taillé sans être trop musclé.

 Je le pousse jusqu’à ce qu’il se couche sur le bureau, une main posée sur son ventre, l’autre sur sa poitrine, je l’embrasse dans le cou en respirant l’odeur de sa peau, lui lèche le téton droit, il est entièrement à ma merci.

J’explore le torse de cette bête avide de sexe qui n’a qu’une envie, me baiser par tous les trous. Ses soupirs s’échappent de sa bouche en un bruit sourd.

Je dénoue le cordon du pantalon de mon interne préféré pour que ma bouche puisse allez trouver sa cible.

 Le gland gonflé c’est échappé de son slip me facilitant la tache.

Je passe ma langue tout doucement autour du gland, lèche la hampe pendant que je lui malaxe les couilles d’une main. J’astique son dard en faisant le tour avec ma langue, dirige le gland vers mes lèvres et l’introduit doucement. Je l’engloutis avec gourmandise, emplissant ma bouche grande ouverte.

Et pour me remplir, il me remplit. Comme d’habitude, je peux à peine descendre jusqu’au ¾ de sa queue. Son gland est enfoncé jusque dans ma gorge et butte contre ma glotte.

Ça ne rentrera pas plus loin. Impossible. Je le ressort, y retourne, le ressort, le branlant à deux mains.

Il faut que j’arrête tout de suite cette fellation ou je vais me décrocher la mâchoire.

— branle-moi plus vite, oui comme ça, encore je vais jouir, oui je viens !

Il prend ma tête entre ses mains, pas pour la presser plus fort, mais pour la retirer car je lui ai dis que je n’aimais pas le goût du foutre mais je suis tellement folle de cette bite que pour une fois je vais tenter de me faire violence.

Je me penche sur sa verge et suce le gland que je retiens entre mes lèvres, je veux son sperme dans ma bouche.

Pressentant l’imminence de l’éjaculation, j’ai refermé mes lèvres autour de la collerette du gland, ne gardant en bouche que le bourgeon de chair que je flatte de la pointe de ma langue.

 C’est au moment où je la passe sur le méat que le premier jet de sperme m’arrive dans le fond de la gorge et que le l’entends lâcher un cri de jouissance prolongé.

-Eh bien c’est du propre Petit menteuse, je croyais que tu détestais ça !

???????????????????????

Il éjacule, c’est incroyable la quantité qu’il me déverse dans la bouche, me forçant à en avaler une quantité énorme et il en sort toujours, ses grosses couilles ne sont pas encore vides.

J’en ai partout, le sperme coule aux commissures de mes lèvres, il ne débande toujours pas, sa queue est toujours aussi ferme dans ma bouche.

-Alors Sophie, on fait de cachotteries à ta meilleure copine ? Pour une fois tu es passé avant moi, je n’ai pas encore eu l’honneur de me faire sauter par ce beau docteur Et toi qui me jurais que tu détestais le foutre, que ça te faisait vomir, petite menteuse !

Je redescends enfin de mon petit nuage pour réaliser que ma collègue de travail est adossée au chambranle de la porte, les bras croisés et un sourire aux lèvres. Elle continue son monologue :

-Tu as fait la fine bouche avec la queue du patient de la 112 mais quand je ne suis pas là tu t’en donne à cur-joie Elle n’est pas aussi imposante que la queue d’Akim mais c’est quand même un sacré beau morceau Tu veux bien la partager avec moi ?

Je suis étonnée qu’elle soit là, normalement, elle ne devait pas travailler aujourd’hui.

-Mais qu’est ce que tu fais là Karine?

-J’ai reçu un SMS de ton mari me demandant de venir te remplacer car tu ne te sentais pas bien, ça m’a étonnée que ce ne sois pas toi qui me l’envoie et comme j’étais juste à coté Je me demande s’il ne se doute pas de quelque chose

JULIEN.

« Putain, on c’est fait coincer par une infirmière, encore une chance que ce n’est pas la chef de service »

Mais j’ai de la chance car d’après ce qu’elle vient de dire, elle avait des vues sur moi et pourquoi pas finir cette garde en apothéose avec 2 belles poupées ?

Sophie est déchainée ce soir. Elle monte sur le bureau et enjambe mon corps, elle frotte sa vulve sur ma bite couchée sur mon ventre et quand elle estime que j’ai suffisamment rebandé elle redresse ma queue d’une main et s’empale d’une seule poussée sur ma bite en relevant le bas de sa blouse sans même retirer sa culotte.

 Mon sexe a disparu au fond de sa grotte et je sens son pubis rasé de frais. Tout ça sous les yeux de sa copine mais je crois que c’est pas la 1ère fois que ça leurs arrive Enfin, je n’en sais rien.

Elle se déhanche et s’astique le conduit en longs mouvements de va-et-vient sur mon pieu de chair.

Ma queue tape au fond de son vagin à un rythme effréné. Je regarde son visage attentivement. Elle prend son pied toute seule la bougresse, les deux mains agrippées à mes cuisses, la bouche grande ouverte et les yeux fermés, savourant les sensations que ma queue lui procure.

Mais je ne vois plus rien car Karine est encore plus chaude que Sophie, elle s’est dessapée à une vitesse folle, est monté sur le bureau emprisonnant ma tête entre ses cuisses pour que je lui dévore la foufoune. Elle est bien plus jeune que Sophie et a l’air d’avoir un tempérament de feu.

Je ferme les yeux et me laisse chavirer, réalisant la chance que j’ai. Je n’entends plus que le son sourd du corps de Sophie qui tape contre le mien, le tambourinement des à-coups de ma bite qui comme un métronome, rythme en cadence les gloussements de mes deux furies qui se transforment en râles qu’elles laissent échapper de leur bouche sans plus aucune retenue. Cette douce mélodie improvisée arrive à mes oreilles.

J’ai perdu la notion du temps, je voudrais que Sophie ralentisse le rythme sinon je risque de jouir trop vite. Karine m’a déjà inondée 2 fois la bouche, une sacrée salope

Soudain je sens Sophie se cabrer, jouissant fortement en me pressurant la bite de ses muscles intimes. Je ne peux plus me retenir et déverse un abondant flux de sperme au fond de sa grotte.

-A moi maintenant Sophie, tu me le prête, ton bel interne ? s’exclame Karine. Julien, laisse-moi la place sur le bureau et tu me prends dès que tu le peux, je n’en peux plus d’attendre, vous m’avez trop échauffée. Viens te mettre à coté de moi pour mettre ta bite dans ma bouche que je te fasse rebander et saute-moi dès que tu es raide, je veux goûter à ton manche !

KARINE.

Il se met sur le côté du bureau, juste devant mon visage et commence à se branler.

 Je vois son gros gland s’agiter à quelques centimètres de mon visage, astiquant sa grosse queue.

Il accélère le mouvement puis s’arrête quand son sexe long, très long, il doit faire au moins 20 cm, est bien raide… Quel engin!!!

Je le prends dans ma main et le promène sur mes joues, soupèse ses couilles, embrasse sa hampe si douce et prends possession de son gland. Mes lèvres glissent lentement autour de ce pieu de chair mais je n’arrive pas à l’introduire en entier, sa queue est bonne, elle sent le foutre, je me régale.

Son chibre fait des allers et retour de plus en plus rapides dans ma bouche, il me tient la tête pour m’obliger à aller le plus à fond sur sa queue, grognant comme un animal.

-Tu vas voir ce que tu vas prendre, petite curieuse

Il râle. Je suis prêt à goûter son foutre, à me prendre des de jets de sperme en plein visage mais il ne l’entend pas de cette oreille

Il fait durer son plaisir, me caresse les seins d’une main pendant que l’autre glisse jusqu’à mon bas-ventre et glisse délicatement un doigt dans mon vagin. Je grogne d’excitation.

— Oooooh oouuuiii, je veux ta grosse biiiiite !

Il m’obéit et va mettre son engin entre mes cuisses, me soulève délicatement une jambe et met son bras sous le pli de mon genou puis fait de même avec l’autre jambe.

« Mon Dieu, ça y est. Je suis totalement offerte à ce bel interne qui va me faire un examen gynécologique avec sa grosse sonde »

Il commence à introduire son engin dans ma petite chatte béante. Je manque de jouir instantanément.

Il me prend aussi doucement que possible mais se laisse vite emporter par l’excitation.

 Quand il ralentit, je sens pulser son membre en moi, me rendant folle de plaisir.

Il m’enfile de toute la longueur de sa virilité en grognant, explorant mon vagin jusqu’à s’en vider les couilles.

Il est fougueux et me pilonne infatigablement. Je suis surprise et heureuse de pouvoir encaisser une si belle verge, mais je suis tellement excitée que je pourrais recevoir une queue de cheval

Dans cette position, son sexe s’engouffre encore plus loin en moi. Je gémis, complètement à la merci des coups de boutoir de cet animal infatigable! J’aurais voulu continuer à prendre ses coups de queue encore pendant des heures !

Je sens qu’il est de plus en plus excité mais il continue son va-et-vient, un peu plus lentement, mais il continue sans fin. Il s’est déjà bien vidé les couilles avec Sophie est a l’éjaculation paresseuse…

Je l’observe au-dessus de moi avec délectation. Il me sourit et accélère encore le mouvement. Je trépigne d’impatience qu’il me recouvre enfin de son désir et il va au-delà de mes espérances les plus folles quelques secondes plus tard.

Il se retire vivement et s’appuie de sa main gauche sur ma cuisse pendant que son autre main branle avec vigueur sa lance prête à cracher.

 Il explose enfin dans un long râle :

— Aaaaaaaaaaaah, bordel de merde, attention devant !!!

Je fixe son jonc et suis surprise par l’abondance de sa 3ème éjaculation de la soirée, une vraie averse de printemps. Des jets encore puissants, épais et en nombres m’inondent copieusement. Je baisse les paupières pour sous la puissance de ses jets ne pas en prendre dans les yeux, je sens son liquide séminale finir dans mes cheveux ou aller s’écraser sur le bureau.

 « Oh mon Dieu quel mâle! »

Un jet copieux m’arrive en pleine bouche, je me délecte de son sirop et relève les paupières juste au moment ou le jet suivant me zèbre le front et fini dans mon il droit, la puissance des éjaculations suivantes baissent en intensité et atteignent mon cou, puis mes seins avant de me tacheter le ventre.

J’ai déjà connu de gros jouisseurs dans ma vie de luxure et me suis pas mal faite aspergée mais à lui tout seul, il m’a autant blanchit que la fois ou ces 3 jeunots m’ont éjaculé dessus. J’ai adoré ce qu’il vient de me faire et il faut que je m’arrange pour l’avoir pour moi toute seule

JULIEN.

-Putainnnn ce qu’elle est bonne cette nana, un vraie bombe sexuelle branchée sur du 380 !!! Il faut que je lui fasse sa fête en tête-à tête un de ces jours. Elle m’a fait cracher comme ça m’arrive rarement. !

Les filles m’ont complètement lessivé mais ça ne les a pas rassasiées.

J’ai fini ma garde sur les genoux après avoir visité tous leurs trous. On a promit de se revoir à 2 ou a 3 pour de nouvelles galipettes en dehors de l’hôpital.

J’ai renvoyé Un SMS à la lopette qui sert de mari à Sophie avec un lien pour qu’il voie sa femme faisant du rodéo sur ma bite.

« Je te remercie pour ton aide, Karine te remercie aussi, elle a bien aimé ma bite et ta femme adore mon foutre, elle ne veut plus en laisser perdre une goutte. Elle dit que c’est un grand cru à coté de ta piquette qui la fait vomir. Elle m’a lancé qu’elle s’est bien vengée avec moi après tes coups foireux de voyeur à la bite minuscule qui donne sa femme à faire troncher à des inconnus pour se branler dans son coin. »

Un ami qui te veut du bien (ou plutôt à ta femme).

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