Partie 1 : la forêt
Je vais vous raconter comment je suis devenu un vrai soumis à toute queue se présentant à moi, après avoir été violé et dominé par un bûcheron alors que je n’avais jamais eu de rapports homosexuels avant. Physiquement je peux dire que je suis assez beau, de taille moyenne, mince, blond aux yeux bleus.
Ce jour là, en vacances seul à la campagne, je fais mon jogging au milieu d’une foret, avec mon short et t-shirt blanc. A un moment je vais pisser contre un arbre et jentends un craquement de bois derrière moi, j’ai à peine le temps de me retourner et d’apercevoir un homme grand, corpulent, mal rasé et habillé comme un bûcheron se déplacer vers moi, je sens un de ses bras me serrant très fort le corps et m’empêchant de bouger les bras, tout son corps est collé contre mon dos, je suis immobilisé, et sa main libre me tient ma verge pour que je puisse continuer à pisser. Il me dit à l’oreille : "Ça sert à rien de crier, y a personne qui peut t’entendre à des kilomètres". Mon coeur bat à tout rompre, je le supplie de ne rien me faire et de me laisser partir mais il me fait taire en me mettant un morceau de tissu sorti de sa poche dans ma bouche.
Il commence alors un va et vient de sa main le long de ma queue qui commence à durcir et à grossir énormément, je ne peux pas m’en empêcher, j’aime cette main sur ma verge, j’ai honte de bander. Il me dit : "Tu vas voir, ça va te plaire ce que je vais te faire, je vais bien m’occuper de toi". En disant cela, je sens une bosse énorme se former dans mon dos au niveau de mes fesses. Je suis effrayé mais excessivement excité, je cambre un peu mes fesses sur cette grosse queue pour bien la sentir, il apprécie et me traite de petite salope, le pire c’est que j’aime ça, être sa petite salope. Sa main commence alors à descendre le long de mes couilles, il m’abaisse le short, ses doigts approchent de mon cul et jouent avec ma rosette. J’adore ça ! Il retire le tissu de ma bouche, il a compris que j’aimais cette situation, que je n’allais pas crier et me laisser soumettre sans broncher.
Je sens alors une fessée puissante puis une autre puis encore une autre et encore et encore, je me surprend à gémir et à crier :"oh oui encore une, encore". Quand il juge mes fesses blanches assez rouges, il vérifie que je bande toujours autant, ma queue a encore grossi, il me dit :"t’es vraiment une petite pute, hein, et à qui tu appartiens ?" Comme je ne répond pas, je reçois une gifle. Je répond : "c’est à vous que j’appartiens, mon corps entier vous appartient". Il me montre sa satisfaction de la réponse en me roulant une pelle colossale, en même temps sa main me déchire le t-shirt (oui il a vraiment beaucoup de force) et me caresse le torse et les tétons, je me cambre à mort et quand sa langue sors de sa bouche, c’est la mienne qui rentre dans sa bouche.
C’est alors qu’il m’attache les mains dans le dos avec une ficelle de sa poche et enlève sa ceinture pour me faire une laisse. Il me retourne alors et m’agenouille, je n’ai pas de le regarder qu’il ouvre sa braguette et en sort une queue surdimensionnée qu’il me met délicatement en bouche. Le contact de cette queue dans ma bouche me ravit, je commence par donner des petits coups de langue sur cette queue, puis je prend le gland en bouche, j’aime ce goût, puis je commence à vouloir mettre la queue entièrement dans ma bouche, je salive beaucoup et j’entame un va et vient qui m’excite un max et qui le fait jouir. Bon dieu que j’aime ça, sucer une queue, je le ferai tous les jours si je pouvais. Il met ses deux mains dans ma nuque et me pénètre la bouche comme si ce n’était qu’un vagin, j’ai des hauts le coeur, je ne le supporte pas, mes yeux pleurent puis il s’arrête satisfait, pour reprendre un rythme plus soutenable. Alors que je continue à le pomper, il me détache les mains, je ne pense qu’à une chose : j’ai envie qu’il me prenne comme une chienne, j"ai envie de sa grosse queue dans mon petit cul.
Il m’attrape ensuite mes fesses et les met à hauteur de sa queue. Celle-ci joue un peu avec ma raie, mon petit trou puis il s’abaisse et me lèche le cul. J’ai l’impression que je vais jouir tellement que c’est bon, je suis nu à quatre pattes avec une langue qui fouille et humidifie mon cul, c’est le paradis, je le supplie de continuer. Les choses sérieuses commencent, il se redresse et sa queue entre en un coup sec et brutal dans mon cul, il m’explose l’intérieur, je hurle, il commence des va et vient de plus en plus rapide, je sens cette queue puissante en moi, avec une main il me masturbe et au bout de quelques minutes je jouis comme jamais je n’avais joui. Il se retire ensuite de mon cul, me remet à genou et me jouit au visage, je sens des litres de bon sperme chaud couler sur mon visage et dans ma bouche, j’en avale une partie, j’aime ce goût salé, je lui nettoie alors la queue, j’aime cette queue. Je souris, j’ai été bien baisé par cet inconnu. Il reste dans la même position, la queue pointant dans ma direction et me dit qu’il a bientôt une surprise pour moi. Quelques secondes après je reçois un jet abondant de pisse bien tiède sur mon visage, dans ma bouche et sur mon corps. J’ai à peine le temps de respirer qu’il me couche et m’ordonne de me pisser dessus. Après quelques minutes de concentrations pendant lesquels mon maître prenait des photos de moi, je parviens à me pisser dessus, cette humiliation me plait beaucoup.
Mon maître me prend par la laisse, me fait marcher au devant de lui, je suis couvert de sperme et d’urine, il me dit : "je n’en ai pas encore fini avec toi ma petite pute". J’en rebande déjà…