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Apprentissage commercial – Chapitre 2




La veille en rentrant chez moi quand ma femme m’a demandé comment ma journée s’était passée je suis resté évasif. Oui, mon nouveau collègue de terrain est sympa, oui il va m’apprendre les ficelles du métier sur le terrain et c’est tout ! Je n’allais pas lui dire que j’avais fini la journée avec sa queue dans la main et du foutre sur la chemise !

Le lendemain matin au bureau, je passe une partie de mon temps à faire de la paperasse.

Paul, lui, fait le tour des collègues comme à son habitude quand je me rends aux toilettes.

A peine ai-je sorti mon sexe au-dessus de l’urinoir qu’il arrive et se place à mes côtés !

— Alors, tu as passé une bonne soirée avec bobonne ? Ça t’a donné envie ? Lance-t-il sortant à son tour sa queue, tu as pensé à moi en la prenant ?

— Non !

— Non ? À quoi ? La soirée, la baise ou ma queue ?

— Non à tout ! Mauvaise soirée, pas de baise et …

— Tu as pensé à ma queue à ce que je vois, d’ailleurs t’arrêtes pas de la regarder depuis que je l’ai sorti !

C’est vrai que mes yeux font des allers-retours entre sa bite et la mienne, la comparaison est vite faite ! Il est bien mieux membré que moi, en plus tout en me parlant ses doigts glissent sur son chibre en le faisant gonfler.

— Ça te fait envie, hein, mon cochon !

— Non, ai-je à peine le temps de dire que la porte des toilettes s’ouvre. Un collègue entre visiblement pressé, je rentre mon sexe et ressort rapidement suivi de Paul.

— Bon, tu es prêt, on a des rendez-vous cet après-midi !

Je prends mes affaires et en suivant Paul je me demande comment la journée va se terminer !

— On va chez des petits vieux cet après-midi, rien de compliqué …

— Cet après-midi ? Mais il n’est que onze heures ?

— Le temps de faire la route … et de continuer notre petite conversation de tout à l’heure ! Alors elle te fait envie ma queue ? Tu en as parlé à ta femme ?

— Non mais ça ne va pas ! Elle n’a pas à savoir…

— Savoir que tu m’as branlé ? Je parie qu’elle serait excitée, son petit mari une queue à la main !

— De toute façon elle ne le croirait pas !

— Non mais le doute sera toujours présent, alors fait toi plaisir, profites-en et elle nen saura rien, je ne la connais même pas !

Occupé à l’écouter je ne me suis pas aperçu que la voiture est arrêtée sur un petit parking désert sur le bord de la route.

— Vas-y, tu en crèves d’envie, sinon tu m’aurais envoyé bouler ce matin, et puis ce nest pas la première fois, je me trompe ?

— Non, balbutié-je.

Depuis la veille je ne cesse de penser à cette grosse queue qui a explosé dans ma main et puis la revoir ce matin ne m’a pas laissé insensible. Il n’a pas besoin de me prendre la main, je déboutonne son pantalon et fait glisser sa braguette. Il soulève un peu les fesses et je fais descendre son boxer, son sexe, pas encore dressé est impressionnant. Je le prends en main, comme hier, mais plus lentement je le caresse. Je le décalotte, son gland est déjà luisant. La bite de Paul est maintenant bien raide, je penche la tête. Quand je commence à lécher la barre de chair le commercial retrouve sa verve habituelle :

— J’étais sûr que tu étais une belle petite pute, tu suces bien on voit que tu as l’habitude de lécher ! Tu la lèches ta femme ? Jaimerais voir ça …

Je le suce en écoutant ses insultes, ça m’excite, mon sexe bandé frotte contre le tissu de mon pantalon si je ne le sors pas je vais me jouir dessus !

— Allez pompe-moi bien, ça te change du clito de ta chienne !

Mettant sa main dans mes cheveux, c’est lui qui donne le rythme de la fellation, je serre les lèvres sur le mandrin qui me laboure la bouche. Son gros gland tape à l’entrée de ma gorge, il s’arrête d’un coup lâchant son foutre chaud à l’intérieur de ma bouche. Il continue à me maintenir la tête :

— Avale, montre-moi que tu es une bonne salope ! C’est bon, hein, tu aimes ?

En avalant le sperme âcre de mon collègue, je ne peux m’empêcher d’éjaculer dans mon pantalon. Il s’en aperçoit !

— Je savais que tu aimais ça ! On a plus qu’à aller chez toi pour te changer, tu ne vas pas partir en clientèle dans cet état !

Bien obligé, je lui donne mon adresse et il démarre en direction de mon appartement, le trajet se fait sans un mot. En arrivant en bas de mon immeuble, Paul me demande si ma femme est là, quand je lui réponds qu’il n’y a personne il décide de m’attendre en bas. Je monte quatre à quatre les deux étages en espérant ne croiser personne avec le pantalon taché comme ça !

Je me lave, me change et redescend en vitesse, je me pose des tas de questions me concernant et concernant mon attitude : honte, envie, dégoût, plaisir ? Perdu dans mes pensées, je tombe nez à nez avec ma femme dans les escaliers.

— Denis ! Ton collègue m’a dit que tu étais là.

— Mon collègue ?

— Ben oui, Paul ! J’ai vu la voiture de la société quand je suis arrivé et comme je me demandais ce qui se passé je suis allé le voir. Il m’a dit que tu t’étais renversé du café dessus et que tu étais venu te changer !

— C’est tout ce qu’il t’a dit ?

— Oui, oui !

— Bon hé bien j’y vais, je ne veux pas le faire attendre, à ce soir

— A ce soir !

A peine monté dans la voiture, Paul m’entreprit :

— Elle est pas mal ta femme, pas mal du tout la brunette ! Tu ne dois pas t’ennuyer, et chaude avec ça !

— Comment ça ?

— On a discuté un peu, elle s’est penchée vers moi j’ai cru que ses nibards allaient m’exploser au visage, et un cul… quand elle est partie ça m’a donné envie je te dis pas !

— Elle n’est pas comme ça !

— Elles sont toutes comme ça, on parie que je la baise et qu’elle en redemande ?

— Non mais ça ne va pas et puis de toute façon je pourrais parier, je suis sûr de gagner !

— Je vais la baiser devant toi et bientôt !

— Comment ça « bientôt » ?

— Elle m’a invité à manger ce week-end ! Tu verras bien ce que je te dis !

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