La Commerciale. Chapitre 1
A 18 ans, lassée de vivre avec Sophie, ma jolie maman, je quitte le domicile maternelle, ma mère jeune veuve la quarantaine parfaite, vit seule depuis cette sinistre nuit d’orage où papa fatigué de trop bosser a trouver la mort sur la route.
Une très bonne assurance vie dispense, maman de travailler, nous vivons seules dans la grande maison, l’atmosphère devient bientôt pesante, je ne supporte plus les remarques quotidiennes de maman, de son chagrin, de ses déprimes, j’ai besoin d’air, j’ai besoin de vivre.
A Paris, de petits boulots en petits boulot, je dégote une place de conseillère financière. Sous ce titre ronflant, j’ai le droit de tirer des sonnettes pour placer à des gens qui n’en veulent pas des contrats d’épargne. Pas de fixe, rien que des commissions.
Très rapidement je m’aperçois, que le meilleur moyen de faire signer ces foutus contrats et de payer de sa personne. De pipes en pipes, de coucheries en coucheries, je deviens une fille facile, une pute et j’aime cela.
Depuis que j’ai définitivement accepté de monnayer mes charmes contre la signature de contrats d’épargne ou d’assurance, je vis très bien et je fais des rencontres formidables et variées. N’allez pas croire cependant que chacune de mes ventes est le fruit d’une transaction immorale, il m’arrive de plus en plus souvent d’obtenir un résultat sans payer de ma personne. L’expérience aidant, je réserve mes interventions spécifiques à des cas qui le nécessitent vraiment et de plus en plus souvent pour le simple plaisir que j’y trouve.
J’ai appris à aimer le cul, avec des hommes ou des femmes, des jeunes ou des vieux, en couple ou en groupe. Parfois, j’accorde mes faveurs à des clients qui ont déjà signé, juste parce que j’ai envie de me faire baiser . Aujourd’hui, je passe plus souvent à l’acte par goût du vice que par obligation.
Je garde quelques très bons souvenirs d’entretiens de vente qui se sont bien terminés. Par exemple, ce jour où j’ai fait l’amour devant sa mère avec un jeune puceau. Après avoir déniaisé le gamin, j’ai joui comme une folle, quand il a forcer le cul de sa mère.
Mon meilleur souvenir reste ma rencontre avec Céline, la cinquantaine riche. Elle résistait face à mes arguments commerciaux habituels, un peu hautaine et très méfiante. On ne traite pas ce genre de prospect comme une petite jeune célibataire. J’ai trouvé la faille quand, en désespoir de cause, je me suis décidée à employer mes arguments physiques. Il faut dire qu’il y avait d’intéressantes perspectives financières à prendre en compte, en particulier une grosse succession à préparer.
J’ai commencé par m’exhiber un peu, pour tenter de juger la vieille. J’avais très peu d’espoir de parvenir à la troubler. Elle était mariée et mère de trois grands enfants. Mais je me suis lancée tout de même, croisant et décroisant les jambes, écartant généreusement mes cuisses, dévoilant la naissance de mes bas, laissant imaginer les délices offerts sous la culotte.
Lorsque certaine que la maman me reluquait, que ses yeux vagabondaient sur mes cuisses, j’ ai fait le coup du verre d’eau. Elle s’est absentée une minute et quand elle est revenue, j’étais en lingerie dans son salon. Je ne lui ai pas laissé le temps de réagir. Je me suis approchée d’elle, j’ai pris le verre qu’elle me tendait, l’ai posé sur la table et je l’ai embrassée franchement. Elle ne s’est pas dérobée, au contraire, c’est elle qui a poussé sa langue dans ma bouche.
Nous nous sommes rapidement retrouvées sur le canapé, en train de nous peloter les nichons. J’ai foutu ma main entre ses cuisses, sous la jupe un peu serrée qui lui arrivait à mi-genoux, la cochonne mouillait. Quand elle a ouvert les jambes pour me laisser le passage, j’ai su que c’était gagné. J’ai ouvert son chemisier avant de le lui retirer. Elle m’a ôté mes sous-vêtements, j’en ai fait de même. Bientôt, nous étions complètement à poil. Tremblante de désir, s’est levée pour m’entraîner vers sa chambre, au bout d’un long couloir. Je l’ai suivie sans hésiter, toute excitée par ce qui m’attendait.
Céline est restée mon amie, parfois elle me prête a son mari ou a ses fils.
C’est les vacances, Céline est au Touquet, avec mari et enfants, je décide de retourner voir maman, deux ans que je ne l’ai vue, elle me manque un peu.
La maison est toujours aussi grande, mais semble moins triste. Maman a quitté ses infâmes habits noirs pour de charmantes jupes courtes, abandonné son chignon pour une jolie coupe à la garçonne, elle chante, elle danse, elle rit. Un cabriolet rouge flambant neuf devant la porte, le soleil, la piscine, je retrouve Sophie ma jolie maman de mon enfance.
Assises cote a cote sur le canapé, j’interroge maman sur cette transformation, soupçonnant un homme, un amant. Maman rigole affirmant que jamais un homme ne viendra dans cette maison remplacer mon père.
– » Une femme donc? »
Maman rosi et allume la télé.
Ainsi,cette métamorphose est l’ouvre d’une femme! Maman est une gouine, une étrange chaleur perverse envahi mes entrailles. L’esprit sonné par cet aveu, je prends conscience que Céline partie, cela fait plus de quinze jours que je n’ai pas fait l’amour à une femme.
Mal à l’aise, je fixe les jambes largement découvertes, superbes et bronzée de maman. La petite jupe ne cache rien de la petite culotte de fine dentelle.
Maman, les yeux rivé sur la télé soupire, ses seins gonflent sous le mince corsage , se tendent, j’ai envie de les toucher, ils semblent plus gros que les miens.
Est-ce que maman est aussi salope que moi? Cette pensée tendrement perverse me fait mouiller, je glisse ma main entre mes cuisses, ma chatte est chaude, je phantasme sur maman, doucement je commence à me caresser.
Maman qui a vu, ne bouge pas, pétrifiée, concentrant toute son attention sur une minette journalistique qui cause dans le poste.
– »Elle est superbe cette fille. »
– »Qui? »
– »Pas ta copine, celle qui cause dans le poste! Elle est plus belle que moi, on doit avoir le même age? moi aussi j’aimerais … »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, Maman se retourne, ma main dans ma culotte s’active,
« Tu te masturbes toujours,? vilaine gamine! »
Nos langues se mélangent, doucement je lui pelote les nichons, je dégrafe son corsage et je tête les bouts dressés.
– »Tu as des beaux seins, montre moi si ta minette est aussi belle »
« Il ne faut pas, je suis ta mère »
Pour toute réponse, je lui touche la chatte au travers de sa culotte..
Dans la chambre, c’est maman qui me pousse sur le lit et s’assoit à côté de moi. Nous nous caressons voluptueusement. Mes doigts frotte son slip sur sa chatte qui suinte. Entre ses cuisses. Maman possède une touffe de poils drus qui contraste avec ma motte épilée de près. Sa main s’avance vers mon sexe et nous nous branlons mutuellement la minette. C’est très agréable, je suis juste un peu troublée par la facilité avec laquelle Sophie se donne..
Maman se renverse en arrière sur le lit et colle sa tête entre mes genoux pour me limer la fente avec ses doigts tout en léchant à grands coups de langue mon clito baveux. Elle prend l’initiative, ce n’est pas du tout ce que j’ai envisagé. Je suis vraiment très surprise par sa réaction et les bonnes dispositions qu’elle manifeste à mon égard m’étonnent au plus haut point. Mais je ne vais pas bouder mon plaisir et je dois avouer que le travail de sa langue sur mon con est particulièrement efficace. Elle me lèche et de me branle quelques minutes puis se décide à me grimper dessus.
– »Viens petite vicieuse, Maman va te donner du plaisir »
. Elle passe par-dessus ma tête et colle sa vulve juste au-dessus de ma bouche.
– »Bois la chatte de maman »
Elle veut que je lui fasse subir le même traitement qu’elle prodigue à mon minou.
Trop heureuse de lui faire ce plaisir je lape sa fente en savourant le goût de sa mouille qui me coule sur le menton. Son jus est aigrelet, délicatement odorant. Elle a deux petits orgasmes pendant que je lui broute le sexe. Je remarque qu’elle ronronne quand je prend son clitoris de bourgeoise salope entre mes lèvres et que je tire dessus en passant la pointe de mes dents sur le bout. Elle me fait la même chose, je tremble aussi à deux reprises.
Un immense orgasme de vicieuse perverse me saisi, mon corps explose de bonheur quand je réalise que je gouine avec ma mère.
– »Oui, j’aime que ma fille jouisse comme une salope! » crie maman en m’embrassant.
Mais ça ne lui suffit pas. Un peu plus tard, alors qu’anéantie de bonheur, je reste blotti dans les bras maternelles ,elle se lève.
– »Maman va punir sa petite cochonne. »
Elle se penche vers la commode ancienne qui se trouve contre le mur, face au lit. Entre les vêtements se trouvent là, même pas caché, un bel engin, un remarquable double godemiché en plastique rose. Décidément, elle m’étonne de plus en plus. J’imagine que c’est l’appareil qui la satisfait depuis que papa a disparu. Mon intimité coule de bonheur.
– »Tu vas tâter de mon gode, sale gamine »
Le gode est long, doté de deux beaux glands à ses extrémités. Il peut se recourber totalement ;
– »Tu l’utilises dans tes deux trous, celui de devant et celui de derrière? »
– »Ben tiens, je vais me gêner. On n’achète pas ce genre d’ustensile par hasard et sans avoir réfléchi au préalable à l’usage qu’on souhaite en faire »
Je reconnais la, le pragmatisme de maman, je veux qu’elle me traite comme une femelle en chaleur.
– »Oui, prête moi ta grosse bitte de vieille gouine, fourre la moi dans mon ventre de pute »
– »Suce la d’abord. »
Elle approche un bout de la pinne factice de ma bouche, me l’enfourne jusqu’à la garde, Je prends grand soin d’y déposer une bonne quantité de salive qui, une fois associée à sa mouille, se révélera un excellent lubrifiant naturel. Mes mains écartent désespérément mon trou.
– »Enfile moi, vite »
Quand elle pousse la queue pour la faire entrer dans mon ventre, je ne peux retenir un grognement de satisfaction. L’engin s’engouffre en moi, bien guidé par la main maternelle, il bouge d’avant en arrière pour me limer le vagin une bonne cinquantaine de fois. Je suis à nouveau au bord de la jouissance. Maternelle, Sophie sent qu’il faut calmer le jeu, elle lâche l’engin qui reste planté dans mes entrailles, pour m’embrasser en me caressant tendrement les seins. Reconnaissante, je lui touche ses nichons encore beaux et lisses malgré ses quarante cinq ans..;
– »Oui, tète, ma chérie. »
Quand elle est certaine que je suis calmée, elle repart vers mon entrejambe et glisse deux ou trois fois le gode dans ma gaine secrète.. Elle m’invite d’un geste à remonter tout en haut du lit en veillant à maintenir le braquemart dans mon sexe. C’est seulement quand je suis bien en place, écartelée comme une salope en manque qu’elle introduit l’autre bout dans son ventre.. Ses jambes bien écartées passent au-dessus des miennes. Maman est une véritable experte en positions pornos Nous sommes sur le dos, le buste relevé sur nos avant-bras. Je la voit prendre son pied au rythme du déhanchement de nos bassins, bien consciente du fait que nous ne sommes que deux femelles en chaleur. Le gode nous fait du bien à toutes les deux.
Sans sortir l’engin de mon intimité elle me force à me mettre à quatre pattes et se met dans la même position. Nous balançons nos culs l’un contre l’autre en nous bourrant réciproquement la chatte avec les deux bouts du gode. Nous nous trémoussons de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu’à ce que nous soyons incapables de retenir nos cris. Je n’ai jamais connu quelque chose d’aussi intense avec une femme.
Le matin nous trouve endormi, toujours unies à ce gode magique