Eva et Marie suçaient leur responsable tout en le regardant droit dans les yeux, elles le fixaient intensément avec un regard lubrique. Mr Lambert avait l’impression de se retrouver en plein milieu d’un film pornographique. Ses deux assistantes se battaient presque pour savoir laquelle allait déguster sa queue, il poussait de profonds soupirs de contentement et de plaisir. C’était inutile, mais il les encourageait quand même : "Allez y, sucez moi bien petites salopes". Émoustillées par ces paroles, elles redoublèrent d’ardeur sur la tige qu’elles étaient en train de dévorer. Elles s’embrassaient à pleine bouche tout en lapant le gland de Mr Lambert.

Marie profita de cette proximité avec sa collègue pour passer une main sous ses fesses et commença à lui mettre un doigt dans sa vulve. Cette dernière, surprise mais loin d’être déçue, lui rendit gentiment la politesse en allant flatter à son tour sa petite chatte qui dégoulinait de plaisir. Les deux femmes ondulaient maintenant du bassin sous l’effet de leurs attouchements respectifs, elles restaient néanmoins concentrées sur la fellation qu’elles étaient en train de prodiguer à leur responsable.

Mr Lambert avait retrouvé une superbe érection et ne voulait pas se faire sucer trop longtemps afin de pouvoir baiser convenablement son autre salope. Il releva Marie, la fit pivoter pour qu’elle lui tourne le dos et prenne appui sur le bureau, puis il enfila un préservatif et sans le moindre ménagement lui enfila sa queue dans la chatte. Alors qu’il commençait à la pistonner, il dit à sa collègue : "Viens sur le bureau, elle va te lécher pendant que je la baise". Docilement Eva vint s’assoir sur le bureau, elle écarta bien les jambes pour que Marie ait accès à sa fente, puis s’allongea sur le dos.

Tout en baisant Marie, Mr Lambert pouvait admirer le joli sexe d’Eva surmonté par une petite bande poils finement taillée. Il prenait Marie comme une chienne, lui envoyant de grands coups de rein, celle ci poussait de grands cris de plaisir et avait bien du mal à lécher correctement sa collègue. Eva était complètement décomplexée, elle appuyait la tête de Marie contre sa fente et lui disait : "Ah vas y, lèche moi bien, c’est tellement bon".

Elle s’était allongée sur le dos et caressait ses seins pendant que Marie se délectait de sa fente. Mr Lambert avait d’ailleurs quelque peu ralenti le rythme afin qu’elle puisse la lécher correctement.

Florence quant à elle se caressait toujours fiévreusement tout en se demandant comment ses collègues avaient pus s’adonner à ce genre de débauche. Elle sentit d’un seul coup une main se plaquer sur sa bouche, elle reconnut l’uniforme de la société qui faisait le ménage dans les locaux. L’homme était grand, sa peau noire comme l’ébène. Il fit un discret "Chuuuut" à Florence en enlevant sa main et pencha à son tour la tête pour regarder le trio s’agiter dans la salle de réunion. Il restait la planté à coté de Florence sans dire un mot. Les deux voyeurs restaient la immobiles à profiter du spectacle. Doucement l’homme se colla derrière elle, elle sentait son sexe venir se loger entre ses fesses. Emportée par le désir et l’excitation, elle commença à frotter doucement sa croupe contre cette tige.

Face à cette prise d’initiative pour le moins inattendue, l’homme attrapa la poitrine de Florence avec ses deux mains et commença à malaxer ses seins tout en l’embrassant dans le cou, puis il fit descendre une de ses mains sous la jupe de Florence et la glissa sous son collant et sa culotte. Il tomba tout d’abord sur son pubis orné d’un triangle de poils finement taillé. Il descendit ensuite jusqu’à sa fente qui était déjà toute trempée. Il enfonça alors un doigt dans son sexe. Le bassin de Florence commença à s’agiter sous l’effet des caresses de l’homme. Elle commençait à souffler de plus en plus fort, afin qu’ils n’attirent pas l’attention l’homme délaissa sa chatte, la prit par la main et l’attira dans le local d’entretien.

A peine rentré à l’intérieur, l’homme plaqua Florence contre le mur et l’embrassa fougueusement, il remit également la main dans sa culotte et se remit à la doigter de plus belle. Enhardie et excitée, Florence s’intéressa à la bosse qui déformait le pantalon de son partenaire et se mit à la flatter avec la paume de sa main. Le sexe de l’homme devait être aussi long que celui de son mari mais avait l’air beaucoup plus épais. Ils s’embrassaient et continuaient leurs palpations, puis l’homme appuya un peu sur l’épaule de Florence, celle ci comprit le message, s’agenouilla face à lui et extirpa du pantalon un sexe déjà en érection. Elle le branla un petit peu tout en l’examinant soigneusement et goba finalement ce beau sexe et lui offrit la douceur de sa bouche. Elle enroulait sa langue autour de cette belle queue tout en la caressant. Pour que sa petite chatte reste également à bonne température, elle plongea sa main dans sa culotte et se mit à jouer avec son petit bouton. Elle s’excitait toute seule et poussait des soupirs étouffés par le sexe qu’elle avait en bouche.

Dans la salle de réunion, Mr Lambert se déchainait sur Marie, il faisait aller et venir son sexe dans sa fente à toute vitesse. Les lèvres de cette dernière abandonnait parfois le petit bouton d’Eva pour supplier son responsable de continuer :

Marie : "Hannn continue ….baise moi comme ça ….. défonce moi avec ta grosse queue"

Celui continuait son matraquage, il était accroché aux porte-jarretelles et cognait le cul de marie avec son ventre. Puis avec un doigt il commença à s’intéresser à son petit trou, dès qu’il commença à le toucher, Marie voulut aussitôt qu’il le prenne par là : "Viens vite me la mettre dans le cul".

Mr Lambert ne se fit pas prier, il appliqua vite un peu de lubrifiant sur sa rondelle et sans trop de ménagement commença à la sodomiser. Marie mit une poignée de secondes à s’habituer à cette grosse queue dans son petit trou, mais elle avait maintenant l’habitude et rapidement elle se remit à glousser de plaisir.

Ainsi de temps en temps elle sortait le visage d’entre les jambes d’Eva et disait à Mr Lambert à quel point elle aimait se faire sodomiser de la sorte : "Ouhhh …. c’est bon …. comme ça…. vas y ….."

Mr Lambert dit à Eva : "Regarde ta salope de collègue comment elle est devenue dingue de ma grosse, queue, c’est même elle qui me demande de l’enculer maintenant".

Eva ne répondit pas, elle était toujours allongée sur le dos et se caressait son opulente poitrine, excitée qu’elle était par la langue de sa collègue et ses gémissements et cris de plaisir.

Mr Lambert : "Tu verras, bientôt toi aussi tu viendras me supplier de t’enculer à nouveau".

Toujours accroché au porte-jarretelles de Marie, il continuait de la sodomiser fougueusement, le chef de service un peu ringard s’était transformé en véritable dieu du sexe, bien aidé qu’il était pas son anatomie très avantageuse. A l’étroit dans ce petit cul si accueillant, il sentait qu’il allait jouir, il interrompit sa pénétration, enleva son préservatif et dit aux deux jeunes filles : "venez me sucer pour finir, j’ai envie de venir dans vos bouches".

Toujours aussi dociles et obéissantes, Eva et Marie vinrent s’accroupir devant lui et se mirent à le sucer à tour de rôle, puis sentant qu’il allait venir, Marie le garda dans sa bouche, referma ses lèvres autour de son gland et le masturba de plus en plus vite. Il lui envoya plusieurs giclées dans la bouche. Puis il dit à Marie :" Ne fais pas l’égoïste, donnes en à ta collègue".

Marie alla donc embrasser Eva, lui versant en même temps dans la bouche la liqueur de Mr Lambert. Elles ’embrassèrent ainsi, délayant sa semence avec leurs langues, puis une fois qu’elles eurent tout avalé, il leur représenta son sexe à demi mou et leur dit : "Nettoyez moi ça maintenant". Elles finirent de lécher et d’aspirer ce phallus et le rendirent propre comme un sou neuf à son propriétaire.

Comblé et vidé, Mr Lambert dit aux deux filles : "Vous serez mes salopes maintenant, je vous baiserai quand j’en aurai envie, compris ?"

Elles ne répondirent rien et se contentèrent de baisser le regard.

Puis il leur lança : "Vous pouvez y aller, je vais ranger la salle, au fait demain, je veux que vous soyez fringuées comme des trainées sous vos jupes".

Elles se turent de nouveau se contentant de hocher la tête.

Marie réajusta ses sous vêtements, remit ses bas correctement et renfila ses habits, elle était aux anges et pensait déjà à son prochain trio avec son chef et sa collègue. Eva était elle à la fois honteuse et humiliée de s’être faite prendre par son "gros porc" de chef, mais elle y avait pris tellement de plaisir qu’elle ne voyait pas non plus d’objections à recommencer.

Les filles étaient parties, Mr Lambert rangeait la salle de réunion afin que leur réunion tardive ne se remarque pas, il passa devant le local d’entretien et crut entendre des bruits qui en provenaient. Il s’arrêta devant la porte et tendit l’oreille, apparemment il y en qui ne s’ennuyaient pas non plus ici. Ayant eu sa dose de sexe pour ce soir, il allait partir mais sa curiosité le piqua, il se demandait de qui il pouvait s’agir. Il ouvrit tout doucement la porte et vit une femme qui était à quatre pattes en train de se faire prendre par l’homme chargé du ménage, il reconnut aussitôt Florence. Elle était par terre le cul en l’air, sa jupe était relevée autour de la taille, son collant et sa culotte était descendus jusqu’à la moitié de ses cuisses. Il avait une vue parfaite sur sa croupe et voyait le sexe de l’homme s’engouffrer entre ses lèvres lisses comme de la peau de pèche.

L’occasion était trop belle, il saisit son smartphone dans sa poche et commença à mitrailler le couple. Il contrôla la qualité des clichés et se décida à entrer tout doucement dans la pièce, il arriva à hauteur de l’homme et lui fit signe de continuer à ce qu’il était en train de faire. Puis il ouvrit la braguette de son pantalon et en sortit son sexe. Il commençait à se masturber à coté de l’homme, celui regardait le sexe de Mr Lambert avec étonnement, surpris par sa taille. Le sien qui était pourtant déjà imposant semblait presque ridicule à coté. Mr Lambert continua de narguer l’homme pendant quelques secondes, puis il se mit à écouter les cris de plaisir de Florence, elle était déchainée : "Ouuhhh ouiiiiii ……. vas y ……… encore ……."

Puis il se posta devant elle, exhibant sa bite monstrueuse, Florence ne dit rien, elle se laissait pistonner par l’autre homme, elle avait les yeux à moitié clos, des mèches de cheveux étaient collées à son front en sueur. Elle fixait Mr Lambert et son immense sexe, ses yeux semblaient perdus dans le vide. Tout en continuant à fixer Florence, il demande à l’homme chargé du ménage : "Elle est comment cette salope, elle est bonne ?"

L’homme : "Ah oui, elle suce comme une reine, et sa petite chatte est un vrai délice".

Sans plus attendre, Mr Lambert se baissa et présenta son membre à Florence, il l’avança vers ses lèvres et franchit l’obstacle de ses dents. Elle commença à enrouler sa langue autour de son gland, tel un boa autour de sa proie. Elle se mit à jouer avec, en explorant chaque recoin, elle passa tout en revue, la couronne autour son gland, son frein, elle s’amusait aussi à essayer de forcer l’entrée du méat avec la langue. Florence arrachait de longs et profonds soupirs à Mr Lambert. Ce dernier dit à l’homme : "Tu avais raison, elle suce divinement bien".

Puis il se tut et ferma les yeux, il voulait savourer ce moment, et profiter intensément de la douceur et de l’agilité de cette langue. L’autre homme continuait de baiser Florence mais avait quelque peu ralenti le rythme pour que son collègue d’un soir puisse se faire sucer correctement. Ces deux sexes remplissaient Florence de bonheur, même si avec son mari elle était pleinement satisfaite, elle n’avait jamais couché avec deux hommes en même temps. Elle découvrait donc cette nouvelle sensation, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle appréciait.

Au bout d’un moment, Mr Lambert voulut changer de position, il dit à l’autre homme : "On va changer de position, elle va venir sempaler sur toi, comme ça elle sera mieux installée pour me sucer".

L’autre homme s’allongea sur le dos, Florence se releva, un peu entravée par son collant et sa culotte qui étaient descendus jusqu’à ses genoux. Voyant cela son responsable l’interpella : "Viens me voir petite trainée, on dirait que ça te gène tout ça".

Mr Lambert se saisit de la culotte, le déchira et la laissa tomber sur le sol, puis il remonta le collant de Florence jusquà sa taille et en déchira l’entre jambe, prenant bien soin d’offrir un accès à chacun de ses orifices. Ensuite il lui ordonna d’aller sempaler sur la queue de l’autre homme : "Allez va t’assoir sur le lui qu’il continue de te baiser".

Elle s’assit à califourchon guidant elle même le sexe dans sa chatte détrempée, aussitôt le membre de l’homme se mit à la travailler en profondeur, Florence se remit à gémir : "Ouuhhh …… ouiiiii …..c’est bon …….Hannn"

Elle n’eut pas le loisir de crier très longtemps, son responsable replongea sa bite dans sa bouche. Cette fois ci, Florence l’empoigna et se mit à la branler tout en lui léchant et lui aspirant le gland. De temps en temps, elle descendait le long de sa tige et lapait ses couilles, s’aventurant même parfois sous ses testicules tout près de son anus.

Mr Lambert se dit que des trois, c’était vraiment elle qui suçait le mieux, cela se sentait qu’elle avait énormément de pratique et dexpérience à ce niveau là, il ne se priva d’ailleurs pas de lui dire : "Mais tu es la reine des suceuses, tu as du en faire passer des kilomètres de bite dans ta bouche"

Florence bien qu’excitée par ces paroles très crues ne dit rien, elle se contenta de poser son regard de braise sur Mr Lambert, elle le fixait droit dans les yeux tout en continuant d’aspirer son sexe.

Mr Lambert : "Tu suces tellement bien que tu passeras tous les jours dans mon bureau, tu me rendras bien dur pour que j’encule tes deux collègues".

Florence ne disait toujours rien et continuait de le sucer, elle l’excitait tellement que Mr Lambert se dit que si ça continuait, elle allait bientôt le faire jouir rapidement. Il décida donc d’aller gouter à ses autres orifices. Il abandonna cette bouche pourtant délicieuse, enfila rapidement un préservatif et vint se placer derrière elle. Florence voyant ou il voulait en venir le supplia : "Non pas par là, vous êtes trop gros, vous allez me déchirer".

Mr Lambert lui dit : "Chaque chose en son temps,pour ton cul ce sera après".

Puis Florence sentit une deuxième queue forcer le passage de son sexe, doucement elle se retrouvait complétement remplie, sa petite chatte était complétement écartelée et distendue. Elle criait de douleur et les suppliait darrêter. mais ils restaient en elle, et une fois qu’elle s’était un peu habituée à cette double présence, les deux hommes recommencèrent à s’agiter à lintérieur de leur victime.

Cette fois les cris de douleur se transformèrent petit à petit en hurlement de plaisir, Florence était complétement hystérique, elle invectivait carrément les deux hommes pour qu’ils la prennent encore plus fort : "Ahhhh espèces de salauds …… allez y ….. baisez moi bien….".

Les deux hommes ne se firent pas prier et se déchainèrent sur elle. Mr Lambert sentait qu’il allait bientôt venir, mais avant il avait envie de gouter à son cul, il sortit donc de sa fente et posa son gland sur son petit trou. Florence, emportée dans un tourbillon de jouissance n’avait plus peur, au contraire : "Hannn oui ….. vas y encule moi …… j’ai envie de la sentir dans mon cul".

Mr Lambert poussa doucement et son gland franchit sans trop de mal cet obstacle. Il commença à la pistonner doucement, enfonçant son sexe un peu plus loin à chaque fois. Florence continuait de gémir comme une folle sous l’effet de cette double pénétration. Jamais elle n’avait été prise de la sorte, c’était également nouveau pour elle. Elle encourageait les deux hommes : "Hann ouiii ….. continuez ……c’est bon …….".

Florence pratiquait parfois la sodomie avec son mari, c’était uniquement pour lui faire plaisir car elle n’en tirait aucune satisfaction. Mais cette fois c’était completement different, la présence et l’action de ces deux sexes l’emporterent dans un tourbillon de jouissance.

Cela en était également trop pour Mr Lambert, il sortit vite du cul de Florence, retira rapidement son préservatif et posta son sexe devant son visage. Il lui envoya plusieurs jets de sperme qui atterrirent sur sur sa joue et sur ses lèvres. Comme si sa vie en dépendait, Florence agrippa le sexe et lenfourna dans sa bouche, recueillant au passage les dernières gouttes de ce précieux nectar.

L’homme qui était sous Florence se mit à gémir à son tour, il était en train de se vider dans son ventre. Florence sentait un liquide chaux se répandre dans son ventre. Elle se détendit et poussa un long soupir, savourant cette douce sensation de bien être qui se propageait dans son corps.

Le trio finit par se lever et se vêtir. Florence honteuse de s’être laissée aller ainsi, fuyait le regard des deux hommes. Mr Lambert marqua tout de suite son territoire : "Je savais bien que tu étais une vraie chienne, des trois c’est bien toi qui t’es laissée aller le plus facilement".

Florence ne disait rien, trop humiliée pour répondre.

Mr lambert : "A partir de maintenant tu es moi, je te baiserai quand je voudrai, et si tu refuses j’envoie de jolies photos à ton mari ou il pourrait t’admirer en train de te prendre une grosse bite de black dans ta petite chatte, c’est compris ? "

Florence lui répondit en sanglotant : "Oui … c’est compris"

Mr Lambert : "Et dorénavant, tu oublies les collants, tu viendras au boulot comme tes collègues, avec des bas ou des porte-jarretelles"

Florence répondit un timide "D’accord …"

Puis elle sortit précipitamment du local et sortit du bâtiment pour s’engouffrer dans sa voiture. Mr Lambert quitta les locaux tranquillement, un sourire béat collé aux lèvres, il venait en effet de passer la plus belle journée de son existence.

Le lendemain matin au bureau, il régnait un silence pesant dans le bureau des filles, Marie et Eva n’osait pas parler de ce qui s’était passé hier. Florence de son coté avait également passé sous silence sa séance de voyeurisme et son trio avec les deux hommes.

A 12h00, Mr Lambert entra dans le bureau et dit sèchement aux filles :"Vous viendrez me voir toutes les trois dans mon bureau dans 5 minutes".

Ne sachant pas trop ce qui les attendait, les trois femmes pénétrèrent dans le bureau, Mr Lambert dit à Marie : "Fermez la porte s’il vous plait".

Mr Lambert posa des photos sur la table, on y voyait entre autres, Marie avec Patrice et Michel, Marie et Eva et enfin Florence en train de faire prendre en levrette par l’homme chargé du ménage. Florence et Eva étaient mortes de honte. Marie quant à elle était complétement excitée, autant de se voir ainsi que de découvrir Florence en train de se faire prendre de la sorte.

Puis Mr Lambert leur dit calmement : "j’ai découvert récemment que vous aviez des talents cachés mesdames, dorénavant vous serez mes choses, je ferai de vous ce que je veux. Je vous baiserai ou je voudrai et que je le voudrai".

Florence se remit à sangloter, Eva avait limpression que le sol se dérobait sous ses pieds. Marie, elle, mouillait comme une folle.

Il rajouta : "Vu que vous avez l’air d’aimer le sexe et que vous êtes très douées dans ce domaine, je connais des personnes qui seraient prêtes à payer très cher pour vous baiser".

C’était le choc parmi les filles, la boule de chaleur qui était dans le ventre de Marie se dissipa instantanément et le robinet qui inondait sa fente se ferma aussitôt. Elle sentit une autre boule se former, dans sa gorge cette fois. Ce salaud voulait louer leurs services à d’autres hommes. Eva et Florence étaient en larmes, elles l’imploraient : "On fera ce que vous voudrez mais pas ça, s’il vous plait"

Mais leur chef demeurait inflexible : "Vous êtes à moi maintenant, vous ferez ce que je vous dirai de faire, sinon tout le monde saura quelles trainées vous êtes".

Il les fit sortir de la pièce sans aucun ménagement et alla tranquillement déjeuner.

Les filles retournèrent dans leur bureau encore toutes retournées, elles étaient catastrophées et désemparées. Marie voyait bien que cela allait trop loin, cette situation ne pouvait pas continuer. Elle eut soudain une idée, c’était leur dernière chance, elle prit son téléphone et composa un numéro, à l’autre bout une personne décrocha : "Allo Patrice, c’est Marie, il faut absolument que tu m’aides, j’ai un gros problème"

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