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Ma famille, mes amours – Chapitre 5




Chapitre V

Je m’avance vers eux et les embrasse tendrement. Martine a les yeux qui brillent, elle resplendit de bonheur, je ne dis rien mais je crois que mon Michel n’est pas étranger à son état. Réunis autour de la table de la terrasse, je peux enfin manger quelque chose.

« Laurence, c’est seulement prendre ton petit déjeuner ? »

« Oui, pourquoi ? »

« Ben, à cette heure ci, çà veut dire que la nuit a été longue ou que le réveil s’est agrémenté de câlins très profonds ».

« Et bien petite curieuse puisque tu veux tout savoir, c’est les deux ».

« Et c’était bon ? »

En riant : « Oh oui, et toi ma chérie tu as passé une bonne nuit ?»

« Oui merci, et je crois que mon Michel a apprécié ».

« Ah, parce que c’est ton Michel maintenant ? »

« Oui maman, et nous nous sommes fiancé cette nuit ».

« Oh je suis heureuse pour vous. Tu as entendu Pierre ? »

Pierre s’approche de Martine, l’embrasse sur les deux joues et tend la main à son frère.

« Je suis heureux pour vous et pendant notre absence, vous ne serez pas seule toutes les deux ».

En fin d’après midi, Simon rentre à la maison, lui aussi est heureux des sentiments qui unissent son frère à Martine. Il nous avoue qu’il est lui aussi amoureux de Nathalie mais qu’à part l’échange de baiser rien de concret n’existe entre eux.

Le dimanche se passe dans la bonne humeur. Martine nous a préparé un petit dîner auquel nous avons fait honneur et après un dernier verre et des conversations suivies nous nous retirons dans nos chambres.

Les semaines passent, je me suis habituée au travail à mi-temps, Martine s’occupe de la maison et toutes les après-midi nous sommes ensembles. Certains jours, nous courons les magasins, passons au salon de beauté, allons au cinéma, mangeons au restaurant. D’autres jours, nous restons à la maison, bien souvent près de la piscine où entièrement nue, nous prenons soin de nos corps. Nous nous massons l’une l’autre, nous nous épilons et à chaque fois nous terminons en faisant l’amour, nous pénétrant avec nos doigts.

Une fois par semaine, Pierre et Michel reviennent passer une heure ou deux avec nous mais rentre de suite à l’université car la charge de travail en cette fin d’année scolaire est importante.

Lors d’une sortie en ville, nous passons Martine et moi devant un sex-shop. Nous entrons, et sans nous concerter, nous nous dirigeons vers le fond du magasin ou se trouvent tous les accessoires. Martine se saisit d’un double gode et me regarde, je vois le désir au fond de ses yeux et je l’invite à le prendre. Nous achetons aussi deux plugs, deux godes métal d’une vingtaine de centimètre et des boules de geisha. Après avoir payé nos achats, nous rentrons directement à la maison. Dans la voiture, Martine enlève les objets de leur emballage, les manipules, les caressent tout en me regardant avec des yeux lubriques.

« Dépêche toi ma chérie, j’ai envie de nous faire jouir avant que Simon ne rentre du lycée ».

« Oh ! Nous avons tout le temps, nous serons à la maison dans dix minutes, il est trois heures et Simon ne rentre pas avant huit heures aujourd’hui il révise avec Nathalie ».

Arrivées à la maison, nous prenons un verre, nous nous déshabillons et nous dirigeons vers la piscine avec tous nos jouets. Etendue sur un drap de bain, Martine se colle contre moi, ses lèvres se soudent aux miennes, sa langue fouille ma bouche, nos salives se mélangent. Je m’abandonne à son baiser, sa main se pose sur mon genou, remonte en caressant l’intérieur de mes cuisses, frôle mon minou, titille mon nombril et termine sa course sur ma poitrine où écartant les doigts, elle se saisit du bout d’un sein et l’étire en le roulant entre ses doigts. Elle est devenue experte dans l’art des caresses, je sens ma mouille couler entre mes fesses et inonder mon petit trou, je pousse un profond soupir suivi de petits gémissements. Martine sait que je suis prête, elle descend sa main sur mon sexe, me pénètre avec deux puis avec trois doigts. Une fois ses doigts recouverts de mes sécrétions, elle vient chatouiller mon anus, y entre un doigt qui glisse sans difficulté, un second y entre puis un troisième, je suis entièrement offerte. Je ferme les yeux et savoure le plaisir qui monte en moi. Martine enlève sa main et la remplace par quelque chose de froid qui s’enfonce lentement en moi. Je lève les jambes, attrape mes fesses, les écarte pour m’offrir au maximum à cette pénétration. Je pousse un cri quand l’objet dilate mon anus avec son renflement. Une fois au fond de mon rectum, mon anus se contracte et reprend une position plus normale. Je ressens une sensation étrange qui me fait mouiller encore plus fort. Martine se couche à mes côtés et me dit :

« A moi maintenant »

Je me redresse, me met à genou, le plug bien calé entre mes fesses, la sensation est bizarre mais me donne beaucoup de plaisir. Je pose la main sur le sexe de Martine, celui-ci est rempli de sécrétions vaginales qui viennent lubrifier son petit trou, je prends le second plug, je le trempe dans sa chatte baveuse et le présente devant son anus que je commence doucement à pénétrer. Après quelques sollicitations, l’objet s’enfonce doucement, de ses deux mains elle saisit mon poignet et d’un mouvement du bassin s’empale dessus en hurlant son plaisir.

Je m’étends à côté d’elle et nous restons quelques minutes sans bouger. Se redressant sur un coude, elle me regarde en riant.

« C’est bon d’avoir le cul rempli, si nous allions dans la piscine ».

« Comme çà ? »

« Oui, interdiction de l’enlever ».

Je me lève, lui prend la main et marchons vers la piscine. A chaque pas le plug bouge à l’intérieur de mon corps et m’excite de plus en plus fort. Je dois vraiment faire un effort pour ne pas me branler tout en marchant. Je constate qu’il en est de même pour Martine qui saute dans l’eau pour calmer le feu qui couve en elle. Après une largeur, nous sortons de l’eau, nous revenons nous étendre sur le drap de bain, je m’empare du double gode, écarte les cuisses de Martine, et l’enfonce dans sa chatte détrempée, elle pousse un feulement de plaisir. Je me glisse entre ses jambes écartées pose l’autre bout contre ma chatte et m’empale d’un coup sec.

Mon sexe touche le sien, l’objet disparaît entièrement à l’intérieur de nous, nos clitoris frottent l’un contre l’autre, c’est l’extase, nos bassins entame une danse effrénée. Pendant plus de cinq minutes, nos « oohhhhh ouiiiiiiiiiii » retentissent. Heureusement que la maison est isolée, le voisin le plus proche est à plus de huit cents mètres. Soudain, une explosion agite le ventre de Martine, son corps se déchaîne, ses yeux se révulsent, une quantité impressionnante de liqueur s’échappe de son sexe et vient inonder ma chatte, mon pubis et mon ventre. Son orgasme déclenche le mien, d’une main je pousse le plug au maximum entre mes fesses et de l’autre je saisis je double gode qui est déjà sorti du ventre de Martine et me l’enfonce au plus profond de mes entrailles. Je jouis, mais pas comme d’habitude, une sensation étrange se développe autour et dans mon anus, remonte dans mon ventre qui se contracte et qui avec un bruit sonore expulse le plug. Libéré de cet objet, mon anus se contracte et se dilate sans arrêt et un second orgasme me fait hurler tout mon plaisir. Etendue aux côtés de Martine, je savoure le plaisir qui secoue encore mon corps. Bien que sorti, je serre toujours mes cuisses sur le double gode, je sens ma chatte couler, j’entrouvre mes jambes en me redresse légèrement, Martine se lève et regarde mon entre jambe.

« Mon dieu chérie, c’est pas vrai tu pisses »

Je suis gênée, je ne sais pas si c’est l’effet du plug, de mon anus encore béant ou la jouissance étrange que j’ai connue, mais je ne sais pas me contrôler et cet écoulement d’urine est vraiment involontaire.

« Ne te retiens pas, vide toi, laisse toi aller ! Je t’en prie ».

A ces mots, Martine m’écartèle complètement et vient poser sa bouche ouverte pour recueillir mon liquide doré, je me relâche complètement et l’inonde d’un bon quart de litre de pisse.

Dès que ma source est tarie, Martine se redresse et vient poser ses lèvres sur les miennes.

« Laurence, tu te rends compte, je t’ai bu, c’est merveilleux »

« Je ne t’ai pas dégoûtée alors »

« Non mon amour, rien de ce que tu pourrais me faire ne peut me dégoûter, je t’aime trop pour cela. Tu sais que je suis follement amoureuse de Michel, et lui il le sait aussi, je lui ai dit que j’avais un autre amour dans ma vie et cela lui a fait un choc de savoir qu’il ne m’avait pas à lui seul, mais quand je lui ai dit que c’était toi il a sourit et m’a embrassé tendrement. Il m’a avoué que je lui faisais le plus beau des cadeaux en aimant l’être qui lui était le plus cher ».

« Il t’a vraiment dit çà ? »

« Oui, et il m’a dit que Pierre en serait lui aussi des plus heureux ».

« Dois-je en conclure qu’il sont au courant de nos parties de jambes en l’air ? »

« Maintenant, bien sûr ».

« Et bien, j’en reste vraiment baba ».

« Oh, tu ne sais pas tout. Notre petite escapade de cet après midi, notre promenade en ville qui s’est terminée au sexe shop, et bien c’était sur les conseils de Pierre, il voulait que sa petite femme et moi puissent jouir un maximum pendant leur absence ».

Je me lève, prends Martine dans mes bras et l’embrasse tendrement.

« Je t’aime ma chérie, quelle belle famille nous avons. Je crois qu’il nous faut ranger tout çà, Simon va bientôt rentrer. Tiens et lui il sait aussi ? ».

« Non, je ne crois pas, il a des préoccupations de son âge avec sa Nathalie. Je crois que cela ne va pas bien fort avec elle ».

« Il t’en a parlé ? »

« Non, mais mon intuition féminine !!! ».

Sur ces bonnes paroles, nous rangeons nos gadgets dans un tiroir de la commode de ma chambre, prenons ensemble et sagement une petite douche. Fraîches et pimpantes, nous descendons dans la cuisine. Pendant que Martine prépare le dîner, je termine quelques rangements et dresse la table sur la terrasse. Un quart d’heure plus tard, Simon rentre, vient nous embrasser et s’installe pour le repas du soir.

« Ca va mon chéri, tu as passé une bonne journée ? »

« Oui maman merci ».

« Et Nathalie va bien ? »

« Ouais ».

Je n’insiste pas, Martine apporte le plat de pâte et nous mangeons. Une fois la dernière bouchée avalée, Simon se lève, prend ses cours et nous souhaite une bonne nuit.

« Tu nous quittes déjà mon chéri ? »

« Oui maman demain c’est mon dernier examen et je dois encore réviser un peu ».

Il quitte la terrasse, Martine débarrasse la table, s’affaire un peu à la cuisine et je reste seule perdue dans mes pensées. Le temps a quand même passé vite depuis ma soirée d’anniversaire, c’est déjà la fin de l’année scolaire, les vacances se rapprochent à grands pas. C’est bizarre, nous n’avons pas encore fait de projets de vacance. C’est bien la première fois que des dépliants d’agences de voyage ne garnissent pas les meubles de la maison. C’est vrai que c’est aussi la première fois que le sexe est le moteur principal de nos vies. Je me rends compte, que je ne pourrais plus maintenant retrouver ma petite vie terne et morne que j’ai vécue pendant ces dix dernières années. Mon corps de femme s’est réveillé, mes sensations de femmes m’ont été rendues, je me sens maintenant désirée, aimée, savourant à chaque instant le bonheur de vivre. Dans quelques jours, nous serons à nouveau tous réunis, et à cette pensée, tout mon être frémit.

« Le petit déjeuner est servi sur la terrasse».

Martine, vêtue d’un ravissant bikini crie au pied de l’escalier. Après quelques instants, les portes des chambres s’ouvrent. Michel et Simon sortent de leur chambre, ils portent tous deux un bermuda qui sent bon les vacances. Pierre porte un short moulant qui met ses fesses et son torse en valeur. Ils descendent tous, en riant il se dirige vers la piscine, heureux de leur premier jour de vacance. Quand à moi, je suis toujours dans ma chambre, j’aime me faire désirer. Sur un ultra mini bikini vert pâle, je porte une minijupe du même coloris fendue jusqu’à la taille. Le dessus de mon bikini couvre seulement les aréoles et les bouts de mes seins. Par la fente de ma jupe, a chacun de mes pas, la petite bande de tissus qui couvre ma chatte a bien du mal à tout dissimuler. Je me sens superbe, bandante et surtout très provocante. Je passe et repasse devant mon miroir, je me trouve belle et désirable comme le souhaite mon Pierre. Mon Pierre qui rentré hier soir a joué avec mon corps, a pénétré mon corps, a fait jouir mon corps. Quel bonheur j’ai ressenti quand après avoir fait l’amour j’ai pu me blottir dans ses bras, la tête au creux de son épaule, nos jambes tendrement emmêlées.

Au souvenir de cette nuit, un doux frisson parcours mon échine. Virevoltant d’un pied sur l’autre, je sors de la chambre, descends l’escalier en sautillant, les aperçois devant la piscine et coure vers eux pour les embrasser.

Michel se retourne sur Pierre, la bouche ouverte.

« Hé, c’est qui cette souris ? C’est à toi, où est la ferrari qui va avec ? »

Ils viennent tous vers moi, m’embrassent tendrement, leurs mains ne peuvent s’empêcher de me toucher, de me caresser. Martine vient vers moi et m’embrasse sur la bouche, je lui rends tendrement son baiser sous l’oil attendri de Pierre.

« Laurence !! C’est pas juste, j’avais mis ce bikini pour attiser la convoitise des mâles, et tu me voles mon succès, regarde, ils n’ont d’yeux que pour toi ».

Pierre, Michel et Simon sont bouche bée. Je me sens belle, je m’approche d’eux, tout en les embrassant tour à tour, je caresse la grosseur qui est apparue dans leur short. En embrassant Simon, j’insiste un peu plus sur mes caresses, je glisse la main à l’intérieur de son bermuda et empoigne son sexe bien dur.

« Dis donc, elle en a de la chance la petite Nathalie d’avoir un si beau jouet »,

« Arrête maman, c’est pas drôle, si tu pouvais dire vrai ! ».

« Pourquoi chéri elle ne veut pas ? »

Simon raconte alors qu’avec Nathalie, c’est des baisers, quelques attouchements et puis …

« J’ai tellement envie d’elle, mais rien à faire, dès que ma main touche sa poitrine ou son genou, j’ai l’impression qu’elle vient de se faire piquer par un serpent. J’ai déjà essayé de lui en parler, mais elle ne veut rien entendre ».

« Ecoute chéri, que fait elle maintenant que c’est les vacances, elle part ? »

« Non, ses parents vont partir trois mois en Afrique pour leurs affaires et elle reste ici. Sa grand-mère doit arriver dans quelques jours pour qu’elle ne soit pas seule mais d’après ce que j’ai pu comprendre, cela n’arrange pas vraiment la grand-mère qui avait d’autres projets ».

« Ca te plairais qu’elle vienne ici vivre avec nous pendant les vacances ? »

« Oh oui maman et tu pourrais peut-être la raisonner car je sais qu’elle t’aime bien ».

« Tu as le téléphone de ses parents ? »

« Oui, c’est le …. ».

Je prends mon portable et sonne chez Nathalie, c’est sa mère qui me répond. Je lui explique que Simon m’a conté le problème qu’ils rencontraient suite à leur prochain départ, et je lui propose d’héberger sa fille pendant les trois mois de leur absence vu que nous restons chez nous cette année. D’abord un peu réticente, je fini par la convaincre et Nathalie étant d’accord, je l’invite à prendre quelques affaires et l’informe que je passerais vers quinze heures pour la prendre.

Après avoir raccroché, je me tourne vers Martine et lui demande de bien vouloir m’aider dans le plan que j’ai imaginé.

« Quand à vous les garçons, demain matin je veux que vous preniez vos vélos et que vous alliez faire une grande ballade, je ne veux pas que vous reveniez avant la fin de l’après midi ».

Vers quinze heures, vêtue d’un petit tailleur très chic, mais très strict, je passe prendre Nathalie. Après les politesses et les recommandations d’usages, nous reprenons la voiture.

Nathalie est vraiment très jolie, un peu plus petite que moi, elle a de magnifique cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules, elle a une belle petite poitrine, des jambes fines, un ventre bien plat et une paire de fesses à damner un saint. Elle porte un pantalon en jean qui ne doit pas être confortable par cette chaleur et un polo à manches courtes plus masculin que féminin.

« Tu es contente de venir passer les vacances chez nous ? »

« Oh oui Madame, j’appréhendais de devoir rester tout l’été avec grand-mère, elle est gentille mais très vieux jeu ».

« Ecoute, tu vas m’appeler Laurence, et tu vas me tutoyer, on ne va pas passer ces trois mois à s’envoyer des « vous », « des madame » et « des mademoiselle » à longueur de journée ».

« D’accord Laurence, merci de me mettre de suite en confiance ».

Il fait chaud et malgré les vitres ouvertes, la température dans la voiture doit avoisiner les trente-cinq degré. Je m’arrête au bord de la route, enlève la veste de mon tailleur et ne garde qu’un bustier qui fait ressortir ma poitrine sur laquelle je n’ai pas jugé bon de mettre un soutien gorge. Je remonte ma jupe à mi-cuisses ce qui me permet de les écarter un peu plus pour évacuer la chaleur et la transpiration qui les recouvrent.

« Ah, je me sens mieux, il fait vraiment chaud aujourd’hui ! Tu n’as pas chaud ma chérie ? »

« Si, je colle de partout, et ce jean ne fais rien à l’affaire ».

« Tu n’as rien de plus léger ? »

« Si, dans mon sac, mais je n’ai pas osé les mettre, car maman trouve que je fais pute quand je les mets ».

« Prends les et changes toi, puis on repartira ».

« Ici ? »

« Oui, il n’y a personne, et puis on est entre femme ».

Le fait que je la considère comme une femme la flatte et après avoir fouillé dans son sac, elle en sort une splendide minijupe blanche plissée et un petit top du même ton qui ne tient qu’avec deux fines bretelles.

En se contorsionnant pour enlever son pantalon, son string glisse et lui descend sous les fesses. Délicatement, je glisse ma main dans son dos, descends sur ces fesses et saisissant l’élastique du string, le remet en place. Quand je touche ses fesses, je la sens frémir et je me dis qu’elle est réactive et que dès lors il n’y a pas de raison majeure à ce que je ne puisse faire son apprentissage sexuel. La minijupe passée, elle enlève le haut et enfile le petit top. Celui-ci est tendu sur ses seins et laisse apparaître son nombril. Je lui prends les mains, la regarde, puis faisant la moue, je glisse les mains dans son dos, dégrafe son soutien gorge, fais glisser les bretelles du soutien et du top et lui enlève le soutien gorge que je jette sur le siège arrière. J’ai devant moi une paire de seins magnifiques, en forme de poire dont les bouts se dressent fièrement. Je ne peux m’empêcher d’y poser la main, ils sont fermes et agréablement doux. Je la sens de nouveau tressaillir et je n’insiste pas. Je relève les bretelles, et lui remets son top en le réajustant sur sa poitrine ce qui me permet de la caresser à nouveau et d’encore sentir ce petit frison qui doit électriser son jeune corps.

« Et tu caches un si joli trésor, mais c’est un crime ».

« Maman dit qu’une femme doit briller par son intelligence et non par des gestes ou des poses obscènes ».

« Ecoute ma chérie la nudité n’a rien d’obscène, ce qui l’est, c’est le regard de personnes malveillantes. Laisse ta mère, maintenant tu vas vivre avec nous et tu vas voir comme elle est agréable notre vie ».

Arrivées à la villa, je fais une entrée triomphale au bras de Nathalie, Tous arrivent pour saluer Nathalie, Simon n’en crois pas ses yeux, jamais il ne l’a vu habillée de cette façon, il lui prend la main, la fait tourner, l’attire à lui et l’embrasse tendrement, elle répond à son baiser.

« Que tu es belle ».

« Dis maman tu as accompli un miracle, jamais je ne l’avais vue comme cela ».

C’est vrai que tu es ravissante dit Pierre en posant délicatement un baiser sur ses lèvres. Instinctivement, elle recule et porte une main à sa bouche. Martine s’étend aperçue de la chose s’approche également d’elle et plaque aussi ses lèvres sur les siennes.

« Ici nous nous embrassons tous sur la bouche, c’est la coutume, tu n’aimes pas ? »

« Oh si, j’ai simplement été surprise car chez moi on ne s’embrasse pas. Mais c’est même très agréable ça ne me dérange pas du tout,».

Se retournant alors sur Michel, elle lui tend ses lèvres qu’il couvre d’un délicat baiser.

Pendant ces effusions, je suis rentrée pour me changer, et j’ai enfilé la tenue que j’avais portée ce matin. Réunis sur la terrasse, nous y avons pris notre repas du soir, bavardé comme des pies et vers minuit avons décidé de nous coucher. Martine et Michel ont rejoint leur chambre, Pierre et moi la nôtre. Simon est allé dans la sienne et Nathalie a pris la chambre d’ami, vide depuis que Martine et Michel faisaient lit commun. En voyant mon petit Simon rejoindre seul son lit, je me dis que je ferai en sorte qu’il y ait du changement sous peu.

Le lendemain matin, comme à son habitude, Martine a préparé le petit déjeuner. Les garçons sont prêts pour leur randonnée, les vélos préparés et équipés du nécessaire sont posés contre le mur du garage. Il fait déjà chaud, plus de vingt-huit degrés, Martine ne porte qu’un string, sa poitrine se dresse fièrement, j’ai fait de même et je pique une tête dans la piscine pour me rafraîchir. A ma sortie de l’eau, je ne cache pratiquement plus rien de mon intimité mais peu m’importe je n’ai pas honte de mon corps et c’est sans aucune gène que je m’assieds avec les autres.

Pierre est en admiration devant moi, s’il n’était pas de l’autre côté de la table, je lui prendrais la main pour la glisser entre mes jambes. Au regard que nous échangeons, je constate que mon envie est réciproque. Troublé, Pierre se lève et donne ainsi le signal du départ.

« Allez les gars, on y va sinon il n’y aura pas de randonnée aujourd’hui, hein Michel ! »

« Oui je crois bien que tu as raison, mais avoue qu’elles sont garces de circuler dans cette tenue ».

Ils partent en riant sans nous avoir au préalable serré dans leurs bras et nous avoir embrassé tendrement. Martine me regarde avec des yeux pleins de larmes malgré son visage resplendissant de bonheur.

« Tu es triste ma chérie ? »

« Oh non, excuse moi, je suis tellement heureuse d’être avec vous, tellement heureuse que tu m’aie intégrée dans ta famille, que tu sois devenue ma grande sour, mon amie, mon amour. J’ai peur que tout cela ne soit qu’un joli rêve et que je me réveille brusquement. Tu sais, je me sens bien ici, quand Michel Simon ou Pierre t’appelle maman, j’ai envie de faire comme eux ».

« Oui je comprends mon ange, cela me fait drôle aussi que tu m’appelles par mon prénom. Le jour de ton installation ici, je t’ai demandé si tu étais seule, tu m’as répondu affirmativement, je t’ai alors pris sous mon aile. Tes sentiments pour moi, et l’amour que tu portes à mon Michel ont encore renforcé l’amour que j’ai pour toi. Si cela te fait plaisir, bien sûr que tu peux me dire maman ».

Martine se lève, vient s’asseoir sur mes genoux, pose sa tête sur mon épaule, soupire de bonheur et une main posée sur ma poitrine me dit dans un souffle : « Merci Maman ».

C’est dans cette position que Nathalie nous trouve. Un peu gênée, elle reste debout sans savoir trop bien quelle attitude prendre. Voyant son trouble, je repousse gentiment Martine et lui tends les mains. Elle les saisit, se penche et m’embrasse sur la joue, je lui rends son baiser et l’invite à s’asseoir près de nous. Martine, moins sage que moi, s’approche d’elle et l’embrasse sur les lèvres ce qui provoque un rouge aux joues du plus bel effet. Nathalie s’assied, elle est vêtue d’une longue robe de nuit qui lui descend jusqu’aux chevilles. On devine au travers du tissu épais la présence d’une culotte et d’un soutien gorge.

« Tu as trouvé tout ce qu’il te fallait dans la salle de bain ? »

« Oui, merci Laurence »

« Et tu n’as pas chaud avec cette robe de nuit, tu n’en as pas une plus légère ? »

« Non, elle sont toutes comme celle-ci, maman n’autorise pas les nuisettes ».

« Ah bon, Martine vous avez la même taille, vas lui chercher une de tes nuisettes qu’elle soit plus à l’aise »

« Mais heu !! Maman, elle n’a qu’à faire comme nous, et je lui en donnerais une neuve pour cette nuit ».

Martine s’approche de Nathalie, déboutonne la chemise de nuit, glisse ses mains dans l’échancrure, les poses sur ses épaules et d’un geste large, fait glisser le dessus de la robe de nuit qui tombe à ses pieds. Sur sa lancée, elle passe les mains dans le dos de Nathalie, dégrafe le soutien gorge et lui met les seins à l’air. Nathalie couvre ses seins de ses mains puis se rend compte que nous sommes nous aussi dans la même tenue. Elle enlève ses mains, sourit et dit :

« Ooohhh, si maman me voyait ! ».

« Maman, tu as vu la poitrine qu’elle a, on a envie de la caresser, d’y mordre à pleine dent ».

Sur ces mots, je me lève, pose la main sur un de ses seins, fait rouler le téton entre mes doigts. Martine n’est pas restée inactive et s’occupe de l’autre sein. Ces bouts durcissent, s’allongent d’un bon centimètre, nous continuons à les titiller, et Nathalie pousse un petit gémissement.

« Ooohhh, qu’est ce que vous faites, arrêtez, on ne peut pas, c’est sale, ooohhhhhh ! »

Sans arrêter nos caresses, je me penche vers elle et pose mes lèvres sur sa bouche entrouverte, ma langue y pénètre et caresse la sienne. Pendant ce temps, la bouche de Martine s’est emparée du téton et le suce, le mordille et le fait rouler sur sa langue. Nathalie gémit de plus en plus, ses jambes s’écartent, j’en profite pour glisser ma main dans sa culotte, caresser son pubis et descendre en passant mes doigts sur ses lèvres. Celles-ci sont détrempées, j’abandonne sa bouche, m’agenouille entre ses cuisses, écartant la culotte, je lèche son minou pour recueillir ses premières jouissances. Quand mon doigt pénètre doucement au bord de son vagin, elle frémit, je pose le pouce sur son clitoris et le frotte énergiquement et là, c’est l’explosion, ses fesses se soulève du fauteuil pour pousser son sexe sur mes doigts, elle saisit les accoudoirs se pousse vers l’avant et pousse un cri qui traduit la puissance de son orgasme. Affalée sur le fauteuil, les yeux révulsés, elle reprend doucement ses esprits, nous regarde et sourit.

« Qu’est ce que vous m’avez fait, j’ai cru mourir ? »

« Tu n’avais jamais jouis comme çà ? »

« Oh non, c’est çà jouir, c’est merveilleux ».

« Tu ne t’étais jamais masturbée ? »

« Une fois j’ai essayé parce que les filles en parlaient à l’école, maman m’a surpris et m’a grondée en disant que c’était les filles dévergondées qui faisaient ça ».

« Mais tout le monde fait ça, les filles, les garçons, c’est dans la normale des choses, c’est l’éveil des sens ».

« Tu n’as pas aimé ? »

« Oh si, c’est bon ce que vous m’avez fait, c’est ça faire l’amour ? »

« Ce n’est qu’une infime partie ma chérie, tu veux que l’on t’initie à l’amour ? »

« Oui, et je voudrais encore que tu m’embrasses comme tout à l’heure ».

« Viens ma chérie, rentrons, viens Martine nous allons la câliner cette petite ».

Nous tenant par la main, nous montons dans ma chambre, je m’assieds sur le lit et invite Nathalie à venir s’allonger près de moi. Pendant ce temps, Martine a pris les accessoires dans la commode et les a glissés sous l’oreiller. Couchées de part et d’autre de Nathalie, nous commençons à la caresser. Nous nous occupons d’abord de ses seins, que nous caressons doucement puis un peu plus fort, nos bouches se posent sur ses tétons, les sucent, les mordillent. Ses seins gonflent, les bouts se dressent fièrement et deviennent longs et durs comme de la pierre. Nathalie respire très vite, pousse des petits cris et … glisse la main entre ses jambes. Je sens qu’elle est prête, son corps est parcouru de frissons, son ventre se soulève, ses jambes s’écartent doucement. Martine saisi sa culotte et lui enlève, elle soulève les fesses pour faciliter le retrait du bout de tissus remplis de ses sécrétions. Lentement j’écarte ses cuisses, fait glisser plusieurs fois mon doigt entre ses lèvres puis pénètre doucement dans sa petite grotte. Mon doigt est serré dans ce conduit encore vierge, il vient buter contre son hymen, j’appuie ma main sur le dessus de son pubis et enfonce mon doigt. Nathalie pousse un cri de douleur quand la petite peau se déchire. Instinctivement elle referme ses jambes sur ma main, je laisse mon doigt enfoncé et le bouge doucement à l’intérieur. Les muscles de ses cuisses se relâchent, ses jambes s’entrouvrent et elle pousse un soupir qui traduit le plaisir qui commence à envahir son corps. Martine s’empare du gode métal, le porte à sa bouche et l’enduit de salive puis vient le présenter contre la vulve de Nathalie. Je sors mon doigt et j’écarte les lèvres pour permettre à Martine de la pénétrer. Le gode commence à rentrer, et fait des aller retour de plus en plus profond. Nathalie se met à hurler, jette son bassin en avant et s’empale sur le sexe artificiel.

«Oui viens ma chérie, crie ton bonheur, hurle ta jouissance » dit Martine «tu es une femme maintenant »

Le corps de Nathalie ne repose plus que sur l’arrière de sa tête et sur ses pieds largement écartés. Elle est tendue comme un arc. Tout à coup, c’est l’explosion, dans un hurlement, un orgasme fulgurant parcours tout son corps, un jet de mouille se répands entre ses jambes, inonde le sillon de ses fesses et se mélange au sang de sa virginité perdue.

La tête appuyée sur un coude, nous admirons ce jeune corps qui vibre encore de plaisir, une chaleur me taraude le ventre, moi aussi j’ai envie. Je saisis la main de Martine qui tiens le gode, la glisse entre mes cuisses ouvertes et me fait pénétrer profondément. Les va et vient du gode ne sont pas suffisants, j’en veux plus, Martine l’a senti, elle glisse la main sous l’oreiller, sort un plug, le présente directement sur ma rondelle mouillée de ma liqueur et l’enfonce profondément entre mes fesses. L’objet distend les parois de mon rectum, j’ai l’impression que le plug et le gode se sont rejoints dans mes entrailles, je crie, mon corps tressaute comme sous l’effet d’une décharge électrique. Martine fait bouger le plug et accélère le va et vient du gode, une bouche prend mes tétons, j’ouvre les yeux, c’est la bouche de Nathalie qui me suce, je pose la main sur sa nuque, écrase sa bouche sur mon sein et jouis comme une folle, sans retenue, j’expulse le plug qui en sortant me donne un second orgasme.

Je suis vidée, mon corps est secoué par les spasmes, à côté de moi, Nathalie qui a récupéré, se fait sucer la chatte par Martine qui la chevauche. Ayant vite compris, elle écarte les fesses de Martine et la lèche du clitoris à l’anus. Je me lève, passe à la salle de bain et me glisse sous la douche qui me fait un bien fou. Après cinq bonnes minutes, j’en sors, m’essuie et reviens dans la chambre. Martine et Nathalie sont sexe contre sexe, le double gode enfoncé dans le vagin et…. whaaaahh, chacune avec un plug dans le rectum. Eh bien, pour une petite oie blanche qui n’avait jamais eu de rapport sexuel, Nathalie se défendait plutôt bien et rattrapait le temps perdu. Je m’assieds dans le fauteuil et les regarde tendrement, c’est beau deux femmes qui se font l’amour. Je n’ai pas longtemps à attendre avant de les voir jouir toutes les deux inondant leurs sexes de leur jouissance.

Je me lève, enfile un string, une mini jupe et un bustier qui couvre à peine mes seins et qui laisse mon ventre entièrement nu, je descends dans la cuisine, me sers une tasse de café que je vais déguster sur la terrasse. Une demi heure plus tard, Martine et Nathalie m’y rejoignent, elles portent le dessus d’un bikini et une minijupe en jean qui descend dix centimètres en dessous des fesses. Elles s’asseyent devant moi et je constate qu’elles ne portent rien sous leur jupette.

« Alors les filles, le sexe à l’air, on se rafraîchit » dis-je en riant

Martine me regarde, les yeux brillants, elle glisse la main sur sa chatte.

« Mon dieu maman, quelle baise, qu’est ce qu’elle est bonne notre petite Nathalie ! »

Nathalie sourit, les jambes étendues, elle savoure le plaisir qu’elle a reçu, son visage à perdu sa naïveté, mais ses yeux sont maintenant ceux d’une femme heureuse, bien dans son corps, bien dans sa tête. Une sensualité toute nouvelle irradie son corps, se traduit dans ses gestes, dans son regard, ses yeux pétillent, elle croise ses mains sur sa nuque, s’étire en faisant remonter sa poitrine et dresser les petits bouts, elle est magnifique, elle est femme.

Nous parlons pendant une bonne heure, de Michel et Martine, de Pierre et moi, et Simon qu’en pense Nathalie, c’est la question que je lui pose.

« Oh oui, je l’aime Simon, mais j’avais peur de trop lui montrer mon amour, peur qu’il ne me demande des choses que l’éducation de ma mère m’interdisait, maintenant, grâce à vous, j’ai compris, je n’aspire plus qu’à une chose, être dans ses bras et me donner à lui ».

Je suis heureuse d’avoir pu contribuer à la réalisation de leur amour, j’embrasse Nathalie, puis ensemble nous mettons la main à la pâte pour préparer le dîner de nos hommes. La table est dressée sur la terrasse, nous passons toutes les trois une robe noire, retenue par deux fines bretelles, le dos est nu jusqu’au dessus des fesses, nos poitrines sont mises en valeur par un décolleté plongeant, la longueur est parfaite, à quinze centimètres au dessus du genou. Le tissu est très fin, nous abandonnons l’idée de mettre une culotte et nous chaussons des talons aiguilles. L’image que nous renvoie le miroir de ma chambre nous ravit. Satisfaites de notre silhouette, nous redescendons pour attendre nos chéris. Sans vouloir me vanter, ni vanter mes deux belles filles, il y a maintenant sur la terrasse trois jolis petits lots. Je suis persuadée que quand les garçons vont nous voir, ils ne pourront pas s’empêcher de bander.

Peu après, nos trois lascars rentrent, couvert de poussière qui colle sur eux en se mélangeant à leur transpiration. Je les envoie directement à la douche, et les invite à s’habiller pour le dîner.

Une demi heure plus tard, ils reviennent frais et vêtus tous les trois d’un pantalon de toile blanche, d’une chemise blanche passée dans le pantalon mais dont aucun bouton n’est fermé et de mocassins blancs.

Ils viennent m’embrasser et me complimenter sur ma tenue et ma beauté. Martine arrive avec l’apéritif, six planteurs qu’elle pose sur la table. Elle aussi est entourée, embrassée et complimentée puis arrive Nathalie avec le plateau d’amuse gueule. Là, c’est l’étonnement, les garçons la regarde bouche bée, j’ai l’impression tout à coup que quelqu’un a appuyé sur « pose ». Je claque dans les mains et dis :

«Oh, il n’y a personne pour débarrasser Nathalie de son plateau ».

C’est le déclic, tous se précipitent vers elle, lui enlèvent le plateau des mains, s’en débarrassent en le posant sur la table. Pierre lui prend la main et la porte à ses lèvres.

«Ravissante, tu es ravissante ».

Michel lui prend le menton et dépose un baiser sur ses lèvres.

« Tu n’es pas ravissante, ni merveilleuse, tu es féerique ».

Simon ne bouge pas, il est scotché, la bouche ouverte comme un poisson qui cherche de l’air.

Nathalie se colle à lui, entoure son cou de ses bras, entrouvre la bouche et l’embrasse avec passion. Il faut attendre plus de dix secondes pour qu’il réagisse, la prenne dans ses bras et réponde avec fougue à son baiser.

«Alors frérot » dit Pierre « on n’est pas à la hauteur, le gamin cale, tu veux que ton frère te donne des cours ? »

Simon veut répondre mais Nathalie lui pose un doigt sur les lèvres, elle vient se coller contre Pierre, glisse le haut de sa cuisse entre ses jambes, lui prend la nuque, l’attire vers elle et l’embrasse comme si sa vie en dépendait. Sa main loin d’être inactive, s’est posée fermement sur le devant de son pantalon et frotte le sexe qui grossit et se tend sous sa caresse.

« Dis Laurence, tu sais qu’il bande ton chéri. Un gamin comme les autres, pas de volonté, rien dans le cerveau, tout dans la queue ».

Tout le monde se met à rire, Pierre retourne Nathalie, lui donne une claque sur les fesses et la renvoie dans les bras de Simon. Celui-ci revenu de sa surprise n’a d’yeux que pour elle. Pendant tout le repas il est attentionné, un peu collant même, mais elle a l’air d’apprécier. Ils ne participent pas à notre conversation, ils sont dans leur bulle et la dernière bouchée avalée, il saisit une bouteille d’eau sur la table, prend Nathalie par le bras et après nous avoir souhaité une bonne nuit, l’entraîne vers sa chambre, sa main passée sous sa jupe, lui caresse les fesses. Je crois qu’ils ne vont pas dormir beaucoup cette nuit. Nous restons à discuter tous les quatre pendant une bonne heure. De la maison nous parviennent les gémissements de Nathalie qui doit prendre son pied et rattraper la période de chasteté que lui avait imposé sa mère. A entendre ses cris, je commence sérieusement à m’exciter. Michel assis à côté de moi, s’en aperçoit, se tournant légèrement vers moi il pose sa main sur mon genou, glisse entre mes cuisses et remonte doucement vers mon sexe. J’ouvre les jambes et regarde Pierre qui me sourit, sa main a relevé la robe de Martine et son doigt caresse sa chatte. Je sens les doigts de Michel me pénétrer, son pouce appuyé et tournant sur mon clitoris. Il ne m’en faut pas plus pour avoir mon premier orgasme. Martine qui s’est offerte sans retenue aux caresses de Pierre, jouit aussi en déchargeant des jets de liqueur. Instinctivement, j’enlève ma robe et je me jette entre ses jambes pour recueillir les derniers jets dans ma bouche. Pierre s’est dévêtu, il fait mettre Martine debout, lui enlève sa robe, s’assied à sa place et l’attire sur son sexe tendu où elle s’empale jambes écartées. Excitée par le spectacle qui se déroule sous mes yeux, j’écarte les jambes de Pierre et me glisse entre les deux paires de cuisses. Je prends les testicules de mon Pierre dans ma bouche, gobe l’une, puis l’autre, remonte avec ma langue sur la base de sa hampe que je suce également. J’abandonne sa queue et vient poser mes lèvres sur le clitoris de Martine, celui-ci bande comme une petite bite. Je le prends entre mes dents et le mordille en passant le bout de ma langue dessus. C’est le moment qu’a choisi Michel pour enfoncer sa queue d’un coup sec dans mon cul. La surprise me fait mordre un peu plus fort le clitoris de Martine qui crie, se contracte sous un orgasme profond et décharge dans ma bouche. Pierre la rejoint et jouit, tapissant son vagin de plusieurs giglées de sperme chaud. Repue, la bite de Pierre sort de la chatte de Martine, libérant sa semence qui coule maintenant entre ses lèvres. Tout en offrant mon cul à Michel qui par de grands coups de butoir m’amène vers la jouissance, je nettoie les deux sexes avalant le savant mélange du sperme et de la liqueur vaginale. Au contact de ma bouche, le sexe de Pierre se tend et durcit à nouveau. Il écarte Martine, se lève, se couche sur le sol et m’attire à lui. A quatre pattes, le cul remplit, je viens poser ma chatte sur son membre et descends doucement jusqu’au moment où mes seins s’écrasent sur sa poitrine. Après quelques essais, les deux queues ont pris leur rythme de croisière, s’enfoncent et se retirent dans un va et vient merveilleux. Je ne peux résister longtemps et un violent orgasme me submerge au moment ou Michel libère sa semence dans mes entrailles. Michel s’est enlevé, assis dans un des fauteuils il tente de récupérer, je suis couchée sur le dos, la chatte ouverte et le cul béant inondé de sperme. Martine vient entre mes jambes et d’une langue experte visite mes deux trous pour y recueillir toutes nos sécrétions. Pierre qui bande comme un cheval, vient se placer derrière Martine et après avoir lubrifié son sexe avec sa mouille, le présente à son petit trou et s’enfonce d’un seul coup. Martine pousse un cri, enfonce sa bouche entre mes lèvres, se saisit de mes fesses dans lesquelles elle plante ses ongles, son nez vient frotter mon clitoris qui sensible déclenche en moi des décharges de plaisir. Pierre s’enfonce de plus en plus fort dans le rectum de Martine, j’ai l’impression qu’il me baise aussi. Tout à coup il s’arrête pousse un « aaahannn » et s’étant retiré, éjacule sur le dos de Martine qui décharge de long jet de mouille en hurlant de plaisir. Un nouvel orgasme me secoue, je veux fermer les jambes mais Martine est toujours couchée entre elles, ma chatte s’ouvre et ma vessie se vide par saccade sur la poitrine de Martine.

Quand j’ouvre les yeux, Pierre me prend dans ses bras et m’embrasse amoureusement, il s’assied et je viens me blottir contre lui. Dans l’autre fauteuil, Martine a rejoint Michel et se fait faire un gros câlin.

« Je ne sais pas ce que t’en pense Pierre mais c’est quand même deux belles petites salopes ces deux nanas ».

« Oui Michel, mais c’est nos salopes à nous et qu’est ce que je les aime ».

« Moi aussi, je les aime ».

Je me lève, attire Martine à moi et l’embrasse langoureusement, elle répond à mon baiser. Je la repousse légèrement prends un air sérieux et lui dit :

« La plus salope c’est toi, je parie que j’ai toujours les traces de tes ongles sur mes fesses ».

« Fait voir ». « Oh oui, excuse moi mais c’est la faute de Pierre, c’était trop fort, trop bon ».

Je l’embrasse en riant, donne une petite tape sur la joue de Pierre et nous regagnons nos chambres, prenons une douche et nous couchons.

Une demi heure plus tard, Pierre me rejoint, s’étend dans mon dos, passe son bras sur moi et prend un de mes seins à pleine main. Comme un bébé avec sa peluche, il s’endort. Sa caresse est des plus agréable et je ne tarde pas à le rejoindre dans les bras de Morphée.

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