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Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. – Chapitre 3




–  Ah la garce qu’elle est bonne ! Et il est bon son cul ?

–  Tu veux essayer ? proposa JP.

–  Une autre fois, je viens, là je viens…

–  Jute sur la pizza… vite.

Rémi sortit son chibre de ma bouche et l’empoigna pour se finir à la main au dessus du morceau de pizza. Il éjacula presque aussitôt. Un jet puissant fusa suivi de plusieurs autres de moindre force mais d’égale épaisseur, jusqu’à ce que le flot se termine. La part de pizza en était couverte mais il y en avait aussi sur la table.

Pendant que Rémi se rhabillait, JP me poussa en avant.

–  Suce le sperme sur la table…. vas-y, lèche bien tout, ouais… comme ça… c’est bon hein ?

Je ne répondis rien mais avalai frénétiquement le bon jus.

–  Bon ben, à bientôt M’sieurs-dame, dit Rémi. Et merci pour l’accueil. Je reviens quand vous voulez.

–  T’inquiète répondit JP, on va pas t’oublier.

Il rangea le carton avec la part de pizza pour que je m’allonge sur la table.

–  Ouvre tes cuisses ! Comme amuse-gueule j’veux te bouffer la chatte.

Et ça c’est sûr ! Il s’amusait la gueule. Je dégustais aussi.

–Pelote-toi les nibards pendant que je te lèche.

Ce n’était pas très difficile à réaliser.

Pendant ce temps là, j’entendais la voix aigrelette de Kévin qui gémissait comme une petite truie.

Le black le déboitait mais, comme ils étaient derrière le canapé, je ne voyais pas tout.

–  J’te l’ai bien élargie ta p’tite chatte, hein ? T’es une bonne petite tarlouze toi ! T’as pas été gentil avec la jeune fille, tu préfères la queue, allez prends salope, prend ça au fond ! Tiens ! Tu la sens bien celle-là hein ! Tu pourras plus t’asseoir pendant trois jours chiennasse.

L’autre continuait de pigner.

–  Oh, c’est trop bon, j’vais jouir, j’vais jouir.

Ce qu’entendant, JP me quitta, s’empara de l’assiette avec la part de pizza et alla la placer sous Kévin qui, à quatre pattes, atteignait l’orgasme. JP l’aida à se libérer en trayant son membre comme s’il avait tiré le lait d’une petite vache. Kévin n’était pas un gros juteur, il ajouterait peu de sauce sur ma future ration alimentaire.

Le grand black retourna Kev, lui releva les jambes et le pénétra face à face. Le sexe mou de mon ancien compagnon dansait en cadence, entrainé par le poids des boules, sous les violents coups de queue du géant noir.

Celui-ci enfin se retira et vint se finir à son tour sur la pizza. Il avait les couilles bien pleines et gicla abondamment.

–  Eh… t’aurais pu te réserver pour moi, lui dis-je un peu vexée de ne pas profiter de cette bonne queue et plus encore qu’il ait joui avec mon ex.

–  Te tracasse pas poulette. Je recharge vite. T’auras à peine fini de bouffer que je serai encore au garde à vous. Et puis, regarde mon vieux JP là, tout raide, prêt à te prendre… tu bandes encore hein vieux cochon !

–  Et comment !

Kévin s’était remis debout. Il nous regardait. Il était rouge, brillant de sueur. Je regrettai de ne pas l’avoir photographié pendant qu’il se faisait enculer. C’est son pote Manu qui aurait apprécié ! En fait je n’étais même pas satisfaite de l’avoir vu cocufier son mec comme il m’avait trompée la veille. Il avait pris trop de plaisir et il me rappelait mes frustrations. Je ne voulais plus le voir.

–  Allez, les garçons, on passe de l’autre côté ! ordonnai-je.

–  C’est à dire ?

–  On va chez JP.

–  OK. On allait même te le proposer.

Je pris la clef de l’appart de JP qu’il m’avait confiée le matin même en me disant : "Comme ça ma p’tite princesse, dès que t’as un coup de blues, que tu veux un gros câlin où qu’il faut nourrir ton petit minou, tu traverses… à n’importe quelle heure du jour et de la nuit… même si je dors, tu te glisses dans mon lit et tu me réveilles en me suçant… tu viens prendre ta grosse tétée…".

J’avais accepté et maintenant nous étions sur le palier devant sa porte car, ayant traversé nu, il n’avait évidemment pas son trousseau sur lui… il avait un autre outillage, bien mieux à offrir.

Kévin voulut nous suivre.

–  Même pas en rêve bâtard ! Tu restes dans mon appart et tu t’arranges pour que je te vois le moins possible. Et pas question de faire venir ton mec ou je te fous tout de suite dehors !

Arrivé chez JP, Baobab réchauffa la pizza, dont ma part avec son glaçage de sperme, et nous nous mîmes à manger tout en continuant de baiser.

–  Mange bien ta part ma chérie.

Je croquai à pleine dents.

–  C’est bon ?

–  Oui ! répondis-je sans conviction mais pour faire plaisir.

En fait le goût du plat et celui su sperme se mélangeaient sans que je puisse bien apprécier chacun des deux, néanmoins ma bouche devint gluante de cette bonne semence qui s’accroche bien au palais en laissant une pellicule qui met des heures à disparaître.

–  Mets-toi à genoux et écarte les jambes le plus que tu peux !

Je fis ce que l’on me demandait.

Baobab se plaça derrière moi et m’écrasa les seins de ses énormes paluches en prenant soin de bien me pincer les tétons qui était gonflés à bloc.

Prenant sa part de pizza, JP la glissa entre mes jambes et me frotta énergiquement la vulve avec. C’était chaud, pas brûlant et pas désagréable.

–  JP, t’es vraiment une immonde ordure ! C’est dégueulasse.

–  J’ai quand  même bien le droit d’épicer ma bouffe comme je veux. Pizza à la moule, c’est pas fréquent non ? Et comme tu mouilles bien, le plat va être relevé… je m’en lèche les babines.

Puis il l’avala goulûment en quelques bouchées.

–  Allonge-toi !

Je devinai ce qu’il voulait faire et écartai les cuisses. Mon sexe était rouge tomate, barbouillé des différents ingrédients de la pizza. JP se mit en devoir de les manger.

–  J’vais tout nettoyer… Va pas rester une miette !

–  Suce-moi ! dit Baobab.

Je pris le gros gland dans ma bouche. Même flaccide, la verge était encore impressionnante.

–  Attends, t’as pas eu de dessert.

Il fila vers le frigo et en revint avec une bombe de crème chantilly encore intacte qui n’était certainement pas là par hasard.

Il s’en recouvrit le nud et le contraste entre sa peau très noire et le délice blanc m’excita vraiment Je me délectai de ce dessert nouveau, tant et si bien qu’il se remit à bander.

–  Si on allait se doucher ?

La proposition de Jean-Pierre ne me déplut pas. En effet, s’il m’avait effectivement bien décapé la chatte avec sa langue, cela ne valait tout de même pas les bienfaits de l’eau chaude pour se débarrasser des reliefs de la pizza sur mon intimité. Je souscris immédiatement, sans voir le traquenard.

Jean-Pierre, qui est plus que bricoleur, s’est bâti une salle de bain entièrement dédiée au corps et au sexe. Il a abattu une cloison pour transformer une chambre en un vaste espace de confort. Outre ses appareils de musculation, dont un banc qui peut être propice aux ébats, on y trouve une douche à l’italienne beaucoup trop grande pour un homme seul ainsi qu’un de ces équipements coûteux qui font à la fois jacuzzi et bain à remous… et bac à partouze, cela va sans dire.

L’eau, délicieusement tiède, coulait abondamment sur mon dos pendant que, penchée en avant, je suçai "l’arbre africain" et que JP me bourrait la chatte par derrière. Il y avait longtemps que sa queue était dressée et, malgré sa réelle endurance, il était au bord de l’apoplexie. Aussi ne tarda-t-il pas à éjaculer me propulsant une belle quantité de foutre jusque sur les ovaires en me secouant violemment.

Dès qu’il eut fini de jouir, il se colla à moi en me tenant ferment par les hanches. Il coupa l’eau. Il resta là bloqué, le temps de débander et, de fait, je sentais la pression se relâcher graduellement sur mes parois vaginales. Il semblait ne pas vouloir sortir de là. Je pompai toujours le formidable braquemart dont je ne pouvais absorber qu’une partie. Le reste, il fallait le lécher.

Tout à coup je sentis un flot de chaleur m’envahir. J’essayai de me dégager mais il me tenait plus serrée que dans un étau, comme soudée à lui.

–  Putain de gros porc de merde ! T’es en train de me pisser dans la raie !

L’urine dégoulinait en cascade de ma chatte.

–  J’suis pas un urinoir ! Je t’avais dit de pas me pisser dessus ! T’es un gros enfoiré ! Ta pas de parole !

–  Tu m’as dit de pas te pisser dessus. Tu m’as pas interdit de pisser dedans! La pisse, la jute, c’est pareil.

–  Gros porc, connard, salaud !

J’étais furieuse mais lui rigolait. Cependant sa quéquette s’échappa du trou. Il lâcha prise se recula et acheva de pisser sur mes fesses.

Je m’apprêtais à l’engueuler encore, mais Baobab me saisit par les cheveux, m’obligeant à lui avaler le chibre en me faisant taire par la même occasion.

Dès que JP eut fini de pisser, il se mit à me bouffer le cul puis, prenant le relai de Baobab, il m’empoigna la tignasse pour rejeter ma tête en arrière et me galocher à bouche-que-veux-tu. Inutile de dire que son baiser, long et énergique, avait un goût salé.

Puis il se recula pour admirer le spectacle de Baobab me prenant par tous les trous, en me retournant à chaque fois comme une crêpe en fonction de l’endroit où il lui plaisait d’enfoncer son pal.

Dire que ce mec me fit jouir serait en dessous de la vérité. Ce fut gigantesque et je me promis bien d’y revenir. Le test avec ce premier pote de jeu était concluant, de telle sorte que je ne protestais même pas quand, à la fin il me demanda de le finir entre mes seins où la grosse colonne bien dure expulsa son jus avec la puissance du jet d’eau de Genève. Une partie du sperme se perdit en retombant à droite ou à gauche et mes deux seins en reçurent chacun une petite partie. Comme je les serrai l’un contre l’autre pour profiter de l’onctuosité du précieux baume de couilles sur ma peau, le grand black urina à son tour sur mes seins.

Jean-Pierre vint les lécher puis, à nouveau me roula une pelle gourmande. Il aimait ça le vieux bouc. A ma grande honte, je ne trouvai pas cela désagréable.

Nous prîmes une douche, une vraie et nous restâmes nus à prendre un verre avant d’aller nous coucher en débriefant nos exploits de la soirée.

Comme nous nous dirigions vers le plumard, Baobab ne nous suivit pas.

–  Tu viens pas? interrogea JP.

–  Ça dépend. J’vais voir en face si j’peux pas encore m’occuper cette nuit du p’tit cul du PD. J’veux pas le laisser seul cette nuit, c’est pas charitable. Mais s’il veut pas je reviens.

Sortant aussi nu qu’il était entré, Baobab tira la porte derrière lui. J’épiais pa le judas. En face Kévin ouvrit et, sans beaucoup de palabres le laissa entrer. Avant de franchir le seuil, Baobab, devinant que je l’observai, se retourna vers notre porte en levant le pouce droit et en se soupesant le sexe de la main gauche.

Ce fut mon dernier contact avec Kévin. Devinant le malaise entre nous, Baobab lui offrit l’hospitalité, pas totalement désintéressée et dès le lendemain il s’installait chez le grand black trop content d’avoir une pute à dispo. J’ai cru savoir que Manu avait très modérément apprécié cet arrangement… mais ce n’était plus mon problème.

Je me blottis contre la chaleur du corps de JP que je vins retrouver dans le lit.

–  T’es vraiment une roulure !

–  De quoi ?

–  J’tavais dis de pas me pisser dessus. Tu m’avais promis…

–  Alors je suppose que je peux pas amener mon autre pote ? dit-il en prenant un air faussement désolé.

–  Amène le quand même… mais attendons le week-end.

–  Et je pourrai continuer mes golden showers ?

–  Faudra pas abuser tout de même ! dis-je en sachant bien que tout m’échapperait.

–  Cooool !

A suivre

Et nous nous endormîmes jusqu’au chant du coq qui prit pour moi l’aspect d’une vigoureuse érection du matin.

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