Rachel, sculpturale blonde de trente quatre ans, est prof de français au lycée St. Martin.
C’est aujourd’hui que doit être prononcé son divorce.
a cet occasion ses parents lui ont proposé de l’héberger.
Elle a hâte de retrouver sa soeur Cécile, âgée de trente deux ans, célibataire endurcie, pourtant très belle.
Rachel arrive à la villa tout sourire. C’est elle qui a la garde de son fils Rémi.
C’est justement sa soeur qui l’accueille.
-Tu es radieuse ma chérie, dit-elle.
-Si tu savais, répond Rachel. C’est le plus beau jour de ma vie.
Et Rachel résume la séance au tribunal.
Entre temps, son père Gérard, et son oncle René, sont rentrés de leur promenade journalière.
Rachel l’est embrasse.
-Les inséparables, dit-elle, çà va?
-Très bien, répondent-ils, et toi?
-Un peu lasse. Je vais aller prendre une douche, çà me réveillera.
-Tu veux que je vienne t’essuyer le dos, murmure Cécile.
-Que le dos, rétorque Rachel. Viens.
Cécile monte dans le bac à douche derrière sa soeur, et l’a prend par la taille. Elle se colle contre elle, et l’embrasse dans le cou.
Une main va d’un sein à l’autre. les doigts font rouler les bouts. L’autre main descend entre les cuisses qui s’ouvrent pour laisser pénétrer les doigts entre les lèvres.
-Il y a si longtemps, murmure Cécile. Ta petite chatte est toute mouillée, vicieuse.
-C’est l’eau de la douche, répond Rachel.
-Attend, poursuit Cécile, je reconnais de l’eau et de la mouille.
-Ha..oui, qu’est-ce-que tu fais à mon clitoris, gémit Rachel.
-Il faut bien le laver aussi ce vilain, sourit Cécile.
-Oui mais, ha..ha, c’est trop bon, vas-y ma soeur, branle mon petit minou, çà fait un moment qu’on m’a pas caressée comme çà.
Les deux femmes s’embrassent. Seul le bruit de l’eau qui ruisselle sur leur corps résonne dans la salle de bains.
Les respirations reviennent à la normale.
-Ta relation avec papa, demande Rachel, çà va.
-Très bien, répond Cécile, rien de changer. De temps en temps, il me donne un coup de queue. Cette semaine que maman était pas là, ils m’ont prise tout les deux. ils sont encore vert, tu sais. tu aurais entendu rire tonton qu’en je criais.
-Arrête, dit Rachel, tu m’excite. Il y si longtemps que je n’ai pas fait l’amour avec un homme. Enfin, bon, on va les rejoindre, ils doivent avoir faim.
Le repas se termine vers vingt trois heure. Cécile souhaite bonne nuit à tout le monde, en jetant un regard complice à sa soeur.
-Moi aussi, dit Rachel, je vais me changer. je viendrais vous faire la bise.
Elle revient dix minutes après, vêtue d’un peignoir qui lui arrive à mi-cuisse.
Les deux hommes se sont mis en caleçon. Ils sont assis sur le canapé.
En arrivant près de son père, elle bute contre son pied.
Rachel se retrouve appuyée contre le dossier du canapé, son corps incliné sur son père.
En voulant la retenir, la main de Gérard glisse entre les jambes écartées de sa fille. Dessous, elle est nue.
Ils se regardent dans les yeux. Pas un mot. Mais Rachel ne se dérobe pas. C’est à se demandé si elle n’a pas provoqué cette situation.
Gérard plie le majeur et l’index, et pénètre les lèvres humides de sa fille.
-Oh papa, sursaute-t-elle.
-ta chatte est bien mouillée, ma fille. C’est ta soeur qui t’a gouinée sous la douche?
Rachel fait un signe affirmatif de la tête.
Oncle René, voyant la tournure des évènements, se lève, et se place derrière Rachel. Il quitte son caleçon, et soulève le peignoir. Il découvre les fesses écartées et cambrées de sa nièce. Le petit trou est totalement offert.
Avec ses deux pouces, il écarte l’orifice, et le taquine avec le bout de la langue.
-Ha..haa, râle Rachel.
-Qu’est-ce-qu’il t’arrive? Demande Gérard.
-C’est tonton, si tu savais ce qu’il me fait. je sens son gland contre mon petit trou. Ha..ha, çà y est, il est en train de me le mettre, il m’encule, ha..ha, et toi qui me branle. Vous me tenez, salauds.
-Mais c’est normal ma chérie, poursuit Gérard. Regarde dans quel état tu es, ta chatte est pleine de mouille. Après, c’est papa qui va te baiser. tu veux bien mon bébé?.
-Oh oui papa, comme avant, on s’amusera tout les deux.
Dans un cri de bête, René joui dans le cul de sa nièce.
Il l’a prend par les cheveux, la retourne, et l’embrasse.
-Merci ma chérie, je me suis régalé.
-C’est moi qui te remercie, tonton, tu me l’a bien mis, vicieux.
Le père et la fille se retrouvent tout les deux. Gérard ôte son caleçon, et dégage un membre en érection assez imposant.
Rachel fini de quitter son peignoir.
Elle saisit la queue de son père entièrement décalottée, et suce le gland, tout en le branlant, et l’avale jusqu’au couilles. Elle sait que son père se régale.
-Tu aimes te faire sucer par ta petite fille, hein? Papa.
c’est pas bon çà.
N’y tenant plus, elle se relève, s’assied sur les genoux de Gérard, dos à lui. Elle lui prend le fifre et le fait coulisser dans sa chatte en poussant un cri de plaisir.
-Enfin une grosse queue, soupire Rachel, çà fait du bien.
Mon clitoris, sors le, mes seins, caresse moi, partout, s’il te plait papa.
-Mais doucement ma chérie. On a tout nôtre temps.
-Non, gémit Rachel, je suis trop chaude là, on recommencera après, on reecoommeen ha..ha.., oui..oui, papa, papa,ouii.
Rachel a un orgasme puissant, elle hurle de plaisir, ne se souciant guère si les autres dorment.
-Encore papa, souffle-t-elle, j’ai envie, en levrette, je t’en prie.
Rachel se met à genoux, appuie ses mains sur le dossier du canapé.
Gérard se place derrière elle, la queue contre sa chatte.
C’est elle qui, en se cambrant, se fait pénétrer.
-Tu aimes te faire niquer par ton père, hein?
-Oh oui papa, c’est tellement bon. Cécile aussi se régale.
Tu nous baise si bien. Mon dieu, je viens encore, je joui, je jouiiii.
-Moi aussi je viens ma chérie, ha.ha, je peux cracher dans ta bouche, s’il te plait.
-Mais bien sur mon amour. Viens.
Rachel ouvre grand la bouche. Gérard se branle, son gland contre les lèvres de sa fille.
-Vas-y papa, fait toi plaisir, crache dans la bouche de ta fille, hum, que c’est bon.
C’est en râlant de plaisir que la semence de Gérard gicle au fond de la gorge de Rachel. Elle prend la queue en main, et la nettoie jusqu’à la dernière goutte.
Dans la nuit, Cécile, attirée par la faible lumière, se pointe au salon.
Son père et sa soeur dorment, tout nus, dans les bras l’un de l’autre.
"Que c’est beau" se dit-elle.
Elle va chercher une couverture pour les couvrir.
A neuf heure du matin, Rachel s’engage sur l’autoroute.
Il lui tarde de rentrer pour retrouver son fils Rémi.
Un sourire aux lèvres, elle pense à la séance avec son père et son oncle.
"Quels enfoirés tout les deux" pense-t-elle.
