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Catch nus; le 1er qui éjacule perd – Chapitre 2




(Suite et fin)

Pour la 3ème fois, nous nous empoignons, l’esprit confiant de ma victoire précédente.

Mais Peter shabitue aux prises glissantes et manuvre de mieux en mieux, à mon détriment, car rapidement, il me ceinture par derrière et moblige à tomber sur lui, en arrière.

Il sallonge de tout son long tout en me ceinturant sous les aisselles

Je sens son sexe dur simmiscer dans la raie de mes fesses !

Pour échapper à une prise de ses jambes, je lève tout mon corps en mappuyant sur mes épaules appuyés sur son buste, et sur mes pieds

Mes fesses décollent, propulsant mon sexe bandant vers le plafond, droit comme un I, complètement exposé pour le plus grand bonheur des spectatrices lubriques qui tournent autour du Tatami pour trouver le meilleur angle de vu.

Arielle, penchée en avant, les deux pans de son chemiser flottant au gré des mouvements, nous laisse entrevoir par intermittence ses magnifiques seins aux tétons protubérants.

A force de nous asperger d’huile dans tous les sens, les ravissantes courbes des corps des filles brillent sous les projecteurs.

Je me rends compte du côté provocant de ma posture et n’arrive pas à me libérer de son étreinte. Je retombe allongé sur Peter.

Celui-ci me tire alors dun violent coup en arrière et en profite pour passer ses jambes entre les miennes et moblige à ouvrir au maximum ; mais dans le mouvement de recul, son sexe en forte érection séchappe de sous mes fesses et réapparait entre mes jambescontre mes couilles.

Il me force à tenir la pose incroyablement obscène. Les filles se regroupent devant nos entre jambes grands ouverts, se gargarisant de la vue de nos deux sexes superposés verticalement et collés lun sur lautre !

Je perds ce round dans la plus grande humiliation. La seule consolation est la suite du strip-tease d’Arielle. Cette fois, elle n’a plus le choix et tous les regards sont braqués sur elle.

Elle tire enfin en arrière son chemiser, sa ferme poitrine explosant à nos regards puis le fait virevolter et le jette au loin. Uniquement vêtue de sa mini jupe en jean, les deux mains sur les hanches, elle nous annonce la position du 4ème et avant dernier round. À moins que ce ne soit le dernier si je le perds…

Deux autres filles à poil et ruisselantes dhuile savancent sur le Tatami.

La première ( la perdante ) se couche sur le dos, les jambes repliées en arrière sur sa poitrine, tandis que lautre ( la gagnante ), se positionne jambes écartées au-dessus de la tête de la fille au sol, puis saccroupit jusquà sasseoir sur son visage ! Ensuite, elle attrape les jambes repliées de la fille et les tire en arrière et sur les cotés en les faisant passer sous ses aisselles afin dexposer au maximum vers le plafond et le public la chatte béante et huilée de la fille allongée au sol sur le dos !

Arielle voulait la pose la plus provocante possible pour ce round ! La fille au sol est complètement immobilisée, ouverte et offerte ; nos queues bandent tellement, qu’un filet de mouille suinte maintenant le long de nos verges tendues.

Lenvie de nous ruer sur elle est incontrôlable et il nous faut une bonne dose de lucidité pour nous retenir.

De nouveau, jimagine la scène entre Peter et moi. En fait, je préfère de même pas l’imaginer.

Pour la 4ème fois, donc nous combattons, l’excitation sexuelle à son paroxysme, le souffle court.

Cette fois-ci, si je perds ce round, cen est fait. Peter le sait aussi. Alors, nous mettons toutes nos forces dans cette lutte acharnée, nos corps roulent à terre, se contorsionnent, nos muscles saillants brillent sous la lumière, nos cuisses se frottent, nos poitrines glissent lune sur lautre, nos sexes durs et huilés se cognent au hasard contre un bras, une fesse ou le pied de ladversaire, et même, sentrechoquent entre eux, contribuant à accentuer les divines sensations du toucher grâce à lhuile qui transforme chaque contact en massage érotique

Nos respirations s’accélèrent et nous ne savons plus si cétait dû à leffort ou la montée en puissance dune excitation incontrôléeJe n’en peux plus. Je sens monter le plaisir inexorablement. C’est impensable me dis-je !

La lutte est si intense que nous ne faisons plus attention aux limites du cercle et cest lorsquune de mes jambes se fait caresser sans prévenir que je me rappelle la règle dArielle

Plusieurs filles me caressent le pied et le mollet !

Peter sen aperçoit et voyant cela, il essaye de me pousser encore plus vers lextérieur du cercle afin quun maximum de mon corps se fasse peloter par les innombrables petites mains huilées des adolescentes en chaleur !

Plus mon corps serait à leur merci et moins jaurai de force pour lutter contre lui pense t-il. A juste titre !

Je suis à quatre pattes en train de pousser pour rester dans le cercle alors que lui, sur son dos, utilise ses pieds, appuyés sur mes épaules pour méjecter !

Un deuxième pied sort du cercle et immédiatement dautres mains saffairent

Je glisse toujours et bientôt mes fesses arrivent à la limite !

Peter redouble d’effort et pousse encore un peu. Sous leurs cris hystériques, leurs petites mains commencent à me caresser les globes des fesses , puis sinsèrent carrément dans ma raie qui, dans cette position est grande ouverte !

Je sens alors une main englober ouvertementmes couilles avec volupté ! La sensation est indescriptible ! Il me faut réagir ou je vais me retrouver en train de me faire branler devant tout le monde dans quelques instants !

Pris de panique, jai la présence desprit de changer radicalement de tactique, et au lieu de résister comme je le faisais, je recule brusquement et complètement en dehors du cercle, et tire les chevilles de Peter de toutes mes forces ; comme celui-ci était toujours en train de pousser, les deux forces se sont additionnées et il se retrouve les deux jambes dehors, et avant que les filles réagissent, je plonge au milieu où je maffale de tout mon long pour me retrouver sur le dos, en croix, épuisé.

Je maccorde quelques instants de répit dans cette position impudique, le sexe droit comme in I que je ne cherche même plus à cacher tant la fatigue est plus forte que ma pudeur.

Je surveille Peter du coin de lil ; les filles ont agrippés ses jambes et ne se contentent pas de le peloterelles le retiennent, voir même le tire un peu plus vers lextérieur pour avoir quelque chose de plus intéressant à masser !

Du coup, je ferme un instant les yeux pour mieux récupérer, mais Peter se désengage de cette pieuvre de nymphettes en folie plus vite que je my attendais et avant que je puisse me relever, il me prend la tête en ciseau

Son sexe en érection me cingle en pleine figure ! Les filles sont aux anges devant lindécence des prises puis, avant que je nessaye même de me débattre, il me met sur le côté et me pousse avec ses pieds dans le dos, vers lextérieur du cercle !

Je proteste. Ce nest pas le but du 4ème round. Jessaye de me relever mais, il me saisit un poignet dun côté et une cheville de lautre et tout en poussant dans mon dos avec ses pieds ; il me force à une position hyper arc-boutée dans une cambrure maximum. Mon corps épouse parfaitement l’arc du cercle mais je suis encore à l’intérieur. Dans cette position cambré de coté, mon sexe ruisselant d’un mélange de mouille et d’huile, est exposé au maximum vers lextérieur, vers les fillesà la limite du cercle.

Les filles en délire lui l’encourage à me pousser en dehors du cercle ; j ai beau me démener, il gagne centimètre par centimètre !

La tension est à son comble et les filles se battent pour être la mieux positionnée et la première àtoucher ma grosse bite palpitante et dressée leurs petites mains agiles ! Elles s’agglutinent devant mon sexe complètement offert, telle une pieuvre aux multiples tentacules animées par le vice.

Je me démène comme un fou et hurle mais il pousse encore plus fort. Ma bite franchit la ligne. En un instant, plusieurs mains se disputent lhonneur de la branler !

La plupart des filles nont jamais vu un garçon nu de près, et encore moins une queue en érection, cest dire avec quelle enthousiasme elles veulent toucher la bête !

Leurs petits doigts viennent dabord tapoter , soupeser, vérifier la dureté (..) de mon pieu palpitant, sans se rendre compte quà chaque contact dun de leurs doigts, leffet est indescriptible et menvoie une véritable décharge électrique qui commence à enclencher un énorme orgasme qui ne demande quà monter en puissance depuis les tréfonds de mes couilles pleine de foutre..

Mon corps entier est maintenant en dehors du cercle, totalement à leur merci, comme une offrande sexuelle

Je suis un simple jouet sexuel pour le plus grand plaisir de leur atelier de découverte dun corps masculin au bord de lorgasme.

Peter ricane comme un fou tandis quArielle qui, à linstar de la meute de filles, sexprime calmement, a lâché, au moment ou mon sexe franchissait la frontière, un simple Génial qui mavait glacé le sang car cela signifiait quelle approuvait linitiative de Peter ! alors que ce nétait pas la figure gagnante demandé dans ce round.

Les filles samusent avec mon corps comme des enfants qui découvrent un nouveau jouet ; elles passent leurs mains partout et gloussent comme des folles, mais mon sexe est visiblement leur terrain de recherche préféré.

Tout dun coup, au lieu d avancer une main, une fille me présente.. un sein. Devant la bouche ! C’est comme un réflexe ; je ne peux pas me contrôler. Je la suce ! Cest la première fois et je navais pas imaginé que cela serait dans des circonstances aussi incroyables.

Son téton durcit rapidement au fur et à mesure et je réalise que je suis en train de m’abandonner au plaisir sexuel. Sauf que lorsque plusieurs mains se mettent en action pour me branler réellement et que je sens ma sauce monter et tournoyer dans mes couilles, je suis pris de panique à lidée déjaculer devant tout le monde sous la contrainte de Peter qui se délecte du spectacle. Un affreux sentiment de honte menvahis en même temps que je sens venir lorgasme !

Je regarde autour de moi, mais rien ne peut contribuer à refroidir mon excitation. Au contraire. Certaines filles ne se retiennent plus ! Plusieurs se massent la pointes de leurs seins, tandis que dautre ont enfouis une main entre leurs cuisses ! Des filles se caressent et même se masturbent mutuellement ! Sous mes yeux !

Je mapprête quand même à faire un ultime effort pour me libérer, lorsque je ressens une caresse divine sur mon gland ! Une des filles vient dy aventurer sa langue .. tandis quune autre main continue son va et vient le long de ma hampe et quune autre me tripote les couilles!

Elle commence à me laper comme un petit chat et en 3 ou 4 coups de langues, sans crier gare, pris dun spasme inouï, jexplose violemment dune lourde charge de foutre qui sécrase sur son visage stupéfait, la fille nayant pas imaginé un instant que ses petits coups de langues innocents pouvait déclencher une telle réaction aussi puissante et soudaine! Elle reste bouche bée alors que toutes les filles crient dun mélange de surprise et de délectation ; la fille recule vivement au contact de ma décharge sur son visage, tandis quune deuxième cargaison de foutre jaillit tout aussi violemment que la première pour aller sécraser sur les seins de sa voisine, le tout ponctué de petits cris de stupeur et de mon râle agonisant de plaisir.

Mais alors que la main qui me masturbe continue doucement son uvre, de nombreuses répliques secondaires perdurent pendant de longues secondes, criblant au hasard les visages danges de mes tortionnaires ou leurs poitrines gonflées, sous les yeux admiratifs et goguenards de toute lassistance satisfaite de la conclusion de cette excitante et humiliante expérience.

Puis, Peter me lâche et je mécroule de honte.

Il me faut une bonne minute pour que je reprenne mes esprits tandis que Peter crie victoire mais quArielle lui fait remarquer que , bien que le spectacle ait été des plus émoustillant, la pose victorieuse n’est pas atteinte.

En même temps que mon corps, je reprends mes esprits et maudis Peter. La vengeance m’envahit.

Alors quil continue de discuter, je me lève brusquement et le fait basculer en arrière. Il tombe à la renverse, les quatre fers en lair et j’enfourche sa tête en plaquant mes fesses bien écartées, écrasant la raie de mes fesses en plein sur le nez sans me soucier de sa respiration tant je suis énervé. Les filles se relèvent surexcitées.

Je profite que ses jambes ne soient pas encore retombées pour les agripper sous les genoux et les passer sous mes bras en tirant dessus au maximum. La pose est des plus obscène. Ses fesses grandes ouvertes surmontées de son gros pieu presque complètement bandé, qui dans sa chute en arrière vient taper son nombril dun bruit mat, sont exposés à la vue de tous.

Les jeunes nymphettes écarquillent de nouveau leurs grands yeux, si candides, si pervers…

Jentends Peter faire des hummmpff en essayant de trouver un filet dair entre mon anus et mes couilles et je dois dire quil finira étouffé. Mais Arielle intervient pour me demander de soulager la pression.

Arielle me déclare vite vainqueur, mais je ne veux pas en rester là. Je veux ma vengeance. Je pousse son corps vers le bord du cercle afin de le soumettre lui aussi à lhumiliation totale à laquelle jai eu droit !

Dans cette position humiliante, je pousse son corps en mappuyant sur mes jambes écartées. La pointe de ses fesses commence à franchir la ligne et déjà de multiples vicieuses petites tentacules sexcitent à leur approche ! Certaines commençaient déjà à lui tritouiller la raie des fesses, enfonçant leurs petits doigts dans tout ce qui était mou

Malgré ses protestations étouffées, je continue à pousser et à pousser. Ma queue redevenue flasque dégouline toujours dun mélange de sperme et de mouille qui vient se perdre sur son menton et son cou. Une odeur de sexe règne autour du Tatami.

Lorsque ses couilles franchissent la ligne, les filles sy attaquent avec frénésie et bientôt sa queue se soulève dun bond, bandée à son maximumpuis plusieurs doigts se mettent à courir le long de sa verge jusquau sommet ! Je me délecte à mon tour !

Mais visiblement Peter suffoquait et Arielle insiste pour que je le libère. A contre cur, je me relève. Ma frustration – ainsi que celle des filles aux mains encore humide de ses jus – est à son comble.

Mais nous sommes à égalité de points. Il reste donc le dernier round, décisif, qui déclarera le vainqueur final.

Arielle me demande alors daller prendre une douche afin de nettoyer les restes de sperme et de mouille qui sétalent un peu partout sur mon corps.

Jai tellement chaud et besoin dun break que je me dirige rapidement vers les douches collectives du gymnase. Jentends alors Arielle demander aux deux filles qui sétaient prises tout mon foutre daller faire de même.

Je commence à régler leau lorsque les deux créatures me rejoignent avec un sourire moqueur et vicieux, posant sans retenu leurs regards lubriques sur ma queue débandéece qui me déclenche immédiatement un nouveau début dérection !

Puis, tout en continuant davancer vers moi en me fixant maintenant droit dans les yeux, lune se malaxe le sein en étalant bien la giclée de mon sperme sur son téton tout dur, tandis que lautre, qui sétait prit ma première décharge, balade sa langue sur ses lèvres comme pour mieux goûter ma semencecette scène incroyablement érotique et provocante termine de durcir ma bite comme du béton !

Elles se mettent ensuite de chaque côté et commencent à se douchervoluptueusement, érotiquement, se passant les mains lentement sur les seins et tout le reste y compris dans leur entre jambe .les petites garces sont en train de mallumer ferme !

Et joignant le geste à la parole, elles me proposent de me nettoyer car je le mérite bien (..)

Rapidement, leurs mains savonneuses simmiscent un peu partout et glissent sur mon sexe aussi gros et dur que sil navait pas tiré depuis une semaine !

Cela dure quelques minutes lorsque Arielle déboule dans les douches, complètement nue elle aussi, puisque à lissue du 4ème round elle devait enlever son dernier vêtement ; elle vient nous demander de nous presser.

Elle a un méchant sourire en voyant mon dard de nouveau gros et dur ! et ajoute « Je vois que tu sembles prêt pour le final » et sur ces mots, vient se coller à moi en frottant ses seins sur ma poitrine et en sous pesant mes couilles ! Je commence à haleter dautant que les deux autres filles continuent de me frotter et me masser le reste du corpsJe sens l’orgasme poindre à nouveau ! Arielle glisse alors sa main sur ma queue et me masturbe lentement 2 ou 3 fois; je suis sur le point de jouir mais elle me gifle les fesses en me demandant de me presser et quon attend plus que moi !

Nous revenons tous les quatre, ma bite indécemment pointée en avant et se balançant lourdement au rythme de mes pas. Un filet de mouille dégouline de mon gland violacé et luisant.

Toutes les filles rient aux éclats en fixant ma verge bandée, prête à exploser ! Comme à chaque fois, je ne mhabitue toujours pas à ces situations si embarrassantes et à la honte qu’elles provoquent en moi.

Cest alors que je découvre, très surpris, Peter qui est assis sur un gros ballon, plus gros que pour le basket, peut-être un ballon de stretching, ce qui l’oblige à écarter les cuisses en grand. Ses genoux touchent à peine le sol et il a les pieds tirés vers larrière etattachés. Ensuite, je maperçois que ses poignets sont aussi attachés dans le dos etreliés à ses pieds.

La posture étant incroyablement obscène car cela loblige à sarc bouter en arrière et à faire ressortir son sexe bandé comme projeté en dehors de son corps à limage dun porte drapeau sur la façade dun bâtiment.

Et il repose ainsi sur le sol sur 3 points : les deux genoux devant et ses pieds ligotés qui ne forment quun point de contact derrière.

Deux filles lui caressent doucement les couilles et son dard mais en le masturbant lentement pour le maintenir en érection ! Dautres ne peuvent sempêcher de peloter ses muscles, ses abdos, et même de se frotter à lui.

Plusieurs filles, à lécart, senlacent et se frottent leurs poitrines lune sur lautre , tandis que dautres se passent la main dans leurs entre jambes et se caressent mutuellement

Jécarquille les yeux devant la scène de totale débauche.

Arielle mexplique que cest l’épreuve qui désignera le vainqueur.

Plusieurs filles minstallent alors à leur tour sur un autre ballon et me ligotent identiquement sans que je ne trouve la force de comprendre ou de protester, sans doute à cause de la curiosité et de lenvie de découvrir de nouvelles sensations. Mon sexe ainsi pressé par-dessous à cause du ballon, se dresse en avant comme une épée et recommence à dégurgiter de la mouille ; contrairement à Peter, il est inutile quune fille se charge de me maintenir en érection ! Je narrive tout simplement pas à débander et à contrôler quoi que ce soit de mon engin.

Une fois attaché de la sorte, Arielle nous annonce les règles du final.je me demande bien ce que lon peut faire puisque nos jambes et bras sont immobilisés.

« Nous allons maintenant tester votre résistance à l’éjaculation forcée »

Peter dit « Comment ça ? vous nallez pas mhumilier comme John tout à lheure ! Je refuse catégoriquement dêtre masturbé en public ! Hors de question ; libérez moi tout de suite »

Arielle réplique « Mais nous nallons même pas vous toucher Peter » Nous ne comprenions pas.

Arielle : « Cest vous qui allez vous toucher »

Peter : « Quoi ? Comment ça ? Nous sommes entravés »

Arielle « Nous allons juste vous diriger en vous faisant glisser pour que vous puissiez vous toucher »

Nous commençons à comprendre, même à trop comprendre car nos deux sexes pointés en lair étaient au même niveau !

Arielle « Je vois que vous avez saisi ! Les filles vont vous faire bouger comme pour un duel à lépée ! »

Je nen croyais pas mes oreilles !

« ça sappelle aussi un combat de bites qu’on va vous forcer à frotter l’une sur l’autre !! et ça devrait être très intéressant à voir ! »

Nous sommes effarés par leur perversité !

Mais en mon for intérieur, en dehors de juger de la perversion et de lobscénité du jeu, je sais que jai lavantage, le net avantage davoir déjà vidé mes couilles trois quart dheure plus tôt ! Peter fait évidemment la grimace car il pense la même chose

Alors, très vite, nous nous retrouvons face à face avec plusieurs filles qui nous poussent par les pieds, les fesses ou les cuisses. Nous sommes de nouveau bien aspergé dhuile et les filles nous font glisser sur le tapis avec grâce et aisance comme des patineurs sur la glaceou lorsquon pousse un vulgaire caddie de supermarché

Puis, elles nous rapprochent.et alors que nous ne pouvons rien faire de nos mouvements, sinon subir les désiratas de cette bande de gamines nues surexcitées, de détraquées sexuelles, nos deux gros bâtons se croisent une première fois .je dois dire que bien quayant déchargé plus tôt, ma bite est toujours aussi dure que si elle navait encore rien craché.

Je ne comprends pas comment Peter arrive, soit à se contrôler, soit à nêtre pas hyper bandé comme moi alors que ses couilles sont pleines !

Les filles se prennent au jeu et nous balancent de gauche à droite afin de faire croiser nos bittes de plus en plus fort ! On peut clairement entendre le bruit mat et indécent à chaque choc. Un floc suivi d’un autre floc qui provoquent dun côté lhilarité et du mien.la monté de mon excitation !

A chaque croisement de bite, elle saccade et éjecte une nouvelle goutte de mouille qui dégouline le long de ma verge. Je commence à haleter. Peter semble contrôler son excitation et me toise.

Puis, après avoir joué ainsi pendant plusieurs minutes, certaines de ces petites vicieuses suggèrent dessayer de nous faire toucher nos glands et de les frotter lun sur lautre.

La manuvre était plus délicate et précise mais leur motivation perverse étant sans limite, c’est en un rien de temps que nos glands se retrouvent sembrassant et sécrasant sans pudeur devant toute lassistance médusée dun tel spectacle insolite et si obscène…

Elles nous poussent doucement pour voir nos glands se chevaucher. Les sensations sont incroyablesje sens ma respiration accélérer et mon cur battre plus fort. Je sens monter en moiun nouvel orgasme redoutable alors que ce salaud de Peter semble rester de marbre !

Je nimagine pas quelle horrible nouvelle humiliation ce serait si je déchargeais une deuxième fois, avant Peter !

Tout le monde va me prendre pour un détraqué sexuel qui décharge sur tout ce qui bouge, incapable de se contrôler.

Je fais tout ce que je peux pour vider mon esprit afin de garder mes bourse pleines, mais les caresses que minfligent le gland huilé de Peter sur le mien balayent tous mes efforts et cette masturbation lente, imposée et très localisée sur le point le plus sensible me produit des sensations prodigieuses. La sauce bouillonne dans mes couilles et menace d’exploser.

Les filles sentent bien que ma lourde et profonde respiration trahit mon état et quelles sont sur le point de forcer lun de nous deux, moi en particulier, à jouir sans retenu.

Arielle les encourage et leur donne de petits conseils, telle une petite main qui vient glisser dans la raie des fesses ou une autre qui nous pelote les couilles de temps à autre, ou même des seins qui se frottent sur nos cuisses, dans le dos ou en pleine figurePeter commence enfin à haleter. Son engin est aussi dressé au maximum et mouille fortement. Nos jus se mélangent à l’huile de massage.

Elles pressent nos glands luisant fortement puis alternent en les faisant glisser en minuscules et insupportables petits va et viens de quelques millimètres sur le sommet de nos glands. Je n’en peux plus. Je scrute les yeux de Peter, espérant, priant qu’il jouisse avant moi. Il respire fort aussi et est proche de l’orgasme.

Mon ventre se creuse, ma bite tremble de plaisir, je grogne, la chaleur menvahis, cen est trop ! Je ne contrôle plus rien!

Dun coup, jexplose de nouveau sans retenu ! Je suis pris d’un énorme spasme orgasmique sous les ricanements de Peter et applaudissements des jeunes garces surprises de me voir décharger aussi violemment quà peine une heure plus tôt !! Les filles me tiennent pour que je ne tombe pas.

En plus, à ma surprise et celles des filles, ma décharge de foutre est encore lourde, consistante et collante… Elle vient sécraser sur le gland de Peter, puis tout en exultant un deuxième râle de jouissance, dautres salves puissantes continuent à cracher de mon engin dressé et qui palpite encore et encore. Mon sperme cingle le buste de Peter. Devant ce spectacle et le massage insupportable de sa bite trépidante, il ne peut non plus se retenir. Sa grosse queue se met à décharger un énorme jet de sperme qui fouette mon gland et s’écrase dans mes poils pubiens. Il manque de s’affaler; plusieurs filles le rattrapent. Sa queue explose d’un second jet qui pilonne mon buste et ma figure. Je m’en prends plein les yeux.

Je suis complètement humilié. Je baisse la tête la tête, jai tout perdu, mon match pour gagner Arielle, ma dignité, ma réputation, mon honneur, ma pudeur, bref je suis anéanti mais jamais, jamais je nai joui pareillement.

Peut-être est-ce le prix à payer ?

Les filles me relâchent et participent encore à nous nettoyage dans les douches. Après nous avoir encore masturbé longuement, une fille saventure à essayer une vraie fellation sur Peter et finit enfin par lui faire jaillir une seconde fois sa semence dans sa bouche ; la jeune fille est toute contente, souriante et bavante de sa première expérience de la sorte.

Peter et moi restons bons amis ; bien que ma réputation soit faîte, et peut-être plutôt à cause de cette nouvelle réputation, jai la consolation de sortir avec plusieurs des filles de léquipe et même plusieursensembles ce qui finalement compense largement le fameux trophée Arielle

Mais les filles ont été tellement enthousiasmées par ce "show" que Peter et moi avons prévu une revanche; avec d’après Arielle, de nouvelles règles….

Vive le sport…

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