Le porte du bureau du directeur est fermée depuis maintenant 1 heure. A l’intérieur, Coline se démène pour convaincre le client de la qualité des produits. Des gouttes de sueur perlent sur son front. Mohammed la regarde attentivement, elle est debout en train de présenter un power point. Le regard de l’adipeux client se ballade de ses talons à ses cheveux.
A la fin de la présentation, Mohammed soupire :
"C’est très bien tout cela mais bon vos meubles sont chers je n’ai pas vraiment d’intérêt a faire affaire avec vous !"
Coline se fige stressée, décontenancée par tous les efforts qu’elle vient de réaliser. Le directeur ricane sachant que les clients des émirats sont de solides négociateurs.
"-Allons Mohammed, tu as vu la qualité de nos produits et vous en êtes très contents à Dubaï d’après ce que j’ai pu entendre, on peut s’arranger…"
La négociation se passe et les deux hommes parviennent à un accord, le contrat est d’importance. Le directeur rit fortement en serrant la main de Mohammed :
"Bon allons fêter ca il est tard je connais un club privé sympa pas loin " annonce t-il le torse bombé
Mohammed sourit avec complicité, Coline reprend son souffle :
" Je suis désolé messieurs je dois y aller, mon mari m’attend"
Le client fait une moue mais le directeur prend Coline par le bras et l’entraine a l’extérieur du bureau :
"Qu’est ce que tu me fais Coline? tu dois venir c’est une obligation, tu t’arranges comme tu veux… Appelles ton mari"
Elle est interloquée par le tutoiement soudain, elle bégaie légèrement :
"Euh , je .. je… d’accord je vais m’arranger
— Bien, dit il" en rejoignant le client
Coline appelle son mari et lui explique rapidement qu’elle rentrera tard. Antoine accepte avec tristesse comprenant sa situation et les obligations de son nouveau job.
Le directeur les emmène en ville dans un quartier qu’elle ne connaît pas. Les ruelles sont assez sombres. Il se gare proche d’une entrée très discrète éclairée légèrement par des petites néons.
Le directeur sonne, une armoire a glace lui ouvre et laisse passer Coline et Mohammed. L’atmosphère du bar est tamisée, une jeune femme en bikini danse sur une scène. Coline est mal à l’aise et gênée. Elle n’est jamais entrée dans ce type d’établissement.
Ils s’assoient a une table privée très cosy et confortable. Mohammed commande deux grosses bouteilles de champagne. Coline regarde autour d’elle, des couples s’embrassent langoureusement et les serveuses sont très courtes vêtues, elle comprend vite le type de bar dont il s’agit.
Mohammed sert tout le monde et commence à discuter avec Coline :
"Alors, vous m’avez l’air jeune et vous êtes mariés donc ! C’est rare pour vous les occidentales qui vous marriez si tard habituellement.
Elle sourit timidement
"-oui effectivement
-Et votre mari, que fait il?
Elle baisse un peu les yeux ," il est au chômage actuellement après un accident"
Mohammed opine de la tête en faisant une grimace
"D’accord, j’imagine que vous n’avez pas d’enfants ca se voit, vous êtes encore fraiche!" Coline rougit ne sachant que dire.
L’homme ricane, le directeur ressert les verres et porte des toasts. Au fur et à mesure que la soirée avance, l’atmosphère change, les gens se pelotent sur les autres tables. Coline a l’esprit un peu embrumée, elle rigole beaucoup, son directeur la ressert sans modération. A un moment donnée il pose une main sur sa cuisse, elle ne réagit pas, ne sentant pas vraiment l’étreinte de son supérieur hiérarchique.
Mohammed sort un petit sachet de poudre blanche, le directeur rit :
"-Et bien Mohammed, je vois qu’on ne se laisse pas abattre" L’homme acquiesce malicieusement en faisant un clin d’il et fait une ligne avec un billet sur la table. Il sniffe rapidement en soupirant il passe le sachet au directeur qui fait de même. Ce dernier a les pupilles dilatées et regarde Coline :
"Allez essayes un peu c’est très bon et ca détend tu dois en avoir bien besoin après cette journée"
Coline a la présence d’esprit de refuser mais le directeur insiste lourdement. L’alcool aidant un peu ainsi que l’ambiance elle aspire un petit peu de poudre que son chef avait mis sur son doigt lui présentant devant ses narines. Elle sent le produit frapper son esprit
"- Mon dieu" chuchote t’elle
Le directeur caresse sa cuisse plus fermement
" Alors Coline tu aimes ? C ’est intense hein ? Moi ca me fait beaucoup d’effets, regarde ! "
Il prend la petite main de Coline et la pose sur la bosse du pantalon. Elle sursaute en sentant la dureté de son organe. Elle retire sa main fébrilement ses pupilles sont dilatées. Le directeur ricane diaboliquement en baissant sa braguette et sort son énorme sexe. Il le caresse doucement en regardant Coline qui a un mouvement de recul. Le sexe doit faire plus de 20 cm il est très épais noueux et veiné.
Le directeur ricane en voyant le regard de Coline
"-Tu en as jamais vu des comme ca hein? touches la maintenant"
il prend la main de Coline et la met dessus de manière autoritaire. Elle ne fait même pas le tour de l’engin avec sa main elle a le souffle coupé gênée. Elle caresse doucement le membre. Mohammed ne rate rien du spectacle il ricane en se touchant l’entrejambe.
Le directeur soupire
"- Oui ma belle caresse la bien je suis bien dur, tu me fais bien bander tu sais "
Coline est hypnotisée, comme dans ses rêves, le sexe est très dur et puissant, l’alcool et les substances lui brouillent le cerveau. Le directeur lui met la main sur la nuque et l’a fait se baisser doucement vers son sexe.
"-Allez Coline donnes moi du plaisir, donnes du plaisir a ton directeur.
Coline sent l’odeur de male se dégager du sexe, portée par son instinct et la main de son directeur, elle commence a lécher le gland. Le directeur lui caresse la joue et met une pression sur sa tête.
"-prends la en bouche"
Coline ouvre doucement sa bouche, le gland force et lui déforme complètement la bouche. Elle a les yeux grand ouvert de surprise le directeur gémit
" oui c’est ça ouvre bien je sens tes dents… ahhh oui salives bien"
Il imprime un mouvement sur la tête de Coline . Mohammed approche la main de sa jupe jusqu’à lui caresser le bas du dos. L’alcool se dissipant petit à petit, Coline se rend compte de la situation, elle enlève la main de son client qui commençait à descendre sur ses fesses. Elle se relève et retire la bite du directeur de sa bouche. La hampe est colorée du rouge a lèvre de Coline. Elle est désemparée
"Mon dieu, que qu’ai je fait" elle se recoiffe comme elle peut. Le directeur et Mohammed ricanent. Le directeur gémit:
"Tu ne va pas me laisser comme ça Coline", en caressant son énorme sexe tendu, "branle moi au moins "
il met la main de Coline sur son phallus et commence à la faire branler elle continue instinctivement terriblement gênée et le rouge aux joues. Le directeur gémit de plaisir et éjacule des jets épais et blancs crèmes qui retombent sur les petites mains de Coline. Deux trois giclées atterrissent sur sa robe. Elle regarde effarée la quantité de semence sortir du vit qui palpite. Le directeur souffle en se rhabillant
" – Ah ouais tu m’as bien sucé et branlé Coline"
Coline est rouge de honte; s’essuyant rapidement comme elle peut. Le représentant de l’ Emir la regarde intensément. Le directeur dit essoufflé :
"Rentrons maintenant, Coline je te ramène chez toi"
Ils repartent du club, Coline est mal à l’aise et ne décoche pas un mot jusqu’à sa maison.
