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voyage de noce africain – Chapitre 15




15ème jour :

L’épisode de la douche mavait émoustillé toute la nuit. Aujourdhui cétait la dernière journée de trek, une demi-journée d’ailleurs. L’après-midi était libre et ensuite le programme était un peu spécial. Chaque personne devait dormir dans une famille différente du village et partager une journée avec celle-ci.

Depuis le réveil, j’étais très excite, je voulais encore du sexe. Mais bizarrement, pas trop avec mon mari, je savais qu’il ne me ferait pas jouir. Aussitôt arrivé au village et alors que le groupe attentait le repas du midi, je parti me changer derrière un bosquet darbres pour mettre une robe dété. Enfin je nallais plus porter mes vêtements de trek. Je n’étais vêtu que de mon soutient gorges et mon slip. Javais la robe sur mon bras quand je senti deux mains me prendre par les hanches. Deux mains noires sur ma peau blanche. Cétait Karim. Il me défit mon soutient gorges et descendit mon slip, les mit dans sa poche et m’ordonna de remettre ma robe sans sous-vêtements. Nue devant lui, je me mis à genoux. Je voulais absolument sentir sa poutre dans ma bouche. Je me mis à le sucer avec passion, jaimais son odeur. Après 5 longues minutes, je senti son sexe vibrer mais contrairement à dhabitude, Karim se retira pour éjaculer sur mes seins, toujours une quantité impressionnante. Karim m’empêcha de messuyer et je dû remettre ma robe dété, blanche à fleurs rouge à fine bretelles. Alors que je me rhabillais, Karim m’indiqua la présence dun petit lac surplombé dune cascade au milieu deucalyptus en aval du village, où il faisait bon se baigner. La robe collait contre ma poitrine à cause du sperme. Alain sen rendit compte lorsque je le rejoignis au camp. Je dû prétexter la chaleur pour trouver une excuse. Cétait agréable de manger nu sous ma robe. Personne ne pouvait limaginer et cela me faisait mouiller.

Après le lunch, je descendis au petit lac avec Alain. Le reste du groupe préférant rester au camp, ce qui n’était pas pour me déplaire. Arrive seul sur le bord du lac avec sa cascade, Alain se mit en maillot de bain, un moule bite comme on dit. Et je n’ai pas pu m’empêcher de trouver son sexe bien petit par rapport à mes deux amants. Allongea ma serviette et descendis ma robe à mes pieds. Alain remarqua ma nudité sous ma robe et en fut surpris. Je lui répondis qu’il faisait trop chaud pour porter des sous-vêtements. Je voyais bien que ça le choquait un peu et en profita en m’allongeant nu sur la serviette. Ça l’énerver carrément, mais je lui roulai une énorme pelle en lui répondant que j’avais oublié mon maillot et de toute façon personne n’allait venir ici. C’était encore un mensonge que je fis à mon mari, car mon maillot était dans mon sac à dos et j’étais à peu près sûre que Karim, voir Boubakar, allait se pointer. Nous partîmes en longeant le bord vers la cascade pour nous laver. L’eau était agréablement douce. La situation était érotique. Nous étions recouverts de mousse, nu sous cette cascade. Enfin moi j’étais nue. Alors que nous étions de dos au lac, nous n’entendîmes pas arriver 3 visiteurs. Karim et Boubakar accompagnés d’un noir énorme. Il faisait pour sûr plus de 2m et avait une carrure impressionnante. Les trois nous rejoignirent sous la cascade, ils étaient aussi nus que moi. Boubakar fit les présentations. C’était le chef du village, Mamadou. Son regard était pénétrant et sa peau si noire. Il me regardait droit dans les yeux, troubler je dû baisser les yeux et mon regard se posa sur son sexe. Il ne bandait pas, mais son sexe lui arrivait à mi-cuisse. Je ne sais pas pourquoi, mais devant ce boudin noir qui me troublait, je me senti rougir. En relevant mon regard, je croisai le sien et le sourire sur son visage me fit comprendre qu’il avait compris mon trouble. Je voyais bien quAlain était gêné de me voir nue au milieu de ses trois hommes. Pourtant, il ne savait pas comment ses hommes étaient pour moi 3 créatures qui me faisaient mouiller. Alors que nous étions tous les 5 sous la cascade, nous discutâmes de notre voyage. Durant la discussion, presque à 4, car Alain ne parlait pas beaucoup, Mamadou se glissa derrière moi et me montra les différents arbres, expliquant les utilités dans la médecine des marabouts. Il était contre mon dos et je sentais son sexe grossir contre mon dos. Le bout de son gland m’arrivant à mi dos. Je fondis presque lorsque je senti une main sur ma fesse gauche.

Mamadou s’écarta et tout le monde put voir son érection. Impressionnant. Elle était très longue, mais surtout très large, je suis sûre que je ne pouvais pas en faire le tour avec ma main. Elle était incurve et pointait vers le ciel. Le chef du village demandât à Alain s’il pouvait voir les photos de notre voyage. Mon mari fan de photos accepta volontiers. Ils se dirigèrent vers nos serviettes, me laissant seul avec Karim et Boubakar. Karim me dit que Mamadou allait occuper mon mari pour nous laisser tranquille. Dès quAlain et Mamadou furent concentrés sur l’écran de l’appareil photo. Karim se colla contre moi et commença à m’embrasser le coup. Alain ne pouvait pas nous voir, car il nous tournait le dos. Il ne pouvait pas voir lorsque Karim me pencha en avant vers Boubakar. Karim me pénétra sans me prévenir. Mouillé comme j’étais, son sexe glissa sans problème. Penché en avant ses mains sur mes hanches, j’ouvris la bouche pour sucer Boubakar. J’étais prise des deux côtés à seulement 10m de mon mari. Heureusement que j’avais la bouche pleine pour ne pas faire de bruit lorsque j’eus mon premier orgasme. Mes deux amants savaient qu’il fallait faire vite à cause de la présence de mon mari. J’étais transpercée de part en part. Ils étaient très rapides dans leurs mouvements et ont jouis pratiquement en même temps dans ma petite chatte et ma gorge. A peine Karim sorti de mon minou, il me prit la main et nous dirigeons vers mon mari. J’avais encore le goût du sperme dans ma bouche quand je fis un baiser dans le coup d’Alain. Après quelques minutes, nous repartîmes ensemble vers le village. C’était l’heure du thé et de se repartir dans les familles.

Vers 18h, tout le groupe était réuni sur la place centrale du village entoure des villageois. Qui soit dit en passant sont très gentils. La particularité de cette répartition, c’est que chaque famille candidate ne recueillait qu’une seule personne, ce qui signifiait que chaque couple allait être séparé. C’était Mamadou, le chef qui s’occupait de la répartition, au hasard selon ses dires. Quand le tour de notre couple arriva, Alain fut accueilli par une famille de fermier qui habitait 200m avant le village. Quant à moi, j’eus l’honneur d’être accueilli par le chef. Nous avions 5min pour nous dire en revoir. Alain était un peu inquiet de me laisser seule. Quant à moi, j’allais vraiment être en vacances. Ni mari et ni amants sur le dos (surtout mes amants. Lol) Pour rassurer mon mari, je lui dis, de ne pas avoir peur, j’allais être sage comme un ange sur le ton de la plaisanterie. Alain me répondit avec un sourire que de toute façon, vu la taille de l’engin de Mamadou, il n’était pas inquiet, car il ne devait pas pouvoir avoir beaucoup de rapports avec les femmes sans les heurter.

Sur ce, je suivi une femme qui me dirigea vers la maison de Mamadou. La maison en torchis était la plus grande du village. La porte donnait sur une cour assez grande. D’un côté la maison du chef et de l’autre les cuisines avec la maison pour ses femmes, polygamie oblige. Au milieu de la cour, un grand bain qui pouvait accueillir 2-3 personnes. Alors que la nuit tombait et que j’avais installé mon duvet et mes affaires, la servante me proposa de prendre un bain. Intimidé, je déclinai l’invitation, mais devant son insistance, je dû cédé. Au bord du bain, je défis ma robe, j’avais complètement oubliée que j’étais nue sous celle-ci. La femme me rassura, me jurant que ça ne choquait ni les femmes et les 6 petits qui étaient dans la cour. Je me sentais rouge pivoine, n’étant pas adepte du nudisme. L’eau était très agréable. La cour était éclairée par 4 petits feux. Je fus surpris quand la femme, sûrement une servante, commença à me masser le cuir chevelu et la nuque. Je prenais du plaisir sous ses mains. Je remarquai que tout le monde rentra dans la cuisine et la pièce d’à côté en fermant les portes, me laissant seul avec la servante. Je fermais les yeux sous ses mains qui ressemblaient plus à des caresses.

Pendant un court instant, je ne senti plus ses mains et quand elles revinrent, elles avaient doublé de volume. En ouvrant les yeux, je découvris Mamadou qui me massait la nuque et non la servante. D’une voix suave, il m’ordonna de fermer les yeux et il continua son massage très doux malgré la taille de ses mains. Ses mains glissaient sur mes épaules, de plus en plus bas au fur des minutes. Je ne protestai pas quand ses deux mains englobèrent mes seins qui malgré leurs tailles paraissaient petits sous ses mains gigantesques. Ses mains étaient douces, ses caresses agréables commençaient à faire mouiller mon entre-jambes. Je devais absolument résister, j’étais quand même mariée. Je n’allais quand même pas céder au premier venu même s’il avait quelque chose d’attirant. Après de longues minutes de caresses mammaires, Mamadou arrêta pour faire le tour du bassin et se dévêtir devant moi pour lui aussi prendre le bain. Au moment où sa djellaba toucha le sol et que je vis son corps si musclé, son sexe si énorme, je savais que j’allais fondre et lui céder. Sa queue était énorme. Je pouvais l’observer à loisirs sans être gêné par Alain. Elle était bien raide et pointait vers le ciel ou la lune vue l’heure avancée. C’était une barre, que dis-je, une poutre devant mes yeux. Mamadou me fit un sourire et descendit dans le bain pour s’asseoir en face de moi.

Il me demanda de faire le tour pour venir à côté de lui. Sans un mot je lui obéissais. Il commença à me serrer contre lui et recommença à me caresser un sein. Sans un mot il prit une de mes mains et la dirigea vers son sexe. Je n’arrivais même pas à en faire le tour. Je ne pus résister et branla doucement son sexe en le regardant dans les yeux. Nos bouches se collèrent et je senti sa langue qui visitait toute ma bouche. J’aimais sentir sa langue profonde dans ma bouche, il arrivait à me caresser le fond de ma gorge. Sa main me titillait le clito, m’enfonçant un doigt puis deux pour s’arrêter à trois. Alors que j’atteignis mon premier orgasme, Mamadou se leva pour s’asseoir sur le bord du bain. Son sexe était beau, luisant sous la lune. Je me penchai vers lui pour le sucer, mais son sexe était trop gros et ne rentrait pas dans ma bouche. Je léchais donc son mat sur toute la longueur, je m’appliquais. Je voulais lui montrer comment une blanche savait le faire et que je voulais lui donner la plus belle pipe de sa vie, être meilleure que ses femmes. Je lui léchais sa tige, m’amusait avec le bout de son gland. Malgré mes efforts, seulement bout pouvait rentrer dans ma bouche. J’aimais lui lécher ses deux énormes bourses, poussant même le vice à lui faire une petite feuille de rose. J’étais folle. Je n’aurais jamais imaginé faire ça, il y a encore 3 semaines.

Alors que je lui léchais sa queue, Mamadou me tira par les cheveux pour diriger son gland vers ma bouche et décharger sa crème royale. J’en avais la bouche pleine et manqua de m’étouffer en avalant. Mamadou bandait toujours. Il se leva, me pris par la main et me fit allonger sur le bord de la baignoire. Il redescendit dans l’eau et se pencha vers moi, je voulais sa langue sur mon clitoris mais à la place je senti ses doigts jouer avec mes lèvres intimes. J’essayais de diriger sa tête vers mon entre jambe, mais je voyais bien qu’il refusait (Je sus plus tard qu’il refusait de le faire, car c’était un acte qu’un chef ne pouvait faire). Il dirigea son sexe sur ma fente qui s’ouvrit lentement. Il avait bien préparé le terrain avec ses doigts, car je fus surpris de voir mon sexe s’ouvrir sur sa queue et être aussi élastique. Alors qu’il arriva à mi longueur de sa tige, il me vit me crisper et compris que je ne pouvais en gober plus entre mes jambes. Ses deux mains sur mes seins, il commença un mouvement de va et vient. Des vagues d’étoiles m’envahissaient. Je ne m’étais jamais senti aussi rempli.

Il allait de plus en plus vite. Entre deux orgasmes je vis plusieurs paires d’yeux qui m’observaient derrière une porte. Je m’en foutais, je savourais ses coups de boutoirs… Je le senti se crisper et décharger des flots de spermes qui fouettaient mon utérus. Mamadou se retira et se dirigea vers sa cabane, me laissant allonger sur le sol et m’ordonna de le rejoindre après m’être lavé. Je le trouvais froid en me disant ça. La servante me rejoignit pour me nettoyer elle-même. Cela devait être dans les coutumes et n’en fut même pas choqué. Je m’en foutais, j’étais encore sonnée par mes orgasmes. La servante me dit que Mamadou était un peu déçu, car je n’avais pas réussi à l’accueillir en entier. C’était un affront pour lui. Un peu surprise je rejoignis quand même Mamadou pour la nuit. Me faufilant dans le noir vers sa paillasse.

Nuit très courte mais ça je ne le savais pas encore

PS: le chapitre suivant sera la fin de l’histoire.

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