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Sophie, pas si sérieuse que ça – Chapitre 3




Et si l’on jouait aussi un peu avec eux ? demanda Eva. Les pauvres. On a dû leur faire de l’effet.

Elles se mirent à rire de nouveau.

Pourquoi pas ? fit Sophie, pensive. Mais c’est nous qui fixons les règles.

Evidemment ! Vous voulez jouer ?

Ma langue qui pendait par terre dut servir de réponse. Marc ne réussit qu’à bafouiller :

« Heu… Eva, tu…», mais personne ne l’écoutait vraiment. Les filles étaient parties sur leur lancée.

Déjà, première règle, quoi qu’il arrive, interdiction d’enlever la petite culotte, fit Sophie, exprimant de nouveau le serment qu’elle m’avait forcé à prêter.

OK, fit Eva. Ça peut être amusant ! Mais Marc et moi…enfin, ce n’est pas notre première fois, tu sais !

Marc et toi, d’accord, mais on va saler un peu la situation !

Marc essaya de nouveau d’intervenir :

Eva, on peut discuter peut-être ?

Le seul résultat qu’il obtint fut de les faire rire de nouveau. Etait-ce l’alcool, ou l’excitation de la situation ? En tout cas, elles semblaient s’amuser énormément.

Personnellement, je me sentais toujours très excité et Marc était dubitatif, mais intéressé. Je n’arrivais pas à savoir comment il vivait la situation vis-à-vis de moi.

Eva reprit la parole :

Et quelles sont les règles du jeu alors ?

Eh bien…Tu vas voir, j’ai une idée.

Sophie fit le tour de la pièce du regard et se saisit d’une écharpe et d’un foulard qui traînaient sur les dossiers de chaise.

Elle assit Eva dans l’une des banquettes, poussant au passage Marc qui dut se lever.

Puisque tu es si certaine que c’est Marc qui va jouer avec ta culotte, je vais te bander les yeux. Ensuite, je vais m’installer dans la banquette en face et me bander les yeux moi aussi. La deuxième règle du jeu est que les garçons ont carte blanche, mais nous ne devons à aucun moment savoir lequel des deux est notre partenaire. Au moment où l’une des deux règles est brisée, le jeu s’arrête. Cela te va ?

Visiblement, dans ce scénario, Marc et moi nous n’avions pas notre mot à dire !

Ça me va, répondit Eva non sans avoir hésité quelques secondes. Je la vis rosir, sourire, puis acquiescer de la tête.

Sophie noua consciencieusement l’écharpe sur les yeux d’Eva, puis se leva pour se diriger vers l’autre canapé situé juste en face. Avant de nouer le foulard autour de ses yeux, elle nous lança un regard amusé à tous les deux. Il y avait du défi dans ses yeux…

Lorsqu’elles se furent installées, il s’écoula quelques secondes avant que nous réalisions ce qui était en train de se passer. Elles avaient fini de parler et c’était à nous de jouer, ou pas.

Si Eva n’avait pas été là, j’aurais sauté sur l’occasion. Mais Marc était un ami de longue date, et je me souciai de savoir si la situation le gênait. Visiblement, elle ne gênait pas Eva ! Mais cela ne me suffisait pas. J’attendais qu’il bouge pour bouger moi-même.

Et là, je ne fus pas déçu…Il se passa la dernière chose à laquelle je m’attendais. Il pouvait tout arrêter, s’énerver en disant que c’était n’importe quoi ou décider de s’approcher d’Eva. Mais il ne fit rien de tout cela.

Il me regarda, secoua la tête et fit une moue avec sa bouche. Je vis un « OK » se former sur sa bouche et son regard sembla vouloir dire « Vous voulez jouer à ça ? ». Il me fixa quelques secondes puis pointa le doigt sur sa poitrine. Ensuite, il me montra Sophie. Puis il pointa son index vers moi avant de le tourner vers Eva. Le message était clair et il ne semblait pas disposer à discuter. Je pensais avoir mon mot à dire, mais il ne me laissa pas vraiment le choix. Il se dirigea vers Sophie et s’assit sur le bord de la banquette à côté d’elle.

Il me restait donc deux possibilités : arrêter le jeu ou bien…ou bien, quoi exactement ? Aller caresser le corps d’une de mes meilleures amies !

L’idée était excitante, mais mon cerveau ne semblait pas parvenir à la saisir. Je restais comme un con, debout au milieu du salon. Marc le remarqua et me fit un signe de la main aussi explicite que directif. Avait-il peur que j’interrompe le jeu ? Il venait de s’approprier la nana que je désirais et…Marc me fit de nouveau un signe de la main en fronçant les sourcils. Sans vraiment savoir ce qui me poussa à ce moment-là, je me décidai à m’approcher de la banquette et à m’asseoir sur le bord. Rassuré, Marc me lâcha du regard.

Eva était allongée. Sa chemise était entrouverte, fermée par un unique bouton au niveau du milieu du ventre. Elle me laissait entrevoir la base de sa poitrine dans son échancrure. Sa jupe, assez courte, s’arrêtait à mi-cuisse. Et elle m’était offerte.

Elle devait sentir que quelqu’un s’était approché, car sa respiration se fit plus rapide. Sa tête faisait de petits mouvements, comme pour essayer de voir sur les côtés de l’écharpe. Ce qui était impossible. Elle semblait inquiète. Inquiète, mais offerte.

Je déboutonnais l’unique bouton de son chemisier, sans pour l’instant l’écarter plus. Imaginer sa nudité m’excitait davantage pour l’instant, car le désir était bel et bien en train de monter en moi…et pas qu’un peu.

Je posai ma main tout doucement sur son ventre et sentis un léger duvet sous ma paume. Elle se crispa et bloqua sa respiration. Je ne bougeais plus, me demandant déjà si j’étais allé trop loin !

Mais sa respiration reprit, peut-être même un peu plus fort que tout à l’heure, et j’eus l’impression qu’elle se cambrait légèrement. Sa tête continuait à bouger, comme pour chercher qui de Marc ou moi était là.

Ma main fit quelques cercles sur son ventre. Sa peau était extrêmement douce et sa respiration semblait accompagner mes mouvements.

Je fis remonter ma main jusqu’à son cou. J’étais parvenu au moment de bascule, où tout était encore possible. Je pouvais m’arrêter ou bien continuer. Elle saurait alors que c’était moi qui avais été là et comprendrait que Marc était parti avec Sophie…Je ne sais pas comment elle le prendrait.

Mais, au-delà de toutes ces réflexions que je me faisais, la vérité c’est que mon désir avait atteint un point tel que l’idée de faire machine arrière ne me convenait plus du tout. Et puis, me dis-je, « après tout, c’est Marc qui a choisi ! »

N’y tenant plus, je descendis ma main tout doucement sur son épaule, ce qui eut pour conséquence de dégager l’un des côtés de sa chemise…et de dénuder l’un de ses seins.

Le mouvement du tissu sur son téton le fit immédiatement pointer et je le vis durcir lentement. Elle était bigrement mieux fichue que ce que j’avais cru. Sa poitrine, sans être généreuse, était de belle taille et semblait terriblement ferme.

Une veine bleue courait sous sa peau blanche et faisait le tour de son sein. Je ne sais pas pourquoi, mais cette vision fit encore monter mon désir. Du doigt, je suivis cette veine, et son sein gonfla encore un peu.

J’écartais complètement les deux pans de la chemise et admirait le corps offert en face de moi. Je n’avais pu que le deviner tout à l’heure, pendant que Sophie la caressait. J’avais à présent tout mon temps pour le regarder.

Je remontais ma main dans son cou et la passais sur ses lèvres. Sa bouche s’ouvrit et aspira mes doigts. Sa respiration accéléra encore, au point qu’elle haletait presque. Tout son corps, que ce soient ses mouvements, sa respiration, les frissons sur sa peau…tout son corps, dis-je, semblait crier son désir.

Ma main redescendit lentement pour se poser sur son sein. Je profitais de la salive sur mes doigts pour saisir son téton et commencer à le pincer doucement. Elle poussa un petit cri. Mon autre main se posa sur son autre sein et le saisit en entier.

Ses hanches se mirent à onduler lentement, provoquant un mouvement qui remontait lentement sa jupe. N’y faisant pas attention pour l’instant, je me penchais vers elle, et l’embrassais à pleine bouche. J’eus l’impression de mordre dans un fruit mûr. Sa bouche était en feu, et ses lèvres étaient gonflées. Notre baiser dura quelques secondes, et lorsque je descendis ma bouche vers sa poitrine, elle reprit son souffle bruyamment.

J’aspirai son téton d’un coup, ce qui lui provoqua un petit hoquet de plaisir. Mes mains, pendant ce temps, caressaient son buste et son dos. Je mordillais sa poitrine et l’aspirais de plus en plus fort pour son plus grand plaisir, et pour le mien.

Mon sexe était tendu au maximum et, chose impensable il y a encore quelques minutes, j’avais envie d’aller plus loin, beaucoup plus loin.

Je me redressais et me remis à contempler le corps d’Eva. Culpabilisant toujours un peu, je jetais un il dans la direction de Marc et de Sophie. Je pris conscience que Sophie était en train de jouir. J’étais tellement absorbé par Eva que je n’avais plus prêté attention à eux !

Je me tournais de nouveau vers Eva qui semblait se demander pourquoi je m’étais arrêté. Avait-elle compris que c’était moi ? Très probablement. Impossible pour elle de ne pas se rendre compte que ce n’était pas Marc qui l’avait embrassée.

Je jetais un coup d’il vers sa jupe et me rendis compte qu’elle était remontée jusqu’à la limite de son entrejambe. Cette vue excitante coupa court à mes pensées. Je défis le bouton de sa jupe et la fis descendre le long de ses jambes.

Si la culotte de Sophie était en coton, celle d’Eva était quant à elle en dentelle transparente. Et elle cachait peu de choses de son anatomie. L’interdiction de l’enlever, qui pesait sur nous, devint immédiatement un supplice.

Elle dut se sentir gênée, car elle posa une main pudique sur son sexe. Je compris à ce moment qu’elle avait bien deviné que c’est moi qui me trouvais face à elle.

Je poussai sa main et elle me laissa faire. Puis je repris mes caresses en commençant par son cou. Elle frémit immédiatement et son corps se couvrit de frissons. Il me fallait inventer, en composant avec une situation nouvelle : la barrière de la culotte en dentelle.

Tout en caressant son buste, je regardais son sexe à travers la lingerie fine. Elle l’avait épilé en ticket de métro’. Lorsque ma main pinça doucement son sein, elle ne peut s’empêcher d’écarter légèrement les jambes, m’offrant une vue appétissante, à travers la dentelle, sur ses replis intimes.

Tandis que ma main gauche caressait toujours son buste, je fis descendre mon autre main vers son sexe. Après tout, s’il m’était interdit de lui enlever le morceau de tissus qui voilait à peine son intimité, il ne m’était pas interdit de jouer avec.

Ma main se posa sur son pubis, puis descendit lentement entre ses jambes entraînant sa culotte des quelques centimètres vers le bas, et dénudant le haut des poils de son pubis. Elle resserra immédiatement ses cuisses, mais ma main était à présent posée sur son sexe.

Je ne fus pas surpris du tout de sentir qu’elle était trempée. Mes doigts appuyèrent sur sa culotte, lubrifiée par son humidité intime. Il ne me fallut que quelques secondes pour sentir, à travers la dentelle, son petit bouton. Je me mis alors à le masser en faisant de petits ronds, ce qui eut deux conséquences immédiates : tout d’abord, elle écarta de nouveau les jambes, offrant de nouveau son sexe à ma vue, et ensuite elle se mit à gémir.

Je profitais des mouvements de mes doigts pour tirer légèrement sur sa culotte, qui s’écartait sur les côtés et me laissait entrevoir la peau nue de son sexe. Malgré toutes mes expériences passées, et malgré ce que j’avais vécu la veille avec Sophie, je pense pouvoir dire sans exagérer que je n’avais jamais été autant excité de toute ma vie.

N’y tenant plus, je m’installais entre ses jambes et posais ma bouche sur son sexe ou plutôt sur sa culotte. Mes mains écartaient ses cuisses qui se laissaient faire. Elle était entièrement ouverte.

Ma langue glissait entre ses lèvres et jouait avec les élastiques sur le bord de son string. Je faisais des mouvements de va-et-vient. Je parvins même par moments, à glisser ma langue sous les élastiques et à happer son sexe. Mais soit qu’elle ne s’en rendait plus compte, soit qu’elle s’en moquait, elle ne dit rien.

Ma langue, tantôt appuyait sur son clitoris à travers la dentelle, tantôt réussissait à tirer un peu sur ses lèvres. Mes doigts, situés dans le pli de l’aine, essayaient eux aussi de profiter des morceaux de chair dénudés.

Ce petit jeu très excitant dura un moment, jusqu’à ce que, dans un tourbillon de plaisir, elle eut un orgasme. Un orgasme violent, fort qui la fit crier…et qui me laissait malgré tout sur ma faim.

Je me redressais et pris un peu de recul. Assis entre ses jambes, son corps sublime et haletant était magnifique et désirable. Je le regardais, l’admirais, le gravais dans ma mémoire. Mais j’en voulais plus.

Elle dut sentir mon trouble, car elle se redressa. Me poussant de la main, elle me fit m’allonger et baissa mon pantalon. Mon sexe en béton se dressa devant elle. Je me demandais ce qu’elle comptait faire, quand elle tourna sur elle-même, se mit à quatre pattes au-dessus de moi et saisit ma verge entre ses mains fraîches. Je crus que j’allais jouir immédiatement !

La position qu’elle avait choisie faisait que nous étions tête-bêche. Ma tête se trouvait entre ses jambes et elle m’offrait de nouveau une vue imprenable sur son corps.

J’étais en train de regarder ses seins fermes, suspendus entre ses bras et sa culotte humide, lorsqu’elle enfourna mon sexe dans sa bouche. Mon plaisir grimpa immédiatement de plusieurs niveaux : je ne contrôlais plus rien. Mes mains remontèrent le long de ses jambes et appuyèrent sur ses fesses, ce qui eut pour conséquence de lui faire descendre le bassin jusqu’à ce que son sexe touche de nouveau ma bouche. J’engloutis sa culotte, la léchant, la mordillant, tirant sur le tissu qui dévoilait de plus en plus souvent ses lèvres à mon regard.

Mes mains écartaient ses fesses et son sexe. La culotte ne servait presque plus à rien. Mes doigts frôlaient sans cesse l’entrée de son sexe ouvert et ma langue lécha plusieurs fois son clitoris. Nous étions tous les deux sur le point de jouir.

N’y tenant plus, écartant sa culotte, j’enfonçais deux doigts en elle. Sa cavité était douce, soyeuse et tiède ! Mes doigts firent quelques va-et-vient…mais je ne pus pas en profiter longuement. Cette transgression la fit jouir, et déclencha dans la foulée mon orgasme, un orgasme énorme. Eva n’eut pas le temps de se retirer à temps et mon sperme se répandit sur sa bouche et sur l’écharpe.

Fin du jeu, tu as triché en contournant la règle numéro deux !

Je sursautais. Pris dans le tourbillon de nos plaisirs, je n’avais pas vu Sophie et Marc, debout à côté de nous. Ils nous regardaient, un sourire aux lèvres…

Et ça, ça mérite une punition ! fit Sophie en réponse à Marc.

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