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De relation mere-fils à amants – Chapitre 28




Apres ce petit moment bien réparateur je me dirigeais vers la chambre a coucher et me glissais sous les draps un petit coussin dans le dos. La porte étant reste ouverte j entendais de temps a autre quelques petit dans la cuisine.

Au bout d une dizaine de minutes j’entendis maman me dire:

-T’inquiète pas je n’en ai plus que pour quelques minutes.

Mais il fallu un bon quart d’heure encore avant que j’entende des pas venir vers la chambre. Comme si de rien n’était elle entrât dans la chambre avec un large sourire, une bouteille de champagne et deux flûtes a la main. Elle portait un super porte jarretelles rouge vif qui tranchait avec sa chevelure noire foncée. Ses bas rouge moulaient ses cuisses musclées et elle était montée sur des escarpins aiguille noire hallucinant. Elle avait laissé sa poitrine lourde libre sous un petit caraco rouge transparent. Elle s arrêta au pieds du lit et me dit ironiquement

Je te plais.

Plutôt, quelque chose a fêter?

Nos retrouvailles j’ai quelques envies, cela te dérange?

Pas du tout.

Et bien alors buvons un petit coup pour commencer. Je te laisse ouvrir la bouteille , servir et je vais chercher quelques amuses bouches.

Sitôt dit sitôt fait, la bouteille fut ouverte et deux coupes servies. Maman revint avec différents petit trucs salés et sucrés. Elle s assis sur le lit a mes cote et me dit:

Santé, amour et plaisir.

A toi aussi maman.

Nous avons trinqué, bu et pris quelques petits fours. A ma surprise maman attaqua une discussion des plus générale, je m’aperçus rapidement qu’elle avait besoin de parler. Ces échanges étaient fort intéressant mais parfois assez embarrassant car elle se confiait a moi comme l’homme de la maison et presque comme son homme. Puis finalement elle posa sa tète sur mon torse et son bras sur mon ventre. Nous sommes resté ainsi quelques minutes a profiter du calme, de la quiétude, je sentais maman très détendue. Puis elle me dit:

Une petite question.

Vas y, je t’écoute.

Tu penses tenir combien de temps a une pipe.

Sans les mains

Si tu veux

Je sais, une petite heure.

Une heure, tu rêve mon grand tu ne dépassera jamais la moitié

On pari que je tiens trois quart d’heure sans éjaculer.

Elle tourna alors la tête pour le regarder.

Cela me semble bien, qu’est ce je perd a par ma fierté si tu tiens tout ce temps?

Et bien mon anniversaire approche tu pourrais me faire un anniversaire surprise top.

C est quoi un anniversaire top pout toi.

A toi de voir.

Hum why not je pourrais trouver quelque chose.

Et moi si je perds?

Et bien je crois que je n’aurais plus beaucoup de cuisine a faire pendant un certains temps.

Hum la challenge est lourd mais c’est bon pour moi et toi.

C’est bon pour moi.

J’attrapais le radio réveil sur la table de nuit et le posais sur le lit bien en évidence. Il indiquait 22h53. Je m’installais confortablement sur le lit alors que maman le réglais sur 23h45. Elle pris alors ma queue en main et commença a lentement la caresser. Ses doigts agiles eurent tôt fait de lui redonner une bonne raideur. Elle avait les yeux fixés sur le radio réveil et des 23h elle happa mon gland a pleine bouche. Ses lèvres pulpeuses courraient le long de ma verge dure comme un roc. Une minute, une seconde puis une troisième. Ces mouvements devinrent alors un peu plus insistants. Je parvenais a garder mon calme. Le temps s égrainait. Sa langue s’enroulait maintenant autour de mon gland, l’enlaçant sans cesse. Elle releva alors la tête pour reprendre son souffle. Me fixant maintenant droit dans les yeux elle happa de nouveau profondément en bouche mon gland. 23h20 a la fois je me délectait de cette pipe maintenant furieuse mais faisais mon possible pour me maitriser.23h30 la pipe se faisait maintenant en gorge profonde, mon gland devenait ultra sensible et réactif, chacune de mes contractions la motivait et la poussait a aller encore plus loin. Je regardais alors le réveil 23h39, maman me pompais comme une folle et elle entrepris de commencer a se branler. Elle s’astiquais a un rythme effréné. Puis le réveil de mis a sonner.

Maman se redressa et vins s’empaler d un coup sur ma verge turgescente.

Et bien quelle…….je savais que tu te maitrisais bien mais a un telle point alors maintenant autant que j’en profite aussi et la je suis certain de finir par avoir ce que je veux.

Tout en ondulant autour de ma queue elle commença a se caresser les seins.

Tu aimes ma grosse poitrine, me demanda t elle.

Je répondit par un sourire qui voulais tout dire.

Elle te fait bander, elle t’excite?

Je pense que tu sens le résultat en toi. Mais bon j’ai l’impression que ma queue te fait pas mal d’effet aussi.

Rien qu’a voir ta queue bien dur je mouille alors quand tu me la mets profondément entre les cuisses c’est une fontaine. Mon cochon tu n’a pas honte de me baisser ainsi.

Et toi de te faire pervertir et te faire prendre a tout vas par ton fils?

J’assume, j’adore quand tu me balance ton foutre bien chaud dans la chatte.

A ces mots ses ondulations devinrent plus insistantes. Elle posa alors ses mains sur mon torse et commença a monter et descendre sur ma queue. Sa poitrine ballottait dans tous les sens au dessus de mon visage. Ses mouvements étaient de plus en plus fort. Nous étions tous les deux plus qu’excite et a la limite de la rupture. Un mouvement plus brusque eut raison de moi et je lui envoyais de longs jets de foutre dans son intimité qui lui extirpèrent un violent orgasme avec de multiples contractions avant qu’elle ne s’écroule sur moi. Nous sommes restez ainsi enchevêtrée de longues minutes pour reprendre notre souffle. Nos corps continuaient a profiter du contact de l’autre même si nous étions presque inerte. Maman fini par glisser sur le cote puis pris la bouteille de champagne et remplie de nouveau nos deux coupes et m’en tendit une.

A nous me dit elle en souriant.

A nous repondis je.

Nous avons pris tous deux une petite gorgée. Après un tel moment le silence était comme un bonheur. Nous nous regardions en nous souriant. Nos corps étaient suffisamment proche l’un de l’autre pour encore se sentir. Au bout d’un petit moment maman a posée sa coupe et est venue se remettre prés de moi. Elle a alors pose sa main sur ma joue et commencé a caresser on visage.

Mon amour, je ne sais pas forcement bien ou nous allons mais nous y allons.

Puis elle vint déposer un petit sur ma joue sans se retirer de cette dernière. Je tournais alors lentement la tête jusqu’a ce que nos lèvres s’effleurent de nouveau. Nos souffles se répondaient. Je collais alors mes lèvres au siennes et comme pour me répondre sa langue se posa sur mes lèvres avant de retrouver la mienne. Nous nous sommes alors embrassé et enlacé langoureusement. La main de maman descendit alors pour retrouver ma queue. Elle commença alors lentement a caresser mon anatomie qui petit a petit repris forme turgescente. Elle abandonna ma bouche pour venir mettre ses lèvres au bord de mes oreilles et me dire:

Prends moi mon coeur, fait moi l’amour et donne moi du plaisir.

L’invitation était plus que clair. Elle se mis alors sur le dos en écartant les cuisses et m’invitant a venir m’y mettre. Je suis alors passe entre ces cuisses et ai présente ma queue bien dure a l’entrée de son intimité. Mon gland a commence a forcer son intimité qui était totalement trempée. J’ai alors lentement continue a la pénétrer jusqu’a me trouver a fond en elle. Elle a alors poussé un petit soupir de plaisir.

Vas y donne moi du plaisir me dit elle en souriant.

J’ai alors lentement commencé a aller et venir dans son intimité tout en la fixant droit dans les yeux. Elle a alors place ses mollet sur mes rein pour me permettre de la pénétrer encore plus profondément. Sa poitrine commençait a ballotter sous mes coup de boutoir. Je la sentais totalement détendue. Petit a petit elle commença a ronronner, puis ses mains sont venue s agripper sur nom bassin. Chaque coup de rein semblait maintenant créer en elle un tension. Je sentais aussi ses main se crisper autour de mon corps et ses cuisses m’enserrer. J’ai alors ralentie la cadence pour la regarder.

Tu est super belle maman et plus que désirable.

Merci, tu est un amour. Toi tu me rend folle, je ne me contrôle plus lorsque je suis avec toi. J’ai l’impression d’être une adolescente en rut.

C’est désagréable.

Non mais je pensais en avoir passe l’âge et pourtant je n’ai jamais autant fait l’amour de ma vie, ni pareillement. Continue mon amour.

Tu as envie de quoi.

Que tu me fasse jouir sans limite, je m’abandonne a toi, tu est mon mâle, celui qui calme toutes mes pulsions sexuelle mais aussi celui sui me rend cochonne.

Nous nous sommes souris et j’ai repris plus vigoureusement ma besogne pour son plus grand plaisir. Je sentais aussi son intimité être de plus en plus réactive a chaque pénétration. Son souffle de vins de plus en plus court, ses soupirs se transformaient maintenant en petit gémissement. Ses ongles ont commencer a enserrer ma peau. J’ai alors senti son intimité se contracter petit a petit autour de mon membre sui allait et venait en elle. Ses gémissement sont alors devenu constant alors sue j’amplifiais mes mouvements pour la prendre le plus profondément possible. Puis d’un coup elle s’est arc-boute de plaisir en criant et ses ongles ont lasseré ma peau. Je me suis alors redressé et malgré la résistance que je rencontre pour la pénétrer suite a ces contractions, je continuais a la besogner. Chaque coup de rein la faisait maintenant hurler de plaisir. Elle remuait la tête dans tous les sens. Je poursuivais le pilonnage et fini par lui envoyer un énorme salve de foutre dans son intimité. Ceci lui fit faire un bon sur le lit et pousser un hurlement de plaisir. Au bout de quelques seconde je rouvris les yeux. Maman était la toujours ma queue entre les jambe en train avec des tas de spasme de plaisir qui continuais. Sa tête etait sur l’oreiller sans aucun mouvement. Elle fini par relâcher ma taille et me libérer de l’emprise de ses cuisses mais ces spasmes se poursuivaient. Ce n’est qu’au bout de plusieurs minutes qu’elle retrouva son calme et ouvrit les yeux. J’etzis toujours en ses cuisses, je lui souris et lui demandais:

Ca va?

Elle me souris et passa sa main sur ma nuque.

Ca ne peut pas mieux aller, je n’ai jamais pris une telle plaisir que celui que tu viens de me donner. Je t’aime, tu est mon mâle.

Elle s’est alors légèrement redresser pour venir déposer ses lèvres sur les miennes. Nos souffles ne faisait plus qu’uń nos lèvre s’effleuraient avant que sa lange ne vienne chercher la mienne. Nous nous sommes alors embrasse tendrement a pleine bouche. Aucun des deux ne voulait cesser ce baiser. Finalement elle commença a sentir ma queue de nouveau durcir en elle ce sui redoubla la vigueur de son baiser. Au bout d’un moment elle abandonna le baiser pour me sourire tendrement.

Et bien quelle vigueur, tu vas devoir me faire l’amour toute la nuit si cela continue.

Cela te gène.

Au contraire, donne moi du plaisir toute la nuit.

J’ai a.ors repris mes vas et viens entre ces cuises et avons fait l’amour une bonne partie de la nuit avant de nous coucher l’un contre l’autre repue de plaisir.

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