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De Papillon De Nuit à soumise – Chapitre 1




N’avez vous jamais vu, au cours d’une nuit, une ombre mystérieuse se faufiler très furtivement dans l’obscurité ? Et quand vous tentez d’y regarder de plus près, pensant que vos yeux vous ont peut être joué un tour, vous ne voyez plus rien… Ne cherchez pas: c’est sûrement moi que vous avez aperçue…

Bonjour ou bonsoir à vous. Je m’appelle… Non, je ne peux pas vous révéler mon identité pour des raisons de sécurité ; la mienne comme la vôtre. Sachez juste que je suis la célèbre voleuse "Papillon de Nuit", que j’ai 18 dans, que je mesure 1,58 m, que je suis asiatique plus précisément Vietnamienne et que je suis très mince avec de tout petits seins en forme d’oeufs au plat.

J’ai été envoyée en mission dans un gigantesque manoir coupé du monde avec pour but de voler un objet d’art inestimable bien particulier. Pour mes missions, je ne travaille que la nuit et dans le noir, car j’ai heureusement de bons yeux, je tiens à le préciser. J’ai pour cela une tunique intégrale et moulante en tissu noir pour être le plus à l’aise possible dans mes mouvements en cas d’acrobaties, ainsi qu’un loup en forme de papillon pour masquer le haut de mon visage, ce qui me permet de rester incognito.

J’ai pénétré dans cette immense demeure par une des fenêtres du rez-de-chaussée, en ayant au préalable vérifié qu’il n’y avait personne. Je me déplace à pas de loup au travers des couloirs et diverses pièces richement décorées ; la propriétaire de cette maison est selon mes informateurs une baronne, donc elle doit être très riche… ou complètement conne, car je n’ai pas encore aperçu le moindre système d’alarme, pas la moindre caméra de surveillance, rien, que dalle, nada.

Alors que je fouillais silencieusement une armoire dans une salle qui devait sûrement être un bureau, j’entendis le sol craquer très légèrement et sentis une présence derrière moi. Je tournai instinctivement la tête ; ce fut pour recevoir directement un coup violent qui m’assomma, et je m’écroulai par terre.

Je me réveillai péniblement j’avais un peu mal a la tête mais je reprenais peu à peu mes esprits. Je découvris avec effroi que j’étais dans une salle froide, humide, dépourvue de lumière, et qu’on m’avait attachée les membres en "X" a une croix qui devait sûrement être une croix de St André. Je tentai de me délivrer, mais mes liens étaient bien trop serrés pour me permettre de faire le moindre mouvement.

Bordel de merde ! jurai-je entre les dents, furieuse contre moi d’avoir été aussi facilement piégée.

C’est ce moment que choisit une femme pour faire son apparition.

Bien. On a fini de dormir ? dit-elle en s’avançant vers moi.

Plus elle savançait vers moi, plus je pouvais la détailler. Elle était grande (environ 1,80m), mince, habillée d’une belle robe claire et chic, un visage dur et le regard hautain, comme souvent dans le milieu bourgeois. Je la dévisageai ; je ne la quittai pas des yeux, même quand elle se pencha sur moi.

Qui es-tu, et qu’est-ce que tu fous chez moi à cette heure-ci ? me demanda-t-elle.

Je restai silencieuse tout en maintenant mon regard sur elle avec la même intensité.

Réponds, c’est dans ton intérêt… insista-t-elle.

Elle alla allumer une petite lumière afin de mieux me voir ; ça me fit légèrement mal aux yeux, mais ca ne dura pas et elle me posa sans arrêt la même question. Mon silence dura et mon regard ne changea pas d’un iota, ce qui la rendit furieuse. Lorsquelle m’arracha violement le loup et qu’elle jeta à terre, je vis ses yeux s’écarquiller. C’est bien ma veine, elle était maintenant capable de m’identifier.

Voyez-vous ça… On dirait que j’ai surpris un petit poisson nager hors de son bocal ; et plutôt joli, qui plus est ! dit-elle en me faisant face et en posant sa main sur ma joue.

Fous-moi la paix, salope ! Bas les pattes ! criai-je en tentant vainement de me débattre.

Ah, ça y est : tu te décides enfin à l’ouvrir ? Bon, maintenant, crache le morceau ! Qui es-tu ? Et qu’est-ce que tu foutais chez moi en pleine nuit ?

Pour toute réponse, je préparai un crachat que je lui envoyai en plein visage. Elle ferma les yeux ; un sourire diabolique se dessina sur son visage. Elle essuya ma salive du bout de ses doigts, les regarda, et me regarda dans les yeux en hochant de la tête avec un sourire malsain.

Monumentale erreur !

Elle me retourna la gifle la plus violente que j’aie pu recevoir, essuyant ses doigts par la même occasion. Elle était si forte que ma joue s’est mise à me piquer, et je sentais les larmes qui commençaient à monter. Elle était furieuse et me gifla de plus belle encore une fois.

Espèce de conne ! Comment as-tu pu oser me faire ça ? Je vais t’apprendre le respect, moi ! hurla-t-elle.

Je me mis à pleurer. Elle sortit de la pièce pour en revenir quelques minutes plus tard avec une petite bassine pleine qu’elle posa à mes pieds. Je vis, malgré mes yeux pleins de larmes, que la bassine contenait de l’eau et beaucoup de glaçons. Puis elle sortit de nulle part un cutter qu’elle promena doucement sur mon visage. La panique me gagna immédiatement.

Je… Écoutez, je vous dirais tout ce que vous voulez savoir, bégayai-je, affolée ; mais s’il vous plaît, ne me faites pas de mal. Si j’ai été envoyée ici, c’est pour vous prendre le…

Ta gueule ! aboya-t-elle violemment, ce qui me fit sursauter. Tes histoires ne m’intéressent plus, désormais. Je vais te faire regretter ce que tu viens de faire, crois-moi…

Où étais je tombée ? Visiblement, chez une folle furieuse ; mais hélas, je savais que personne ne viendrait m’aider, même pas ma mentor. Je commençais à crever de peur et je ne pouvais pas détacher mes yeux de l’objet métallique.

Arrêtez, s’il vous plaît ! suppliai-je, paniquée et larmoyante.

Tu as tort ; on arrive à ma partie préférée, me dit-elle avec un sourire en coin. Mais rassure-toi : tu ne crèveras pas. Tu vas juste comprendre qu’il ne faut pas manquer de respect aux gens.

Elle découpa soigneusement ma tunique de mon col jusquà l’entrée de mon intimité à l’aide de son outil tranchant. Je la regardais faire, horrifiée. Elle déchira tout le tissu qui recouvrait mes seins, mon ventre et ma vulve. Une fois qu’elle eût terminé, elle jeta son outil à terre et me regarda. Je commençais à avoir honte.

Voilà ; tu es mignonne comme tout, dis-donc… me dit-elle en souriant. Un peu maigrichonne, mais très mignonne ! Maintenant, je vais pouvoir m’amuser un peu…

Elle prit deux glaçons qu’elle posa immédiatement sur mes mamelons. La froideur était terrible, et mes tétons se dressèrent rapidement. Elle en fit le tour pendant un bon moment. Je frissonnais ; mes tétons étaient glacés et durs comme de la pierre. Je trouvai ça très désagréable. Tout à coup, elle les remit dans la bassine, et sans prévenir elle me tordit les tétons entre le pouce et l’index. Avec le froid, ils étaient devenus hypersensibles, et elle le savait très bien. Elle tordait, pinçait ; la douleur était fulgurante ! Mes yeux s’écarquillaient, je ne pouvais pas me retenir de gémir de douleur. Je tentai de me débattre, de remuer, mais c’était peine perdue. J’en pleurais, tant la douleur était forte, quand elle décida enfin darrêter son manège.

Alors, est-ce que tu comprends maintenant ? me demanda-t-elle.

Pardonnez-moi, je vous en prie… Je ferai tout ce que vous voudrez, mais arrêtez : c’est insupportable ! limplorai-je.

Vraiment tout ? interrogea-t-elle.

Oui, tout !

On va voir ça… me dit-elle en quittant la pièce un instant pour revenir avec une cravache et un martinet.

« Merde… Mais qu’est-ce qu’elle me réserve encore ? » J’allais vite être fixée. En effet, elle posa la cravache contre le mur, prit la bassine pleine d’eau glacée et m’arrosa de l’intégralité de son contenu. Je ne pus retenir un cri de surprise, et je grelottais après avoir été trempée. Elle se plaça face à moi, et d’un coup je sentis les lanières du martinet s’abattre sur mon ventre. Je sursautai de douleur ; il était trempé, ce qui accentuait les sensations. Elle me frappait toujours avec force ; mon ventre et ma poitrine étaient striés, douloureux, brûlants à cause des coups ; mais curieusement, une autre chaleur se formait en moi.

Une chaleur d’excitation. « Non, ce n’est pas possible, pensai-je. Mon corps ne peut pas aimer ce genre de traitement, non, pas ça ! » Je priais de toutes mes forces qu’elle ne saperçoive de rien pendant que les coups pleuvaient ; mon visage était déformé par la douleur, les larmes me coulaient sur les joues, j’avais froid, je remuais comme pour tenter de m’échapper ; cétait un cauchemar ! Soudain, elle s’arrêta net. Je poussai un soupir de soulagement ; c’était terminé. Elle s’avança vers moi.

Si tu veux encore me cracher dessus ou faire le moindre geste susceptible de me foutre en rogne, je t’en prie, fais-toi plaisir, me dit-elle avec un sourire machiavélique. Mais tu subiras un châtiment bien plus difficile à encaisser, je te le garantis.

Je baissai les yeux en signe de soumission. Je ne voulais plus souffrir ; je voulais que tout se termine rapidement, quand je vis qu’elle posait des doigts sur mon intimité. « Oh, pitié ! Non, elle va… »

Oh, putain ! Mais là, ça dépasse l’entendement ! dit-elle en regardant ses doigts pleins de mon jus intime crémeux.

Tout était fini pour moi : elle avait découvert le pot aux roses. Jaurais pu dire qu’elle se trompait, et faire passer ma mouille pour de la sueur ou l’eau avec laquelle elle m’avait aspergée, mais ça n’aurait jamais marché. J’étais morte de honte.

Qu’est-ce que c’est que ça, hein ? me demanda-t-elle en me mettant sous les yeux ses doigts trempés de mon jus intime. C’est bien ce qu’il me semblait… Tu te trémoussais étrangement quand je te frappais. Alors comme ça, je suis tombée sur une petite salope masochiste ? Voilà qui est très intéressant…

Non, ne dites pas ça, je vous en prie ! suppliai-je.

Pourquoi ? Parce que ça t’excite davantage, hein ? Dis-le !

NON ! criai-je.

Elle saisit la cravache, frappa rapidement et doucement, mais fermement, en plein sur mon clito, ce qui me procura des sensations à la fois douloureuses et de bien-être. Je remuais la tête, j’étais perdue ; mon orgasme arrivait incroyablement vite, je gémissais à la fois de douleur et de plaisir, j’avais la sensation de devenir complétement folle.

Allez, dis-le que tu n’es qu’une salope masochiste ! Dis-le ! insista-t-elle d’une voix ferme et autoritaire. Tu dois faire tout ce que je veux, alors je t’ordonne de le répéter. Obéis !

Les mots se frayaient un chemin tant bien que mal dans mon cerveau, et ils mettaient un temps incroyable a parvenir jusqu’à ma bouche.

N… non !

Dis-le !

Je… je… suis… une… s… salope… mas… o… ch… iste !

Encore ! insista-t-elle.

Je suis une sal… salope masochiste ! Hmmm… Haannnn…

Mes yeux roulaient, ma bouche s’ouvrait, je ne contrôlais plus ni mes mots, ni mes gémissements. J’étais prise de tremblements, mon corps se crispait, ma tête était vide, et je hurlais a pleins poumons un orgasme à la fois douloureux et délicieux. Ma raison s’était envolée, ainsi que mon honneur. Elle venait de me montrer mon vrai visage : celui d’une fille qui ne prend son pied qu’avec de la violence, de la douleur… Une vraie masochiste.

J’ai aimé ça comme jamais, je dois l’avouer. Je me retrouvai toute pantelante, supportée uniquement par mes liens ; j’étais complètement épuisée. Elle s’approcha de moi et délivra mes poignets. Je tombai à genoux, reprenant mon souffle avec difficulté. Elle s’accroupit face à moi et me regarda droit dans les yeux.

Jure-moi de m’obéir, de rester ici et de m’être fidèle. Je te promets que tu connaîtras des plaisirs bien plus grands que celui que tu viens de vivre. Sois à moi !

J’avais été vaincue par une partie de moi dont j’ignorais totalement l’existence. La bouche complètement sèche, je la regardai. Après quelques secondes dhésitation, je fermai les yeux et baissai la tête : elle avait remporté la partie, et moi par la même occasion.

Oui, Madame, je vous obéirai pour toujours, je vous le jure.

"Papillon de nuit" n’existait plus ; Dieu seul savait ce que j’allais devenir à présent.

Une suite ?

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