Arrivé à ton niveau, il laisse glisser le bas de son uniforme sur ses chevilles. Tes yeux se posent sur son sexe encore au repos et pourtant déjà de belle taille. Contre toute attente, tu sens ton excitation montée dun cran à lidée de te partager ces deux mâles en rut. Et lenvie de sentir le sexe du Kiné grossir dans ta bouche ne tarde pas à devenir irrésistible. Si bien que tout en continuant à masturber fermement le sexe du médecin tu approches ta bouche gourmande de celui du kiné. Après deux ou trois coups de langues tu gobes littéralement son membre en bouche. Et tu sens, en laspirant goulument, que la rigidité de lexcitation gagne du terrain. Cest un hommage manifeste à tes talents buccaux. Cela ne fait que tencourager davantage. Tu suces et lèches avec une gourmandise que tu ne te soupçonnais pas jusque là. Tu réalises alors que le membre de Thomas a un gout différent de celui du Dr Fouquet. Lun est plus sucré et lautre plus aigre. Mais les deux ont toutes tes faveurs et tes attentions. Tu rapproches alors les deux sexes pour les lécher en même temps. Tu te dis quune telle offrande ne se refuse pas. Et les deux hommes ten sont grés. Tous deux gémissent de plaisir. A ton grand étonnement, le sexe du kiné ne cesse de grossir dans ta bouche, jusquau point ou tu ne puisses même plus le tenir en bouche. Son gland brulant et gonflé de désir jaillit de ta bouche, luisant de salive. Ta main enserre sa base mais peu à peu tes doigts ne parviennent plus à se rejoindre tant le membre sest dilaté. Même si tu trouve la verge du docteur délicieusement épaisse, elle parait maintenant ridiculement petite face à celle du kiné. Et là, lidée quil la glisse en toi toute entière te fait littéralement bouillir dexcitation. Les deux hommes profitent pleinement du spectacle que tu leur offres. « Hummmm tu les aimes nos queues, nest-ce pas ? » tinterroge le kiné. Pour toute réponse, tu ne peux émettre quun gémissement approbateur. « Cest vraiment une suceuse dexception » renchérit le médecin. « Oh mais je pense quelle a encore bien dautres talents à nous faire découvrir » conclut Thomas. Ces commentaires grivois titillent ton excitation. Et tu comprends que le moment est venu de passer à dautres plaisirs.
Le kiné taide à te redresser et tinvite à le suivre. Tu te laisses totalement guidée, toujours avec cette sensation de voir la scène depuis lextérieur de toi-même. Mais tu ne veux pour rien au monde que cela sarrête. Tu comptes bien en profiter pleinement. Dun revers de la main, Thomas débarrasse le bureau du docteur. Les objets tombent sans ménagement sur le sol. Il tinvite à tassoir sur le bureau. Le contact du bois froid contre tes fesses te fait frissonner. Dun geste avenant, il taide à tallonger sur le dos à même le bureau. Ton rythme cardiaque saccélère. Tu sais quil va bientôt glisser en toi son impressionnante queue. Mais ce petit vicieux décide de faire durer le plaisir. Il pose délicatement son gland brulant contre ton sexe trempé. Et il frotte doucement le long de ton sexe, passant généreusement sur ton clitoris durci de désir puis faisant mine de vouloir te pénétrer, mais en ne restant finalement quau seuil de ton sexe. Son petit jeu dure de longues minutes. De trop longues minutes. Le plaisir quil te procure est intense mais il ne te fait que le désirer davantage. Toutes tes pensées se cristallisent en une seule : Tu veux sa grosse queue au fond de toi. Et semblant lire dans tes pensées, il commence à pousser. Son gland brulant force délicieusement louverture de ton sexe. Tu le sens te dilater divinement. Les vagues de plaisir affluent à nouveau avec intensité. Il nest à peine rentré à moitié que déjà tu sens les prémices de lorgasme monté en toi. Un dernier coup de reins habile et le voilà tout entier en toi. Jamais tu ne tai senti ainsi possédée, remplie. Le plaisir est déjà renversant alors même quil na pas commencé à aller et venir en toi. De ses mains fermes, il maintient tes cuisses bien écartées. Et son regard remonte de ton sexe à tes yeux. Tu croises son regard et y lis toute lardeur de son désir. Il te dit alors : « Noublies pas ce bon Docteur, voyons. Dr, allez glisser votre queue dans sa bouche je vous prie ». Le séduisant médecin, amusé par le ton employé par son complice sexécute. Il contourne le bureau pour venir toffrir son sexe. Sentir cette seconde queue remplir ta bouche texcite furieusement. Si bien que tu te remets directement à la sucer avec une gourmandise surprenante. Et là, à lunisson, les deux hommes commencent leurs va-et-vient. Sentir la puissante queue du kiné allé et venir tarrache des râles de plaisir sans pareil. Le docteur nest pas en reste, plaquant ses mains sur ta tête et imposant de vigoureuses ondulations du bassin. Ils « tassaillent » ainsi de longues minutes de plaisir si intense que tu perds littéralement tous tes repères. A ce stade, ils peuvent faire ce quils veulent de toi tant tu tabandonnes aux divines sensations quils te procurent. A ce moment, le kiné stoppe brutalement ces va-et-vient. Il veut te faire changer de position. Il sallonge à même le sol et tinvite à le rejoindre. Te voici à présent positionnée au dessus de lui. Son membre imposant fièrement dressé vers le ciel. Il te faut à présent tempaler littéralement sur cette queue hors norme. Et avouons-le, tu en as une terrible envie. Taccroupissant alors sur lui tu sens son membre coulisser en toi. Et lexquise sensation ressentie lorsquil ta pénétré quelques minutes plus tôt refait immédiatement son apparition. Et là cest encore plus divin car cest toi qui rythme les mouvements avec ton bassin. Et tu prends un soin tout particulier à alterner la vitesse de ceux-ci. Tantôt rapides et intenses, tantôt lents et langoureux. Libre de ces mains, le kiné malaxe tes seins fiévreusement. Il semble dans le même état dexcitation que toi. Le Docteur, resté quelques minutes à lécart, sapproche à nouveau, avec un tube à la main. Il surprend ton regard interrogateur. « Le meilleur lubrifiant qui soit, Mlle Dupres » déclare-t-il souriant. Il le débouche alors et sen applique sur les doigts. « Il est temps pour moi de flatter ce cul sublime ». Et tout en te laissant aller et venir sur le membre du kiné, il vient se positionner derrière toi. Tu sens alors son doigt froid contre ton anus. Habituellement tu laurais arrêté mais là, tous tes sens sont sans dessus-dessous, sous leffet inouï de la queue du kiné. Et lorsquil glisse un doigt entre tes fesses, cest finalement une nouvelle sensation qui vient se cumuler aux autres. Tu nes plus que plaisir à létat pur. Le docteur commence lui aussi ces petits vas et vient avec son doigt. Se calquant sur le rythme de tes reins. La sensation dabord étrange devient vite des plus plaisantes. Si bien que tu ne protestes pas plus lorsquil glisse un second doigt. Les vagues de plaisirs tinondent lune après lautre. Tu renverses la tête en arrière en savourant chaque instant. Et lorsque le docteur retire ses doigts, il te semble ressentir comme un manque de quelque chose. Fort heureusement, cest son sexe durci de désir quil vient à présent positionner contre ton petit trou. A chaque coup de reins que tu fais, tu sens son gland brulant contre ton petit trou, te demandant à quel moment il allait entrer. Tendant ton bras en arrière tu saisis alors son bassin pour ly inviter en lattirant vers toi. Il répond selon tes attentes. Son sexe épais pousse contre ton petit trou. Petit à petit, à chacune de tes ondulations sur la queue du kiné, celle du docteur entre un peu plus en toi. Et si la sensation dêtre remplie et possédée tavait semblé intense lorsque le kiné a entré son sexe en toi, ce nétait encore rien comparer au plaisir ressenti à cet instant. Cest labandon pur et simple au plaisir le plus primaire. Tout ton corps est en feu. Ton esprit lest tout autant. Et lorsque les deux hommes sagrippent simultanément à ton bassin pour reprendre leur va-et-vient, il ne faut pas longtemps avant que tu nexploses littéralement dans un orgasme sans commune mesure. Des déferlantes de plaisir te secouant de la tête aux pieds. Les spasmes divins de ton bas ventre enflammé. Le souffle court, tu tabandonnes entre les bras de ces deux puissants étalons.